Serveuse - comme à l'entraînement
Posté : 25.09.10
Voici mon premier FR. J‘ai très peu sargé ces derniers mois: depuis ma découverte du game, mes quelques histoires avec les filles ont été riches en émotions mais pas vraiment « reportables » , mais entretemps il y a tout de même eu ce moment spécial où j’ai pu vraiment faire de la drague pure et dure, et sentir « l’effet FTS »
Au programme: que du basique, que du classique! Ça s’est passé cet été quelque part en banlieue parisienne, en marge de ma formation pour les premiers secours.
I) Mise en condition
Au passage, je recommande à tous ceux qui n’ont pas suivi cette formation de la faire, déjà le diplôme de secouriste et les connaissances qui vont avec valent le coup, et par ailleurs c’est un excellent exercice social: vous débarquez dans un groupe de gens qui ne se connaissent pas, à vous de fluffler tout le monde, de gammer les filles, en bref, de mettre en application tout ce que vous avez appris sur FTS. N’oubliez pas la crédibilité: un peu d’application sur la partie technique de la formation, une bonne dose de sang froid dans les mises-en scène dramatiques des exercices pratiques vous placeront loin au dessus des timides et des vieux gars qui se touchent en attendant que ce diplôme sans réelle sélection leur tombe dans le bec.
C’est ce que j’ai fait ce week end, et je me suis retrouvé catapulté à la place de mâle alpha du groupe. Sympa, mais il n’y avait pas de fille vraiment motivante sur cette session, c’est donc avec un mojo d’enfer et l’esprit libre que je me suis retrouvé le dimanche midi à boire un coup à une terrasse avec un mec et deux filles de la formation pour fêter notre superbe diplôme de secouriste.
Serveuse toute mignonne, la vingtaine. Un petit air innocent et des lunettes sévères, j’adore
Le mec avec nous, un cinquantenaire en pleine forme, commente avec moi le physique de la demoiselle, genre miam miam, tout ça tout ça… Je lui dis que je la brancherais bien, il me répond qu‘il voudrait bien voire ça. A ton service l‘ami…
II) Abordage
On commande, elle amène les boissons, et nous demande:
Serveuse: "Vous désirez autre chose?
Terrigan: (voix très calme, regard assuré, demi sourire amusé, tout comme c‘est écrit dans le FTS 101) oui, il me faudrait votre numéro de téléphone s’il vous plait.
S: (surprise) Mais pourquoi faire?
T: pour vous appeler pardi
S: Et pour me dire quoi?
T: Rien du tout. Je vous donnerai rendez-vous et on ira boire un café.
S:
Mais… ça se fait de draguer les serveuses comme ça?
T: Oui oui. Mais il ne faut pas faire n’importe quoi parce que là vous êtes au boulot et ça se respecte. (je change de ton, moins d’assurance, plus d’innocence) C’est pour ça, si on pouvait se voir un peu plus tard quand vous aurez du temps libre, comme ça on pourrait faire connaissance tous les deux.
S:
Je… je vais voir."
Elle s’en va, mes camarades hallucinent.
Elle me montre à ses collègues, je discute l’air de rien, elle met du temps à revenir, je sors fumer une clope, et au passage je lui glisse un petit
« Vous m‘oubliez pas mademoiselle?! »
- « j’arrive »
III) Suite et fin des négociations
Elle me rejoint dehors avec une boisson, ça sent la pause et c’est bon signe, elle me donne cinq minutes pour la convaincre.
S: (toujours un peu troublée) « en fait c’est plutôt ma collègue qui est intéressée par vous, en plus elle est célibataire, je peux vous donner son numéro si vous voulez. (paye ton shit test. Et elle est toute vilaine ta collègue. Tu m’auras pas comme ça)
T: Ah non ça va pas être possible. C’est avec vous que j’ai envie de passer du temps, et puis j’aime pas le principe, on n’est pas au supermarché.
S: mais moi j’ai un copain.
T: oh bah non alors, on se connaît à peine et vous me parlez déjà de vos problèmes… (j’avoue, les vielles routines chopées sur FTS, ça aide…)
S: mais non c’est pas un problème
T: bon bah y’a pas de problème alors. Quand est-ce qu’on boit un coup?
S: en fait je suis rarement là en semaine, j’habite à Lille.
T: et vous faites quoi là bas?
S: je suis en école de [profession paramédicale]
T: Non! -_- (fou rire)
S: Quoi?
T: c’est le métier de ma mère!
Véridique. Ça m‘a bien facilité les choses. Et vas-y que je te fluffe sur ce boulot, en faisant parler la belle sur ses motivations et son boulot de serveuse pour financer ses études, afin d'éviter l'exposé chiant sur ma mère et son business, ensuite on a enchaîné sur la vie à Lille et sur les sorties sympa qu’on peut se faire à Paris. L‘occasion de se présenter, de se tutoyer, d’arrêter un peu de jouer au chat et à la souris, de créer du confort quoi…
Le reste est anecdotique. Finalement au sortir d’une conversation qui aura duré dix minutes, et après plusieurs rappels à l'ordre de ses collègues, elle a repris son service sans me donner son fameux numéro. A la place, elle m’a demandé de revenir la voir au café le week end suivant, avec un mot gentil du style « c’est vraiment sympa de discuter avec toi », enfin un truc du genre.
Je n’y suis jamais retourné car entretemps j’ai réussi à sortir avec ma cible du moment. Grave erreur. Toujours avoir plusieurs fers au feu…
Au programme: que du basique, que du classique! Ça s’est passé cet été quelque part en banlieue parisienne, en marge de ma formation pour les premiers secours.
I) Mise en condition
Au passage, je recommande à tous ceux qui n’ont pas suivi cette formation de la faire, déjà le diplôme de secouriste et les connaissances qui vont avec valent le coup, et par ailleurs c’est un excellent exercice social: vous débarquez dans un groupe de gens qui ne se connaissent pas, à vous de fluffler tout le monde, de gammer les filles, en bref, de mettre en application tout ce que vous avez appris sur FTS. N’oubliez pas la crédibilité: un peu d’application sur la partie technique de la formation, une bonne dose de sang froid dans les mises-en scène dramatiques des exercices pratiques vous placeront loin au dessus des timides et des vieux gars qui se touchent en attendant que ce diplôme sans réelle sélection leur tombe dans le bec.
C’est ce que j’ai fait ce week end, et je me suis retrouvé catapulté à la place de mâle alpha du groupe. Sympa, mais il n’y avait pas de fille vraiment motivante sur cette session, c’est donc avec un mojo d’enfer et l’esprit libre que je me suis retrouvé le dimanche midi à boire un coup à une terrasse avec un mec et deux filles de la formation pour fêter notre superbe diplôme de secouriste.
Serveuse toute mignonne, la vingtaine. Un petit air innocent et des lunettes sévères, j’adore
Le mec avec nous, un cinquantenaire en pleine forme, commente avec moi le physique de la demoiselle, genre miam miam, tout ça tout ça… Je lui dis que je la brancherais bien, il me répond qu‘il voudrait bien voire ça. A ton service l‘ami…
II) Abordage
On commande, elle amène les boissons, et nous demande:
Serveuse: "Vous désirez autre chose?
Terrigan: (voix très calme, regard assuré, demi sourire amusé, tout comme c‘est écrit dans le FTS 101) oui, il me faudrait votre numéro de téléphone s’il vous plait.
S: (surprise) Mais pourquoi faire?
T: pour vous appeler pardi
S: Et pour me dire quoi?
T: Rien du tout. Je vous donnerai rendez-vous et on ira boire un café.
S:
Mais… ça se fait de draguer les serveuses comme ça?T: Oui oui. Mais il ne faut pas faire n’importe quoi parce que là vous êtes au boulot et ça se respecte. (je change de ton, moins d’assurance, plus d’innocence) C’est pour ça, si on pouvait se voir un peu plus tard quand vous aurez du temps libre, comme ça on pourrait faire connaissance tous les deux.
S:
Je… je vais voir."Elle s’en va, mes camarades hallucinent.
Elle me montre à ses collègues, je discute l’air de rien, elle met du temps à revenir, je sors fumer une clope, et au passage je lui glisse un petit
« Vous m‘oubliez pas mademoiselle?! »
- « j’arrive »
III) Suite et fin des négociations
Elle me rejoint dehors avec une boisson, ça sent la pause et c’est bon signe, elle me donne cinq minutes pour la convaincre.
S: (toujours un peu troublée) « en fait c’est plutôt ma collègue qui est intéressée par vous, en plus elle est célibataire, je peux vous donner son numéro si vous voulez. (paye ton shit test. Et elle est toute vilaine ta collègue. Tu m’auras pas comme ça)
T: Ah non ça va pas être possible. C’est avec vous que j’ai envie de passer du temps, et puis j’aime pas le principe, on n’est pas au supermarché.
S: mais moi j’ai un copain.
T: oh bah non alors, on se connaît à peine et vous me parlez déjà de vos problèmes… (j’avoue, les vielles routines chopées sur FTS, ça aide…)
S: mais non c’est pas un problème
T: bon bah y’a pas de problème alors. Quand est-ce qu’on boit un coup?
S: en fait je suis rarement là en semaine, j’habite à Lille.
T: et vous faites quoi là bas?
S: je suis en école de [profession paramédicale]
T: Non! -_- (fou rire)
S: Quoi?
T: c’est le métier de ma mère!
Véridique. Ça m‘a bien facilité les choses. Et vas-y que je te fluffe sur ce boulot, en faisant parler la belle sur ses motivations et son boulot de serveuse pour financer ses études, afin d'éviter l'exposé chiant sur ma mère et son business, ensuite on a enchaîné sur la vie à Lille et sur les sorties sympa qu’on peut se faire à Paris. L‘occasion de se présenter, de se tutoyer, d’arrêter un peu de jouer au chat et à la souris, de créer du confort quoi…
Le reste est anecdotique. Finalement au sortir d’une conversation qui aura duré dix minutes, et après plusieurs rappels à l'ordre de ses collègues, elle a repris son service sans me donner son fameux numéro. A la place, elle m’a demandé de revenir la voir au café le week end suivant, avec un mot gentil du style « c’est vraiment sympa de discuter avec toi », enfin un truc du genre.
Je n’y suis jamais retourné car entretemps j’ai réussi à sortir avec ma cible du moment. Grave erreur. Toujours avoir plusieurs fers au feu…