La Fesse cachée de l'Iceberg et le fantasme des religieuses
Posté : 01.07.12
Je me souviens plus trop de la chronologie du SPU, mais ce que je sais c’est qu’à un moment de la semaine dernière on s’est fait un truc de Warrior avec un vrai Bonhomme de FTS ; le jeune guerrier Minamimoto et moi ne nous sommes vus qu’une seule fois, mais Ha, quelle rencontre !
Le but : aborder masse, masse, masse, de meufs pour ne plus hésiter à y aller, et pouvoir in fine aborder n’importe quelle bombasse avec ou sans Wing, quel que soit le moment… session désensibilisation
!
J’avoue que j’ai un peu flippé quand il m’a demandé à quel arrêt de métro se trouvait la place de la Bastille
, alors qu’il était de Paris, mais non, point du tout, ce n’était pas un simple d’esprit, mais juste un banlieusard, pas de Paris-même.
Je vous ai même fait des sous-titres pour que vous compreniez la structure cosmique de notre après-midi:
Masse de rateaux
Confort Zone? explosed, Captain
La fesse cachée de l'Iceberg
Le fantasme des religieuses
Masse de rateaux
Donc on se rencontre, je lui expose the plan, qui est plutôt simple en fait : on aborde tout ce qui bouge, chacun son tour. On fait deux pas, et déjà je lui désigne une meuf, GO ! Il y va cash, pas l’ombre d’une hésitation. Ça m’a plu direct, ça, je me suis dit que l’aprèm serait boooonne. J’enchaîne, on remonte le faubourg Saint-Antoine, on se prend masse masse masse de râteaux et on KIFFE ça, enfin presque, prendre des num serait pas gênant non plus
.


On revient vers Bastille, toujours à un rythme d’abordage assez effarant, c’est le kiff. On traverse le faubourg pour aller aborder, on court, on saute, on nage, on vole à la poursuite de toute proie, et ce sont des femmes mariées, des chinoises, des black, des caillera, enfin c’est à toute la diversité féminine que nous nous essayons, bref, c’est gai ! Entre deux Hb qui le sont pas toujours, Hot, on fait connaissance, on commence à triper. Puis je propose qu’on se dirige vers St-Paul, Hotel de Ville, pressentant là-bas des viviers à jeunes proies innocentes et angéliques, abordant tout le long du chemin tout vagin sur pattes à peu près tolérable esthétiquement et pas trop périmé (Mais non, ne vous offusquez point, féministes, ce n’est là qu’une métaphore poétique. L’art n’est pas accessible à tous
).
Confort Zone? - explosed, captain
Un moment, on décide qu’un vrai Bonhomme, un dur, un tatoué, ne se contente pas d’aborder des Lone Wolf désarmées. À nous, sets de 2, attention à vos fesses galbées ! C’était mon tour (à aucun moment on a raté un seul tour, des vrais machines de guerre, je vous dis), donc c’est à moi de commencer par cette Limite Zone, et Ahhhhhhrrrrrg, misère et souffrance, je les vois, mes deux dulcinées que je dois aborder malgré l’angoisse existentielle, bien jolies en plus, on vient de les croiser.
Il a pour ainsi dire trouvé les mots pour me motiver
. Pour l’Honneur, GO ! en plus elles avaient trente ans, dix de plus que moi, bordel de merde. Je les rattrape, touche le bras, attend qu’elles se tournent vers moi, m’adresse à celle qui me plaisait le moins :
Putain, n’empêche que c’est encore un choc moralo-civilisationnel de voir que c’est si facile d’aborder deux meufs bonnes, ça m'explose mes salopes de limites mentales, et je me sens con d’en avoir fait tout un flan avant. Heeey, maintenant je suis chaud pour aborder une fille dans un groupe de quinze meufs devant un amphithéâtre bondé et silencieux qui m’observe, dans l’attente de ce que je vais dire! Enfin pour l’instant je vais déjà me contenter de sets de 3 si j’en trouve.
Le fantasme des religieuses
Gros coup de bol, on voit trois bonnes sœurs tout de gris et de noir vêtues, ayant réservé leur amour à Dieu, une croix de Jésus énorme autour de leur cou fripé, en plus c’est des vraies chinoises toutes vieilles, mais bon on passe à côté, intimidés par tant de Milfitude. On finit par discuter avec mon wing:
GO ! On est parti, on y va.
On les rattrape, routine habituelle, enfin quoique, j’ai fait le stratège en abordant l’alpha male du groupe, la plus vieille qui était au milieu (80ans, surveillant ses jeunes consœurs de 40ans) :
En vrai j’aurais très certainement ri de ma blaguounette si mon regard ne s’était plongé dans son sourire édenté parsemé de ruines de dents dont les nuances de couleurs allaient du jaune sombre au noir. L’horreur captive et fascine, et ça empêche de rire, c’est Bergson le philosophe qui l’a dit. Surtout que W rajoute, ce fou :
Là je tombe sur une meuf qui me plaît vraiment, et je me perds en cafouillages et balbutiements digne d’un imbécile parfait. Classe internationale, check. Elle a dû trouver ça très mignon, parce que grand sourire, merci, mais copain. Ah oui, une première, je lui ai fait enlever son casque, ce que je n’osais pas auparavant, oubliant que je suis le master of the whole world, et que toute fille devrait se prosterner devant le PUA en formation que je suis.
La fesse cachée de l'Iceberg
Et juste après se passe une situation qui résumera bien toute notre session : on marche le long de la Seine, et on voit se profiler à l’horizon deux fessiers superbement formés, et qui se balancent doucement. Nous commentons un peu la qualité des galbes qui se trémoussent devant nous, tombons d’accord sur leur perfection, et GO, on court, on les rattrape. Et là, c’est le Malin qui nous joue un tour qu’il a exprès inventé pour les PUA-warriors débutants comme nous : elles sont troooooooooop moches, un peu des Zombies fraîchement détérrés, enfin ne nous torturons pas inutilement avec des souvenirs douleureux.
Je commente :
Juste après, je vois une belle paire de jambes de l’autre côté de la rue, mais notre feu vient de passer au rouge, trop de voitures dans le ghetto pour traverser, mais :
!
J’ai aussi eu mon numéro, d’une beurette, qui semblait super pressée mais a pris mon numéro pour me bipper immédiatement, abordé par un
Pour fêter cet après-midi, on a pris chacun un fat McFlurry au Domac de Cluny La Sorbonne (cette station proche de la noble institution dans laquelle une fille entre moche, et sort bonne
), satisfaits de nous. Avant de se serrer la main :
Par contre, c’était pas trop eaaasy-facile, mon inner game pour le Spu quand mon wing est plus là, quand je suis tout seul comme un grand, s’écroule comme un château de cartes, je le sais vu que…..
POUR LA PREMIERE FOIS DE MA PUTAIN DE VIE J’AI OSE ABORDER SEUL !!!!!! SEUL ! bordel de merde. Too proud of me, incrédibeule, comme disent ces putains d’amerloques !
Zzzzbbrraaaaahhhhh !!
Le but : aborder masse, masse, masse, de meufs pour ne plus hésiter à y aller, et pouvoir in fine aborder n’importe quelle bombasse avec ou sans Wing, quel que soit le moment… session désensibilisation

J’avoue que j’ai un peu flippé quand il m’a demandé à quel arrêt de métro se trouvait la place de la Bastille

Je vous ai même fait des sous-titres pour que vous compreniez la structure cosmique de notre après-midi:
Masse de rateaux
Confort Zone? explosed, Captain
La fesse cachée de l'Iceberg
Le fantasme des religieuses
Masse de rateaux
Donc on se rencontre, je lui expose the plan, qui est plutôt simple en fait : on aborde tout ce qui bouge, chacun son tour. On fait deux pas, et déjà je lui désigne une meuf, GO ! Il y va cash, pas l’ombre d’une hésitation. Ça m’a plu direct, ça, je me suis dit que l’aprèm serait boooonne. J’enchaîne, on remonte le faubourg Saint-Antoine, on se prend masse masse masse de râteaux et on KIFFE ça, enfin presque, prendre des num serait pas gênant non plus



On revient vers Bastille, toujours à un rythme d’abordage assez effarant, c’est le kiff. On traverse le faubourg pour aller aborder, on court, on saute, on nage, on vole à la poursuite de toute proie, et ce sont des femmes mariées, des chinoises, des black, des caillera, enfin c’est à toute la diversité féminine que nous nous essayons, bref, c’est gai ! Entre deux Hb qui le sont pas toujours, Hot, on fait connaissance, on commence à triper. Puis je propose qu’on se dirige vers St-Paul, Hotel de Ville, pressentant là-bas des viviers à jeunes proies innocentes et angéliques, abordant tout le long du chemin tout vagin sur pattes à peu près tolérable esthétiquement et pas trop périmé (Mais non, ne vous offusquez point, féministes, ce n’est là qu’une métaphore poétique. L’art n’est pas accessible à tous

Confort Zone? - explosed, captain
Un moment, on décide qu’un vrai Bonhomme, un dur, un tatoué, ne se contente pas d’aborder des Lone Wolf désarmées. À nous, sets de 2, attention à vos fesses galbées ! C’était mon tour (à aucun moment on a raté un seul tour, des vrais machines de guerre, je vous dis), donc c’est à moi de commencer par cette Limite Zone, et Ahhhhhhrrrrrg, misère et souffrance, je les vois, mes deux dulcinées que je dois aborder malgré l’angoisse existentielle, bien jolies en plus, on vient de les croiser.
Minamimoto : « t’y vas ? ». Moi : « Ok. Ahhhh non putain c’est trop dur je peux pas ».
Minamimoto : « si vas-y ».
Moi : « d’accord ».

Il a pour ainsi dire trouvé les mots pour me motiver

Du coup on discute, elles sont étrangères, donc en parle en anglais, je me marre parce que je suis une fiotte dans cette langue barbare, mais elles me kiffent donc elles me disent que je parle bien, on se souhaite plein de bien, et on se quitte. Minamimoto doit faire pareil, abordage de deux meufs, mais il se prend un bache, genre les filles bitchy qui ignorent le mec. Pas grave, on est des machines de guerre. Rien ne nous arrête.M : « Bonjour (sourire) En fait, j’étais avec mon ami, et je me demandais si je pouvais t’emprunter ton amie, parce que (je me tourne vers la deuxième) je la trouve vraiment très jolie (sourire). [Cimer à Olfff pour cette magic line haha]
les deux se regardent : Awwwwww (émues par ma véritable déclaration troooop meuuuuuugnonne)
Putain, n’empêche que c’est encore un choc moralo-civilisationnel de voir que c’est si facile d’aborder deux meufs bonnes, ça m'explose mes salopes de limites mentales, et je me sens con d’en avoir fait tout un flan avant. Heeey, maintenant je suis chaud pour aborder une fille dans un groupe de quinze meufs devant un amphithéâtre bondé et silencieux qui m’observe, dans l’attente de ce que je vais dire! Enfin pour l’instant je vais déjà me contenter de sets de 3 si j’en trouve.
Le fantasme des religieuses
Gros coup de bol, on voit trois bonnes sœurs tout de gris et de noir vêtues, ayant réservé leur amour à Dieu, une croix de Jésus énorme autour de leur cou fripé, en plus c’est des vraies chinoises toutes vieilles, mais bon on passe à côté, intimidés par tant de Milfitude. On finit par discuter avec mon wing:
Minamimoto (je vais l’appeler W comme wing, ça me casse le cul d’écrire chaque fois ce nom japonais) :
W : « vieilles, chinoises, moches et bonnes sœurs, c’est un combo de ouf, on se croirait dans un film »
Moi : « mec faut qu’on les aborde, il faut le faire pour le FR (mais je crois qu’il a pas capté sur le coup mon alitération involontaire et géniale, vu ce qu’il a répondu
W : « Ouais il faut le faire pour le faire ! »
M : « C’est mon tour, j’y vais, viens !»

GO ! On est parti, on y va.
On les rattrape, routine habituelle, enfin quoique, j’ai fait le stratège en abordant l’alpha male du groupe, la plus vieille qui était au milieu (80ans, surveillant ses jeunes consœurs de 40ans) :
« Bonjour madame, excusez-moi, on vous a croisé avec mon ami, et je voulais vous dire que vos amies étaient vraiment très jolies ».
En vrai j’aurais très certainement ri de ma blaguounette si mon regard ne s’était plongé dans son sourire édenté parsemé de ruines de dents dont les nuances de couleurs allaient du jaune sombre au noir. L’horreur captive et fascine, et ça empêche de rire, c’est Bergson le philosophe qui l’a dit. Surtout que W rajoute, ce fou :
. J’encaisse le coup sans sourciller, j’enchaîne sur une conversation plus habituelle. On dit adieu, j’oublie de les demander en mariage, W les met en garde contre les dragueurs parisiens, on s’enfuit en se marrant.« Oui ! Et vous aussi, Madame, on vous a trouvée très jolie »
Là je tombe sur une meuf qui me plaît vraiment, et je me perds en cafouillages et balbutiements digne d’un imbécile parfait. Classe internationale, check. Elle a dû trouver ça très mignon, parce que grand sourire, merci, mais copain. Ah oui, une première, je lui ai fait enlever son casque, ce que je n’osais pas auparavant, oubliant que je suis le master of the whole world, et que toute fille devrait se prosterner devant le PUA en formation que je suis.
La fesse cachée de l'Iceberg
Et juste après se passe une situation qui résumera bien toute notre session : on marche le long de la Seine, et on voit se profiler à l’horizon deux fessiers superbement formés, et qui se balancent doucement. Nous commentons un peu la qualité des galbes qui se trémoussent devant nous, tombons d’accord sur leur perfection, et GO, on court, on les rattrape. Et là, c’est le Malin qui nous joue un tour qu’il a exprès inventé pour les PUA-warriors débutants comme nous : elles sont troooooooooop moches, un peu des Zombies fraîchement détérrés, enfin ne nous torturons pas inutilement avec des souvenirs douleureux.
Je commente :
On se marre, mais ça n’a pas arrêté de nous le faire, des visages laids surmontant une silhouette parfaite. La prochaine fois j’emmène des jumelles, bordel.M : « putain elles étaient trop moches en fait »
W : « ah ouais, horrible, je croyais qu’elles étaient trop bonnes »
M : « En fait c’est la fesse cachée de l’Iceberg qui nous a piégé»
Juste après, je vois une belle paire de jambes de l’autre côté de la rue, mais notre feu vient de passer au rouge, trop de voitures dans le ghetto pour traverser, mais :
Faux et usage de faux ! Dans ma quête d’absolu, pas une seule once de soupçon ne peut entacher notre ouf-itude, TOUTE femme doit être abordée ce jour-là, et c’est son tour, donc on traverse, et :M : « celle-là, elle est pour toi ! »
W : « quoi ?! Mais tout se ligue contre nous! Elle sera trop loin ! »
il a bien fait de courir, le saligaud, de loin je vois la fille s’arrêter puis commencer ces gestes de fille séduite, la main dans les cheveux etc… et puis il s’affaire sur son portable, Yeeeeeeeeaaaaah, numberclose, bien joué BâtardM : « Cours, Minamimoto ! »

J’ai aussi eu mon numéro, d’une beurette, qui semblait super pressée mais a pris mon numéro pour me bipper immédiatement, abordé par un
. la beauté de la time-constraint, je l'ai découverte là.« je suis super pressé, mais je t’ai trouvée jolie et…. Etc. »
Pour fêter cet après-midi, on a pris chacun un fat McFlurry au Domac de Cluny La Sorbonne (cette station proche de la noble institution dans laquelle une fille entre moche, et sort bonne

W : « bon, sur le retour, on aborde seuls, pour l’honneur »
M: Ok

Par contre, c’était pas trop eaaasy-facile, mon inner game pour le Spu quand mon wing est plus là, quand je suis tout seul comme un grand, s’écroule comme un château de cartes, je le sais vu que…..
POUR LA PREMIERE FOIS DE MA PUTAIN DE VIE J’AI OSE ABORDER SEUL !!!!!! SEUL ! bordel de merde. Too proud of me, incrédibeule, comme disent ces putains d’amerloques !
Zzzzbbrraaaaahhhhh !!