FTS

Bonjour à tous,

Voici le premier post de mon journal; j'espère qu'il sera riche en événements et riches en expériences à relater.

Pour commencer, j'aimerais surtout parler de trois choses:
1/ Un joli Kiss Close que j'ai fait avant-hier à Ponts des Arts à Paris
2/ Et puis un deuxième kiss close, cette fois-ci sur les bords de la seine
3/ faire un état des lieux de ma progression depuis mon premier cours de SPU avec Blusher.

1/ Le premier kiss close sur le pont des arts.

Voilà, alors que j'attendais une nana et que j'avais quelques minutes d'avance, je vois une fille debout dans la rue et qui était immobile. Alors, je l'opene en lui demandant: "je parie qui tu attends quelqu'un".

Ensuite, nous avons fait connaissance et elle m'a dit qu'elle faisait de la recherche en électronique. Alors pour la taquiner un peu je lui ai dit : "tiens, c'est marrant tu n'es pas l'air d'être super intelligente pourtant" en souriant et en rigolant.

Elle a très bien pris la blague, et d'une certaine façon, ce type de "disqualification" permet de se mettre au-dessus d'elle et, quand c'est bien fait, les femmes adorent ça.

Nous avons continué à discuter et quelques minutes plus tard, j'ai pris son numéro.

Je l'ai revu quelques jours plus tard. Nous avons bien rigolé. Elle est très marrante et très brillante. Mais j'ai continué à la taquiner sur son intelligence, et on s'amusait beaucoup.

Puis, nous avons marché sur les quais de seine. Et on continuait à s'amuser. A un moment donné on devait partir; alors je l'ai raccompagné sur le pont des arts en me demandant comment j'allais la kiss closer. Et puis, elle a dit en rigolant :
"oh, peut être qu'il faut que je saute du pont?"
"Ecoute, oui, pourquoi pas. Mais, avant que tu sautes, regarde moi".
Alors, elle m'a regardé et je l'ai embrassé.

Et elle était très contente.

2/ J'enchaîne sur le second kiss close.

Il y a 8 jours, j'approche une nana au centre pompidou. Au sous-sol, il y avait une sorte de pièce de théâtre un peu bizarre, très contemporain. Et, il s'agissait de blanche neige.

Alors, je vois, une jolie brunette qui regardait ça. Et je lui demande:
"bah dis donc, c'est une interprétation très moderne de blanche neige ça"
"oui, oui"

Et nous avons continué à discuter.

Avant de partir, je prends son numéro de téléphone et son mail.

Je l'appelle quelques jours plus tard et je l'invite à diner. On va manger des sushi du côté d'Odéon, à Paris.

Ensuite, je l'accompagne sur les quais des seines. Et comme elle est d'Australie, je lui parle des bâtiments et je lui montre la différence entre les bâtiments du 18ème, 19ème et 20ème siècle. Elle trouve ça intéressant. Parfois, on se dit des blagues et on rigole.

Je sens qu'il y a une tension sexuelle. Je l'a trouve bien habillée. Je la prends par la main. Mais, je ne sais pas comment la kiss closer.

Alors, nous nous asseyons sur les bords de la seine et on discute. Et puis, à un moment donné, je la regarde, alors que, elle, regarde devant elle. Et puis, je l'embrasse sur la joue. Et elle me dit: "c'était sympa". Alors, je l'embrasse sur la bouche.

Je la raccompagne au métro et je me demande si elle en veut plus. Alors, je lui propose de venir voir les bâtiments près de chez moi. Mais elle refuse. C'est pas grave: de toute façon, je vais la revoir dans 45 minutes. Nous verrons bien !

3/ Et maintenant le bilan.

Alors, voilà, il y a environ 5 semaines (ah oui, ça fait déjà 5 semaines), j'ai pris un cours de SPU ("Street Pick-UP", c'est-à-dire la drague de rue) avec Blusher et 5 autres personnes. D'ailleurs, pour information, je recommande vivement ses cours.

Depuis, j'ai du faire une soixantaine d'approches. Et j'ai fait un fuck close, 3 kiss close et j'ai obtenu un peu plus d'une dizaine de numéros.

Globalement, le bilan est bon.

Après, aujourd'hui, je vois plusieurs pistes d'évolutions:

d'une part, il m'arrive encore souvent de ne pas approcher des filles et je me trouve des excuses nazes. Soit je me dis qu'elles ne sont pas assez jolies, soit je me dis que ce n'est pas le moment de les approcher, soit, encore, je me dis que si je ne les approche pas elles, ce n'est pas grave parce que j'approcherais celles d'après. Donc, bref, je me trouve encore des excuses pour ne pas approcher et opener un nombre important de filles. Je pense qu'il y a encore un réel axe de progression, sur ce point là. Idéalement, il faudrait que j'approche toutes les filles seules ou à 2 ou à trois que je croise dans la rue; toutes; absolument toutes! Et là, il y aurait une réelle étape de franchie.

d'autre part, si je suis très bon pour opener de façon contextuelle et indirecte ou en faisant du cold-reading, j'ai du mal, ensuite, à enchaîner sur un nouveau sujet de conversation. En fait, le truc c'est que parfois mes premières répliques sont excellentes, mais j'ai plus de difficultés ensuite à changer de sujet ou à passer à autres choses. Donc, aujourd'hui, je fais encore beaucoup d'approches (et je dirais que c'est la majorité) qui ne dépassent pas le stades des 20 secondes. Et, naturellement, je n'obtiens pas, par la suite, le numéro de téléphone. Ici, idéalement, il faudrait que je trouve des sujets des conversations supplémentaires pour faire durer l'échange; l'idée étant de passer d'un échange de 20 secondes à un échange de deux minutes minutes, par exemple. En fait, je pense qu'il y a sans doute plusieurs choses que je peux faire pour progresser sur cet élément-là, en particulier.

1/ Comme dit Blusher, à chaque fois que la fille dit quelque chose sur elle, il faut, à son tour, dire quelque chose sur soi. Donc, ça, rien que ça, ça doit permettre de faire durer l'échange.
2/ Ensuite, peut être que, la clé, c'est de bien écouter la fille, et de rebondir sur ce qu'elle dit. Là, il y a aussi un point de progression.
3/ Et puis, il doit y avoir d'autres éléments, mais voilà ce qu'il me vient pour le moment...

Enfin, même lorsque je fais durer l'échange, il m'arrive parfois de ne pas demander le numéro de téléphone. Souvent, je me trouve un prétexte bidon, du genre: "ah oui, mais elle n'est pas jolie!". C'est parfois le cas, mais ce n'est pas ce qui importe. Ce qui importe c'est d'apprendre à obtenir le numéro de téléphone, en toutes circonstances. Donc, j'ai parfois encore des difficultés à conclure.

Voilà en gros mes axes d'amélioration: plus d'approches, plus de durée dans les échanges et plus de numéros.

Après je note une évolution extrêmement positive: il m'arrive (et ça m'est arrivé la semaine dernière) de faire des approches dans un état d'esprit extrêmement ludique et jovial. ça, c'est vraiment le meilleur état d'esprit: il faut faire du "game", un jeu. C'est un truisme et pourtant on l'oublie trop souvent.

Pour le dire autrement, il faut être dans le jeu, pas dans l'enjeu!

A très bientôt !

J'avoue que je suis assez impressionné par ta progression. Je pense que tu as une assez bonne analyse de tes erreurs et tes axes de travail en fait.

Par contre ...

Idéalement, il faudrait que j'approche toutes les filles seules ou à 2 ou à trois que je croise dans la rue; toutes; absolument toutes! Et là, il y aurait une réelle étape de franchie

Je suis pas forcément d'accord. Ca sert a rien ça, si la fille te plais pas pourquoi l'approcher ? Y a le danger devenir un robot, et d'autres s'y sont cassés les dents a en perdre le gout de la séduction, et ne plus savoir ce qui leur fait envie en terme de poupounes.

Fixe toi juste l'objectif d'écouter tes envies, et d'agir a chaque fois que tu en éprouve le désir.

Ensuite, peut être que, la clé, c'est de bien écouter la fille, et de rebondir sur ce qu'elle dit. Là, il y a aussi un point de progression.

+1000

Le game parait beaucoup plus simple en fait quand on respecte ça. C'est la règle en séduction, mais aussi dans tout rapport social, on nous le martèle en théâtre d'impro, on me l'a appris lors d'une formation commerciale, etc.

Eh bien, hier, j'ai fait du SPU en fin de journée et j'ai eu quelques résultats intéressants, dont un magnifique Kiss Close avec une très jolie brune aux cheveux long (tout ce que j'aime) venue de Pologne, et ceci en présence de son amie.

Je me promenais sur les champs Elysées et je sortais du Queens où j'étais allé avec quelques potes. Au Queens, je me suis aperçu que c'est très difficile d'approcher les filles, notamment en raison de la musique très bruyante, mais aussi parce qu'elles viennent en groupes. Et donc, alors même qu'elles s'exhibent et dansent sur les estrades, il n'est pas toujours facile ensuite d'initier une conversation avec elles.

Donc, je me suis barré du Queens vers 22h30, proposant à mes potes de les retrouver plus tard. Et je me promène sur les Champs Elysées et je vois trois blondes et je les approche et on discute. Et c'était cool. Mais, je m'extrais, parce qu'elles sont un peu trop jeunes. Je continue de me promener et là, je vois deux brunes assises sur un banc et de dos. Je les entends parler et je devine qu'elles ne sont pas de France. Alors, je contourne le banc et je leur demande:

- Je parie que vous venez d'Italie
- non, m'ont-elles répondu en rigolant
- Je parie que vous venez d'Espagne
- non, m'ont-elles dit de nouveau
- En tous cas, soyons clairs, vous ne venez pas d'Europe du Nord
- oui!
- J'avoue que je suis un perdu, pouvez-vous m'aider?
Et la conversation continue. Et je suis étonné de voir que nous nous entendons extrêmement bien et que le courant passe très bien. Je me suis aperçu plus tard, en discutant avec elles, que nous avons, en fait, beaucoup de points communs. Et je suis étonné de voir à quels points le fait d'avoir des points communs facilitent l'interaction à chaque moment de l'échange.

Donc, je leur fait visiter un peu Paris. On arrive au Carré Marini aux Champs Elysées, puis, on travers le pont Alexandre III et ensuite, je décide de les emmener aux Ponts des Arts. Pendant tout ce temps, on plaisante beaucoup et je leur dis que les femmes qui réussissent dans la vie, se sont les femmes qui savent flatter l'égo des hommes. Alors, elles s'appliquent à flatter mon égo, et moi, je m'applique à me construire un égo démesuré en déclarant que je suis "Dieu". Ceci est une très bonne façon de définir ce que les Américains appellent le "Frame", c'est-à-dire le sens sous-jacent d'une conversation. Quoiqu'il en soit, tout se passe sur le ton de la plaisanterie. On s'amuse beaucoup.

Ensuite, j'ai fait quelque chose de vraiment bien et je vais continuer à le faire. Je les ai branche sur des sujets liés à l'amour. Par exemple, je leur ai parler des cadenas d'amour qu'on trouve sur le Pont des Arts. Et je leur ai dis que ces cadenas d'amour symbolisait l'amour éternel. Je suis à fond dans des sujets d'amour, très prisé par les femmes: l'amour fou, l'amour éternel, l'amour pour la vie...

Voilà donc le début de notre interaction. Je continue bientôt.

On continue de marcher vers le pont des arts, en compagnie de mes deux jolies brunes, l'une s'appelle Lilka (et c'est elle qui m'intéresse) et l'autre s'appelle Iga. A un moment donné, il y a un certain silence et puis, comme j'avais beaucoup parlé et que Lilka avait également beaucoup parlé, on demandé à Iga de prendre la relève. Mais, elle dit en s'amusant qu'elle a un problème et que, en général, quand elle se met à parler, les gens la fuient dans les 30 secondes. C'est dit sur le ton de la plaisanterie et je trouve ça amusant.

On arrive au Pont des Arts et on commence à prendre des photos. Et à ce moment là, j'embrasse Lilka sur la joue pour la photo; ça se passe bien. Je les emmène alors à la Palette, un café très sympa et tout près. Et là, je mets ma main dans celle de Lilka et je m'émerveille, sur un ton candide, qu'on tous les deux les 5 doigts. Elle adore ce genre de blagues, basée sur l'évidence et un peu décalé. On rigole et on se prend la main. Elle me sers fort la main. On arrive au café et on s'installe; à ce moment là, Lilka s'absente et moi j'envoie un texto et mes potes qui sortent du Queens.

Avec Iga, on s'amuse. Elle me paraît n'avoir pas beaucoup confiance en elle. Je ne sais pas trop ce que je peux faire; et surtout, je suis très attiré par sa copine, Lilka, et pas tellement par elle.

Lilka revient. On fait des blagues autour de la notion de secret et on s'amuse. Et puis, je lui dis que je suis prêt à lui faire d'un secret. Alors, elle s'approche de moi pour que je puisse le lui chuchoter à l'oreille. Et j'ai ma joue tout près de la sienne. Et je lui dis que je ne peux lui dire mon secret à cette oreille là, mais à l'autre. Au moment ou elle tourne la tête pour me tendre l'autre oreille, je l'embrasse. Elle me dit qu'elle adore mon secret. On s'embrasse de nouveau et puis de nouveau. Elle m'embrasse avec fougue, elle m'embrasse dans le cou, elle me sert dans ses bras.

Pendant ce temps-là, Iga est un peu gênée. Moi, je décide de ne rien faire, en prétextant, sous forme de blague, que je ne veux pas créer des situations de jalousie entre copines. La blague passe bien et l'atmosphère s'en trouve détendue.

Mais, le fait de ne pas m'intéresser à Iga est une décision absolument capitale pour la suite des événements et pour être tout à fait honnête, je doute que c'était la bonne décision à prendre. J'en parlerai davantage après.

Quoiqu'il en soit, mon pote arrive. Et il s'installe avec nous. Lui s'intéresse à Iga. Et il arrive à la faire rire et elle s'amuse et on s'amuse. Nous prenons le facebook et Lilka et Iga. Et moi, j'embrasse Lilka.

Et puis, on se rencontre qu'il est déjà tard. Après leur avoir proposé de venir chez mon pote (mais elles ont décliné parce qu'elles ne nous connaîtrait pas assez bien). On leur trouve un taxi et je conviens de les revoir le lendemain.

La suite tout de suite.

Le lendemain, je me pointe à l'hotel pour les retrouver comme convenu et je ne les trouve pas....

je suis tout triste. Mais en même temps, je me dis que j'ai passé un super moment avec elles. Et je suis heureux d'avoir kiss closé Lilka, une jolie brune, belle et intelligente. J'en viens au bilan plus général avec les questions. Et il y en a.

Le bilan.

La grande question est la suivante: pourquoi est-ce que je n'ai pas réussi à coucher avec Lilka? Et puis, le lendemain, pourquoi est-ce que je n'ai pas réussi à revoir mes deux polonaises?

Je pense qu'il y a plusieurs réponses possibles à cela, l'une d'entre elle étant que, de toute façon, les polonaises quittent paris le lendemain et donc, elles ne voyaient pas l'intérêt de me revoir pour construire quelque chose qui allait de toute façon se terminer.

Je pense que telle est sans doute la bonne réponse. Et pourtant, je suis prêt à parier qu'un Maître de la Séduction aurait réussi ce que j'ai fait, et même plus...

En fait, en y repensant, je pense qu'il y avait une possibilité de faire un plan à trois, le soir même. A l'évidence, entre Lilka et moi il y avait beaucoup de désir. Et la difficulté que j'ai eu et que je n'ai pas su surmonter, c'est d'intégrer Iga dans ma relation avec Lilka. Et j'ai senti, en particulier lorsque j'ai embrassé Lilka la première fois, que Iga ne comprenait pas très bien ce qu'il se passait. Je pense qu'elle était choquée de voir sa copine embrasser quelqu'un qu'elle ne connaissait finalement pas très bien... Et puis, elle devait se sentir exclue, et sans doute un peu jalouse...

Donc, la question est la suivante: comment est-ce que j'aurais pu intégrer Iga dans notre relation?

C'est difficile à dire. Je n'ai pas vraiment de réponse exacte. Mais, je dirais la chose suivante:
Je pense que lorsque Lilka s'est absentée pendant quelques minutes alors que nous venions tout juste d'arriver au café La Palette, j'aurais pu faire un geste envers Iga. Peut être aurais-je pu lui prendre la main ou peut être aurais-je pu l'embrasser sur la joue (puisque j'avais déjà embrassé Lilka sur la joue, mais pas encore sur la bouche, à ce moment là). Bref, mon idée, c'est de créer avec Iga une sorte de proximité pareille qu'avec Lilka. Et puis, ensuite, lorsque j'embrasse Lilka, eh bien - je sais, j'ai trouvé ! - j'aurais pu embrasser ensuite Iga. Oui, voilà ce que j'aurais pu faire ! En fait, voici ce que j'ai fait :

J'ai embrassé Lilka et puis, ensuite, j'ai dit que je ne voulais pas embrassé Iga parce que je ne voulais pas créer de jalousies entre copines.

Au lieu de faire cela, j'aurais pu faire ceci: embrasser Lilka, et puis, ensuite, je peux dire que je ne veux pas que Iga se sente abandonnée et donc, j'embrasse ensuite Iga. Et comme ça, j'embrasse les deux et j'avance vite et bien dans mon projet de plan à trois. Je pense que l'idée est la bonne. Maintenant, la question est: comment en assure-t-on l'exécution?

Et pour exécuter une telle idée, je pense qu'il fallait embrasser Lilka comme j'ai fait et puis lui chuchoter à l'oreille qu'il faut aussi s'occuper de Iga. Et là, j'embrasse Iga.

Je pense que c'était ça la solution. Et vous, vous pensez quoi?

Avant tout, je dis bravo! Tu as vraiment une aisance avec les femmes, j'en suis jaloux!!
Tu as su passer une agréable soirée avec 2 inconnues étrangères à discuter de tout et de rien.

Pour le plan à 3, c'était p-e possible, mais il faut, je pense, pas uniquement que tu joues avec les 2 filles, il faut également les filles entre elles interagissent sexuellement: ça va des regards coquins entre elles jusqu'à éventuellement l'échange de baiser entre elles.
Tu aurais pu t'approcher de Iga puis te tourner vers Lilka et lui demander si elle ne t'en voulait pas si tu accordais un baiser à son amie, histoire de ne pas créer de jalousie... Si elle dit oui, tu embrasses Iga puis lui murmure à l'oreille qu'en fait ce n'est pas par jalousie mais par envie que tu lui offres ce baiser ^^

Bon ce sont des idées, mais les axes principaux sont ceux là je pense: cercle d'intéraction (Toi -> Iga -> Lilka -> Toi), sexualiser la conversation, proposer le rdv chez toi avec quelque chose comme :"J'ai une bouteille de champagne chez moi, je vous propose qu'on l'ouvre pour fêter notre belle rencontre" (vous trouvez que ça fait bateau???)

En tout cas, dommage pour le lendemain. Là je n'ai pas d'explication...