[J] Chronique de la lutte ordinaire
Posté : 08.02.09
Chronique de la lutte ordinaire
Cela fait longtemps que je voulais tenir un petit journal de mes expériences et de mes pensées misent en perspective avec quelques années de game. J'en ai un sur le LASURE mais ici je voudrais faire autre chose. Un truc moins factuel, plus sociétal ou je sais pas quoi.
Je ne sais pas combien de temps il durera. Sans doute quelques jours ou semaines, pas plus.
D'avance pardon pour le mauvais style et les fautes de conjugaisons, je n'ai vraiment pas les moyens actuelles d'y consacrer trop de temps.
Ce ne sera pas forcément politiquement correct. Mes excuses d'avances à ceux que je pourrais égratigner. Ce n'est pas le but, juste une conséquence d'exprimer ce que je pense.
Dernier point, je mets mes idées pèle-mèle. Il n'y a aucune structure et aucune suite dans les propos. Je dis juste ce que je pense sur le moment. Je fonctionne comme cela.
Chapitre un : Comment je suis devenu un bogosse.
Durant tous mon adolescence, et après d'ailleurs, je me pensais moche. Car je n'attirais pas les belles filles. Je suis attiré par les filles belles. Si je ne les attire pas c'est que je suis moche. CQFD.
Lorsque j'ai commencé le game, l'un des premiers trucs que j'ai compris est qu'il fallait faire attention à sa présentation. Tout en sachant que c'était un point du game mineur dans le sens où il peut se résoudre rapidement. Je trouve dans ce sens les Ws relooking ridicules De même pour les mecs qui passent des heures à poster leurs photos sur le forum « Look & Style de vie »
pour savoir si leur Diesel leur moule bien le cul. Ils cherchent à se rassurer. C'est bien. Mais il y a tellement plus important à faire dans le game...
Donc au début je suis allé voir un pote un peu homo, on est allé faire les boutiques ensemble une heure. Ce ne fut pas difficile de m'améliorer, j'étais habillé comme un sac avant.
Très rapidement j'ai trouvé ce qui me plaisait, mes goûts et dès les soldes suivant j'ai choisi mes fringues tout seul comme un grand.
Je ne vois pas comment un mec peu aspirer séduire de jolies filles si il n'est même suffisamment en confiance pour se faire son propre jugement sur comment se fringuer, sur ce qui lui va.
Idem pour la coiffure. J'ai des cheveux de femmes. Tout le monde me dit que j'ai de beaux cheveux sauf qu'il sont incoiffables.
J'ai remarqué un truc avec les fringues. Plus elles sont excentrique ou classe, bref plus elles dénotent par rapport à l'idée qu'on se fait de nous plus il est difficile de les porter. Le truc est d'arriver à se faire une vision de nous même où on se trouve naturel dedans. Là encore, critique de WS relooking : Un mec qui a une confiance en lui disons de 3/10 ne peut pas s'habiller d'une manière trop différente de comment il se fringue ordinairement. Il aura l'air ridicule par manque de congurance. Donc lorsque je vois des mecs qui n'osent pas regarder une 6 dans les yeux de l'autre coté de la boite de nuit et qui s'habillent comme de macs Italiens j'ai un peu de la peine pour eux. Je doute qu'ils y arrivent.
Lorsque j'ai commencé à bien me fringué j'y suis allé doucement. A l'époque j'aurais été bien incapable de porter ce que je porte maintenant (et je suis loin de porter des vêtements trop fashion). C'est juste qu'il me semble qu'il faille une congruence entre ce que l'on porte et comment on se représente soit même. Sinon le décalage est trop grand, ne serais-ce qu'au niveau du BL.
Pour en revenir aux cheveux, j'ai toujours voulu les avoir mi-long. Je pense que j'ai toujours sentie que c'est cela qui m'allait le mieux.
Au bout de trois ans à tenter des coupes différentes, j'ai enfin trouvé quelque chose qui me va bien. Mais c'est des conneries. Je n'ai pas une meilleurs coupe qu'il y a deux ans. C'est juste que maintenant que j'ai les cheveux un peu long, donc souvent décoiffés, et que je l'accepte. Ce avec quoi j'avais beaucoup de mal avant.
C'est dire qu'il m'aura fallu des années pour accepter le fait que je plaisais suffisamment, que j'étais suffisamment bien, pour qu'avoir les cheveux parfois complètement décoiffés était bien pour moi.
Bref, maintenant je suis congruent avec ma coupe.
Vous vous en foutez de mes cheveux mais c'était pour prendre un exemple.
J'ai de la chance. Je suis plutôt pas mal. Maintenant. Peut-être que je l'étais avant. Mais je ne le savais pas.
Pour les filles c'est bien, très bien même. Sauf que c'est incolore. Je ne m'en rends compte que par la réflexion. Par ce que tel fille après l'avoir baisé une seconde me dit que cela valait tout de même le coup, par ce que mes vielles tantes me le disent, par ce que tout à l'heure encore le serveur de la boite m'a dragué, par ce que je me suis fais branché par un bi adolescent en fumant une clope dans la rue... Les désavantages des cheveux longs ! Tous les homos vous dragues.
Mais, ce que je ne comprends pas, enfin si je le comprends mais je trouve cela con est qu'on ne le nous disent pas. J'ai pas mal de potes qui sont franchement bien. Et il ne le savent pas. Ils ne s'en rendent pas compte. Comme, lors de la phase de séduction c'est à l'homme de tout faire (ok, je sais les femmes sont sensées avoir un rôle, mais j'attends encore de voir une 7 me balancer autre choses que des shits-tests comme comportement de séduction avant le fclose...) une femme ne va jamais lancer de compliments là dessus. Ou alors c'est que je montrer une trop grande confiance en moi. C'est vrai que je ne reçois jamais un compliment directes sur mon physique de la part d'une fille que je drague. En fait je ne reçois un compliment direct. Les seuls compliments que je reçois est leur rires et qu'elles disent oui à tout ce que je propose.
Bref un mecs, un mec on ne va jamais lui dire qu'il est bien physiquement et c'est du gâchis de confiance en soi.
Donc maintenant j'essaye de dire aux mecs que je côtoie qu'ils présentent bien. Exercice assez difficile pour l'espèce masculine.
Et donc être beau c'est bien ?
Oui. Surtout à l'open et pour pousser au plan cul lorsqu'elles voudraient autre chose.
Chapitre deux : Embrasser la fille.
J'aime bien embrasser la fille et ressentir un vrai moment de jouissance. Genre « là j'ai été bon ». On peut trouver cela minable de penser à ce genre de chose en embrassant la fille. D'ailleurs ce n'est pas vraiment mon cas. Lorsque je me retrouve en tête à tête avec une femme je ne pense jamais game. D'ailleurs je ne pense jamais game lorsque je suis entrain de draguer. Les seuls moments où je pense game avec une fille est un peu après l'open histoire de voir comment gérer son groupe et toutes les contingences autour (mes amis, ses amis, le bruit, l'heure de fermetur du lieu, son niveau d'intérêt...)
J'aime bien embrasser les filles en les sentant s'abandonner. Elles veulent résister car je les énerve avec mon coté trop sur de moi mais elles « succombent »t tout de même. Donc je me sens obligé, au moment du kclose d'en rajouter dans le machisme. Pour créer du challenge. Pour elles c'est un moment fort, embrasser un type qu'elles connaissent depuis très peu d'heures seulement (bien que la plus part du temps cela s'étale sur une semaine). Sauf que pour moi c'est la xème filles que j'embrasse dans mon appartement ou en sortant du café place Richelme.
Quelques exemples :
Avec une qui faisait ma taille (environ 1 mètre 85), on se retrouve dans une petite rue, je m'approche d'elle. Je sens un blocage de ma part. Je n'ai pas l'habitude d'embrasser sans baisser la tête. Je la prends pas les épaules, la pousse vers le caniveau. « excuse moi mais tu est trop grande ». Elle se laisse faire et je l'embrasse.
Lundi dernier j'étais en date avec une fille, on sort du café et je lui propose de la raccompagner. Sur le chemin elle se met à marcher quelques centimètres devant moi. Manifestement elle n'aimait pas la petite ruelle que je lui avais fait emprunter. Elle avait son sac en bandoulière. Je le lui tire par le dos, la faisant se retourner et je l'embrasse.
Il y a deux mois, avec une ravissante et minuscule fille rencontré le soir même par des amis communs. Je me retrouve devant chez elle. On discute, je plaisante beaucoup sur sa taille de naine.
Je m'approche d'elle, lui fais le vieux coup de la bague prétexte pour lui prendre la main (j'ai beaucoup de mal à faire du kino naturellement).
M : (sur un ton neuneu en lui prenant la main) Tu as une jolie bague !
Je rapproche ma tête de la sienne. Fais un brusque mouvement en arrière.
M : Non, désolé tu es trop petite.
E : Quoi !
« Monte sur la marche », en lui désignant un petit surplomb d'une borne EDF. Elle s'offusque mais me suit. Je la met sur la marche et l'embrasse.
Bon, pour être honnête sur le coup je me suis pris un vent mais une semaine plus tard on couchait ensemble. On venait juste de se rencontrer et elle m'avait vu draguer une autre fille un peu avant.
Beaucoup de lecteurs bien pensant vont considérer que cela peut être irrespectueux pour les femmes ou que j'embrasse des carpettes sans personnalités, inintéressantes et moches.
Un dernier exemple. J'embrasse le plus tard possible la fille. Pourquoi ? Car cela fait monter la tension, leur montre qu'on est pas insecure ou mort de faim à vouloir s'assurer qu'on leur plait. En contre partie, gentiment, elles vont avoir tendance à écarter les cuisses beaucoup plus rapidement.
Ce n'est vraiment pas un drame d'embrasser la fille trop rapidement. Le seul risque est de les gêner de nous rembarrer alors qu'elles ont envie de sortir avec nous et donc de compliquer la situation si on gère mal le rejet et qu'elles le ressentent.
Mais je retarde le moment d'embrasser. La plus part du temps je le fais à la troisième date, lorsque je les ai inviter chez moi à dîner. Après le repas histoire de vraiment faire monter la tension.
Ainsi elles voient que je ne suis pas pressé, que j'ai confiance en mes capacités de séduction et quasiment tout le temps, cela permet d'arriver à des situations beaucoup plus intéressantes horizontalement.
Le problème lorsqu'on embrasse la fille trop vite, même si elle se laisse faire, est qu'on montrer ses cartes trop rapidement et donc elle prends le dessus. C'est nous qui agissons, elles ne font que répondre. Autant leur donner de quoi douter.
Le but est de les pénétrer en bas, pas dans la bouche.
Chapitre trois : Misognynie mis à part
Cela fait longtemps que je voulais tenir un petit journal de mes expériences et de mes pensées misent en perspective avec quelques années de game. J'en ai un sur le LASURE mais ici je voudrais faire autre chose. Un truc moins factuel, plus sociétal ou je sais pas quoi.
Je ne sais pas combien de temps il durera. Sans doute quelques jours ou semaines, pas plus.
D'avance pardon pour le mauvais style et les fautes de conjugaisons, je n'ai vraiment pas les moyens actuelles d'y consacrer trop de temps.
Ce ne sera pas forcément politiquement correct. Mes excuses d'avances à ceux que je pourrais égratigner. Ce n'est pas le but, juste une conséquence d'exprimer ce que je pense.
Dernier point, je mets mes idées pèle-mèle. Il n'y a aucune structure et aucune suite dans les propos. Je dis juste ce que je pense sur le moment. Je fonctionne comme cela.
Chapitre un : Comment je suis devenu un bogosse.
Durant tous mon adolescence, et après d'ailleurs, je me pensais moche. Car je n'attirais pas les belles filles. Je suis attiré par les filles belles. Si je ne les attire pas c'est que je suis moche. CQFD.
Lorsque j'ai commencé le game, l'un des premiers trucs que j'ai compris est qu'il fallait faire attention à sa présentation. Tout en sachant que c'était un point du game mineur dans le sens où il peut se résoudre rapidement. Je trouve dans ce sens les Ws relooking ridicules De même pour les mecs qui passent des heures à poster leurs photos sur le forum « Look & Style de vie »
pour savoir si leur Diesel leur moule bien le cul. Ils cherchent à se rassurer. C'est bien. Mais il y a tellement plus important à faire dans le game...
Donc au début je suis allé voir un pote un peu homo, on est allé faire les boutiques ensemble une heure. Ce ne fut pas difficile de m'améliorer, j'étais habillé comme un sac avant.
Très rapidement j'ai trouvé ce qui me plaisait, mes goûts et dès les soldes suivant j'ai choisi mes fringues tout seul comme un grand.
Je ne vois pas comment un mec peu aspirer séduire de jolies filles si il n'est même suffisamment en confiance pour se faire son propre jugement sur comment se fringuer, sur ce qui lui va.
Idem pour la coiffure. J'ai des cheveux de femmes. Tout le monde me dit que j'ai de beaux cheveux sauf qu'il sont incoiffables.
J'ai remarqué un truc avec les fringues. Plus elles sont excentrique ou classe, bref plus elles dénotent par rapport à l'idée qu'on se fait de nous plus il est difficile de les porter. Le truc est d'arriver à se faire une vision de nous même où on se trouve naturel dedans. Là encore, critique de WS relooking : Un mec qui a une confiance en lui disons de 3/10 ne peut pas s'habiller d'une manière trop différente de comment il se fringue ordinairement. Il aura l'air ridicule par manque de congurance. Donc lorsque je vois des mecs qui n'osent pas regarder une 6 dans les yeux de l'autre coté de la boite de nuit et qui s'habillent comme de macs Italiens j'ai un peu de la peine pour eux. Je doute qu'ils y arrivent.
Lorsque j'ai commencé à bien me fringué j'y suis allé doucement. A l'époque j'aurais été bien incapable de porter ce que je porte maintenant (et je suis loin de porter des vêtements trop fashion). C'est juste qu'il me semble qu'il faille une congruence entre ce que l'on porte et comment on se représente soit même. Sinon le décalage est trop grand, ne serais-ce qu'au niveau du BL.
Pour en revenir aux cheveux, j'ai toujours voulu les avoir mi-long. Je pense que j'ai toujours sentie que c'est cela qui m'allait le mieux.
Au bout de trois ans à tenter des coupes différentes, j'ai enfin trouvé quelque chose qui me va bien. Mais c'est des conneries. Je n'ai pas une meilleurs coupe qu'il y a deux ans. C'est juste que maintenant que j'ai les cheveux un peu long, donc souvent décoiffés, et que je l'accepte. Ce avec quoi j'avais beaucoup de mal avant.
C'est dire qu'il m'aura fallu des années pour accepter le fait que je plaisais suffisamment, que j'étais suffisamment bien, pour qu'avoir les cheveux parfois complètement décoiffés était bien pour moi.
Bref, maintenant je suis congruent avec ma coupe.
Vous vous en foutez de mes cheveux mais c'était pour prendre un exemple.
J'ai de la chance. Je suis plutôt pas mal. Maintenant. Peut-être que je l'étais avant. Mais je ne le savais pas.
Pour les filles c'est bien, très bien même. Sauf que c'est incolore. Je ne m'en rends compte que par la réflexion. Par ce que tel fille après l'avoir baisé une seconde me dit que cela valait tout de même le coup, par ce que mes vielles tantes me le disent, par ce que tout à l'heure encore le serveur de la boite m'a dragué, par ce que je me suis fais branché par un bi adolescent en fumant une clope dans la rue... Les désavantages des cheveux longs ! Tous les homos vous dragues.
Mais, ce que je ne comprends pas, enfin si je le comprends mais je trouve cela con est qu'on ne le nous disent pas. J'ai pas mal de potes qui sont franchement bien. Et il ne le savent pas. Ils ne s'en rendent pas compte. Comme, lors de la phase de séduction c'est à l'homme de tout faire (ok, je sais les femmes sont sensées avoir un rôle, mais j'attends encore de voir une 7 me balancer autre choses que des shits-tests comme comportement de séduction avant le fclose...) une femme ne va jamais lancer de compliments là dessus. Ou alors c'est que je montrer une trop grande confiance en moi. C'est vrai que je ne reçois jamais un compliment directes sur mon physique de la part d'une fille que je drague. En fait je ne reçois un compliment direct. Les seuls compliments que je reçois est leur rires et qu'elles disent oui à tout ce que je propose.
Bref un mecs, un mec on ne va jamais lui dire qu'il est bien physiquement et c'est du gâchis de confiance en soi.
Donc maintenant j'essaye de dire aux mecs que je côtoie qu'ils présentent bien. Exercice assez difficile pour l'espèce masculine.
Et donc être beau c'est bien ?
Oui. Surtout à l'open et pour pousser au plan cul lorsqu'elles voudraient autre chose.
Chapitre deux : Embrasser la fille.
J'aime bien embrasser la fille et ressentir un vrai moment de jouissance. Genre « là j'ai été bon ». On peut trouver cela minable de penser à ce genre de chose en embrassant la fille. D'ailleurs ce n'est pas vraiment mon cas. Lorsque je me retrouve en tête à tête avec une femme je ne pense jamais game. D'ailleurs je ne pense jamais game lorsque je suis entrain de draguer. Les seuls moments où je pense game avec une fille est un peu après l'open histoire de voir comment gérer son groupe et toutes les contingences autour (mes amis, ses amis, le bruit, l'heure de fermetur du lieu, son niveau d'intérêt...)
J'aime bien embrasser les filles en les sentant s'abandonner. Elles veulent résister car je les énerve avec mon coté trop sur de moi mais elles « succombent »t tout de même. Donc je me sens obligé, au moment du kclose d'en rajouter dans le machisme. Pour créer du challenge. Pour elles c'est un moment fort, embrasser un type qu'elles connaissent depuis très peu d'heures seulement (bien que la plus part du temps cela s'étale sur une semaine). Sauf que pour moi c'est la xème filles que j'embrasse dans mon appartement ou en sortant du café place Richelme.
Quelques exemples :
Avec une qui faisait ma taille (environ 1 mètre 85), on se retrouve dans une petite rue, je m'approche d'elle. Je sens un blocage de ma part. Je n'ai pas l'habitude d'embrasser sans baisser la tête. Je la prends pas les épaules, la pousse vers le caniveau. « excuse moi mais tu est trop grande ». Elle se laisse faire et je l'embrasse.
Lundi dernier j'étais en date avec une fille, on sort du café et je lui propose de la raccompagner. Sur le chemin elle se met à marcher quelques centimètres devant moi. Manifestement elle n'aimait pas la petite ruelle que je lui avais fait emprunter. Elle avait son sac en bandoulière. Je le lui tire par le dos, la faisant se retourner et je l'embrasse.
Il y a deux mois, avec une ravissante et minuscule fille rencontré le soir même par des amis communs. Je me retrouve devant chez elle. On discute, je plaisante beaucoup sur sa taille de naine.
Je m'approche d'elle, lui fais le vieux coup de la bague prétexte pour lui prendre la main (j'ai beaucoup de mal à faire du kino naturellement).
M : (sur un ton neuneu en lui prenant la main) Tu as une jolie bague !
Je rapproche ma tête de la sienne. Fais un brusque mouvement en arrière.
M : Non, désolé tu es trop petite.
E : Quoi !
« Monte sur la marche », en lui désignant un petit surplomb d'une borne EDF. Elle s'offusque mais me suit. Je la met sur la marche et l'embrasse.
Bon, pour être honnête sur le coup je me suis pris un vent mais une semaine plus tard on couchait ensemble. On venait juste de se rencontrer et elle m'avait vu draguer une autre fille un peu avant.
Beaucoup de lecteurs bien pensant vont considérer que cela peut être irrespectueux pour les femmes ou que j'embrasse des carpettes sans personnalités, inintéressantes et moches.

Un dernier exemple. J'embrasse le plus tard possible la fille. Pourquoi ? Car cela fait monter la tension, leur montre qu'on est pas insecure ou mort de faim à vouloir s'assurer qu'on leur plait. En contre partie, gentiment, elles vont avoir tendance à écarter les cuisses beaucoup plus rapidement.
Ce n'est vraiment pas un drame d'embrasser la fille trop rapidement. Le seul risque est de les gêner de nous rembarrer alors qu'elles ont envie de sortir avec nous et donc de compliquer la situation si on gère mal le rejet et qu'elles le ressentent.
Mais je retarde le moment d'embrasser. La plus part du temps je le fais à la troisième date, lorsque je les ai inviter chez moi à dîner. Après le repas histoire de vraiment faire monter la tension.
Ainsi elles voient que je ne suis pas pressé, que j'ai confiance en mes capacités de séduction et quasiment tout le temps, cela permet d'arriver à des situations beaucoup plus intéressantes horizontalement.
Le problème lorsqu'on embrasse la fille trop vite, même si elle se laisse faire, est qu'on montrer ses cartes trop rapidement et donc elle prends le dessus. C'est nous qui agissons, elles ne font que répondre. Autant leur donner de quoi douter.
Le but est de les pénétrer en bas, pas dans la bouche.
Chapitre trois : Misognynie mis à part