Autotélisme
Posté : 13.05.08
Mot qui signifie le mouvement de retour d'une chose sur elle même.
exemle:
Ceci est une phrase courte.
paradoxe classique:
ceci n'est pas une phrase négative.
Cette phrase est un mensonge.
***
Bref RAF de ces exemples linguistiques:
l'idée, dans la méthode, est qu'on peut décrire le sticking point, le "blocage", comme précisément une récursivité (mouvement cyclique), un autotélisme chiant.
C'est le moment où l'objectif à atteindre est également le moyen d'y parvenir.
Exemples, à peu près tous les "actes" (on les classe comme des actes, alors que c'est sans doute cette classification qui pose problème à la base, qui établit une mauvaise frame dès le début)
Pour vaincre la peur de l'open, il faut opener.
Pour vaincre la peur du k-close, il faut kcloser.
Pour vaincre la peur de l'escalation, il faut escalader.
Alors que dans d'autres cas, les liens sont clairs, et évolutifs, comme dans l'équation fondamentale du Game:
Vie épanouie (but ultime)
<= relations cooles
<= fcloses
<= escalation
<= kcloses
<= rendez-vous
<= numéros
<= conversations
<= opens
<= field
LOL c'est bien beau tout ça. Logiquement, suivant ce modèle, c'est comme une pyramide: plus tu as de field, plus tu as d'open, plus tu as de convo, etc etc (le nombre au début, puis raffinement progressif pour optimiser le parcours d'open à close, cad diminuer les pertes entre chaque étape). Je me souviens d'un post de TD (essentials) qui décrit précisément de cette manière le parcours du PUA.
Après, évidemment, tout gamer a des sticking points à un point ou un autre, car, comme par hasard, on est très peu sur cette terre à parvenir à fonctionner comme des machines, en pure quantité (cad il faut faire beaucoup de field pour parvenir à opener, puis beaucoup d'opens pour qq convos, avec à chaque fois le mécanisme de raffinement, qui mène à un huilage total du système). Un modèle ne tient pas compte des forces sous-jacentes qui régissent notre fonctionnement, et partent du principe que le progrès est totalement linéare, et qu'on pourrait donner, théoriquement, le nombre de sorties qu'il faut pour parvenir à open, le nombre d'open pour obtenir des nums consistants, etc etc...
Et évidemment, vu que les solutions données suivent généralement un système de ce type, aucune solution n'est effectivement donnée pour les différents "noeuds" à part "se forcer".
Diable.
suite plus tard.
exemle:
Ceci est une phrase courte.
paradoxe classique:
ceci n'est pas une phrase négative.
Cette phrase est un mensonge.
***
Bref RAF de ces exemples linguistiques:
l'idée, dans la méthode, est qu'on peut décrire le sticking point, le "blocage", comme précisément une récursivité (mouvement cyclique), un autotélisme chiant.
C'est le moment où l'objectif à atteindre est également le moyen d'y parvenir.
Exemples, à peu près tous les "actes" (on les classe comme des actes, alors que c'est sans doute cette classification qui pose problème à la base, qui établit une mauvaise frame dès le début)
Pour vaincre la peur de l'open, il faut opener.
Pour vaincre la peur du k-close, il faut kcloser.
Pour vaincre la peur de l'escalation, il faut escalader.
Alors que dans d'autres cas, les liens sont clairs, et évolutifs, comme dans l'équation fondamentale du Game:
Vie épanouie (but ultime)
<= relations cooles
<= fcloses
<= escalation
<= kcloses
<= rendez-vous
<= numéros
<= conversations
<= opens
<= field
LOL c'est bien beau tout ça. Logiquement, suivant ce modèle, c'est comme une pyramide: plus tu as de field, plus tu as d'open, plus tu as de convo, etc etc (le nombre au début, puis raffinement progressif pour optimiser le parcours d'open à close, cad diminuer les pertes entre chaque étape). Je me souviens d'un post de TD (essentials) qui décrit précisément de cette manière le parcours du PUA.
Après, évidemment, tout gamer a des sticking points à un point ou un autre, car, comme par hasard, on est très peu sur cette terre à parvenir à fonctionner comme des machines, en pure quantité (cad il faut faire beaucoup de field pour parvenir à opener, puis beaucoup d'opens pour qq convos, avec à chaque fois le mécanisme de raffinement, qui mène à un huilage total du système). Un modèle ne tient pas compte des forces sous-jacentes qui régissent notre fonctionnement, et partent du principe que le progrès est totalement linéare, et qu'on pourrait donner, théoriquement, le nombre de sorties qu'il faut pour parvenir à open, le nombre d'open pour obtenir des nums consistants, etc etc...
Et évidemment, vu que les solutions données suivent généralement un système de ce type, aucune solution n'est effectivement donnée pour les différents "noeuds" à part "se forcer".
Diable.
suite plus tard.