Bonsoir à tous,
Je me suis posé une question récemment, que je n'ai jamais vu être abordée autre part :
Existe il une différence entre la confiance en soi que l'on construit (quasi) consciemment, et celle que l'on a depuis notre enfance ?
J'ai remarqué que certaines personnes (ré)agissaient sans l'ombre d'un doute à certains "stress-test" de leur confiance. Une confiance que l'on pourrait considérée comme naturelle, naturellement transmise par les parents par l'éducation et bien ancrée.
D'autres personnes doivent apprendre à avoir confiance en eux, et ont bien conscience de cet apprentissage.
J'ai eu l'impression que cela aboutissait sur 2 types de confiance différentes, mais sans pouvoir mettre les mots dessus. Une confiance "naturelle" me paraîtrait plus solide, mais plus restreinte sur les zones de confiance (elle n'est pas transversale suivant les domaines). Une confiance acquise me paraîtrait plus "fragile" (à un certain niveau, bien entendu), mais potentiellement plus simple à transférer d'une partie d'un domaine à un autre. Je veux dire par là qu'une personne qui a appris à avoir confiance en lui dans le sport, apprendra plus simplement à avoir confiance en lui dans un autre domaine de la vie.
Par domaine et zone de confiance, j'entends les relations humaines, le professionnel, le sport...
Avez vous déjà eu ce sentiment ?
Il y aurait il plusieurs types de confiance en soi ?
Salut Fraid
Je ne crois pas qu'une personne puisse avoir confiance en elle dans le sport et pas autre part. On conseil vivement dans de nombreux articles de développement personnel de pratiquer un sport, en d'autre terme de mettre sont corps et son esprit en difficultés : ce processus induit un mécanisme de résistance de la part du corps, et également de l'esprit.
En biologie on appel sa "General Adaptation Syndrome" (aucune idée du nom en Français, surement Syndrome général d'adaptation). C'est la façon dont le corps réagit au stress, toute effort induit un stress. le GAS libère des hormones qui prépare et entretient le corps à un effort, mais indirectement l'esprit en prend un coup, le cœur bas plus fort, la température monte : on s'en rend compte, on stress et le cycle recommence, etc etc...
Comme toutes les partie du corps, la résistance au stress peut se travailler. Le sport est la méthode la plus conventionnelle pour cela. On va habituer le corps à ce mécanisme, faire comprendre à l'esprit que "je peux le faire, je peux aller plus loin". Au fur et à mesure des séances, il faudra un effort/stress beaucoup plus important pour une réaction du corps égale. Ce qui augmente notre résistance.
La confiance (et la on parle bien de la confiance en soie) reflète la façon dont l'esprit va empêcher l'augmentation du stress par une choses simple : les limites. Faire du sport permet d'aller titiller ses limites. Quand on connait ses limites, on réagit avec ses moyens sans ce mettre dans une situation ou on perdrais le contrôle, ce qui engendre un fort stress et une baisse de performance importante.
Bien sur, chacun part avec un bagage différent. Certain seront grand, d'autre petit, d'autre plus penseur, d'autre plus physique [...] et d'autre plus confiant. tout sa se définie aux jeunes ages par l’éducation, l’environnement, les parents, what else...
Quelqu'un qui fait preuve d'une grande confiance en lui, c'est quelqu'un qui se connais et qui repousse toujours plus loin ces limites. Le sport fonctionne jusqu’à un certain point. Après il faut se fixé plutôt sur la façon dont on perçois le monde, sa vision de l’extérieur. Certains trouve la sérénité et leur confiance dans la spiritualité par exemple, bien dompté l'esprit agit remarquablement sur le corps.
Personnellement je ne pense pas qu'il y ait plusieurs type de confiance. Notre self-confiance sera plus importante lorsqu'on fera fasse à une situation récurrente. On va naturellement être plus stress la semaine du BAC par exemple (épreuve inédite qui ce passe qu'une fois, en principe), la première fois qu'on embrasse une fille ou qu'on couche avec, etc.
Sorry pour les fautes
Je ne crois pas qu'une personne puisse avoir confiance en elle dans le sport et pas autre part. On conseil vivement dans de nombreux articles de développement personnel de pratiquer un sport, en d'autre terme de mettre sont corps et son esprit en difficultés : ce processus induit un mécanisme de résistance de la part du corps, et également de l'esprit.
En biologie on appel sa "General Adaptation Syndrome" (aucune idée du nom en Français, surement Syndrome général d'adaptation). C'est la façon dont le corps réagit au stress, toute effort induit un stress. le GAS libère des hormones qui prépare et entretient le corps à un effort, mais indirectement l'esprit en prend un coup, le cœur bas plus fort, la température monte : on s'en rend compte, on stress et le cycle recommence, etc etc...
Comme toutes les partie du corps, la résistance au stress peut se travailler. Le sport est la méthode la plus conventionnelle pour cela. On va habituer le corps à ce mécanisme, faire comprendre à l'esprit que "je peux le faire, je peux aller plus loin". Au fur et à mesure des séances, il faudra un effort/stress beaucoup plus important pour une réaction du corps égale. Ce qui augmente notre résistance.
La confiance (et la on parle bien de la confiance en soie) reflète la façon dont l'esprit va empêcher l'augmentation du stress par une choses simple : les limites. Faire du sport permet d'aller titiller ses limites. Quand on connait ses limites, on réagit avec ses moyens sans ce mettre dans une situation ou on perdrais le contrôle, ce qui engendre un fort stress et une baisse de performance importante.
Bien sur, chacun part avec un bagage différent. Certain seront grand, d'autre petit, d'autre plus penseur, d'autre plus physique [...] et d'autre plus confiant. tout sa se définie aux jeunes ages par l’éducation, l’environnement, les parents, what else...
Quelqu'un qui fait preuve d'une grande confiance en lui, c'est quelqu'un qui se connais et qui repousse toujours plus loin ces limites. Le sport fonctionne jusqu’à un certain point. Après il faut se fixé plutôt sur la façon dont on perçois le monde, sa vision de l’extérieur. Certains trouve la sérénité et leur confiance dans la spiritualité par exemple, bien dompté l'esprit agit remarquablement sur le corps.
Personnellement je ne pense pas qu'il y ait plusieurs type de confiance. Notre self-confiance sera plus importante lorsqu'on fera fasse à une situation récurrente. On va naturellement être plus stress la semaine du BAC par exemple (épreuve inédite qui ce passe qu'une fois, en principe), la première fois qu'on embrasse une fille ou qu'on couche avec, etc.
Sorry pour les fautes
J'aurais tendance à dire que oui.
Celle acquise dans l'enfance, grâce aux parents ou à ses prédispositions naturelles, va de pair avec ce qui sera notre "comfort zone". Un individu avec une grande confiance précoce se remarquera à sa large zone de confort : peu d'appréhensions, beaucoup d'audace, vu comme n'ayant pas conscience du danger par les autres.
Toutefois, on tente rarement des expériences contraphobiques (hors de la comfort zone) pour galvaniser sa confiance, quand on est enfant.
Pour les hommes, il y a le rite de passage masculin (le truc que notre société pouffisante cherche à éradiquer par tous les moyens pour tous nous castrer) : on commence à tenter ce genre d'expérience par pression des pairs plus séniors. C'est un nouveau type de confiance en soi, celui de l'homme adulte. Mais avec le piège qu'il faut le faire, mais surtout pas pour obtenir la validation des autres (sinon, c'est juste la confiance de l'adulte lambda : ne peut agir que sous la pression sociale).
Cette confiance, c'est celle d'individus parfaitement conscient du danger, de leurs ressources limitées, mais qui y vont quand même.
Alex7, ton propos est intéressant mais la réponse au stress et la confiance en soi ne se recouvrent pas totalement (il y a certainement un lien). L'un est une capacité à subir, l'autre à agir. Même si en agissant, on se met fatalement dans un champ de contraintes subies, donc génératrices de stress. Il y a une composante de prise d'initiative inhérente à la confiance en soi que la seule résistance au stress n'explique pas.
De plus, s'il est acceptable d'expliquer la réponse au stress à l'aide de phénomène neurobiochimiques, ça me paraît insuffisant pour décrire la confiance en soi.
Celle acquise dans l'enfance, grâce aux parents ou à ses prédispositions naturelles, va de pair avec ce qui sera notre "comfort zone". Un individu avec une grande confiance précoce se remarquera à sa large zone de confort : peu d'appréhensions, beaucoup d'audace, vu comme n'ayant pas conscience du danger par les autres.
Toutefois, on tente rarement des expériences contraphobiques (hors de la comfort zone) pour galvaniser sa confiance, quand on est enfant.
Pour les hommes, il y a le rite de passage masculin (le truc que notre société pouffisante cherche à éradiquer par tous les moyens pour tous nous castrer) : on commence à tenter ce genre d'expérience par pression des pairs plus séniors. C'est un nouveau type de confiance en soi, celui de l'homme adulte. Mais avec le piège qu'il faut le faire, mais surtout pas pour obtenir la validation des autres (sinon, c'est juste la confiance de l'adulte lambda : ne peut agir que sous la pression sociale).
Cette confiance, c'est celle d'individus parfaitement conscient du danger, de leurs ressources limitées, mais qui y vont quand même.
Alex7, ton propos est intéressant mais la réponse au stress et la confiance en soi ne se recouvrent pas totalement (il y a certainement un lien). L'un est une capacité à subir, l'autre à agir. Même si en agissant, on se met fatalement dans un champ de contraintes subies, donc génératrices de stress. Il y a une composante de prise d'initiative inhérente à la confiance en soi que la seule résistance au stress n'explique pas.
De plus, s'il est acceptable d'expliquer la réponse au stress à l'aide de phénomène neurobiochimiques, ça me paraît insuffisant pour décrire la confiance en soi.
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- [0] Intéressant le 28.08.12, 16h47 par Alex7