fait gaffe a ton thermostat émotionnel
Posté : 18.09.11
samedi. sarge en solo.
premier bar. début de soirée donc social. je parle a un mixed set, on prends un verre ensemble. cool. puis je parle avec un mec qu'avais l'air cool, puis 2 meufs americaines arrivent. je wing avec le mec. pas d'accroche solide, interaction de 15 min qui va nulle part. j'ouvre des autres sets. un peu d'accroche, je vais plus fort pour tester si ça close, les meufs sont maqués, les copains sont la. il est 1AM, fuck ce bar. je rentre. pas envie de continuer sarger.
dans le bus en rentrant j'ai marre du bus, fuck le bus (lol). rien de bon. je descend du bus sans aucun motif. je marche. je rentre dans un bar. ça danse. je prends la première fille que je vois. jolie. je suis solide avec mon approche, bonne attitude. elle est attirée. ça se voit. on commence à s'embrasser directe, fuck bullshit. elle est excité mais elle commence avec des shit test de player. mais elle continue a m'embrasser.
je reste un peu plus (c'est ma qualification: rester plus de 5 minutes et aller parler avec ses potes). tout le monde a l'air cool dans le groupe. je reste avec la fille ~45/60min, kino, parler, make out, bien géré. elle est de plus en plus accroché mais soudain ses potes partent. ils kidnappent la meuf. la fille regarde en mode "dsl!".
wtf ses potes!!!! pas de temps pour num closer. cockblock flash. fuck le bar. je rentre. soirée de merde lol
bref, ma soirée c'était
avant sortir:
FUCK TOUT LE MONDE
après prémier set:
YEAH, COOL, PLAYER!
filles n'accrochent pas:
FUCK BITCHES!
filles accrochent:
YEAH, COOL! WAHOOOUU!!
elles ont un copain:
FUCK PETASES ET AFCs!!!
kiss close:
YEAH PLAYER ROCKSTAR!!!
cockblock:
FUCK TOUT LE MONDE!!!
...
résume: mon actuel palier c'est je suis encore trop réactif aux trucs externes.
leçons:
1. si un bar c'est nul, ça ne veut rien dire sur le prochain bar,, parfois il y a des meufs qui vont accrocher juste parce que ton approche était solide. ne t'obsède pas trop avec ton state (t'es en mode "mou", ouvre quand même, tu ne sais jamais). la soirée ne finisse jamais. tout set peut potentiellement mener vers quelque chose. reste in field. aussi quand tu sarges en solo ne reste pas que sur les sets des filles, parle avec tout le monde.
2. one night stand = ouvrir avec intention + pas être con (balance entre être cool et progresser sans bullshit et intelligemment) + logistique (prendre information, nexter set compliqué, leadership si le set est OK). mes regrets sont toujours les mêmes: trop gentil, pas pousser assez et "tomber amoureux" du set sympa qui ne va nulle part au lieu de aller 100% sur la fille avec bonne logistique.
3. ce WE j'étais avec un état d'esprit très instable (surtout trop dépendant des résultats) (=warning): fait gaffe si t'es un mec de sarge en solo. surtout si tu commences a avoir des résultats. il y a une barrière très très très fine entre player-en-solo et sociopathe-qui-baise. je vais commencer a travailler mon cercle social à coté, diminuer la dose de temps "en solo" et retravailler le coté "sociale" de mon game. reste toujours "conscient" de tes cycles émotionnels, il faut toujours pousser sa zone de confort mais aussi il faut avoir un bon thermostat émotionnel si tes émotions commencent à déconner.
premier bar. début de soirée donc social. je parle a un mixed set, on prends un verre ensemble. cool. puis je parle avec un mec qu'avais l'air cool, puis 2 meufs americaines arrivent. je wing avec le mec. pas d'accroche solide, interaction de 15 min qui va nulle part. j'ouvre des autres sets. un peu d'accroche, je vais plus fort pour tester si ça close, les meufs sont maqués, les copains sont la. il est 1AM, fuck ce bar. je rentre. pas envie de continuer sarger.
dans le bus en rentrant j'ai marre du bus, fuck le bus (lol). rien de bon. je descend du bus sans aucun motif. je marche. je rentre dans un bar. ça danse. je prends la première fille que je vois. jolie. je suis solide avec mon approche, bonne attitude. elle est attirée. ça se voit. on commence à s'embrasser directe, fuck bullshit. elle est excité mais elle commence avec des shit test de player. mais elle continue a m'embrasser.
je reste un peu plus (c'est ma qualification: rester plus de 5 minutes et aller parler avec ses potes). tout le monde a l'air cool dans le groupe. je reste avec la fille ~45/60min, kino, parler, make out, bien géré. elle est de plus en plus accroché mais soudain ses potes partent. ils kidnappent la meuf. la fille regarde en mode "dsl!".




bref, ma soirée c'était
avant sortir:

après prémier set:

filles n'accrochent pas:

filles accrochent:

elles ont un copain:

kiss close:

cockblock:

...
résume: mon actuel palier c'est je suis encore trop réactif aux trucs externes.
leçons:
1. si un bar c'est nul, ça ne veut rien dire sur le prochain bar,, parfois il y a des meufs qui vont accrocher juste parce que ton approche était solide. ne t'obsède pas trop avec ton state (t'es en mode "mou", ouvre quand même, tu ne sais jamais). la soirée ne finisse jamais. tout set peut potentiellement mener vers quelque chose. reste in field. aussi quand tu sarges en solo ne reste pas que sur les sets des filles, parle avec tout le monde.
2. one night stand = ouvrir avec intention + pas être con (balance entre être cool et progresser sans bullshit et intelligemment) + logistique (prendre information, nexter set compliqué, leadership si le set est OK). mes regrets sont toujours les mêmes: trop gentil, pas pousser assez et "tomber amoureux" du set sympa qui ne va nulle part au lieu de aller 100% sur la fille avec bonne logistique.
3. ce WE j'étais avec un état d'esprit très instable (surtout trop dépendant des résultats) (=warning): fait gaffe si t'es un mec de sarge en solo. surtout si tu commences a avoir des résultats. il y a une barrière très très très fine entre player-en-solo et sociopathe-qui-baise. je vais commencer a travailler mon cercle social à coté, diminuer la dose de temps "en solo" et retravailler le coté "sociale" de mon game. reste toujours "conscient" de tes cycles émotionnels, il faut toujours pousser sa zone de confort mais aussi il faut avoir un bon thermostat émotionnel si tes émotions commencent à déconner.