LR d'une traite 6h30, delta age = 17, indirect, 6 changements de lieu.
C'est long (5 écrans de saisie)
J'arrive dans une petite gare prendre le dernier train de la journée. Il y a 2 bornes à billets, une jeune et sa mère en train de prendre un billet à une d'entre elles. Loin d'être une HB, mais un côté frais / intello. Par réflexe maintenant, pour pas faire AFC, je feigne (mais est-ce feindre, quand c'est devenu en grande partie du réflexe ?) d'être impatient et je fais quelques pas vers l'autre borne, mais je m’aperçois que je ne peux pas y prendre mon billet.
Le set s'en va, manifestement craignant de rater le départ du train (la borne ne proposait qu'un seul mode de payement). Encore, par réflexe (le genre de réflexe qu'on a maintenant, quand on arrive sur un Lieu, d'être social pour DHV - cette cible ne m’intéressait pas particulièrement), je lève la main pour attirer leur attention et leur proposer de prendre leur billet, mais elles sont déjà parties (je suis trop cool, je bouge trop lentement :-)
J'arrive au train, et j'entre par une extrémité, afin de parcourir le train à la recherche d’éventuelles cibles (le Game, c'est un état d'esprit, à faire dans toutes les actions de la vie courante). Le train est bondé et... je croise en contre-sens la jeune f. de tout à l'heure.
Je l'accroche sur son incident billet (je ne me souviens plus exactement comment). C'est une personne extrêmement communicative (elle serait un bon player), probablement dû à sa CSP. Encore une fois, la socialisation est plus pour me DHV dans la rame (mais comment savoir si c'est pas aussi mon inconscient qui me pousse à m'accrocher à tout ce qui peut représenter une opportunité déjà avancée de 0.1% vers le F-close, par rapport à la foule de femmes où on part de 0% ?). Juste 2 phrases échangées, je lui dis qu'elles ont gâché, j'aurais pu lui prendre son billet, elle dit "ah oui, en effet", elle est souriante. Je ne veux pas faire trop l'AFC qui s'accroche à la conversation (j'ai pas encore vu s'il y avait d'autre cibles intéressantes, je ne suis que dans le premier compartiment !), je fais donc de poursuivre mon chemin... elle s'assoit... Il y a vraiment beaucoup de monde, peu de places libres, ce qui veut dire que même si je vois une cible, pas dit que je peux m’asseoir à côté ou ouvrir (pas que j'ai déjà eu du succès dans cet environnement, j'avais plutôt des "je fais peur aux gens" à mon actif dans ce terrain). Je me retourne donc vers elle: "il y a plus de place plus loin ?" (inconsciemment je teste son niveau d'attraction), tout en remarquant qu'il y a une place juste à côté d'elle, par-dessus le couloir. "Non, c'est blindé". Moi :"Pfff, ok" (et je m'assois, en l'ignorant complètement, sortant mon travail). Elle fait de même.
La contrôleuse arrive. Elle lui explique son problème. Et j'en profite C&F: "je confirme, j'étais là". Et là, hop, le type à côté de moi, à la fenêtre, se prend à jouer les chevaliers sauveurs lui aussi (!). Encore une fois, la fille ne m'intéressait pas plus que ça (trop style "garçon manqué"), physique de 7. Mais j'ai pas souvent eu l'opportunité d'avoir de la compétition qui soit pas déjà dans le set. Or, de la compétition qui n'est pas dans le set, c'est typiquement le modèle anglo-saxon. C'est l'opposé de notre pays latin, où le mecs du groupe sont propriétaires des filles (et où du coup tous les trucs anglo-saxons, on a du mal à les appliquer). Et me voilà donc en train de gérer le mec. Une fois l'aspect billet réglé (le type a failli faire capoter la négociation de la fille, en agressant trop la contrôleuse), on revient au silence. Je lui lance quelques regards et remarques sur comment on a failli faire capoter sa négociation, elle répond souriante, mais pas plus.
Elle commence à me plaire cette fille... ? où j'ai déjà "tellement" investi (et eu assez de IOI pour sentir le FC à 3% ?) Bref, après quelques minutes à regarder ce sur quoi elle travaille, je reinitie avec un cold read. De là, on parlera non-stop pendant 45 minutes (par-dessus le couloir), le temps du trajet, avec un test de confiance, et autres jeux de mains au milieu. Le type interviendra plusieurs fois, elle sera joueuse et essaiera de le ramener dans la conversation, pour me tester, j'ai alterné pawning du mec et l'amener sur conversation ennuyeuse (Tyler).
J'ai clairement des références socio-culturelles communes avec elle. Je me lève à un moment, pour tenter un changement de lieu (elle était assez consciente que tout le wagon nous/me regardait, car elle regardait un peu autour au moments où je faisais des trucs trop énormes).
Le type, que je reverrai le lendemain tout à fait par hasard, me confirmera que lorsque je me suis levé, elle avait maté mon cul avec une expression sur le visage tout à fait non dissimulée (merci les shorts moulants).
Mais il y a trop de monde, donc on bouge pas. On arrive à destination, on descend ensemble, je prends des infos logistique (où elle habite). Elle me dit devoir visiter des amis ce soir là (il est 22h passées). On se dirige vers les transports en commun (elle parle vraiment beaucoup, j'ai pas beaucoup de travail à faire, juste canaliser, elle veut clairement se qualifier, et je distribue le IOI à chaqe fois - créer du lien). Sur le chemin vers les transports en commun, on se fait rattraper par un groupe mixte d'amis à elle (2-3). On avait pas dit clairement comment on partait de la gare, ni l'un ni l'autre, pas de #close. Donc, cette interruption est salutaire, car on se retrouve à les accompagner ver l'arrêt du tram. J'observe pendant quelques minutes : puisqu'on est en train de marcher, c'est pas très grave si je suis silencieux (je me fais quand même présenter). On arrive à l'arrêt, elle a une bonne dynamique avec le mec du groupe, je sens de l'attraction, c'est le moment d'agir. Routine de la copine bisexuelle, c'est bon, groupe captivé. Il y a un incident sur la ligne, plus de tram pour un momnet. Moi : "bon, je vais prendre un vélo". Elle elle va au bus, on en profite pour prendre congé "au fait, je suis en sécurité avec elle ?", je lance au groupe, pour casser la tension de notre départ ensemble.
Elle me fait part tout de suite de son étonnement (mais je sens qu'elle n'est pas mécontente) de mon sujet de discussion avec ses amis M: "Tu es mécontente". E: "Non" (en souriant).
On est à mi-chemin vers les vélos (en fait, on est dans sa station de bus, je me rends compte maintenant), et elle redit "oui, je dois aller à cette visite". Je sens que c'est le moment du Pont. Je m'arrête, et je la regarde, l'air de réfléchir. Elle: .... "Oui
Qu'est-ce qu'il y a ?". M: "Rien, je suis en train de considérer les implication de ton invitation..." E: "Oh oui, tu peux venir ! ". Moi: "... ok. Mais je peux pas rester longtemps blah, blah". On se met à marcher (c'est pas loin). J'en profite pour faire du kino corporel/joueur (la pousser, etc).
Je tente un passage par chez moi pour déposer mon sac, mais c'est vraiment trop loin, on va chez ses amis (qu'elle venait juste des rencontrer, était sortie avec eux 1 fois, 1 couple).
Je prépare un peu le terrain, en lui proposant de jouer le couple mystérieux, enfin, un jeu de complicité quelconque, et elle s'en réjouit. Cela semble plus dur à faire: soit chacun des nous, soit les deux avons pas assez de HSE, donc au début on se fait un peu compétition à "draguer" le couple, à faire le paon social (elle serait une bonne joueuse). Je m'en rends compte cependant, et j'essayerai pendant le reste de l'1H45 qu'on est restés (c'était une invitation à manger un gâteau en fait - vive le Game lifestyle), j’essayerai au maximum de la regarder de manière très intense à chaque fois que je peux le faire discrètement, en changeant de position dans la pièce, en travaillant les angles, etc. (En plus c'était des gens intéressants, et les jeunes c'est toujours plein d'énergie. Vice le Game lifestyle.)
Il commence à se faire tard, mais la soirée a bonne dynamique, je sens que je dois prendre l'initiative sur un moment haut, et je prétexte le besoin de faire juste un saut pour des courses alimentaires (c'est un bon bounce ça) avant que ça ferme. Elle en profite aussi pour dire qu'elle doit se lever tôt (c'est bon de prendre l'initiative).
On descend dans la rue, et on commence tout de suite à parler du plan de mise en scène ratée, etc. en s'arrêtant juste sous leur fenêtre. Après le regard intense dans l'appart, c'est le moment de KC. Je me pose contre un poteau de sécurité sur le trottoir, elle me fait face. Je lui prends le sac que je mets par terre, pour lui libérer les mains. M: "Qu'est-ce que tu as dans le sac ? " C'est un truc à manger, donc, forcement, il faut qu'elle m'en donne (investissement). Par bonheur, c'est des fruits qui vont par deux (idéal pour le partage). J'en prend un, et je tends l'autre vers sa bouche. Une fraction de seconde, même pas d’hésitation, je ne bouge pas, elle le prend, et, tout de suite, en rigolant "C'est trop cliché" M:"... tu trouves ? Moi je pense que c'est uniquement les fraises." (garder la frame). Lorsque après je lui demanderai, à la Tyler (?), quand est-ce qu'elle a sû que ça se passerait, elle m'a dit que c'était cet épisode là (mais ça pourrait aussi être non sincère: quand on prépare certains concours, on apprend à trouver vite des "bonnes réponses" à ce type de questions).
Et hop, pour relâcher la tension, je lui rappelle qu'elle doit n’emmener au commerce de nuit. Ils n'ont pas ce que je cherche dans le commerce, et là elle me dit qu'elle en a plein chez elle. Un peu de hard 2 get, mais je fais "ok" (rester "comme si c'était normal").
On arrive chez elle, elle me fait visiter (intérieur de fille occidentale typique, bordélique - mais pas trop crade :-) On éteint les lumières pour éviter l'entrée des moustiques. Elle parle beaucoup, donc elle casse souvent le bon moment. Notamment, je commence routine cheveux, et elle trouve qu'ils sentent mauvais, donc je dois me lancer dans l'histoire derrière. On admire pour une 2e fois la vue depuis sa meilleur fenêtre, et en l'enlaçant par derrière, elle me fait un petit bisous sur le creux du bras. Je ne sais pas pourquoi je ne l'ai pas retourné et embrassé à ce moment là, elle a du recommencer à parler. Comme je ne sens pas la confiance encore assez haut, je tente le dernier changement de lieu, chez moi (malgré l'heure avancée - "comme ça on sera à égalité"). Petite réticence d’horaire, enlevée par time contraint et promesse de la raccompagner. Et, alors qu'on est en train de se préparer à partir, dans le noir, elle doit faire encore un truc chiant mais marrant, qui m'arrache un "qu'est-ce que je vais faire de toi"..., elle est là, proche, immobile, j'attrape son visage entre les mains, KC (un peu trop soutenu pour un premier, j'ai un peu trop ouvert la bouche, elle me le dira après :-) Je l'embrasse bien une 2e fois avec étreinte, pour cimenter, et on part, main dans la main, je l'embrasse régulièrement quand elle DHV (et elle DHV tout plein).
On arrive chez moi, impressionné par mon appart de mac. On commence à s'enlacer et à s'embrasser sur le canapé, mais pas de place, donc on bouge sur le lit. Découverte des corps à notre aise, et finger-close sans aucune LMR. C'est elle qui me demande de FC. FC.
Cependant, elle n'arrivera pas à dormir après, et, les premiers tramways se faisant entendre, elle voudra partir (pas de petit déj, pas de douche ensemble :-( ) Elle avait eu du mal aussi a dormir tout nue. Elle argumentera son jeune âge pour tout ça (j'ai déjà eu cet argument avec une autre pour la nudité). Mais c'est vrai que le soir suivant je me les suis un peu caillé (mettre le chauffage).
On a eu un autre RDV raté depuis, elle est en voyage là, on verra. Jamais FC un cible aussi jeune et aussi HV.
PS. Comme elle avait un peu mal (pas trop l'habitude, encore jeune), je n'ai pas joui. Vu comment elle a joué les difficiles après, ça me rappelle une croyance que j'ai du chopper dans un film: qu'une fille ne considère pas que il y a eu sex si le mec ne jouit pas.