Voyages, Route de la connaissance et Elevation de soi
Posté : 15.05.08
Nul n'est prophète dans son pays
Deux grandes questions. La première :
__________
Pourquoi est-il connu que les voyages forment la jeunesse? Arriver à l'étranger, mis à part le coté débrouillard que l'on se doit de maîtriser si l'on ne veut pas rester à la rue.
J'ai du me faire trois ou quatre pays et n'ai rien appris de particulier.. Beaucoup de personnes voyageant disent qu'elles sont "riches dans la tête" car elles ont vu des choses de leurs propres yeux sans qu'on leur ai raconté.
De mon côté je me dis qu'en visitant un temple inca, même avec un guide, quelle serai la différence entre apprendre sur le terrain ou tout simplement en l'apprenant dans les encyclopédies? J'ai visité par ci par là les traces laissées par le passé (cités, grottes, monuments...) et n'ai pas appris des masses de choses. Même si cela est interessant d'un point de vue intellectuel je n'en suis pas revenu èxtasié (chacun son truc certes).
Ou bien la connaissance réside-t-elle dans le fait d'échanger èxpériences (lesquelles encore) avec les étrangers que l'on cotoie?
Je ne sais pas si visiter un pays nous en apprends grace à son passé, ou grace à son actualité, nottement en observant/discutant avec les résidants.
Ma réponse serai qu'en visitant un pays (disons trois mois) on se comporte non plus comme on l'a toujours était mais bel et bien comme un résidant. Donc on développe une nouvelle facon de penser et d'être. Pas modifié, simplement une autre facon de penser en plus de celle que l'on a habituellement. Un peu comme des nouveaux pouvoirs.
Est-ce en cela que réside la force du voyage?
Du feed-back de la part de nos routards?
La seconde :
Quel est d'après-vous le meilleur moyen pour s'élever?
La lecture, l'apprentissage/études (archéologie, histoire, psy, connaissance...), pratiquer la discipline que l'on aime (informatique, foot, art martial...), ou se laisser porter par les vagues de la vie tout simplement sans chercher à comprendre?
Par éxemple un grand sportif ne peut rien faire d'autre que son activité. Mis à part le côté plaisir, records...je pense qu'en pratiquant il avance (vers ou je ne sais pas, peut-être a son propre développement) uniquement de cette manière.
Voire comblé manque, comme le dragueur stéréotypé de Soral.
Pour les autres qui n'ont ni manque a comblé ni grande passion (peut-être est-ce là une chance), quelles seraient les solutions adéquate pour évoluer? Ou comment trouver sa voi (voyages, nouvelles èxpériences...).
Quel est d'après vous le meilleur chemin vers l'élevation de soi?
Je penses que si l'on a pas de passion l'èxpérience de l'étranger est la pour ceux qui souhaitent évoluer. Et peut-être qu'en chemin on découvrira notre voi.
Par éxemple en pratiquant des loisirs je m'éclate mais n'ai pas l'impression d'avancer. En taffant je me dis que c'est chouette mais mis à part le côté "survie" comblé cela ne m'a rien apporter.
Echanger son temps pour faire un job qui nous apporte confort et bien être. OK. Mais ou est l'avancement? Ce serai comme tourner en rond indéfiniement. Voilà pourquoi tout à l'heure je citai le sportif, ou le dragueur qui ne fait que cela sa vie entière peut importe ses raisons, il avance.
La question est : de quelle manière savez-vous que vous avez avancer?
__________
Questions floues. J'avais hésiter entre :
Qu'est-ce que l'infini?
Deux grandes questions. La première :
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Pourquoi est-il connu que les voyages forment la jeunesse? Arriver à l'étranger, mis à part le coté débrouillard que l'on se doit de maîtriser si l'on ne veut pas rester à la rue.
J'ai du me faire trois ou quatre pays et n'ai rien appris de particulier.. Beaucoup de personnes voyageant disent qu'elles sont "riches dans la tête" car elles ont vu des choses de leurs propres yeux sans qu'on leur ai raconté.
De mon côté je me dis qu'en visitant un temple inca, même avec un guide, quelle serai la différence entre apprendre sur le terrain ou tout simplement en l'apprenant dans les encyclopédies? J'ai visité par ci par là les traces laissées par le passé (cités, grottes, monuments...) et n'ai pas appris des masses de choses. Même si cela est interessant d'un point de vue intellectuel je n'en suis pas revenu èxtasié (chacun son truc certes).
Ou bien la connaissance réside-t-elle dans le fait d'échanger èxpériences (lesquelles encore) avec les étrangers que l'on cotoie?
Je ne sais pas si visiter un pays nous en apprends grace à son passé, ou grace à son actualité, nottement en observant/discutant avec les résidants.
Ma réponse serai qu'en visitant un pays (disons trois mois) on se comporte non plus comme on l'a toujours était mais bel et bien comme un résidant. Donc on développe une nouvelle facon de penser et d'être. Pas modifié, simplement une autre facon de penser en plus de celle que l'on a habituellement. Un peu comme des nouveaux pouvoirs.
Est-ce en cela que réside la force du voyage?
Du feed-back de la part de nos routards?
La seconde :
Quel est d'après-vous le meilleur moyen pour s'élever?
La lecture, l'apprentissage/études (archéologie, histoire, psy, connaissance...), pratiquer la discipline que l'on aime (informatique, foot, art martial...), ou se laisser porter par les vagues de la vie tout simplement sans chercher à comprendre?
Par éxemple un grand sportif ne peut rien faire d'autre que son activité. Mis à part le côté plaisir, records...je pense qu'en pratiquant il avance (vers ou je ne sais pas, peut-être a son propre développement) uniquement de cette manière.
Voire comblé manque, comme le dragueur stéréotypé de Soral.
Pour les autres qui n'ont ni manque a comblé ni grande passion (peut-être est-ce là une chance), quelles seraient les solutions adéquate pour évoluer? Ou comment trouver sa voi (voyages, nouvelles èxpériences...).
Quel est d'après vous le meilleur chemin vers l'élevation de soi?
Je penses que si l'on a pas de passion l'èxpérience de l'étranger est la pour ceux qui souhaitent évoluer. Et peut-être qu'en chemin on découvrira notre voi.
Par éxemple en pratiquant des loisirs je m'éclate mais n'ai pas l'impression d'avancer. En taffant je me dis que c'est chouette mais mis à part le côté "survie" comblé cela ne m'a rien apporter.
Echanger son temps pour faire un job qui nous apporte confort et bien être. OK. Mais ou est l'avancement? Ce serai comme tourner en rond indéfiniement. Voilà pourquoi tout à l'heure je citai le sportif, ou le dragueur qui ne fait que cela sa vie entière peut importe ses raisons, il avance.
La question est : de quelle manière savez-vous que vous avez avancer?
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Questions floues. J'avais hésiter entre :
Qu'est-ce que l'infini?