[Journal] Les règles du "Je"
Posté : 27.03.11
Règle n°1 : Savoir qui nous sommes et ce que l'on veut
DeBaya :
Jeune homme dans la vingtaine, taille moyenne, carrure musclée, sur de lui, de son charme et de son bien être lorsqu'il est entouré de femmes.
Demande souvent trop aux autres, impulsif, colérique, quelque fois violent et solitaire.
Un paradoxe névrosé en quelques sortes.
J'ai déjà été longtemps présent sur le forum avec un autre compte. Par soucis de discrétion (LTR depuis plus d'un an), je préfère commencer un nouveau parcours avec cette identité qui colle mieux à ma nouvelle vie.
"Baisé"
Dans la région où je suis les hommes sont des bouts de viandes. Vous êtes là, messieurs, pour assurez la pérénité de la demoiselle dans la société, l'élevé socialement et financièrement.
Il n'est pas rare de voir des femmes de 20 ans, mère et marié avec un homme de 45 ans financièrement aisé, sortir avec le petit jeune de 21 ans que vous êtes juste pour apprécier la soirée, un bout de la nuit et la ramené aux horaires, fatigué mais satisfaite auprès de son mari qui sait parfaitement ce qui s'est passé.
Je viens d'arriver dans cet atmosphère chaude et torride. Les nuits sont courtes, endiablées, la musique rythme les corps qui se délassent dans une atmosphère de sodom et gomorrhe angélique.
Ce week end a été riche en émotion, en compréhension et découverte. Avec une révélation (non religieuse) à la clef. Ici ce n'est pas la France. Ce n'est pas l'Enfer. Ce n'est pas le Paradis. C'est un subtil, délicieux, écoeurant mélange des trois.
"Tu leur fais peur"
Je rentre dans le bar. Quelques militaires qui profitent de leur rare temps libre pour se mettre minable, danser a en tremper leur tenue beige, képi blanc à la main, et repartir à la fin de la soirée avec une prostituée à 20euros. Des anciens, des jeunes filles qui ne m'attirent pas.
On s'installe, on discute, je m'approche du bar pour commander.
Mon collègue me rejoint et me présente à une fille.
On s'éjecte parce qu'elle ne me plait pas vraiment, mais je la garde sous le coude en lui proposant de venir boire un verre avec nous.
Elle ne viendra pas, sa copine se fait draguer par un légionnaire qui n’hésite pas a sortir la CB pour assouvir leur besoin féminin en alcool.
On change d'endroit.
Rose arrive. Elle est mignonne dans sa robe mise en valeur par son teint halé, ses talons blanc et ses cheveux frisé. Je fluff avec elle, très peu vu mon extinction de voix. Je l'invite a danser. Erreur fatale, je n'ai jamais vu une planche de bois dansé aussi mal.
Tant pis on continue tant bien que mal, j'essaye d'assurer un minimum la phase de comfort.
On ressort, on décide de repartir a un autre endroit. Elle appellera un mec qui ira droit au but "passe chez moi j'ai envie de toi". Elle s'en va. Pas de qualification, attentiste, peu d'attract je récolte ce que j'ai semé.
Je parle avec la copine d'un collègue qui tiendra ses mots intéressants :
"Toi tu es arrivé dans le bars, les yeux se sont tournés vers toi. Tu "marches comme le lion" (expression de son pays), le menton haut et droit devant toi. Les filles ne viendront pas vers toi, elles se disent : "il est trop beau, il m'enverra balader", c'est à toi d'aller vers elle."
Puis je suis rentré me couché, vaincu par deux échecs, ma voix qui décidément ne veut pas revenir et la fatigue de la nuit passée.
Désireux de combattre, vaincre et comprendre. On verra dans deux semaines
DeBaya :
Jeune homme dans la vingtaine, taille moyenne, carrure musclée, sur de lui, de son charme et de son bien être lorsqu'il est entouré de femmes.
Demande souvent trop aux autres, impulsif, colérique, quelque fois violent et solitaire.
Un paradoxe névrosé en quelques sortes.
J'ai déjà été longtemps présent sur le forum avec un autre compte. Par soucis de discrétion (LTR depuis plus d'un an), je préfère commencer un nouveau parcours avec cette identité qui colle mieux à ma nouvelle vie.
"Baisé"
Dans la région où je suis les hommes sont des bouts de viandes. Vous êtes là, messieurs, pour assurez la pérénité de la demoiselle dans la société, l'élevé socialement et financièrement.
Il n'est pas rare de voir des femmes de 20 ans, mère et marié avec un homme de 45 ans financièrement aisé, sortir avec le petit jeune de 21 ans que vous êtes juste pour apprécier la soirée, un bout de la nuit et la ramené aux horaires, fatigué mais satisfaite auprès de son mari qui sait parfaitement ce qui s'est passé.
Je viens d'arriver dans cet atmosphère chaude et torride. Les nuits sont courtes, endiablées, la musique rythme les corps qui se délassent dans une atmosphère de sodom et gomorrhe angélique.
Ce week end a été riche en émotion, en compréhension et découverte. Avec une révélation (non religieuse) à la clef. Ici ce n'est pas la France. Ce n'est pas l'Enfer. Ce n'est pas le Paradis. C'est un subtil, délicieux, écoeurant mélange des trois.
"Tu leur fais peur"
Je rentre dans le bar. Quelques militaires qui profitent de leur rare temps libre pour se mettre minable, danser a en tremper leur tenue beige, képi blanc à la main, et repartir à la fin de la soirée avec une prostituée à 20euros. Des anciens, des jeunes filles qui ne m'attirent pas.
On s'installe, on discute, je m'approche du bar pour commander.
Mon collègue me rejoint et me présente à une fille.
Pour quelqu'un qui arrive de métropole, c'est une sensation étrange. Les filles ne masquent pas leur intérêt, elles sont consciente de leur envie de sexe et la font partager.Collègue : je te présente Debaya il vient d'arriver
Elle : *parle dans sa langue*
Moi : Enchanté *smile* + *bise*
C : il est où ton copain ce soir
E : *en me regardant dans les yeux* pas de copain ce soir, dispute, copain à la maison, je m'amuse. *clin d'oeil*
On s'éjecte parce qu'elle ne me plait pas vraiment, mais je la garde sous le coude en lui proposant de venir boire un verre avec nous.
Elle ne viendra pas, sa copine se fait draguer par un légionnaire qui n’hésite pas a sortir la CB pour assouvir leur besoin féminin en alcool.
On change d'endroit.
Rose arrive. Elle est mignonne dans sa robe mise en valeur par son teint halé, ses talons blanc et ses cheveux frisé. Je fluff avec elle, très peu vu mon extinction de voix. Je l'invite a danser. Erreur fatale, je n'ai jamais vu une planche de bois dansé aussi mal.
Tant pis on continue tant bien que mal, j'essaye d'assurer un minimum la phase de comfort.
On ressort, on décide de repartir a un autre endroit. Elle appellera un mec qui ira droit au but "passe chez moi j'ai envie de toi". Elle s'en va. Pas de qualification, attentiste, peu d'attract je récolte ce que j'ai semé.
Je parle avec la copine d'un collègue qui tiendra ses mots intéressants :
"Toi tu es arrivé dans le bars, les yeux se sont tournés vers toi. Tu "marches comme le lion" (expression de son pays), le menton haut et droit devant toi. Les filles ne viendront pas vers toi, elles se disent : "il est trop beau, il m'enverra balader", c'est à toi d'aller vers elle."
Puis je suis rentré me couché, vaincu par deux échecs, ma voix qui décidément ne veut pas revenir et la fatigue de la nuit passée.
Désireux de combattre, vaincre et comprendre. On verra dans deux semaines