Draguer à la fac : ce que veulent les filles
Posté : 12.12.09
Salut à tous ! Voici un article qui, je l’espère, pourra aider ceux qui ne comprennent pas encore totalement ce qui se passe dans la tête de nos petites étudiantes. C'est un truc qui moi m'a pas mal fait avancer quand j'ai réussi à l'intégrer.
Vous vous êtes déjà demandé pourquoi, une fois en école ou en fac, les belles filles traînent, sortent et niquent avec des mecs qui, pour beaucoup ne ressemblent à rien ? C’est un truc que j’ai observé dès ma première année, et j’ai mis du temps à comprendre d’où ça venait.
Si vous les regardez agir, ces mecs sont à fond sur les filles. Parfois trop à mon avis, mais ils ne cachent pas leurs intentions, et se fichent de ce que les autres en penseront, parce qu’ils savent que les autres veulent faire la même chose. Ils n’ont aucun complexe à chopper à une soirée en appart au milieu de tout le monde, puis à emmener la fille dans une chambre, là où j’ai pu lire que beaucoup d’apprentis players se demandent encore comment avoir l’air « cool » ou « alpha » dans cette situation.
Les filles de fac et d’école aiment se faire chopper, point barre. D’ailleurs, les filles en général aiment se faire chopper. Qui jouit le plus fort quand un mec et une nana s’envoient en l’air ? Qui crie ? C’est la fille. Les filles ADORENT le sexe.
Comme pas mal de gens dans la communauté, j’ai longtemps pensé que « connecter » avec une fille était important, qu’il fallait « faire du confort » pour coucher avec. Et j’ai réalisé que :
En école, en fac ou en cercle social, la « connexion » n’a d’importance que si vous n’êtes pas présélectionné.
Quand j’ai compris ça, la vitesse à laquelle je serrais a considérablement augmenté, soit parce qu’on me présentait comme un bon coup, soit parce que j’étais si habitué aux bonnes réactions de la part des filles du campus que je me comportais naturellement comme quelqu’un de présélectionné. (Voir mes deux premiers reports pour avoir une illustration de chacun de ces cas de figure).
Prenez une fille de première année. Elle commence à quitter le cocon familial, elle commence à s’ouvrir sexuellement, et surtout elle a quitté la structure sociale du lycée pour celle, encore inconnue, du campus. Elle teste les règles, sa réalité est encore fragile.
Et là, arrive un bourrin dans mon genre qui connaît le terrain et qui est TRES certain qu’il veut la sauter. Qu’est-ce qu’elle va faire ?
Simple : s’il est direct, qu’il la touche beaucoup, et qu’il essaie tout ce qu’il peut imaginer pour la tripoter, il y a de bonnes chances qu’elle se laisse tout simplement faire. Bien sûr je généralise, mais si un mec a des qualités basiques et a juste vraiment envie que ça arrive, il est probable qu’il réussira à la chopper.
Et c’est EXACTEMENT pour ça que le Game ne marche pas en école. Vous cachez vos intentions et vous mettez beaucoup de barrières entre vous et les filles. En sachant juste ça, vous pouvez vous retrouver à chopper une nana en 15 minutes. Et pas simplement en soirée. Un bon pote s’est récemment fait sucer par une belle Black qu’il avait rencontrée 30 minutes avant à la sortie de ses cours.
Les filles étudiantes adorent l’attention masculine. Vous ne vous rendez pas service en faisant le mystérieux pour avoir l’air « alpha » ou « cool », ou en élaborant plein de tactiques pour qu’ELLES vous donnent de l’attention. Les mecs qui choppent le plus (souvent des dernières années comme moi) ont eu quatre ans pour établir leur personnalité et leur assurance sur le campus. Même s’ils pouvaient déjà être doués avec les filles en arrivant, leur position n’est pas un accident.
Si vous êtes déjà en dernière année, il n’est pas non plus trop tard. L’expérience avec des potes m’a prouvé qu’en s’y mettant sérieusement, on peut changer sa réputation en quelques jours et chopper massivement en trois semaines, voire moins. Ce sera pas le niveau des superstars du campus, mais ça sera déjà au-dessus de l’étudiant moyen. Mais il faut être prêt à faire sauter certaines croyances à la con.
Revenons juste pour finir sur la notion de confort et de « connexion émotionnelle ». J’ai entendu plusieurs fois que le Game se gagnait souvent dans le confort, au sens où susciter l’intérêt est facile, mais montrer des qualités et une personnalité attirantes était la clé vers Minouville. Par ailleurs, c’est vrai qu’une fille a besoin de vous connaître et de vous faire confiance avant de coucher avec vous. Ca se vérifie souvent dans une ville comme Paris, encore que j’ai plusieurs anecdotes de sexe rapide de filles rencontrées dans la rue qui ont baisé dans l’heure qui suivait. Mais l’idée générale reste valable : une fille que vous rencontrez dans un bar ou dans la rue a besoin de vous connaître et de vous faire confiance avant de coucher, surtout si elle veut une relation durable avec vous.
Mais ça, c’est le monde normal. Celui qui fait peur à cause des infos.
En fac ou en école, c’est différent. Les filles, surtout jeunes, cherchent à s’amuser, et rarement à trouver leur futur mari. Elles veulent vivre la vie d’étudiante telle qu’on la voit dans les séries.
Du coup, beaucoup de nanas sont prêtes à sauter dans votre lit tant que c’est FUN et que vous savez ce que vous voulez. Même des nanas très coincées se sont laissées aller à un ou deux coups d’un soir (et j’ai de bons exemples en tête), juste parce que c’est aussi à ça que servent ces années.
Alors rappelez-vous : les étudiantes VEULENT s’amuser et elles VEULENT faire les folles. Elles recherchent des excuses pour se comporter « mal ». Elles veulent juste s’assurer de le faire avec des mecs qui en feront quelque chose d’acceptable et qui ne les jugeront pas.
Si vous pouvez perdre un peu la tête et vous éclater, au lieu de jouer au stratège, vous serez surpris de ce que les filles sont prêtes à faire pour vous.
Have fun!
DISCLAIMER: je profite de cet article pour vous annoncer la création de mon blog exclusivement consacré à la drague estudiantine, dans le but d'aller plus loin que les quelques articles que l'on peut trouver ici et là. Je l'updaterai tous les dimanches, donc stay tuned!
http://dragueralafac.wordpress.com/
Vous vous êtes déjà demandé pourquoi, une fois en école ou en fac, les belles filles traînent, sortent et niquent avec des mecs qui, pour beaucoup ne ressemblent à rien ? C’est un truc que j’ai observé dès ma première année, et j’ai mis du temps à comprendre d’où ça venait.
Si vous les regardez agir, ces mecs sont à fond sur les filles. Parfois trop à mon avis, mais ils ne cachent pas leurs intentions, et se fichent de ce que les autres en penseront, parce qu’ils savent que les autres veulent faire la même chose. Ils n’ont aucun complexe à chopper à une soirée en appart au milieu de tout le monde, puis à emmener la fille dans une chambre, là où j’ai pu lire que beaucoup d’apprentis players se demandent encore comment avoir l’air « cool » ou « alpha » dans cette situation.
Les filles de fac et d’école aiment se faire chopper, point barre. D’ailleurs, les filles en général aiment se faire chopper. Qui jouit le plus fort quand un mec et une nana s’envoient en l’air ? Qui crie ? C’est la fille. Les filles ADORENT le sexe.
Comme pas mal de gens dans la communauté, j’ai longtemps pensé que « connecter » avec une fille était important, qu’il fallait « faire du confort » pour coucher avec. Et j’ai réalisé que :
En école, en fac ou en cercle social, la « connexion » n’a d’importance que si vous n’êtes pas présélectionné.
Quand j’ai compris ça, la vitesse à laquelle je serrais a considérablement augmenté, soit parce qu’on me présentait comme un bon coup, soit parce que j’étais si habitué aux bonnes réactions de la part des filles du campus que je me comportais naturellement comme quelqu’un de présélectionné. (Voir mes deux premiers reports pour avoir une illustration de chacun de ces cas de figure).
Prenez une fille de première année. Elle commence à quitter le cocon familial, elle commence à s’ouvrir sexuellement, et surtout elle a quitté la structure sociale du lycée pour celle, encore inconnue, du campus. Elle teste les règles, sa réalité est encore fragile.
Et là, arrive un bourrin dans mon genre qui connaît le terrain et qui est TRES certain qu’il veut la sauter. Qu’est-ce qu’elle va faire ?
Simple : s’il est direct, qu’il la touche beaucoup, et qu’il essaie tout ce qu’il peut imaginer pour la tripoter, il y a de bonnes chances qu’elle se laisse tout simplement faire. Bien sûr je généralise, mais si un mec a des qualités basiques et a juste vraiment envie que ça arrive, il est probable qu’il réussira à la chopper.
Et c’est EXACTEMENT pour ça que le Game ne marche pas en école. Vous cachez vos intentions et vous mettez beaucoup de barrières entre vous et les filles. En sachant juste ça, vous pouvez vous retrouver à chopper une nana en 15 minutes. Et pas simplement en soirée. Un bon pote s’est récemment fait sucer par une belle Black qu’il avait rencontrée 30 minutes avant à la sortie de ses cours.
Les filles étudiantes adorent l’attention masculine. Vous ne vous rendez pas service en faisant le mystérieux pour avoir l’air « alpha » ou « cool », ou en élaborant plein de tactiques pour qu’ELLES vous donnent de l’attention. Les mecs qui choppent le plus (souvent des dernières années comme moi) ont eu quatre ans pour établir leur personnalité et leur assurance sur le campus. Même s’ils pouvaient déjà être doués avec les filles en arrivant, leur position n’est pas un accident.
Si vous êtes déjà en dernière année, il n’est pas non plus trop tard. L’expérience avec des potes m’a prouvé qu’en s’y mettant sérieusement, on peut changer sa réputation en quelques jours et chopper massivement en trois semaines, voire moins. Ce sera pas le niveau des superstars du campus, mais ça sera déjà au-dessus de l’étudiant moyen. Mais il faut être prêt à faire sauter certaines croyances à la con.
Revenons juste pour finir sur la notion de confort et de « connexion émotionnelle ». J’ai entendu plusieurs fois que le Game se gagnait souvent dans le confort, au sens où susciter l’intérêt est facile, mais montrer des qualités et une personnalité attirantes était la clé vers Minouville. Par ailleurs, c’est vrai qu’une fille a besoin de vous connaître et de vous faire confiance avant de coucher avec vous. Ca se vérifie souvent dans une ville comme Paris, encore que j’ai plusieurs anecdotes de sexe rapide de filles rencontrées dans la rue qui ont baisé dans l’heure qui suivait. Mais l’idée générale reste valable : une fille que vous rencontrez dans un bar ou dans la rue a besoin de vous connaître et de vous faire confiance avant de coucher, surtout si elle veut une relation durable avec vous.
Mais ça, c’est le monde normal. Celui qui fait peur à cause des infos.
En fac ou en école, c’est différent. Les filles, surtout jeunes, cherchent à s’amuser, et rarement à trouver leur futur mari. Elles veulent vivre la vie d’étudiante telle qu’on la voit dans les séries.
Du coup, beaucoup de nanas sont prêtes à sauter dans votre lit tant que c’est FUN et que vous savez ce que vous voulez. Même des nanas très coincées se sont laissées aller à un ou deux coups d’un soir (et j’ai de bons exemples en tête), juste parce que c’est aussi à ça que servent ces années.
Alors rappelez-vous : les étudiantes VEULENT s’amuser et elles VEULENT faire les folles. Elles recherchent des excuses pour se comporter « mal ». Elles veulent juste s’assurer de le faire avec des mecs qui en feront quelque chose d’acceptable et qui ne les jugeront pas.
Si vous pouvez perdre un peu la tête et vous éclater, au lieu de jouer au stratège, vous serez surpris de ce que les filles sont prêtes à faire pour vous.
Have fun!
DISCLAIMER: je profite de cet article pour vous annoncer la création de mon blog exclusivement consacré à la drague estudiantine, dans le but d'aller plus loin que les quelques articles que l'on peut trouver ici et là. Je l'updaterai tous les dimanches, donc stay tuned!
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