FTS

Hiver 2007
Aix en Provence
Soirée raclette chez une collègue de travail.

J’étais invité un samedi soir chez une collègue de travail pour une raclette avec son ami, un autre collègue et son amie.
Je m’étais imposé de travaillé ce jour là pour avancer sur des dossiers importants, et je suis parti tard du bureau.
De plus, une de mes missions était d’amener le vin blanc.

Gros retard de plus d’une heure, j’arrive à la fin de l’apéro.
Au lieu d’être cinq, il y a en plus un autre couple et une fille célibataire (F)
F est une femme avec un jolie corps, le visage un peu usé par la fête, et je m’en rendrais compte plus tard, n’a pas froid aux yeux.
De mon côté, cela faisait plusieurs mois que je lisais les forums de FTS et je commençais à intégrer certains concepts.

Levé de rideau.

Je dis bonjour à tous le monde et fini par F.
F : Salut, moi c’est F, on t’a attendu, c’est pas très bien d’arriver avec autant de retard.
M : Salut, c’est parce que j’adore me faire remarquer, cela fait plaisir à mon ego.

Je m’assoie à la dernière place encore libre, à côté de F.
F : il parait que tu es célibataire, tu es mignon, faudrait que l’on fasse plus connaissance.
M : C’est que je ne suis pas un garçon facile

Je me fais littéralement draguer par F, la laisse venir mais à chaque fois ne répond pas favorablement à ses sollicitations.
L’éffet était automatique, elle fait de la surenchère.

On passe à table, à nouveau l’un à côté de l’autre.
Le jeu est bien installé, c’est à elle de me séduire et à moi de faire de la résistance.
Elle me fait du pied sous la table.
M : Aïe, tu m’a marché sur le pied
E : (avec un grand sourire) mais c’était fait exprès !
M : en plus tu fait exprès, méchante (avec grand sourire des deux côtés)
E : pour te montrer que je ne suis pas méchante, si tu veux je passe sous la table te faire une fellation.

Gros silence autour de la table.

Elle se disqualifie directe, elle est tombé dans la vulgarité.

Je continue la soirée sans trop m’occuper d’elle.

Elle fait une dernière tentative à la fin.
E : Alors M, on va chez toi ou on va chez moi
M : Exactement, toi tu vas chez toi et moi je vais chez moi
E :

Bon, ça c’est pour le plaisir de l’anecdocte

Je valide ce soir là quelques points :
- arriver en retard permet d’augmenter sa valeur
- pratique du C&F
- transformer les tentatives de séduction féminine en augmentation de sa valeur par la résistance.

Mouais, faut aller le chercher le game dans cette histoire, tout ça pour dire que c'est cool d'arriver en retard

Où est le game ? Je vois rien, a part un peu C&f , sinon très drôle l'histoire lol .

M : Aïe, tu m’a marché sur le pied
E : (avec un grand sourire) mais c’était fait exprès !
M : en plus tu fait exprès, méchante (avec grand sourire des deux côtés)
E : pour te montrer que je ne suis pas méchante, si tu veux je passe sous la table te faire une fellation.

comme quoi un bon verre fait pas de mal ...

Déjà c'est un journal. On s'en fout de savoir si y a du "Game" dedans ou pas.

Un truc qui me choque par contre. Tu avais envie de te la faire ou pas ?
Si oui t'as vraiment foiré !!
Une fille qui n'a pas froid aux yeux et qui sexue la conversation comme ca... C'est une perle ! Tu aurais du parler cul avec elle, tu aurais trop déliré.
Les autres couples coincés seraient restés scotché à leur chaise hahahahaha

Merci pour vos commentaires.
C'est en effet juste un journal.

Je commence par cette histoire de l’hiver dernier, car elle m'a fait prendre conscience qu'en arrêtant d'être le mec bien propre sur lui, poli, les réactions des filles étaient vraiment différentes.

N'ayant à l'époque pas encore digéré ma précédente rupture, je cherchais juste à me rassurer sur ma capacité à séduire.

C'est peu de dire que cette fille était pleine de promesse.
Elle m'a avoué avant que je parte qu'elle n'avait jamais rencontré un mec qui se faisait autant désiré.

Samedi 18 octobre 2008
Wings : 2 players + un copain à moi
Bar restaurant avec piscine à l'Escale Borely, Marseille
Energie : bonne, je suis motivé à opener coûte que coûte.

On se retrouve vers 10h. C'est très tot et il n'y a personne dans la partie bar.
Les uns arrivent après les autres. Je sens que nous sommes tous les 4 motivés, mais je me sens figé.

Je décide de sortir du bar, j'ai noté que de bouger me débloque.
Je reviens et je remarque 2 filles juste à côte de notre groupe.
Je passe devant elles, discute avec mes wings 2 secondes et reviens vers les filles en marche arrière.

Mr G: bonsoir, juste une question rapide. Ai-je l'air d'un homosexuel ?
Filles : non, pas vraiment
Mr G : je vous demande cela car je viens de retirer de l'argent dehors et je me suis fait brancher par un homme.

J'accroche bien les deux filles, neg celle qui m'intéresse en lui reprochant de ne pas laisser parler son amie.
Mais je sens le moment ou je n'aurais plus rien à dire et préfère m'éjecter.

Je reviens plus tard dans la soirée leur demander qui de Mr Propre ou du Géant Vert est le plus séxy.

Je reviendrais une troisième fois à la charge en leur demandant ce qu'elles pensent des tatouages (voir opener de Mystery).
Wing me rejoint et j'arrive enfin à continuer la conversation.
Je suis donc officielement éleveur de castor

Au bout d'à peu près 45 mn, je sens que je m'enlise un peu trop et préfère interrompre cette première rencontre : "Nous on doit partir."
Je demande alors le numéro de téléphone à ma cible, discute 5 mn puis Wing récupère à son tour le numéro de sa cible et on sort.

SMS game 2 jours plus tard.

Mr G 22:08 : Salut L, Ektor (le roi des castors) et moi discutions de notre prochain périple au Kilimanjaro. On cherche une assistance médicale et j’ai pensé à toi. Mais aimes tu l’aventure ?

L, 5 mn plus tard : Certainement moi jouer role de jane dans une autre vie d ou mon amour les animeaux et les hommes sauvages! Mais un simple éleveur de Castor qui de plus sapel Ektor est il assé sauvage pour ke jane se deplace?

Mr G, 10 mn plus tard : Bien ! Content de voir que tu aimes les animaux. Tu marques un point. Par contre, à partir du moment ou tu acceptes de partager cette aventure, pas de retour en arrière. Les pentes enneigées du Kilimanjaro ne sont pas pour les poules mouillées Tu tiens la route ?

L, 30mn plus tard : Je tien la route maintenant à toi de voir si tu supportera une nana avec un mauvais caractère, tetu et assé... chiante, pendant tou ce periple ?

L 5 mn après : Ca yé explorateur c couché ! courageu mai pa tré temeraire l eleveur de castor.

Lendemain soir (21) :
L : Salut jespere ne pas te deranger, alors le kilimanjaro ca en est ou? Toujours partant? Ta trouvé une autre partenaire peut etre? Enfin c est domage je m y voyais deja!

Mr G : Pas dispo pour te répondre présentement. Mais tu as encore tes chances pour la place. Bises

L : Oki msieur, fais moi signe quand tes dispo prochainement alors!

Samedi (25) à midi, j'appel pour lui proposer une ballade dans les calanques. Je tombe sur la boite vocale et lui laisse un message.
Elle me rappel quelques heures plus tard et décline l'invitation.

Mais SMS dans l'après midi :
L : Coucou, désolé pour demain ca m aurai plu de venir mai la je peu vraiment pas! Ce n est que parti remise. En tout cas ca ma fai plaisir que tu pense à moi... A bientot bisous

Jeudi 30 :
L : Coucou, j'espere que tes castors vont bien vu le temps ils doivent avoir un gros rhume! Mais est ce que tu pourrais les laisser seuls samedi soir pour qu'on puisse aller boire un verre et peut etre meme manger ensemble! Je te laisse en parler avec eux. Bises

Mr G : Salut. Très bonne idée, mais j'ai déjà qqchose de prévu. Aimes tu le cinéma ? Dimanche AM ? Bises. Pensées.

l : Pourquoi pas, on s apel samedi soir après le boulot pour s aranger. bises.

Je sens que si j'attends le samedi soir pour téléphoner, c'est prendre un risque. J'appel donc après son dernier SMS et reprécise le rendez vous du dimanche.

Après discussion avec un ami, je change le cinéma par un pot. Je la rappel samedi après midi.

Dimanche 2 novembre :
Arrivé à 15h chez elle pour la récupérer (elle n'a pas de voiture). Direction Cassis.

Café-terrasse au port de Cassis durant 2 heures.
je la fait parler sur elle, ses voyages, ses passions, ses envies. Je parle aussi de mes voyages, mes passions, mes envies.
Au moment de partir, déluge sur Cassis, les rues ne sont que torents. Impossible de marcher sur les quais du vieux port au risque de se faire embarquer dans la mer
Je nous fais passer par les petites ruelles que je connais, mais impossible d'éviter le torrent.
Elle propose de marcher dans l'eau pour passer, mais je décide d'enlever mes chaussures et chaussettes pour éviter de me mouiller. Elle fera de même.

Mr G : On s'est vu à peine quelques heure et tu commence déjà à te déshabiller ?
l :

On remet nos chaussures et on continue à marcher. Mais on se retrouve à nouveau devant un torrent. On passe mais sans enlever les chaussures, pensant qu'il y avait moins d'eau... eh non, pas moins d'eau
On récupère la voiture, remontons chez elle. Je lui fait le test SALAPA sur le chemin.

Arrivé chez elle, je demande un sèche cheveux pour mes chaussures et mon jean.
Nous continuons la discussion avec le vrombissement de l'appareil.

Au bout d'une heure de discussion :
Mr G : j'ai lu dans un journal féminin l'histoire d'une femme qui avait éprouvée plus de plaisir à étreindre son amoureux pendant toute une nuit, qu'à lui faire l'amour. Tu en penses quoi ?

L : Parce qu'une femme sait qu'après l'amour, il n'y aura plus rien, alors qu'après le baisé, il y aura le rapport physique. Un baisé laisse plus de place au fantasme.

Mr G : Et toi, tu préfère étreindre ? D'ailleurs, qu'elle note te donnerais tu niveau bisous ?

L : Je ne sais pas, il faudrait demander à tous les hommes qui m'ont embrassé.

Mr G : OK, donne la liste. Dois je sortir un petit feuillet ou un cahier entier ?

L : Tu n'es pas un peu fou ?

Mr G : Assis toi.
Je commence alors à lui raconter l'ascension du Kilimanjaro. Et la projeter comme actrice de cette ascension.
On part et nous sommes encore au niveau de la plaine. On sent la chaleur. Que sens tu ?
L : L'odeur des épices.
Mr G : on monte, on sent nos muscles commencer à chauffer. On entend le bruit des animaux, du vent.
On commence à arriver au niveau des première neige. Que fais tu ?
L : Je m'assoie, je commence à fatiguer et à avoir faim.
Mr G : Bien. on manque quoi.
L : Des sandwiches...
Mr G : OK, on repars maintenant. Sens tu le froid commencer à nous entourer ?
L : Oui, je sort la doudoune.
Mr G : Nos pas s'enfonce de plus en plus dans la neige, on sens notre transpiration. On s'arrête, on regarde vers le haut, vers le sommet.
L : Oui, c'est beau.
Mr G : Regardes derrière toi.
L : Et alors ?
Mr G : Regarde la plaine au loin.
L : Oui, je la voie.
Mr G : Maintenant on repard. On arrive sur le dernier tronçon. Que ressens tu ?
L : Je suis fatiguée, j'ai froid mais ça vaut le coup d'être là.
Mr G : Bien, on se repose. Je veux que l'on fasse les derniers mètres en profitant de chaque instant. On dois se préparer à la phase final, c'est important.
L : OK
Mr G : Allez, on repars. Regarde ces derniers mètres, après ce dernier effort on atteint le but. Ca y est, on est sur le sommet. Que ressent tu ?
L : C'est magnifique, c'est tout blanc de neige.
Mr G : Fait un 360° à présent et profites du panorama.
L : C'est génial, j'ai l'impression d'y être.
Mr G : Tu y es, et tu mérite une récompense.... KCLOSE !

Bon, je ne suis pas allé plus loin, fille trop insipide. Vous allez certainement penser que je fais mon difficile. C'est ce que je pense, mais j'aime pas me forcer pour du sexe. Une limite à faire tomber... ou pas

Un autre cas :
Prénom : N.
Profession : Esthéticienne
Age : 35 ans ?
Physique : 7/10

N. est l’esthéticienne qui s’occupe de mes épilations du dos.
Connotation de la sarge très playful. Fille très souriante et agréable.

Je me DHV en montrant que je connais bien le coiffeur chez qui elle loue ses locaux. Ce qui est aussi une occasion de la rassurer, je ne suis pas un étranger.

Je passe samedi 8 novembre à son institut pour prendre mon 3ième rendez vous.

M : Je souhaite prendre une rendez vous, mais uniquement professionnel :-)
N : Euh, oui bien sur.

(...)
Au bout d'un moment elle me regarde fixement, avec un énorme sourire.

M : Arrête de me regarder comme ça, j’ai l’impression que tu vas me dévorer
N : (Rougit)

Lors de la séance d’épilation du vendredi 14 novembre.

M : Regarde ma main, tu vois cette brûlure ? C’est le poulet rôti que j’ai fait mardi dernier.
N : Ouah, tu sais cuisiner ?
M : Non, pas vraiment. Je ne fais que des poulets. Et toi, tu aimes cuisiner ?
N : J’ai pas vraiment le temps en semaine, mais j’apprecie.
M : Qu’apprécie tu comme recettes ?
N : Aubergine gratinées, Moussaka...
M : J’ai toujours raté mes Moussaka. Tu m’apprends ?
N : Oui, avec plaisir. Mais pour bien faire, il faudrait que tu fasses, et que je sois à côté pour t’expliquer.

Petit fulf sur la pédagogie.

M : Samedi prochain pour la formation ?
N : OK, et j’amène le vin.

Tiens, c'est elle qui propose direct le lieu, chez moi. C'est bon ça

M : OK, donne moi ton numéro de téléphone pour que l’on organise cela.
N : 06 .. ..

un, peu plus tard, elle me caresse la main pour étaler de la Biafine sur ma brulure.

M : C'est super agréable comme tu me masse, j'ai l'impression que tu y prends du plaisir.
N : Ne me dis pas ça, je ne vais plus oser te toucher.
M : Tu deviens toute rouge
N : Euh, oui. J'ai même des bouffées de chaleur ici (touchant le haut de son torse)

Tiens, j'aurais du l'embrasser à ce moment là

SMS une heure après

M : Je me rends compte que je n’ai pas payé en partant. Qu’avait on en tête ? Bise. Mr G
N : Ca va te revenir chère cette histoire puisqu’il va falloir additionner la formation Moussaka !!! Te fais pas de soucis, j’étais autant perturbée que toi, biz, N.

A suivre...
Mister G

Bien partis avec l'esthéticienne!



Je te souhaite bonne chance

Echange de SMS pour prendre rendez vous le jeudi 27 novembre.

Rencontre du jeudi :
On se retrouve à 19h30 à l’intérieur du Casino de Carry. Le lieux me semble idéal pour une première rencontre. C’est animé, select, anonyme.
Je la fait parler de ce qui l’a amené à faire ce travail. Elle me raconte sa vie, factuellement.

M : C’est étonnant pour une fille, il y a peu d’émotion dans ton récit !

Elle parle ensuite de sa passion : La danse.

N : Je parle beaucoup, mais toi ?

Je me raconte, mon enfance et mon adolescence sage. Puis les études et son mode de vie festif. Mon amour de la mer, le bonheur que cela me procure.

Je lance les sujets, démarre la conversation. Elle saisie régulièrement au bond les sujets et me parle longuement d’elle. Je lui montre mon intérêt tout en la taquinant.
Deux heures passent, on est assis 3/4 de côté, nos pieds et nos genoux se touchent régulièrement, je prends souvent ses mains, de plus en plus longtemps, laisse parfois ma main sur ses cuisses. Et parfois, je me recule dans mon siège et me désengage d’elle.

Test du SALAPA.

M : Tu es douce, tendre et ... cochonne.

Elle s’étouffe, rigole et me tapote.

N : Moi aussi je vais te faire le test... euh... mais non, tu vas orienter tes réponses. Ce n’est pas juste.

Je m’approche d’elle et KISSCLOSE.

J'ai senti qu'il y avait un moment idéal pour le faire. Elle était déstabilisée par mon affirmation. Cela a créé une sorte de tension sexuelle, une surprise et une envie.

La suite est une montée de kinotage, de plus en plus sensuel. Finira dehors contre sa voiture. Mais elle dois récupérer ses enfants chez une amie et est déjà en retard. Rendez vous pris le WE du 6 décembre.

M : L’avantage d’un bavard comme moi, c’est que ma langue est musclée et endurante.
N : je suis impatiente.

Depuis le rendez vous au Casino, impossible d’organiser un deuxième rendez vous. Elle est en surcharge de travail sur la fin de l’année. Même mes épilations sont faîtes par sa collaboratrice. On arrive à se croiser un peu dans son salon. Elle est à chaque fois très contente de me voir.
Finalement, on arrive à organiser un restaurant vendredi 30 janvier. Rendez vous à 20h devant le Casino de Carry.

20h30, elle m’appelle pour me dire qu’elle sera en retard à cause de sa fille qu’elle a du aller récupérer.

M : Je sais pas si je vais rester. Autant de retard, j’allais partir rejoindre des potes sur Aix.
E : Sérieux, tu m’attends pas ?
M : Bon, OK. Mais il va falloir que tu te fasse pardonner ;-).

Elle arrive. On se retrouve au Casino.
J’avais pris une Pina Colada pour l’attendre. Au bout de 5 mn :

M : C’est bizarre, avant que tu arrives, toutes les serveuses passaient devant moi. J’ai pas attendu très longtemps pour commander mon verre.
E : Ca m’arrive souvent. Je sais pas pourquoi mais les serveuses sont pas sympa avec moi.

Je sens du LSE de sa part. Je la taquinerais souvent pendant la soirée à cause de son retard, mais avec retenu et avec humour. Je la place sur le fil du rasoir. Entre les negs et les compliments sur sa tenue, le fait qu’elle m’excite terriblement.

Restaurant.
Plateau de fruits de mer. Plein d’huitres et de coquillages. Un bon Baudin, blanc de Cassis. De l’aphrodisiaque.

Plusieurs tests arrivent :

E : Comment se fait il qu’un mec aussi beau que toi, intelligent et confortable soit célibataire. A notre époque, je vois tellement de chose que cela me parait bizarre. Deux de mes clientes qui sont amies sortent avec le même mec. Elles le savent mais croient chacune que l’autre ne le sait pas.

Je lui explique succinctement ma relation de 3 ans et demi qui s’est terminée l’été dernier.
Suite à mes interrogations et mon inconfort vis à vis du game que j’ai eu fin 2008, je décide la carte de l’honnêteté. Je ne suis pas prêt à mentir sur mes intentions. Je ne souhaite pas raser les murs lorsque je croiserais mes ex.

M : Je vis aujourd’hui en profitant, sans me poser de question. Je suis avec toi ce soir car j’en ai envie. Je ne me projète pas. Je verrais au fur et à mesure. Se cela se passe bien entre nous, tant mieux, sinon, on aura passé de bon moments.

E : Qu’est qui t’a plus en moi ? C’est facile de comprendre ce qui est séduisant en toi, mais pour moi ?

C’est clair que je suis le prix.
Dans son esprit : il est normal que je plaise. Mais pourquoi moi je m’intéresse à elle. Un si beau mec, et elle une fille qui se pensent moyenne.

M : La première fois que je t’ai vu, j’ai ressenti quelque chose. J’y ai un peu réfléchit : tu es très séduisante, j’adore ton rire et ... tu m’excites terriblement.

Elle rebondit, essaye de pousser l’analyse.

M : Il faut savoir ne pas trop chercher à analyser. Cela tue la séduction. Laissons vivre.

Story telling sur mon accident en mer. De l’émotion, des références aux sens. Elle accroche bien.
Je sexue régulièrement ma conversation.

M : Tu es patronne, tu dois te battre dans tes affaires. Fini les femmes soumises et dépendantes. En même temps, tu as la maturité pour assumer d’avoir du plaisir en étant par moment soumise sexuellement.

Elle rentre dans le sujet sans retenue.

Dessert.
Elle n’a plus faim.

M : On prend un fondant à deux ?

Trouvez moi une femme qui refuserait un fondant au chocolat ?

M : Et après, je t’amène chez moi goûter mon expresso Segafredo.
E : ... Avec plaisir.

J’avais choisi une stratégie, un fil rouge.
Je sexue souvent, mais je garde dans mon esprit que nous sommes deux bon amis qui passons une bonne soirée.
Cela transpire dans mes propos et mes negs.
Elle doutent parfois (rarement) de mes intentions.
Je créé une situation :
- Je ne suis pas un mord de faim sexuel. Je suis épicurien, j’aime le bon vin, la bonne bouffe et les belles femmes, elle en particulier.
- C’est elle qui est excitée et qui espère sur la suite de la soirée.
Petite visite très rapide de mon chez moi, je lance les expressos et... déshabillage du haut sur le canapé. Puis déshabillage du bas dans ma chambre.
CouilleClose en règle. Du bonheur. Une femme, une vraie. Pas une fille.