Le campus, oestrogènes, maquillage et jolie talons.
Posté : 03.10.12
Bonsoir à tous,
Voila un bout de temps maintenant que je suis simple spectateur de FTS (pour ne citer que lui).
Je franchis le pas, j'explose mon problème ;
Car oui sur ce coup là, les simples articles, la simple expérience que j'ai acquise au fil du temps ne me suffisent plus, je me casse les dents à en perdre le sourire..
Plutôt que d'en parler à des amis qui n'y connaissent rien, j'en appelle à la communauté.
Je vais tacher de rester à la fois concis et complet (les gros pavés étant soulant à lire).
JOUR DE RENTREE
Après notre réunion de rentrée, une jolie blonde de 18 ans appelons la Marion, m'interpelle et vient taper la discut' ouvertement à propos de l'emploi du temps. Je relève pas trop, je lance 2/3 blagues, bref un échange cordial.
Les jours suivant, je sociabilise à fond dans mon TD, nanas, mecs, tout le monde y passe. Dans les amphis, je discute avec n'importe qui. Je lâche ensuite du lest, et observe ce qu'il se passe. Les groupes se forment, ça rigole, ça se regarde (et plus particulièrement) Marion me regarde..
TOI MA PETITE...
... tu vas voir de quel bois je me chauffe ! Le game est lancé, je commence durant les jours suivant à m’intéresser à elle, échange de numéro/facebook, le courant passe. A tel point que tout s'emballe, je sexualise rapidement afin d'écarter la FZ.
Je me retrouve bien souvent à coté d'elle pendant les TD, comme si la place qu'elle laissait la nonchalamment, était une invitation à venir la chatouiller allégrement.
Ça papote, ça papote... mais pas seulement.
Pendant l'un des TD, mademoiselle me dessine un cœur sur l'une de mes feuilles de cours
, et me lance un regard, soutenu par un léger sourire en coin..
En amphi même scénar', elle me dessine sur le bras des motifs, je commence à croire que cette fille sait ce qu'elle veut.
Je me met un coup de fouet, la neg à mort, j'introduis les kinos qui ne la dérange absolument pas, le ratio est même de 1/2 (j'en donne un, j'en reçois 2). La témpérature monte..
Le week-end approche, je dois partir tourner un court-métrage avec un pote dans ma maison de campagne le samedi, manque de bol je suis en retard sur un décor qui me chagrine : "je dois poser sur une photo avec une nana qui doit être ma copine"
Marion se retrouve embarqué dans l'histoire pour évidemment posé à mes cotés et ça à l'air de plutôt bien lui plaire :
"J’espère que j'aurais le droit à une projection privée"
Le week-end arrive je part.
CETTE SEMAINE
Au moment de se quitter vendredi, elle me propose que l'on déjeune ensemble en tête à tête le lundi suivant. Je fais mine que je lui en reparlerais.
Le lundi, elle se retrouve donc embarqué à 13h sur ma moto direction un resto' indien héhé. On prend à emporter pour aller déjeuner dans un parc, le soleil était de la partie.
30 secondes après avoir mis les pieds hors du resto', on tombe sur une de ses amies, je me fais bon prince : "viens avec nous" ... malheureux que je fus.
Sa copine se révèle être froide comme du carrelage envers moi. Je me retrouve alors dans l’incapacité de suscité de l’intérêt dans la conversation, Marion en prendra conscience, et me tendra des perches pour remonter à la surface, mais griser par mon échec, je me mue dans un silence profond, mon énergie se retrouve alors au plus bas.
Le chemin du retour pour aller en cours se révèle quant à lui bien plus audacieux.
Marion n'hésites pas à m'enlacer langoureusement et poser sa tête contre mon épaule. Je jubile sous mon casque
et "prend le temps de prendre le temps" 
Ma conduite se fait souple, nous échangeons quelque mots, je me surprend au feu à la serrer plus fort contre moi ou lui caresser la cuisse qui frôle la mienne.
L'amphi qui s'en suivis fus ponctué de sourire, de caresse déguisé de sa part (kino quand tu nous tiens), j’apprends à ce moment là qu'elle est célibataire depuis 2 semaines (fucking rebound guy).
Elle se lance ensuite dans un jeu pervers à me raconter sa sortie en boite durant le week-end, où elle aurait fait des "ravages", elle n'hésite pas non plus à me montrer une photo d'un mec qu'elle a rencontré et qui lui envoie des mots doux !!
Je ne relève pas, et m'écarte un peu d'elle, feintant de suivre le cours.
L'amphi se termine. Sur le chemin pour se quitter, la taquinerie prend place, on se pousse se bouscule, je la prend dans mes bras, elle se retire. Les rires s'enchainent, je sens la tension monter, et je me retrouve désarmé, je sens que c'est le moment, mais je n'y arrive pas, je la pousse et lui dit de s'en aller, je trace ma route et ne me retourne pas. A ce moment là, je sais que je viens de me tirer une balle dans le pied, pire une ogive nucléaire.
J'enfourche ma moto et la fait ronronner, seul réconfort que je trouve sur le moment.
En arrivant chez moi, je reçois un texto de sa part :
"J'ai raté mon train à cause de toi pff"
J'écourte l'échange pour ne vous dévoiler que le dernier :
Moi : Superbe fessier ? de la rillettes limite guimauve et j’exagère à peine.
E : L'hiver arrive, il va surement durcir ;)
Moi : Oui comme un glaçon quoi, et moi les glaçons, je les laisse a ceux qui aiment se casser les dents.
AUJOURD'HUI, LE DOUTE S'INSTALLE
J'arrive en salle de TP de bio, elle est déjà la me regarde, me dit de venir à coté d'elle, je lui dit non, vient si tu veux, moi je ne bougerais pas ! Elle s’exécute, me dit que je l'ai vexé hier soir (je rigole alors intérieurement). Je change rapidement de sujet, je reste courtois, je n'en fais pas de trop. Elle qui était enjouée hier, est aujourd'hui froide et distante, cependant elle cherche par moment mon attention qu'elle n'aura pas !
Pendant le TP, je me lève pour aller chercher du matériel à analyser, et je la retrouve à ma place, les genoux sur le tabouret, les fesses galbées à regarder dans mon microscope. Je l'attrape par les hanches, et lui ordonne de retourner à sa place..
La journée s'enchaine, elle cherche mon attention, je concis à lui en donner. Nos échanges reprennent, "fuis moi je te suis..."
Ce soir, je me retrouve dans une situation délicate. Je doute de moi, de mon game, je reflechis, analyse, me prend la tête, cette situation je l'ai déjà vécu...
...j'ai par moment l'impression de revoir une de mes ex : "LSE attention whore" qui m'a pourri la vie et m'a valu une nuit en garde à vue.
J’espère ne pas me tromper. J’espère ne pas OI. Je n'ai aucun concurrent, elle s'est délibérément coupé du reste du TD mise à part les politesses d'usage..
Que faire, la situation n'évolue pas, je ne sais pas dans quel direction aller.
Voila un bout de temps maintenant que je suis simple spectateur de FTS (pour ne citer que lui).
Je franchis le pas, j'explose mon problème ;
Car oui sur ce coup là, les simples articles, la simple expérience que j'ai acquise au fil du temps ne me suffisent plus, je me casse les dents à en perdre le sourire..
Plutôt que d'en parler à des amis qui n'y connaissent rien, j'en appelle à la communauté.
Je vais tacher de rester à la fois concis et complet (les gros pavés étant soulant à lire).
JOUR DE RENTREE
Après notre réunion de rentrée, une jolie blonde de 18 ans appelons la Marion, m'interpelle et vient taper la discut' ouvertement à propos de l'emploi du temps. Je relève pas trop, je lance 2/3 blagues, bref un échange cordial.
Les jours suivant, je sociabilise à fond dans mon TD, nanas, mecs, tout le monde y passe. Dans les amphis, je discute avec n'importe qui. Je lâche ensuite du lest, et observe ce qu'il se passe. Les groupes se forment, ça rigole, ça se regarde (et plus particulièrement) Marion me regarde..
TOI MA PETITE...
... tu vas voir de quel bois je me chauffe ! Le game est lancé, je commence durant les jours suivant à m’intéresser à elle, échange de numéro/facebook, le courant passe. A tel point que tout s'emballe, je sexualise rapidement afin d'écarter la FZ.
Je me retrouve bien souvent à coté d'elle pendant les TD, comme si la place qu'elle laissait la nonchalamment, était une invitation à venir la chatouiller allégrement.
Ça papote, ça papote... mais pas seulement.
Pendant l'un des TD, mademoiselle me dessine un cœur sur l'une de mes feuilles de cours
, et me lance un regard, soutenu par un léger sourire en coin..En amphi même scénar', elle me dessine sur le bras des motifs, je commence à croire que cette fille sait ce qu'elle veut.
Je me met un coup de fouet, la neg à mort, j'introduis les kinos qui ne la dérange absolument pas, le ratio est même de 1/2 (j'en donne un, j'en reçois 2). La témpérature monte..
Le week-end approche, je dois partir tourner un court-métrage avec un pote dans ma maison de campagne le samedi, manque de bol je suis en retard sur un décor qui me chagrine : "je dois poser sur une photo avec une nana qui doit être ma copine"
Marion se retrouve embarqué dans l'histoire pour évidemment posé à mes cotés et ça à l'air de plutôt bien lui plaire :
"J’espère que j'aurais le droit à une projection privée"
Le week-end arrive je part.
CETTE SEMAINE
Au moment de se quitter vendredi, elle me propose que l'on déjeune ensemble en tête à tête le lundi suivant. Je fais mine que je lui en reparlerais.
Le lundi, elle se retrouve donc embarqué à 13h sur ma moto direction un resto' indien héhé. On prend à emporter pour aller déjeuner dans un parc, le soleil était de la partie.
30 secondes après avoir mis les pieds hors du resto', on tombe sur une de ses amies, je me fais bon prince : "viens avec nous" ... malheureux que je fus.
Sa copine se révèle être froide comme du carrelage envers moi. Je me retrouve alors dans l’incapacité de suscité de l’intérêt dans la conversation, Marion en prendra conscience, et me tendra des perches pour remonter à la surface, mais griser par mon échec, je me mue dans un silence profond, mon énergie se retrouve alors au plus bas.
Le chemin du retour pour aller en cours se révèle quant à lui bien plus audacieux.
Marion n'hésites pas à m'enlacer langoureusement et poser sa tête contre mon épaule. Je jubile sous mon casque
et "prend le temps de prendre le temps" Ma conduite se fait souple, nous échangeons quelque mots, je me surprend au feu à la serrer plus fort contre moi ou lui caresser la cuisse qui frôle la mienne.
L'amphi qui s'en suivis fus ponctué de sourire, de caresse déguisé de sa part (kino quand tu nous tiens), j’apprends à ce moment là qu'elle est célibataire depuis 2 semaines (fucking rebound guy).
Elle se lance ensuite dans un jeu pervers à me raconter sa sortie en boite durant le week-end, où elle aurait fait des "ravages", elle n'hésite pas non plus à me montrer une photo d'un mec qu'elle a rencontré et qui lui envoie des mots doux !!
Je ne relève pas, et m'écarte un peu d'elle, feintant de suivre le cours.
L'amphi se termine. Sur le chemin pour se quitter, la taquinerie prend place, on se pousse se bouscule, je la prend dans mes bras, elle se retire. Les rires s'enchainent, je sens la tension monter, et je me retrouve désarmé, je sens que c'est le moment, mais je n'y arrive pas, je la pousse et lui dit de s'en aller, je trace ma route et ne me retourne pas. A ce moment là, je sais que je viens de me tirer une balle dans le pied, pire une ogive nucléaire.
J'enfourche ma moto et la fait ronronner, seul réconfort que je trouve sur le moment.
En arrivant chez moi, je reçois un texto de sa part :
"J'ai raté mon train à cause de toi pff"
J'écourte l'échange pour ne vous dévoiler que le dernier :
Moi : Superbe fessier ? de la rillettes limite guimauve et j’exagère à peine.
E : L'hiver arrive, il va surement durcir ;)
Moi : Oui comme un glaçon quoi, et moi les glaçons, je les laisse a ceux qui aiment se casser les dents.
AUJOURD'HUI, LE DOUTE S'INSTALLE
J'arrive en salle de TP de bio, elle est déjà la me regarde, me dit de venir à coté d'elle, je lui dit non, vient si tu veux, moi je ne bougerais pas ! Elle s’exécute, me dit que je l'ai vexé hier soir (je rigole alors intérieurement). Je change rapidement de sujet, je reste courtois, je n'en fais pas de trop. Elle qui était enjouée hier, est aujourd'hui froide et distante, cependant elle cherche par moment mon attention qu'elle n'aura pas !
Pendant le TP, je me lève pour aller chercher du matériel à analyser, et je la retrouve à ma place, les genoux sur le tabouret, les fesses galbées à regarder dans mon microscope. Je l'attrape par les hanches, et lui ordonne de retourner à sa place..
La journée s'enchaine, elle cherche mon attention, je concis à lui en donner. Nos échanges reprennent, "fuis moi je te suis..."
Ce soir, je me retrouve dans une situation délicate. Je doute de moi, de mon game, je reflechis, analyse, me prend la tête, cette situation je l'ai déjà vécu...
...j'ai par moment l'impression de revoir une de mes ex : "LSE attention whore" qui m'a pourri la vie et m'a valu une nuit en garde à vue.
J’espère ne pas me tromper. J’espère ne pas OI. Je n'ai aucun concurrent, elle s'est délibérément coupé du reste du TD mise à part les politesses d'usage..
Que faire, la situation n'évolue pas, je ne sais pas dans quel direction aller.