FTS

[EDIT] Commencez par la fin, je trouve mon premier un poil trop long, n'hésitez pas à commencer par les autres...

Petites histoires d'un samedi soir.

Me remettant à l'activité après quelques années de couple, Je retrouve rapidement le côté incroyablement agréable de la chose. Surtout bien entendu quand cela fonctionne…

Je suis assez flemmard et j'attendais la bonne occasion pour poster un FR ou ouvrir un journal. A vous de juger si ça en valait le coup.

Je trouve par contre après relecture cet article beaucoup trop long (la soirée à été très riche !), j'ai séparé les interactions avec des lignes de -------------- si vous voulez en sauter quelques unes.

Sortant d'habitude seul, j'ai trouvé quelques camarades de street (la discipline qui me plait le plus de loin) sur Paris et nous avions convenu un rdv Samedi 13h. Le temps et la personnalité de chacun aidant nous nous retrouvons tous ponctuellement à 18h à la fontaine St Michel. J'ai pour ma part eut droit à un échauffement des plus agréables et imprévu dans le RER…

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Au moment de m'asseoir avec un bouquin, je m'aperçoit que ma voisine d'en face semble jolie (regard rapide) et munie d'un énorme bagage qu'elle agrippe. Je lui demande si elle a peur qu'il parte en courant, ce qui la fait esquisser un sourire sans plus (mais déjà vachement mignon !) et me vaut des regards réprobateurs et/ou méfiant des voisins (la magie du RER). Ne sentant pas du tout l'ambiance et manquant passablement d'idées, je décide de laisser l'interaction à ce niveau. Elle ferme les yeux et fait "semblant de dormir", je pense que j'ai fait le bon choix… sauf que… Un petit truc en moi (le même qui d'habitude dit "tu n'y arriveras jamais", vous connaissez ?) me dit "Regarde bien, elle est vraiment magnifique et puis tu es là pour ça aujourd'hui, contexte pourri ou pas tu dois y aller". Je décide donc volontairement de me fixer une limite :
- Si elle descend avant St mich, je descend avec elle.
- Si les voisins avec le regard lourd descendent, je discute sur place.
- Si elle descende après St mich…. heu…. bha aller, si ! je continue ! et je me fixe jusqu'à châtelet au plus tard pour lui parler (et donc gare du nord pour descendre).

Au final elle reste patiemment et les voisins aussi, St michel arrive, j'assume ma décision de rester en voyant l'échéance se rapprocher et boum, châtelet ! Elle descend, et je ne peux m'empêcher de remarque lorsqu'elle se lève que son corps est aussi beau que son visage. Je la suis. Sur le quai je l'arrête le plus simplement :
- Bonjour, je ne descend pas là mais je voulais faire connaissance.
Une seconde de silence, les yeux fixes,
- Ok, j'ai un train dans 5 minutes, on peut discuter.

Je suis reparti 3 minutes après avec ses coordonnées, 10 minutes de retard et l'idée fixe que cette soirée (on ne pouvait plus parler d'après midi) serait énorme.

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Arrivée à St mich, je croise une fille, la remarque et la laisse passer, pressé de retrouver les autres "dragueurs". J'apprend par SMS qu'ils ne sont pas là et je vois à ce moment que cette même fille reviens en courant :
- Tu cours parce que tu as peur que je partes ?
- ??? What, sorry ?
idem, mais en anglais avec explications, elle rigole fort, sa mère juste derrière mon dos (qu'elle revenait voir) me regarde en rigolant moins… J'ai donc abordé cette jeune fille juste devant sa mère… Ok, je me dit que je vais faire un peu plus attention à l'environnement et vais feuilleter des beaux livres en attendants. On dirait qu'elles ont eut la même idée et, lorsque l'on se retrouve la mère prend bien soin de m'expliquer que non elles ne me suivent pas et qu'elle ne me cherchaient pas. Je discute un peu et parviens à rigoler avec elle. Je ne tenterais rien sur la fille dans ce contexte, mais au pire elle laissera peut être sa fille se faire draguer plus tranquillement la prochaine fois. Cela sera peut être utile à l'un d'entre vous ?

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Arrivée à ST Michel avec les autres, les abords de la fontaines sont un peu comme une aquarelle romantique ou passent de nombreuses jeunes filles magnifiques sur des trottoirs encore mouillés. Il n'y aurais pas les voitures et leur saleté de bruits et de fumée j'adorerais ce lieu !

Je venais avec un objectif clair : faire des interactions courtes et prendre le numéro rapidement. Dans ce cas là autant commencer de suite par une très charmante jeune fille, étudiante (je mise plus agé d'habitude) qui suivait son téléphone portable en le regardant fixement comme si il lui expliquait ou aller. Je me met à côté d'elle en faisant la même chose en en dictant les consigne que me donnait mon téléphone :
- Avance, ralenti, serre a gauche, arrête toi, regarde là, rigole comme elle…

L'interaction à peut être durée 5 phrases, elle était pressée mais contente et m'a donc laissé son téléphone pour que l'on se revoit dans la soirée.

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Fort de cela j'essaye quelques autres passantes, en prenant soin de ne pas être trop visible, et je n'essuie que ce que j'appelle des smiley-rateaux (ou les "merci-non"). Ces "non mercis" qui veulent dirent plus "merci" que "non" et qui sont donnés avec un grand sourire.

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Arrive, non pas une jolie fille mais une belle femme. La discussion fait presque cliché : Ukrainienne en visite a Paris, elle a laissé son groupe pour aller seule dans les rues de la capitale… idéal pour une visite guidé non ? Elle me passe son numéro (ukrainien donc) et nous convenons de nous revoir plus tard. Je le raconterais plus bas, mais autant dire tout de suite que j'en garde des paillettes dans les yeux !

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Alors qu'avec un collègue nous décidons d'aller prendre un verre, j'ouvre sur 2 copines mignonnes rue st andré des arts. Il me suit sur l'autre et je capte très vite que je ne pourrais rien attendre de celle avec qui je discute, bref coup d'oeil à gauche, la fille avec qui discute mon ami est tendue et a les joues qui tremble… Ha non, elle n'est pas tendue elle est émue ! N'ayant jamais fait le "wing" je trouve le moment idéal pour essayer et maintenir la discussion le temps que cela se tasse à côté. Ca aura peu duré, il prend son numéros et se quittent tous les 2 avec un beau regard et un grand sourire.

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Le répit, a peine une heure et une dizaine d'interaction plus tard nous voila donc à table à 6 ou 7 avec quelques habitués de ce site et menant la discussion plaisante. La terrasse, comme souvent à St germain quand le temps est au beau, est agréablement peuplée, et je décide après un bon quart d'heure de m'asseoir à deux tables de la notre avec deux demoiselles agréables. D'un abord très secs, la discussion se fait… même entre les tables. Au final nous faisons déplacer plusieurs personnes en terrasse pour joindre les deux filles à notre groupe et cela me donne l'occasion de dire bonjour à toute la terrasse. Oui toute, y compris la bise à une fille et sa mère qui en rigolent toutes deux en bout de terrasse (j'aurais bien voulu inviter la fille, mais c'était la disqualification immédiate avec les deux nouvelles venues). Je me trouve après ce remaniement à côté de la copine de la fille qui m'intéresse. Et là ce n'est clairement plus drôle : elle est cassante, rabaissante, ne cherche pas la communication. Je décide de changer de communication et lui explique carrément ce que je fais et pourquoi : aller parler aux inconnues, fabriquer des moments, parfois d'attirance, parfois juste agréable. Ca la touche d'un coup et le ton de la discussion change totalement. Elle essaye quand même de me disqualifier près de sa copine lorsque dans la discussion je lui demande son numéro :
- Non mais je connais ses critères physiques, tu n'est pas dedans laisse tomber !
- (l'autre fille) et puis ça n'est pas dans une discussion qu'on demande un numéro, c'est en repartant.

Ok… pas passé… mais ça a eut l'air de la toucher quand même. Je décide de changer de place et ne plus trop leur parler, d'une part pour me reposer, d'autre part pour tenter, grossièrement peut être, un "push-pull" (ou ce que j'en connais).
…
15 minutes de discussions, je dois aller rejoindre l'ukrainienne
…
Je prend congé et là… tiens… :
- Tu ne me demande plus mon numéro ?

C'est bon quand ça se passe comme cela. On s'est revu le lendemain, sans velléités autres que de passer un bon et agréable moment de discussion que nous ré-itèrerons (je n'utilise pas le verbe "reproduirons" dans ce cas…).

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20h30 arrive, rdv avec la "belle jeune femme ukrainienne", oui désolé je ne donne pas les prénoms… Je suis un peu trop parano pour cela !

Comment dire… J'avais envie de continuer le cliché, c'est donc ce que j'ai fait ! Coucher de soleil sur la pointe de l'ile de la cité, balade sur les quais de seine, tentatives d'embrassades refusées mais émotion de plus en plus forte. 22h arrivent et je sens que nous sommes prêts tous deux à un moment plus fort. L'ile Saint Louis nous offre ses rues et le délice d'un sorbet berthillon nous ouvre les papilles et les pupilles. Finalement un passage, une porte cochère, un banc publique… et en toute discrétion nous profitons d'un moment génial au bord de la seine.

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Dur de revenir sur terre après ça ! 23h à peu près, elle a du partir, je retrouve ceux qu'ils restent de mes camarades, (un seul en fait, qui a son journal ici aussi). On décide de continuer mais, pour moi, sans vrai enjeu, pour voir si sur le trajet de mon appart on pouvait rencontrer du monde…

Donc rien ne laissait supposer que 3h après nous serions Pub St germain en trains de tout deux galocher goulûment deux hollandaises s'auto proclamant "bombasse" (avec notre approbation ceci dit) rencontrées 10 minutes après !
Cela s'est fait très simplement, mon camarade aborde très rapidement ces deux hollandaises qui veulent sortir. Elle ne sont à Paris que pour quelques heures encore… Et le courant passe très bien entre l'une des 2 et lui. L'autre me parle rapidement du fait que sa copine à des seins fantastiques et qu'il faudrait absolument qu'on les voit ce soir. Toujours dans mon "objectif" je prends son facebook en 3 minutes et on décide de se suivre.
En 15 minutes mon "wing" (je n'aime pas ce mot…) embrasse sa hollandaise qui a pu entre temps nous montrer ses seins et confirmer le fait qu'ils étaient effectivement énormes ET beaux… bref la je me disais que si je parvenais à avancer avec l'autre fille nous avions une magnifique soirée en préparation.
Malheureusement l'ukrainienne est encore présente dans mes émotions et la hollandaise s'avère bien plus difficile à convaincre que sa copine. Peut être que le terme "engaged" sur son profil facebook y est pour quelques chose, elle assure de son côté que c'est faux !… Bref Longues minutes de jeux et de sexualisation de la relation (aidée certainement par le regard un peu jaloux qu'elle porte sur sa copine) et… un petit bisous. Un autre petit… tiens, on dirais que ça évolue… 15 minutes après on est affalés sur un canapé du pub St germain à se rouler des patins digne d'une équipe internationale de hockey devant les yeux médusés des autres clients un peu plus classes que nous je dois dire.

Nous avons bien passé 3h a tester plusieurs pubs, avoir fait monté la tension et même avoir donné des conseils de drague à des jeunes (17-19 ans) qui nous regardaient médusés sur le pont des arts. Et pourtant… impossible de les ramener !

Bref, on se posera la question vivement le lendemain : Comment aurions nous pu concrétiser ça ? On se la pose encore même si certains nous ont donné des réponses plus qu'intéressantes… Que nous testerons lors d'un voyage à Amsterdam ou elles habitent.

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En tous cas soirée mémorable et très agréable sur le plan de la drague. Le côté "énergie du groupe" m'a énormément aidé et je dois avouer que le dimanche et Lundi qui ont suivi j'ai été beaucoup moins énergique. En tous cas je tiens à ré-itérer ces séances "groupées" qui sont vraiment agréables et pleine de moments forts.

Bonne soirée et sympa comment t'écris c'est agréable à lire

franchement je vous envie les parisiens, à lyon on a pas grand chose à se mettre sous la dent comparé à vous, vous c'est un manequin toutes les 10 secondes lol

J'ai bien aimé les quelques accroches que tu as raconté en opener, culotté et marrant !

Bonne continuation !

Je ne connais pas Lyon pour cela, mais habitant à Paris et Montpellier je trouve qu'il y a des jolies filles vraiment partout (après j'ai peut être de la chance sur les 2 endroits...).

Je trouve cependant vraiment plus de facilité en street à Paris. Je ne dis pas plus de succès : Le râteau typique de la parisienne qui ne t'adresse pas la parole ou te snobbe en te dévisageant de la tête au pieds pour te faire comprendre qu'elle n'oserait même pas chier sur toi de peur de salir son beau caca (comme dise les enfants) est vraiment très dur à obtenir à Montpellier. Par contre pour tout ce qui est des fois ou cela "fonctionne", ou l'interaction démarre, je trouve que cela est vraiment plus simple (de manière générale) à Paris.

Pour note, comme j'ai eut "l'autorisation" je cite mes compagnons :
La personne avec qui je fait le plus de street à Paris en ce moment est Romanticus, avec qui nous avons donc fait connaissance avec les deux hollandaises sus-cité (2 jour après avoir rencontré des Polonaise, le tour d'europe à domicile est en marche. On discutera de la turquie quand le cas se présentera).

L'autre (grace à qui j'ai recontré romanticus) est Blusher qui est un ami depuis... pfiou, bientôt 15 ans et que, couple oblige, je n'ai pas suivi dans la progression dans son art sur ce qui était notre loisir commun le plus agréable à l'époque...

Pour ce soir, FR d'une interaction vraiment sympa avec Romanticus un dimanche de juillet à Paris.

Nous avions prévu une séance vers hotel de ville avec d'autres où, temps pourri oblige, chacun reportait le moment de sortir et nous informait par SMS... Sauf moi... qui était déjà dans le RER à observer chaque goutte qui tombait comme un présage de moment de solitude sur le parvis.

Arrivé, je décide de commencer seul, avec l'énergie d'un chamalow oublié sur un radiateur en marche. Forcément l'efficacité est... réduite : Il pleut, les filles sont de mauvaise humeurs et un mec viens leur parler sans conviction... Bon... j'en fait 3-4 et je décide d'attendre un peu et de visiter Paris plage pour me donner de l'énergie.

Forcément à remede mauvais, guérison compromise. L'énergie n'a pas bougé d'un poil et en plus j'ai froid ! Qu'importe, plus que deux solutions : Soit je me pose dans un troquet pour prendre une boisson chaude (ou froide mais qui réchauffe), soit je tente tout de suite avec une passante charmante en faisant semblant d'être au taquet.

Je ne sais pas si vous avez déjà attendu une passante charmante à Paris plage un jour de pluie ?...
Ca prend du temps, longtemps, vraiment de quoi vous faire pencher pour la boisson ! Heureusement dans ces cas il reste une qualité fondamentale : L'orgueil ! Je ne pouvais pas me pointer devant les autres en disant "bon, ça fait 2h que je suis là et j'ai été minable, je n'ai pas eut une interaction de plus de 3 phrases et en plus je les comprend elles ont raison je suis une merde (et autre caliméroteries...)".

Donc après 20 minutes d'attente, deux qui passent en me plaisant moyennement, j'y vais avec une phrase incroyablement recherchée et en voulant montrer un max d'energie :
- Bonjour, on fait connaissance ?
...
Silence
...

En fait comme je m'étais entendu moi même, je comprenait leur inquiétude, je me demandais même pourquoi elle n'étaient pas parties en courant et hurlant : ce n'était pas un "opener" c'était une aggression ! J'avais le visage d'un mec qu'on allait enfermer en prison (oui, j'avais oublié le sourire...) et le reste devait certainement aller avec... Au bout de quelques secondes de silence pendant les quelles je m'applique à changer ça discretos en remontant un coin de lèvre pour faire "sourire" mais en faisant gaffe de ne pas faire "hyène prête à te bouffer qui te montre les dents" ou plus simplement "psychopathe cyclothymique", l'une des deux prend son courage à deux main et la parole :

- Heu, il y a d'autre manière de le demander.

Et moi emprunt de positivisme :
- Bha non ?... (si ! J'ai vraiment dis ça !).

Bref, elles n'ont pas couru mais sont reparties d'un pas pressé sans dire au revoir. L'approche de merde par excellence. Je suis sur qu'elles on guetté les informations pendant plusieurs jours pour voir si il n'y avait pas un flash sur un psychopathe aux yeux bleus à Paris plage.

Sauf qu'au final ça m'a fait vraiment marrer... et que pour le coup ça m'a filé la patate (allez comprendre pourquoi). A tel point que quelques secondes après en remontant l'escalier des quais vers la route, une autre fille passe. Je lui adresse la parole spontanément sans plus savoir ce que je lui dit exactement (ça pouvait être un "on fait la course" ou un tout con "vous venez souvent dans ces escaliers").
Elle rigole (sans pour autant être a moitié dans mon lit vu qu'on était à des kilomètres de celui-ci, mais je m'égare)
- Je vous accompagne jusqu'en haut, on peut faire des mauvaises rencontres sur ces marches
- (se marrant) Ok
- Si vous avez une pantoufle en vair il faut la perdre en haut, pas avant.
Elle se marre et on part le temps des escaliers sur une discussion "cendrillon" qui se fini comme ça :
- Par contre je vais prendre ton adresse avec ta chaussure, je prefère directement la faire essayer à la bonne personne, c'est plus efficace.
- Désolé, j'ai déjà quelqu'un et en plus j'ai besoin de mes deux chaussures pour rentrer chez moi, mais c'est excellent ! Bonne journée.

Sur ce, je voulais raconter la suite (j'ai retrouvé Romanticus juste après cela)... dans un prochain post ? Je vais essayer d'éviter de les faire tous aussi long, promis !

Je crois savoir, avec une certitude proche des 98%, qu'il s'agit là de mon meilleur wing montpellierain. Bienvenue a toi mec

Je me porte donc garant de la véracité de ses FR, comme c'est en débat sur un autre topic.

Je me met à côté d'elle en faisant la même chose en en dictant les consigne que me donnait mon téléphone :
- Avance, ralenti, serre a gauche, arrête toi, regarde là, rigole comme elle…

Alalala !!!!!

Du circonstancié, complètement spontané, je suis fan !

Arh, je suis démasqué !

Oui j'ai enfin décidé de m'y mettre et d'écrire ici. Par contre je remarque que par rapport à d'autres FR j'allonge vraiment les posts... (je n'en ferais pas 2 comme le premier ceci dit...)

Je vais essayer de raccourcir ça, à vous de me dire si ça vous va aussi, j'écris surtout pour échanger avec les autres.

Le sourire à l'envers
La suite de l'après midi temps pourri - Paris plage - où l'on s'est finalement vraiment marré.

Romanticus arrive, il fait donc un temps pourri, j'ai finalement la patate et il est super souriant. Après lui avoir raconté les aventures précédentes (voir ci-dessus) on tente gaiement d'aborder quelques jeunes filles. Pim, paf, bim… Bref, ça ne marche pas !

Quelle que soit l'interaction, on ne trouve pas le point déclenchant, ça ne prend pas ou l'on tombe carrément sur des filles désagréables (rare quand même). On arrive quand même à avoir une discussion sympa avec deux fille (allemandes parlant anglais) que l'on laisse à une boutique de frippe… pour revenir 30 secondes après en disant que non, on ne va pas partir sans tenter. Presque… l'une nous sort un truc genre : "Désolé on ne fait rien ce soir, on doit rentrer à l'hôtel avec un groupe à telle heure" et l'autre l'interrompt. Même sans comprendre l'allemand on voyait qu'elle lui disait d'arrêter de raconter des conneries. On a éclaté de rire et je lui ai proposé de lui apprendre à mentir (elle n'a pas pu s'arrêter de rire après et a rougis). La seconde semblait intéressée… Ceci dit nous n'avons rien obtenu (enfin, un FB qui n'a pas débouché). Le coup du mensonge bas et petit nous a quand même bien fait rire et l'on repart.

Sur le chemin, je constate que certaines personnes font tellement la gueule que l'on dirait qu'elle sourient à l'envers, je me dit que je n'arriverais même pas à le faire et Romanticus trouve ça génial comme opener (Merci à lui ! je n'y avais pas pensé ! cela a changé notre après-midi)
On commence donc entre nous à essayer de sourire à l'envers…. Essayez entre vous alors que vous êtes déjà de bonne humeur !… Résultat on arrive en se marrant comme des bossus sur le premier groupe de 2 filles, tranquillement en train de discuter devant le BHV. On était tellement dedans et le sujet tellement incongrus, qu'elle ont eut du mal à nous suivre et nous ont sans cesse posé la question si c'était une caméra cachée ou du théâtre.

Après être passée par toute les hypothèses (théâtre, elles ont même demandé si l'un des 2 était coach séduction…) on redescend et constate que l'on a du mal à "accrocher" plus que cela. Ca fait 10 bonnes minutes que l'on parle, elles sont très sympa et se marrent, mais vraisemblablement énormément sur leur garde.

A un moment je décide d'essayer "d'inverser la situation", plus par jeu qu'autre chose :
- Vous arrêtez souvent les filles dans la rues pour demander des trucs comme ça ?
- Mais ??? c'est vous qui nous avez arrêté ! Vous étiez déjà arrêtées alors que nous on marchait ! Vous arrêtez souvent les gens qui passent comme cela dans la rue

Cela sur plusieurs sujets. Comme on en rigole tous je continue, mais c'est un peu "compliqué". Au final je ne sais plus exactement comment l'on arrive à leur proposer de prendre un verre maintenant (Romanticus, si tu veux compléter ma mémoire….) mais c'est laborieux… et à la fin… ça marche !

Nous allons prendre un verre tous les 4 (deux ou trois autres doivent encore arriver !) et la discussion est intéressante. Depuis le début on voyait qu'elle se donnaient des faux noms (ou avaient intervertis leur prénoms) mais elle se grille magistralement lors de la discussion.

Après un bon moment, l'une des deux, qui tiens ce sujet depuis le début, nous reparle de "séduction" et nous explique qu'elle connait un coach anglais (on ne saura pas le quel…) et que c'est pour ça qu'elle nous soupçonnais d'utiliser ce genre de technique. Peu après elle nous explique qu'elle est love coach. J'essaye de vérifier ce point en glissant notamment un ou deux termes (kissclose et je ne sais plus quel autre) sans aucune réaction de sa part. Bref.

Pour finir, les autres arrivent, l'une des deux, très sympa, nous file son numéro (à Romanticus et moi) et l'on conviens de se revoir. De mon côté j'ai un train à prendre et je fonce en laissant les deux demoiselles, Romanticus et nos deux autres compagnons qui arrivent tout juste dans une discussion agréable qui a apparemment bien duré.

De mon côté j'étais plutôt content que cette journée si mal partie se soit si bien terminée. L'idée du sourire à l'envers m'a donnée envie de refaire des conneries dans le genre (en 2002 je crois, le 1er avril, avec Blusher d'ailleurs qui avais fini en finale, j'avais lancé une compétition impromptue de "je te tiens - tu me tiens par la barbichette" en pleine rue, avec des passants, automobilistes au feu rouge… c'était énorme ! ). Si vous avez des idées...

On commence donc entre nous à essayer de sourire à l'envers…. Essayez entre vous alors que vous êtes déjà de bonne humeur !… Résultat on arrive en se marrant comme des bossus sur le premier groupe de 2 filles, tranquillement en train de discuter devant le BHV. On était tellement dedans et le sujet tellement incongrus, qu'elle ont eut du mal à nous suivre et nous ont sans cesse posé la question si c'était une caméra cachée ou du théâtre.

Après être passée par toute les hypothèses (théâtre, elles ont même demandé si l'un des 2 était coach séduction…) on redescend et constate que l'on a du mal à "accrocher" plus que cela. Ca fait 10 bonnes minutes que l'on parle, elles sont très sympa et se marrent, mais vraisemblablement énormément sur leur garde.

Mais que vous êtes cons !!!
Evidemment, j'essaie de sourire a l'envers en te lisant, et évidemment je me marre comme un con.

Toute analyse technique de ce genre de chose est voué a l'échec, mais c'est a lire (après y en a qui mettent en doute l'intérêt des FR ).

en 2002 je crois, le 1er avril, avec Blusher d'ailleurs qui avais fini en finale, j'avais lancé une compétition impromptue de "je te tiens - tu me tiens par la barbichette" en pleine rue, avec des passants, automobilistes au feu rouge… c'était énorme ! )

J'aime beaucoup cette idée !
J'avais moi même fait ce genre de chose, comme aussi des demandes en mariage en pleine rue, a genoux, au beau milieu de la comédie.

Ou plus récemment une partie de frisbee invisible sur la terrasse de l'Australian.

Ceci dit, souvent faut désarmer quelques défenses pour que les filles s'amusent réellement avec toi. Envoyer un swissball en pleine rue a une fille qui marche seule, et penser qu'elle va le renvoyer spontanément est un peu présomptueux et elle le reçoit en pleine tête.

citation: "Cela sur plusieurs sujets. Comme on en rigole tous je continue, mais c'est un peu "compliqué". Au final je ne sais plus exactement comment l'on arrive à leur proposer de prendre un verre maintenant (Romanticus, si tu veux compléter ma mémoire….) mais c'est laborieux… et à la fin… ça marche !"

Juste pour information: je me souviens assez bien de ce qui s'est passé. En gros, je les avais opené avec le sourire à l'envers en leur demandant de choisir qui, parmi Whez et moi, savait le mieux sourire à l'envers.

Cette question les faisait halluciner. Et le fait qu'on était à fond dans notre univers les étonnait également.

Elles nous ont demandé s'il y avait une caméra cachée, puis, elles nous ont demandé si on était des acteurs et puis, elles nous ont demandé si on prenait de la coke... bref... C'était refus, sur refus, sur refus. Mais, on répondait avec jovialité que, en fait, on voulait vraiment savoir qui savait faire un sourire à l'envers.

Et là, elles se sont légèrement décoincées et elles sont rentrées dans notre jeu. Et puis, à ce moment là, Whez propose de les inviter à prendre un verre et elles refusent de nouveau. A ce moment là, moi, j'en avais assez et j'ai failli me barrer quand Whez a fait un truc que je trouve absolument génial et audacieux, un truc que je n'aurais jamais osé faire; un truc qui m'a beaucoup appris et qui m'est très utile.

Il a persisté, avec jovialité et une bonne humeur inusable.

Il a pris la main de la fille qui faisait le plus de refus (alias sabrina - émilie) et lui dit avec humour et en faisant le clown: "allez, tu vois, prendre un café c'est pas si difficile" en l'emmenant vers une terrasse.... Et c'est comme ça qu'on a pris un café avec elles.