FTS

Rien suivant la seule raison n'est juste en soi. Tout branle avec le temps.

Blaise Pascal

Ainsi, il est difficile de cerner le game dans son ensemble, ou même de déterminer un objectif vraiment intéressant.

Car des filles en nombre est trivial.

Des filles très belles est trivial également (la beauté se fait déconstruire très vite).

Une étincelle: le game idéal permettrait de chopper ses oneitis.

Ou: le game idéal permet de sortir de la dynamique du oneitis (l'OI n'existant pour ainsi dire plus).

L'idée du dépassement d'une dimension, d'un écueil, d'un conflit préalable me semble fondamental.

C'est là où, contre toute attente, réapparait le poétique, le transcendantal, le beau, etc..., dans la démarche.

Dans, par exemple, ce shift qui fait que certains, étant needy alors, deviennent sélectifs tout à coup; que d'autres, réfléchissant sur l'opposition natural/structural, l'abandonnent naturellement et, se retournant, se rendent compte à quel point l'entier du débat n'a pas lieu d'être; ou encore d'une représentation de la réalité où le succès est important à une autre où cette même notion, et son contraire, l'échec, disparaît.

C'est le shift de réalité qui est pur. Pas le détail qui engendre le shift.