[Q] Quelle limite à l'indépendance?
Posté : 18.08.08
Quand Bob découvre la communauté, comme tout AFC, il pense qu’il faut être naturel pour séduire, ce qui veut dire pour lui qu’il ne doit faire aucun effort. Il souffre parfois de dépendance affective, tombe souvent en One-itis.
Puis, il découvre la communauté, comprends qu’il doit faire un travail sur lui, se remettre en question, apprendre à devenir plus indépendant... Qu’il faut d’abord apprendre à bien vivre seul, à s’aimer soi-même pour avoir la possibilité de vivre bien à deux avec quelqu’un qu’on a choisi. Bob comprend que dans le passé, quand il est tombé en One itis d’une fille, cette fille avait quelque chose qu’il ne possédait pas, dont il ressentait le besoin de posséder... Elle comblait ainsi son manque....
Alors Bob fait un travail sur lui, améliore sa valeur, devient plus indépendant.
Puis arrivé un stade, on peut se poser une question. Devenir indépendant, jusqu’à quel point? Quel est le but? Devenir complètement indépendant et n’avoir besoin de personne? Peut on dire que l’on est jamais complètement indépendant, et qu’avoir une petite dose de dépendance est normale, et même nécessaire pour devenir amoureux? Courir après l’indépendance totale n’est elle pas utopique, vouée à l’echec, et en plus même négatif sur le psychisme, car poussant à une espèce de recherche de la perfection que l’on obtiendra jamais? Ou bien si, il faut ne dépendre de personne, à 100 pour cent, car dépendre de quelqu’un veut dire lui laisser du pouvoir sur vous, et donc vous perdez de la valeure, etc....................?
Peut on dire que dans l’amour, il existe une petite part ( qui doit être réduite au maximum ) de dépendance et de besoin de l’autre, qui est normale et qui ne doit pas nous faire peur, que l’on doit accepter, car sans elle, il n’y a pas d’amour possible, le tout étant que pour rester maître de nous et dans une certaine mesure de la relation, la différence entre nous et elle, dans le besoin de l’autre ne doit pas être trop différente, surtout en sa faveur.
L’amour est-il possible si nous n’avons pas du tout besoin de l’autre? ( à mon sens, non, je crois pas, sinon, nous ne serions pas attirée par elle, il me semble).
Puis, il découvre la communauté, comprends qu’il doit faire un travail sur lui, se remettre en question, apprendre à devenir plus indépendant... Qu’il faut d’abord apprendre à bien vivre seul, à s’aimer soi-même pour avoir la possibilité de vivre bien à deux avec quelqu’un qu’on a choisi. Bob comprend que dans le passé, quand il est tombé en One itis d’une fille, cette fille avait quelque chose qu’il ne possédait pas, dont il ressentait le besoin de posséder... Elle comblait ainsi son manque....
Alors Bob fait un travail sur lui, améliore sa valeur, devient plus indépendant.
Puis arrivé un stade, on peut se poser une question. Devenir indépendant, jusqu’à quel point? Quel est le but? Devenir complètement indépendant et n’avoir besoin de personne? Peut on dire que l’on est jamais complètement indépendant, et qu’avoir une petite dose de dépendance est normale, et même nécessaire pour devenir amoureux? Courir après l’indépendance totale n’est elle pas utopique, vouée à l’echec, et en plus même négatif sur le psychisme, car poussant à une espèce de recherche de la perfection que l’on obtiendra jamais? Ou bien si, il faut ne dépendre de personne, à 100 pour cent, car dépendre de quelqu’un veut dire lui laisser du pouvoir sur vous, et donc vous perdez de la valeure, etc....................?
Peut on dire que dans l’amour, il existe une petite part ( qui doit être réduite au maximum ) de dépendance et de besoin de l’autre, qui est normale et qui ne doit pas nous faire peur, que l’on doit accepter, car sans elle, il n’y a pas d’amour possible, le tout étant que pour rester maître de nous et dans une certaine mesure de la relation, la différence entre nous et elle, dans le besoin de l’autre ne doit pas être trop différente, surtout en sa faveur.
L’amour est-il possible si nous n’avons pas du tout besoin de l’autre? ( à mon sens, non, je crois pas, sinon, nous ne serions pas attirée par elle, il me semble).