Les ex restent des ex.
Posté : 03.05.12
Récit d'un mélancolique. Pourquoi et comment j'ai récupéré mon ex. (surtout comment, en fait).
NB: Tout ce que je vais vous compter là, c'est relativement vieux. Mais on s'en fout.
J'ai un style bien particulier avec les poupounes. Mon CF est vraiment développé, voire trop parfois. Mais en fait ce que j'aime par dessus tout, c'est le freeze-out. Du jour au lendemain, je disparais, parfois, quand ça me pète. Ce genre de chose ne prévient pas. Je fais avec. Mais je crois que j'y prends un malin plaisir. Bref.
Nana est une fille bien, intelligente, très, trop? Je sais pas. Et puis ce visage mes amis, ce visage, des joues bombés mais pas excessivement, des yeux bleus pile poil ce qu'il faut.. Enfin c'est de l'art, nana. Sauf de corps, j'avoue. Mais putain, on lui filerait quasiment le bon dieu sans confession à nana, surtout quand elle vous fait les yeux doux. J'adore la voir faire les yeux doux.
Je la connais depuis un bail, depuis le lycée en fait. Vous savez, on a tous ce genre de filles au bahut. En seconde, elle est moche. Tu n'as aucune idée de son existence, ni rien. C'est le fantôme des couloirs en quelque sorte. En première? Non, toujours pareil. En terminale? STOP. Un putain de matin tu rentres en cours, tu lui tiens la porte (t'es un mec galant), et tu te dis:
Dernière soirée avant le départ. Masskinno, CF, et le pire? Elle est parfaitement réceptive. Et moi, j'aime pas trainer des pieds. Alors je m'assois.
A ce moment là, je respirais dans sa nuque, je sentais son hyperventilation, et puis j'avais la trique. Mouais.
Trève de connerie, je tente le KC.
S'en suivra une soirée pleine de vertes, d'alcool.. Mais pas de sexe. Fuck it.
Je tombe dans le one-itis méchamment. Genre vraiment vraiment. Elle descend des fois par chez moi, et à ces occasions je me transforme en oreille géante, prête à gober comme un putain de poisson toutes les merdes qu'elle me débite à un rythme infernal. logorrhée à la con.
On est ami et ça me mange le cerveau.
Je décide de prendre les choses en main. A l'époque quand je prenais les choses en main, pour moi, c'était lui avouer mes sentiments. Raaaah... mais quelle saloperie. Je dois vous dire qu'à ce moment je supprimais tous ses foutues messages (non en fait mon petit péché mignon, c'était de brûler des photos d'elle ou quoi. Je me disais que ça m'aiderait à oublier. Et puis who cares..)
Oh et puis non elle est trop useless cette conversation. Aucun intérêt à la retranscrire. Il faut juste retenir que je lui ai avoué Ô combien ma vie était un enfer sans elle, mais ça elle le savait (je devais être un super pote pour qu'elle continue à me voir en tant que tel, tout en prétextant ignorer mes sentiments) ce à quoi je me suis pris un magnifique LJBF. La base.
Coupage de ponts à coup de tronçonneuse, marteau-burin et j'en passe. Je lui demande clairement de me foutre la paix. Elle accepte, mais avec réticence. Bah oui, j'étais un bon pote..
Me revoilà au point de départ. Année sabbatique. Habitant un patelin à la con, le genre d'endroit où si t'accostes une louloute un jour J, à J+2 maximum tu l'auras déja revu 10 fois (on est pas à une fois près). SPU was ist das..?
Découverte FTS, mise à la musculation, remise en question de ma con de personne etc. Les mois passent et c'est le silence radio (kiff kiff kiff)
6 mois plus tard. On ne s'est toujours pas revu. Et moi, elle décolle pas de mon encéphale. Et ça me fait chier, mais je tiens le coup.
L'été suit son putain de cours et il le fait bien. Si bien que je la croise en fête de village. Bon à ce moment là je récapitule vite fait: "unsteakhachéestsurlepointdesefairedévorerparunloup". Le,loup, c'est elle. Et le steak haché? Guess what? Et bien c'est moi le steak haché..
Je n'avais encore jamais vu ces yeux chez une nana. Le genre de regard qui te donne l'impression que t'es déjà à poil, prêt à être violé. "Emballé c'est pesé" si j'ose dire.
Morale de l'histoire? Après une relation houleuse, on est à nouveau séparé. Une ex reste une ex. CQFD.
NB: Tout ce que je vais vous compter là, c'est relativement vieux. Mais on s'en fout.
J'ai un style bien particulier avec les poupounes. Mon CF est vraiment développé, voire trop parfois. Mais en fait ce que j'aime par dessus tout, c'est le freeze-out. Du jour au lendemain, je disparais, parfois, quand ça me pète. Ce genre de chose ne prévient pas. Je fais avec. Mais je crois que j'y prends un malin plaisir. Bref.
Nana est une fille bien, intelligente, très, trop? Je sais pas. Et puis ce visage mes amis, ce visage, des joues bombés mais pas excessivement, des yeux bleus pile poil ce qu'il faut.. Enfin c'est de l'art, nana. Sauf de corps, j'avoue. Mais putain, on lui filerait quasiment le bon dieu sans confession à nana, surtout quand elle vous fait les yeux doux. J'adore la voir faire les yeux doux.
Je la connais depuis un bail, depuis le lycée en fait. Vous savez, on a tous ce genre de filles au bahut. En seconde, elle est moche. Tu n'as aucune idée de son existence, ni rien. C'est le fantôme des couloirs en quelque sorte. En première? Non, toujours pareil. En terminale? STOP. Un putain de matin tu rentres en cours, tu lui tiens la porte (t'es un mec galant), et tu te dis:
On a le bac dans une semaine, suite à quoi elle part étudier dans le nord et toi, et bien toi tu restes dans ce fichu sud avec son putain de ricard et tout. Le temps presse, et il joue contre moi cet enfoiré. Malgré tout, je sens qu'il y a un feeling.C'est quoi ça? Depuis quand une fille se change en gros pétard pendant la nuit?
Dernière soirée avant le départ. Masskinno, CF, et le pire? Elle est parfaitement réceptive. Et moi, j'aime pas trainer des pieds. Alors je m'assois.
Elle s'assoit sur moi.E: t'assois pas, j'ai envie de danser! Viens avec moi!
M: Non. Flemme. Tu sais quoi? Si tu passais un coup de langue sur mes cuisses, je paris que t'y resterais collé.
E: Tu dis vraiment de la merde...
M: Attend, je veux seulement dire qu'elles sont gelées.. Tu vas chercher quoi toi..? Vraiment toutes les mêmes..
E: (rire) ok, t'as gagné monsieur le frileux..
A ce moment là, je respirais dans sa nuque, je sentais son hyperventilation, et puis j'avais la trique. Mouais.
Trève de connerie, je tente le KC.
KISSCLOSE.E: Non attends. Ca nous sert à quoi de faire ça? Je pars demain..
M: Princesse, j'adore les happy-end.
S'en suivra une soirée pleine de vertes, d'alcool.. Mais pas de sexe. Fuck it.
Je tombe dans le one-itis méchamment. Genre vraiment vraiment. Elle descend des fois par chez moi, et à ces occasions je me transforme en oreille géante, prête à gober comme un putain de poisson toutes les merdes qu'elle me débite à un rythme infernal. logorrhée à la con.
On est ami et ça me mange le cerveau.
Je décide de prendre les choses en main. A l'époque quand je prenais les choses en main, pour moi, c'était lui avouer mes sentiments. Raaaah... mais quelle saloperie. Je dois vous dire qu'à ce moment je supprimais tous ses foutues messages (non en fait mon petit péché mignon, c'était de brûler des photos d'elle ou quoi. Je me disais que ça m'aiderait à oublier. Et puis who cares..)
Oh et puis non elle est trop useless cette conversation. Aucun intérêt à la retranscrire. Il faut juste retenir que je lui ai avoué Ô combien ma vie était un enfer sans elle, mais ça elle le savait (je devais être un super pote pour qu'elle continue à me voir en tant que tel, tout en prétextant ignorer mes sentiments) ce à quoi je me suis pris un magnifique LJBF. La base.
Coupage de ponts à coup de tronçonneuse, marteau-burin et j'en passe. Je lui demande clairement de me foutre la paix. Elle accepte, mais avec réticence. Bah oui, j'étais un bon pote..
Me revoilà au point de départ. Année sabbatique. Habitant un patelin à la con, le genre d'endroit où si t'accostes une louloute un jour J, à J+2 maximum tu l'auras déja revu 10 fois (on est pas à une fois près). SPU was ist das..?
Découverte FTS, mise à la musculation, remise en question de ma con de personne etc. Les mois passent et c'est le silence radio (kiff kiff kiff)
6 mois plus tard. On ne s'est toujours pas revu. Et moi, elle décolle pas de mon encéphale. Et ça me fait chier, mais je tiens le coup.
L'été suit son putain de cours et il le fait bien. Si bien que je la croise en fête de village. Bon à ce moment là je récapitule vite fait: "unsteakhachéestsurlepointdesefairedévorerparunloup". Le,loup, c'est elle. Et le steak haché? Guess what? Et bien c'est moi le steak haché..
Je n'avais encore jamais vu ces yeux chez une nana. Le genre de regard qui te donne l'impression que t'es déjà à poil, prêt à être violé. "Emballé c'est pesé" si j'ose dire.
J'offre à la poupoune une leçon de danse collé-serré façon hardcore. On s'embrasse, c'est beau. J'aurais même droit à un:E: Tu m'as manqué.. J'avais besoin de toi pendant tout ce temps.
M: Moi ça m'a changé les idées.
Le reste de la soirée/nuit, nous appartient et c'est très bien comme ça, en fait.Tu sais à qui j'ai pensé quand j'ai fait ma première fois? Je te laisse deviner..
Morale de l'histoire? Après une relation houleuse, on est à nouveau séparé. Une ex reste une ex. CQFD.