Je ne dépends de personne pour être heureux
Posté : 23.06.05
J'ai l'impression qu'il manque quelquechose. Suis-je le seul ?
Malgré tout ce que j'ai pu apprendre sur la séduction, malgré tous mes progrès, mes succès et la belle confiance que je me suis forgée, je sais que la dernière porte, celle qui ouvre sur l'avenir, me reste fermée.
J'ai souvent lu des phrases du genre : "L'étape ultime : partir" ou "Pour finir, rangez la séduction dans un coin de votre tête".
Je ne sais pas si c'est vraiment ça, la dernière solution. Cela en fait sans doute partie... mais justement, je sens bien que ce n'est que la conséquence d'une notion bien plus complexe.
Je suis sûr que vous aussi, après un PU réussi (ou raté), au cours d'une entreprise de séduction, vous ressentez ce malaise, cette impression de jouer une comédie ridicule, de revenir toujours au point de départ, de tourner en rond sans vraiment parvenir à trouver ce que vous cherchez. La fille, elle aussi est sans doute malheureuse, au fond, même si au mieux elle se laisse séduire.
D'abord, quel est ce but que nous poursuivons ? Le bonheur. Vous pouvez prendre n'importe quel passage de la pensée chrétienne, pas chrétienne, athée, peu importe, vous verrez que le but profond de l'homme, c'est de trouver le bonheur. Vous le savez d'instinct, n'est-ce pas ? Pourquoi faisons-nous tout ce que nous faisons ? Pourquoi se tuer à gagner de l'argent, à apprendre la séduction, à cultiver le plaisir... pourquoi vivre, tout simplement ?!
Or, difficile de savoir si ce pur bonheur que nous cherchons est accessible sur la Terre. En tout cas, pour l'instant, aucun humain ne l'a trouvé, si ce n'est au cours des quelques petits intervalles de joie que nous réserve la vie quotidienne... et encore. Pour ceux qui croient en Dieu, l'homme trouvera le vrai bonheur après la mort...
Mais ce n'est pas la question.
Ce que je sais, c'est qu'il y a un bonheur à long terme, plus proche de nous, plus "terre-à-terre", et que celui-là est accessible à tous.
Quand j'étais enfant, je me souviens, j'étais heureux. Pas tout le monde n'a eu la chance de vivre dans une famille unie, mais moi, je peux vous le dire, j'étais heureux. Je savais que mes parents s'occupaient de moi. Je n'avais aucun souci. Un problème ? Mon père l'homme-tout-puissant était là pour tout régler. C'est lui qui me protégeait, m'apprenait tout, me motivait, me passait un bon savon quand je le méritais. Ma mère, elle, me consolait quand j'étais triste, me racontait des histoires pour m'endormir... bref, je savais que j'étais "en de bonnes mains", que j'étais en sécûrité.
Ce bonheur, je l'ai perdu dès que mon adolescence a commencé, dès que je me suis dressé contre l'autorité paternelle et que j'ai dû acquérir mon indépendance. Un adolescent ne se sent pas en sécûrité, il est malheureux. Je n'ai pas échappé à la règle. Et beaucoup restent malheureux toute leur vie, même après avoir trouvé leurs repères.
Ainsi, nous détenions un certain bonheur pendant l'enfance. Or, après l'adolescence, plus de parents, plus de père-tout-puissant pour nous l'assurer. Une seule solution : devenir soi-même l'homme-tout-puissant. C'est en tout cas ce que moi j'ai décidé de faire. Je ferai tout pour devenir très fort physiquement, moralement et socialement.
C'est certainement ce que cherchent à faire la plupart des hommes. Mais-et nous en revenons au sujet de la séduction-quand nous débarquons sur FTS, nous oublions souvent (en tout cas moi j'ai oublié) une chose primordiale, c'est que pour atteindre la force qui conduit au bonheur, on n'a besoin de personne. Non, on n'a besoin de personne pour faire de la musculation, pour apprendre le Karaté (sauf du maître), pour apprendre un bon métier, pour se cultiver, pour solidifier son moral... on n'a besoin de personne pour devenir puissant et donc heureux. Croire que ce n'est pas le cas fait entrave au développement.
Et combien d'entre vous ont le sentiment qu'ils ne seront jamais heureux s'ils ne réussissent pas à se trouver une femme ? Une femme, certes, peut apporter beaucoup de bonheur... mais on peut finalement s'en passer.
Je crois que c'est ça la clé de la dernière porte : je ne dépends de personne pour être heureux, pas même d'une femme.
C'est cette volonté de "trouver une femme à tout prix" qui est à l'origine de l'impression de manque, de malaise dont nous avons parlé. C'est d'ailleurs une caractéristique qui fait fuir les filles. Elles sentent, malgré tout, que vous avez besoin d'elles. Et vous savez, malgré tout, que vous avez besoin d'elles.
Or, c'est faux ! Pour être heureux, on ne dépend de personne. En plus, si vous adoptez cet état d'esprit, vous verrez que vous n'aurez plus à faire semblant pour avoir l'air sûr de vous, fort et bien dans votre tête... vous afficherez ces qualités naturellement et vous apercevrez que les filles viendront à vous d'elles-mêmes, comme par magie.
Autrement dit, en une phrase : ne comptez pas sur la femme pour faire votre bonheur, vous savez très bien qu'on ne peut compter que sur soi-même.
Je ne sais pas si c'est vraiment la dernière porte. Mais en tout cas, elle ouvre sur... un nouvel horizon !
Malgré tout ce que j'ai pu apprendre sur la séduction, malgré tous mes progrès, mes succès et la belle confiance que je me suis forgée, je sais que la dernière porte, celle qui ouvre sur l'avenir, me reste fermée.
J'ai souvent lu des phrases du genre : "L'étape ultime : partir" ou "Pour finir, rangez la séduction dans un coin de votre tête".
Je ne sais pas si c'est vraiment ça, la dernière solution. Cela en fait sans doute partie... mais justement, je sens bien que ce n'est que la conséquence d'une notion bien plus complexe.
Je suis sûr que vous aussi, après un PU réussi (ou raté), au cours d'une entreprise de séduction, vous ressentez ce malaise, cette impression de jouer une comédie ridicule, de revenir toujours au point de départ, de tourner en rond sans vraiment parvenir à trouver ce que vous cherchez. La fille, elle aussi est sans doute malheureuse, au fond, même si au mieux elle se laisse séduire.
D'abord, quel est ce but que nous poursuivons ? Le bonheur. Vous pouvez prendre n'importe quel passage de la pensée chrétienne, pas chrétienne, athée, peu importe, vous verrez que le but profond de l'homme, c'est de trouver le bonheur. Vous le savez d'instinct, n'est-ce pas ? Pourquoi faisons-nous tout ce que nous faisons ? Pourquoi se tuer à gagner de l'argent, à apprendre la séduction, à cultiver le plaisir... pourquoi vivre, tout simplement ?!
Or, difficile de savoir si ce pur bonheur que nous cherchons est accessible sur la Terre. En tout cas, pour l'instant, aucun humain ne l'a trouvé, si ce n'est au cours des quelques petits intervalles de joie que nous réserve la vie quotidienne... et encore. Pour ceux qui croient en Dieu, l'homme trouvera le vrai bonheur après la mort...
Mais ce n'est pas la question.
Ce que je sais, c'est qu'il y a un bonheur à long terme, plus proche de nous, plus "terre-à-terre", et que celui-là est accessible à tous.
Quand j'étais enfant, je me souviens, j'étais heureux. Pas tout le monde n'a eu la chance de vivre dans une famille unie, mais moi, je peux vous le dire, j'étais heureux. Je savais que mes parents s'occupaient de moi. Je n'avais aucun souci. Un problème ? Mon père l'homme-tout-puissant était là pour tout régler. C'est lui qui me protégeait, m'apprenait tout, me motivait, me passait un bon savon quand je le méritais. Ma mère, elle, me consolait quand j'étais triste, me racontait des histoires pour m'endormir... bref, je savais que j'étais "en de bonnes mains", que j'étais en sécûrité.
Ce bonheur, je l'ai perdu dès que mon adolescence a commencé, dès que je me suis dressé contre l'autorité paternelle et que j'ai dû acquérir mon indépendance. Un adolescent ne se sent pas en sécûrité, il est malheureux. Je n'ai pas échappé à la règle. Et beaucoup restent malheureux toute leur vie, même après avoir trouvé leurs repères.
Ainsi, nous détenions un certain bonheur pendant l'enfance. Or, après l'adolescence, plus de parents, plus de père-tout-puissant pour nous l'assurer. Une seule solution : devenir soi-même l'homme-tout-puissant. C'est en tout cas ce que moi j'ai décidé de faire. Je ferai tout pour devenir très fort physiquement, moralement et socialement.
C'est certainement ce que cherchent à faire la plupart des hommes. Mais-et nous en revenons au sujet de la séduction-quand nous débarquons sur FTS, nous oublions souvent (en tout cas moi j'ai oublié) une chose primordiale, c'est que pour atteindre la force qui conduit au bonheur, on n'a besoin de personne. Non, on n'a besoin de personne pour faire de la musculation, pour apprendre le Karaté (sauf du maître), pour apprendre un bon métier, pour se cultiver, pour solidifier son moral... on n'a besoin de personne pour devenir puissant et donc heureux. Croire que ce n'est pas le cas fait entrave au développement.
Et combien d'entre vous ont le sentiment qu'ils ne seront jamais heureux s'ils ne réussissent pas à se trouver une femme ? Une femme, certes, peut apporter beaucoup de bonheur... mais on peut finalement s'en passer.
Je crois que c'est ça la clé de la dernière porte : je ne dépends de personne pour être heureux, pas même d'une femme.
C'est cette volonté de "trouver une femme à tout prix" qui est à l'origine de l'impression de manque, de malaise dont nous avons parlé. C'est d'ailleurs une caractéristique qui fait fuir les filles. Elles sentent, malgré tout, que vous avez besoin d'elles. Et vous savez, malgré tout, que vous avez besoin d'elles.
Or, c'est faux ! Pour être heureux, on ne dépend de personne. En plus, si vous adoptez cet état d'esprit, vous verrez que vous n'aurez plus à faire semblant pour avoir l'air sûr de vous, fort et bien dans votre tête... vous afficherez ces qualités naturellement et vous apercevrez que les filles viendront à vous d'elles-mêmes, comme par magie.
Autrement dit, en une phrase : ne comptez pas sur la femme pour faire votre bonheur, vous savez très bien qu'on ne peut compter que sur soi-même.
Je ne sais pas si c'est vraiment la dernière porte. Mais en tout cas, elle ouvre sur... un nouvel horizon !