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Vendredi ou le vit sauvage

Posté : 15.09.08
par Blusher
Depuis que j’ai repris mes études, mes week-ends à Amsterdam sont devenus plus décadents et survoltés que jamais. J’arrive généralement dans la capitale sur le coup de 9 heures du soir, je prends une douche rapide et je file aussitôt sur le Field. Pas de temps mort, pas de répit.
La vie nocturne est un grand buffet à volonté où je compte bien dévorer toutes les petites bonnasses qui croisent mon chemin.
Mon seul problème est un problème de riche : comment continuer à voir mes F-Friends et le cas échéant mes choppes du week-end précédent quand je ne dispose que de 48 heures ? D’habitude, je fixe mes dates pendant la semaine pour libérer au moins le vendredi et/ou le samedi pour voir mes amis et chasser de nouvelles jolies blondes. A présent je dois caser tout ça entre le vendredi soir et le dimanche après-midi. Chaud, chaud.

Vendredi : petite soirée de la lose qui finit bien

Le vendredi soir tant attendu ne se présente pas sous les meilleurs auspices : mon wing préféré couve une bonne crève et les deux premiers Martinis auront raison de lui. Nos premières approches sont un peu faibles et nous peinons à hooker des sets de demi-moches.

En ce qui me concerne, le niveau d’énergie s’élève sensiblement néanmoins et je ne me laisse pas envahir par le doute.

Mon wing me laisse en plan et je me retrouve en solo. Ca tombe bien, c’est ce que je fais le mieux.

Tant qu’à sortir seul autant sortir dans un endroit où la musique est bonne, forte et où les gens dansent, boivent et circulent.
Surtout après un départ mitigé, la perspective d’aller ouvrir des sets de quatre greluches assises ne m’excite guère. La file d’attente devant le Paradiso me rebute et j’opte pour le Melkweg, un des plus grands clubs d’Amsterdam.

Si vous venez à Amsterdam un vendredi soir, ne cherchez pas ailleurs: de la petite bombe par douzaine et un DJ qui tue. C’est parti !

Melkweg (Part I)

Si je devais donner un seul conseil pour draguer en boîte, ce serait de rester en mouvement et de ne jamais laisser descendre votre niveau d’énergie. Ne restez jamais comme un gland avec un verre à la main. Abordez sans attendre, quitte à ne faire qu’un petit open à gauche à droite, un petit compliment, un neg sans nécessairement chercher à hooker tout de suite.

Cindy
Je saute sur le dancefloor et danse trente secondes avant de capter un EC de toute beauté. Une petite Milf blonde avec de tout petits seins pointus sous un top léger. Pourquoi remettre ça à plus tard ? Je file vers elle et me place légèrement de côté au moment de l’opener pour l’amener à se tourner vers moi et surtout à se détourner un instant de sa copine. Les cockblocks devront attendre, je ne suis pas d’humeur ce soir.

Je pose ma main sur son épaule.
Ses yeux plongent dans les miens. J’ouvre la bouche...
Merde, je n’ai toujours pas d’opener. Pas grave.

Au moment où je vais dire la première chose qui passe par la tête, elle me prend la main. Comme ça tendrement, comme si on se connaissait déjà. Quand les yeux et les corps ont déjà commencé à ‘parler’ de manière aussi éloquente, le plus sûr moyen de tout gâcher serait justement de parler.
Less is more.
Je me contente donc de lui glisser une petite phrase avant de partir.
- You’re lovely…
L’eye-contact n’en finit plus, on se croirait dans une comédie romantique au moment des adieux. Enfin avec un dialoguiste albanais parce que ni moi ni elle n'atteignons des sommets d'éloquence.

Elle garde ma main dans la sienne.
- You too, you're lovely
- What’s your name ?
- Cindy and you ?
- Blusher…
OK … soit je la k-close là tout de suite, soit je change d’horizon pendant un petit quart d’heure parce que je ne vois pas trop de juste milieu après un tel début d’interraction. J’opte pour un petit aller simple pour le bar avant de changer de salle.

NOTE:
Mettez toujours à profit ces moments où vous traversez la foule pour aller aux chiottes, au bar ou ailleurs. Quand vous êtes en mouvement, vous êtes moins needy, vous choppez dix fois plus d’EC, vous touchez des corps, des culs, des épaules pour vous frayer un passage. Ces moments sont absolument cruciaux et 90% de mes succès en boîte en résultent directement.

Dans le cas présent, c’est une brune aux yeux clairs qui danse sur une marche. Elle s’écarte un peu sur mon passage et pose sa main sur mon bras pour m’aider à me frayer un chemin. C’est une fraction de seconde, un détail dont l’interprétation est éminemment subjective, mais voilà : il m’a semblé qu’elle a touché mon bras un tout petit peu plus longtemps que nécessaire. Je me retourne donc et la surprend en train de me signaler à sa copine.

C’est tellement bon de les griller en train de mater parfois…
Je n’ai pas tellement envie de signaler tout de suite trop d’intérêt mais il y a un coup à jouer là.
- What’s your name ?
- Louise, and you ?
- Blusher.
Une fois n’est pas coutume, je me casse immédiatement et prend la direction du bar d’un pas décidé.

Pour mémoire, j'ai recroisée la jolie Louise un peu plus tard dans la nuit et ca a donné un petit délire théâtral assez drôle:
- Louise, tu vas encore me tripoter les bras comme la dernière fois?
- Oh non désolée! C'est juste que j'ai posé ma main sur ton bras et tu es tellement fort et musclé!
- Et toi sensuelle et douce à la fois...
- Oh non c'en est trop!
- Va! La passion nous ferait trop de mal!

Je remarque un petit coin de dancefloor avec un peu plus d’espace qu’à l’accoutumée. La quête d’espace aux Pays-Bas n’est pas un vain mot, c’est une réalité concrète et quotidienne. Dans un club, ca signifie que vous avez souvent juste assez de place pour vos pieds et qu’à chaque geste un peu extravagant vous risquez d’envoyer un uppercut à votre voisin.

Donc quand je trouve un peu d’espace, j’en profite.

Une MILF ou deux petites blondes: lourd dilemme
Me voilà donc arborant un grand sourire en train de danser de manière volontairement excessive. Et ça marche. Une milf brune vient danser à côté de moi puis avec moi. Un petit top noir qui révèle une poitrine appétissante, un sourire ultra-brite et des yeux bleus à vous faire oublier votre prénom auraient dû suffire à me décider mais deux filles pourtant bien plus communes ont attiré mon attention.

Sur le podium, deux blondes agitent les bras avec un petit air de se foutre de moi qui n’est pas pour me déplaire.
Je mime leurs mouvements et en invente d’autres plus absurdes encore qu’elles s’empressent d’imiter à leur tour. Si je portais un t-shirt jaune et les cheveux longs, je me ferais facilement passer pour Brice de Nice. Deux minutes de ce petit manège et je me décide à laisser en plan la brune pour aller voir les deux danseuses. J’aborde celle qui porte un haut bleu, moins jolie mais j’aime bien le bleu et sa copine aurait besoin d’un brushing.
- So you wanna play ?
- Sure
- Good !
Et comme si on ne s’était pas parler, je me retourne et recommence à danser en face de la Milf.
Les deux danseuses continuent à imiter mes mouvements. La brune se marre.

La fille en bleu me prend par l’épaule.
- Where are you from ?
- Paris …blablabla … I live in Amsterdam
- Oh! For how long?
- 5 years… blablabla
- So you speak Dutch?
- Een kleine beetje
Si je touchais un euro à chaque fois que j’ai cette conversation j’habiterais dans une villa d’une vingtaine de pièces avec une piscine de la taille d'un terrain de foot.
- Why do you keep putting your hand in front of your mouth ?
- My friend cooked something with garlic tonight, not such a good idea when you go out…
- Maybe she wanted to keep the cute French guys for herself
- She has a boyfriend…
- Sounds like YOU want to keep the cute French guys for yourself
Ce à quoi elle répond par une petite tape sur l’épaule. Le genre de kino qui annonce explicitement un niveau d’intérêt en hausse. C'est léger, c'est playful, c'es mignon, ca m'excite.

Je l’emmène dehors pour fumer une clope. Au retour, elle croise sa copine et son boyfriend et m’invite à les accompagner dans un autre club.

Le retour de Cindy
Pendant que j’attends devant que tout ce petit monde récupère ses affaires au vestiaire je recroise Cindy. Elle est toujours aussi lovely et je n’ai toujours rien à lui dire. Pas très grave dans ces circonstances légérement alcoolisées.
- Cindy!
- Oh…Blusher!
Re-belotte, elle me reprend la main. A croire qu’elle ne peut pas parler à quelqu’un sans lui prendre la paluche. Etrange mais je décide d’y voir un signe d’intérêt.
- I am leaving now but I’d love to see you again
- Yeah, that would be nice.
- Good
- I will give you my phone number.
Et elle tend la main en attendant que je lui mette mon téléphone dans la main.

Des numclose comme ça, j’en veux tous les jours.

Elle enregistre son numéro, me rend mon téléphone et ajoute :
- But I have a boyfriend…
- Aah… Maybe it’s not a good idea then
- We could have lunch…
- We could.
Bordel, je savais que c’était trop facile.

Elle me voit appuyer sur ‘Annuler’ au lieu de ‘Sauvegarder’ et elle se hisse sur la pointe des pieds pour déposer un petit baiser sur mes lèvres avant de se sauver.

Ah, la coquine…

La fête de Joop
Je finis la nuit dans un bar hollandais typique avec les deux blondes.
Il serait difficile de vous décrire l'endroit. 100m2 tout au plus où s'entassent deux cents personnes, essentiellement des étudiants, pour s'enfiler des bières jusqu'au petit matin. Difficile de ne pas chopper dans un tel endroit, c'est un peu comme de p^cher à la dynamite si vous voyez ce que je veux dire.

Lotte, la célibataire, me montre un intérêt de plus en plus sensible. Elle me demande si tout va bien toutes les deux minutes, traduit les paroles des chansons hollandaises, me propose de me faire visiter la région à vélo, de m’apprendre un peu de hollandais, de venir dîner chez elle… Bref, un peu trop mais c’est gentil.

Un peu plus tard, son amie décide de rentrer et elle l’accompagne non sans me laisser son numéro et un petit k-close bâclé pour la forme.

A peine, est-elle sortie du bar que j’aborde la petite blonde qui m’avait jeté un petit regard une demi-heure plus tôt. Le souvenir de ma conversation avec elle s’est noyé dans le bruit et la fureur de cette fin de soirée bien arrosée. Je me souviens qu’elle s’appelle Alexandra, qu’elle est étudiante en médecine et qu’on s’est embrassé. Je la rappellerai demain et on verra ce qu’on peut en faire.

Au final, soirée brouillonne, décevante au vu des occasions que j'ai laissé en plan sur le dancefloor. Le point positif c'est que j'ai décidé une bonne fois pour toute que je préférais sortir en solo: plus d'énergie, plus de sets, un état d'esprit toujours au beau fixe et par conséquent, plus de résultats.

Re: Vendredi ou le vit sauvage

Posté : 17.09.08
par Jibril
Brouillonne la soirée, peut être, mais ce que c'est bon de relire tes FRs après 3 ans.
Les MILFs qui me touchent en me parlant j'ai jamais aimé, ça fait voyante de foire
Ce qui me marque, c'est que pour Blusher, le dancefloor, c'est la surface de réparation d'un attaquant, tout se joue sur l'instant : il reçoit la balle, petit décalage et bam frappe !

Et puis les Pays-bas, des noms de lieux pourris et des belles blondes fines et roses sur Pjïckup Straat raah...

Re: Vendredi ou le vit sauvage

Posté : 10.11.13
par Onmyoji
Je voulais noter "intéressant"...
C'est effectivement un très bon FR qui sera source d'inspiration pour tous ceux qui font du NPU

Re: Vendredi ou le vit sauvage

Posté : 11.11.13
par Blusher
Outkast a écrit :Je voulais noter "intéressant"...
C'est effectivement un très bon FR qui sera source d'inspiration pour tous ceux qui font du NPU
C'est un acte manqué à cause de notre échange houleux sur un autre topic ? :blbl:

Re: Vendredi ou le vit sauvage

Posté : 11.11.13
par Onmyoji
Non, ça ça date d'hier;) J'ai commencé à répondre à l'autre topic aujourd'hui.
Mais je comprends que ça puisse paraitre douteux:)

Mais vraiment ce FR fait rêver. on voit que tu maitrises ton terrain, ton état, et tu gères bien les filles aussi (en faisant souvent des choses qui sont pas spontanées comme partir alors que tu as une ouverture en or ou que ça se passe bien - je me demande d'ailleurs si c'est stratégique ou juste l'envie du moment).

J'ai beau sortir depuis longtemps et être sorti pas mal de fois en solo, j'ai pas le souvenir de soirées solo qui se soient passées avec autant de naturel et de simplicité. C'est souvent dur de se lancer dans certains endroits confinés où la foule est statique et où l'on est facilement repéré (tes conseils sont bons, mais c'est dur parfois de les appliquer, toutes les villes n'ont pas les boites d'Amsterdam).
Comme on en parlait dans l'autre sujet sur les sorties, c'est vrai que même si on a pas peur du regard des autres, il est difficile d'en faire abstraction quand 9 personnes sur 10 vont avoir un regard plein d'a priori. On peut les surprendre et on y gagne, mais ça demande plus d'énergie, faut franchir un obstacle supplémentaire (en plus de "qui c'est ce mec là, encore un qui vient me draguer, est ce qu'il va être d'accord pour me payer un verre, j'espère qu'il n'est pas lourd, où est ma copine pendant ce temps, pourquoi il me demande ça, est ce que je dois rire parce que si je le fais il va croire que c'est parce qu'il me plait...", j'exagère à peine;))

Avec le recul de 5 ans, qu'est ce que tu ferais différemment maintenant?

Re: Vendredi ou le vit sauvage

Posté : 12.11.13
par Blusher
Mais vraiment ce FR fait rêver. on voit que tu maitrises ton terrain, ton état, et tu gères bien les filles aussi (en faisant souvent des choses qui sont pas spontanées comme partir alors que tu as une ouverture en or ou que ça se passe bien - je me demande d'ailleurs si c'est stratégique ou juste l'envie du moment).
L'envie d'être stratégique :)
Il y a des premiers contacts qui sont juste parfaits. J'aime bien garder ça sous le coude et revenir plus tard pour le seconde acte. surtout dans ces boîtes où on se recroise en général.
J'ai beau sortir depuis longtemps et être sorti pas mal de fois en solo, j'ai pas le souvenir de soirées solo qui se soient passées avec autant de naturel et de simplicité. C'est souvent dur de se lancer dans certains endroits confinés où la foule est statique et où l'on est facilement repéré (tes conseils sont bons, mais c'est dur parfois de les appliquer, toutes les villes n'ont pas les boites d'Amsterdam).
Tu parles d'être repéré comme si tu étais un pickpocket :)
C'est plus grave d'avoir l'air d'un mec qui ne veut pas être repéré que d'être repéré.

Les petites villes sont peut-être moins propices à la drague, c'est vrai. Mais de même que des gens déménagent pour leur carrière ou pour le climat, je ne saurais qu'encourager les célibataires hommes et femmes à aller vers des villes qui leur permettent de vivre une vie sociale et amoureuse plus riche que celle de leur patelin s'ils en ressentent l'envie.

Comme on en parlait dans l'autre sujet sur les sorties, c'est vrai que même si on a pas peur du regard des autres, il est difficile d'en faire abstraction quand 9 personnes sur 10 vont avoir un regard plein d'a priori.
Certainement les mêmes 9 personnes qui te regarderont avec envie quand tu seras en train d'emballer la plus jolie fille de la boîte.

[youtube][/youtube]

Et on est quand même loin de la scène à 2'08" dans cette vidéo:

[youtube][/youtube]
On peut les surprendre et on y gagne, mais ça demande plus d'énergie, faut franchir un obstacle supplémentaire (en plus de "qui c'est ce mec là, encore un qui vient me draguer, est ce qu'il va être d'accord pour me payer un verre, j'espère qu'il n'est pas lourd, où est ma copine pendant ce temps, pourquoi il me demande ça, est ce que je dois rire parce que si je le fais il va croire que c'est parce qu'il me plait...", j'exagère à peine;))
:shock: Oh lala... Tu t'imagines vraiment que les filles pensent tout ça quand tu vas leur parler? ça doit être super anxiogène.... Les filles sortent aussi pour rencontrer des mecs, non?

Aborder, cela ne demande pas de l'énergie, cela en file.
C'est de se prendre le chou qui coûte de l'énergie.
Avec le recul de 5 ans, qu'est ce que tu ferais différemment maintenant?
A la relecture, pas grand chose. C'était une soirée marrante. :wink:

Re: Vendredi ou le vit sauvage

Posté : 12.11.13
par Onmyoji
Blusher a écrit : L'envie d'être stratégique :)
Il y a des premiers contacts qui sont juste parfaits. J'aime bien garder ça sous le coude et revenir plus tard pour le seconde acte. surtout dans ces boîtes où on se recroise en général.
C'est pas faux. Mais il faut vraiment partir dans un esprit d'abondance et pas avoir "peur de rater une occasion". Surtout quand le contact est si parfait que tu peux te dire que ça se reproduira pas forcément de sitôt (sans parler vraiment de peur, se dire que ce serait dommage de le perdre)
Au début, ça doit demander un peu de discipline pour ne pas rester malgré tout.

Tu parles d'être repéré comme si tu étais un pickpocket :)
C'est plus grave d'avoir l'air d'un mec qui ne veut pas être repéré que d'être repéré.
Oui. Mais être repéré comme mec solo, dans certaines villes pas si petites (Bordeaux, par exemple) ça m'a déjà valu des regards outrés comme si j'étais un tueur en série.
Les petites villes sont peut-être moins propices à la drague, c'est vrai. Mais de même que des gens déménagent pour leur carrière ou pour le climat, je ne saurais qu'encourager les célibataires hommes et femmes à aller vers des villes qui leur permettent de vivre une vie sociale et amoureuse plus riche que celle de leur patelin s'ils en ressentent l'envie.
Oui, c'est ce que je fais maintenant, à l'époque j'avais pas trop le choix.

:shock: Oh lala... Tu t'imagines vraiment que les filles pensent tout ça quand tu vas leur parler? ça doit être super anxiogène.... Les filles sortent aussi pour rencontrer des mecs, non?
C'est de l'humour. J'ai eu droit quand même à quelques répliques comme ça des fois, ou des copines m'ont raconté des fois où elles se faisaient aborder et elles pensaient ce genre de choses.
Mais oui, certaines filles sortent aussi pour rencontrer des mecs (je dis certaines parce que j'en connais un petit nombre qui ne sont vraiment pas là pour se faire draguer ou se montrer, malgré leur ouverture d'esprit, elles ont du mal avec le NPU)
Aborder, cela ne demande pas de l'énergie, cela en file.
C'est de se prendre le chou qui coûte de l'énergie.
ça dépend de l'attitude en face. Si elle est négative, ça peut en bouffer.
Tu peux y aller avec le sourire, si tu ne récoltes que des mauvaises réactions ça n'aide pas (oui, parce que ça prend le chou, si tu veux. On ne devrait pas se laisser affecter par des gens négatifs mais c'est parfois difficile. Mais tu n'as pas dû connaitre de vraies soirées de loose où rien ne marche;))

Re: Vendredi ou le vit sauvage

Posté : 12.11.13
par Blusher
C'est pas faux. Mais il faut vraiment partir dans un esprit d'abondance et pas avoir "peur de rater une occasion". Surtout quand le contact est si parfait que tu peux te dire que ça se reproduira pas forcément de sitôt (sans parler vraiment de peur, se dire que ce serait dommage de le perdre)
Au début, ça doit demander un peu de discipline pour ne pas rester malgré tout.
La mentalité d'abondance est fondamentale en effet.

Quand à la discipline que cela requiert... c'est plutôt l'inverse : un déficit d'attention comparable à celui d'un môme qui aurait du mal à choisir entre deux animations dans un parc d'attractions. Tu me demandais ce qui a changé, maintenant ce serait peut-être ça je virevolte peut-être un peu moins. un peu seulement hein :)
Mais tu n'as pas dû connaitre de vraies soirées de loose où rien ne marche;))
Ben si comme tous le monde, certainement plus que les mecs qui ne sortent pas seuls de peur de passer une mauvaise soirée. Il faut voir que j'ai commencé à sortir solo à 17 ans. J'ai eu quelques soirées mémorables dès le début et j'ai choppé le virus. Mais j'ai aussi passé des bonne soirées lose. Cependant, avec l'expérience qu'on engrange, on finit par avoir de moins en moins de déchet. C'est l'intérêt de ne pas se décourager dès le début.

Re: Vendredi ou le vit sauvage

Posté : 12.11.13
par tibdeconne
Blusher a écrit : Ben si comme tous le monde, certainement plus que les mecs qui ne sortent pas seuls de peur de passer une mauvaise soirée. Il faut voir que j'ai commencé à sortir solo à 17 ans.
C'est là qu'on voit la différence entre ce jedi qu'est Blusher et nous, pauvres padawan :blbl:
Quand on se demandait encore comment choper notre première meuf, lui prenait les choses en main et se lançait dans l'aventure.

Re: Vendredi ou le vit sauvage

Posté : 03.01.14
par Camihot
Blusher a écrit :A la relecture, pas grand chose. C'était une soirée marrante. :wink:
Je viens a peine de le relire. C est ce qui est enorme.
Finalement il ce passe pas grand chose, mais j etais transporte dans l histoire