de la toute importance de la sacro sainte vérité
Posté : 11.10.12
Bonjour à tous
Bien voilà, je suis quelqu'un de plutôt franche directe, et qui en général dit les choses et n'invente pas de gros mensonges.
J'ai toujours pris le fait d'être honnête et de dire la vérité si peu plaisante qu'elle soit comme quelque chose de positif.
Seulement voilà, une conversation eue il y a peu est en train petit à petit de faire une révolution dans mon cerveau.
Concrètement voici: je suis en train de me séparer du père de ma fille, plusieurs semaines après la rupture je lui ai dit que j'allais partir une semaine en suisse voir un mec (bien sûr je n'y vais pas pour jouer aux cartes).
Je lui ai pas dit ça pour le faire souffrir, j'ai d’ailleurs bcp tardé à le faire par peur de sa réaction, mais mon postulat à été:
1. il faut que je lui dise (il s'en rendra bien compte de toute façon si je suis pas là une semaine)
2. je vais pas lui monter un bateau du genre je pars chez une amie ou autre... ce serait me foutre de sa gueule.
Et là il y a eut LA conversation où mon interlocuteur m'a dit que de lui avoir servi la vérité n'était pas du tout un cadeau et que justement quand on aime quelqu'un (dans le sens large du mot aimer) on le protège et que j'aurais du donc ne pas lui dire et lui mentir.
Il m'a ensuite finalement demandé de me poser la question de qu’elle fut la véritable raison qui m'a poussé à tout dire.
Il m'a d’ailleurs dit que lui même ayant été cocu il aurait préféré ne pas le savoir, à l'époque sa femme est venu le lui dire peu de temps après et il aurait préféré qu'elle n'en fasse rien.
Donc voilà depuis je m'interroge sur les raisons qui nous poussent à être honnêtes serait par réel respect de l'autre ou alors pour décharger sa conscience et donc dans un but plutôt égoïste.
Dans mon cas je ne me sentais pas mal dans la mesure où la relation était terminée, je ne trompais personne. Par contre oui je me serai sentie mal de lui inventer toute une histoire bidon pour justifier mon absence, mais quelque part ça aurait été prendre sur moi au lieu de lui imposer une vérité qui le fait souffrir.
Justement après l'annonce de mon départ mon ex en a profité pour m'avouer qu'il m'avait trompé, ici, même si il ne l'avoue pas c’était clairement pour me faire souffrir, une sorte de vengeance (de bonne guerre ceci dit) et au point où nous en étions j'aurais préféré ne pas le savoir.
Bref je n'arrive pas à me mettre d'accord sur quelle est la bonne attitude à endosser:
Dire la vérité si peu plaisante qu'elle soit comme une forme de respect de l'autre
ou
Épargner l'autre en lui mentant de manière éhontée?
Bien voilà, je suis quelqu'un de plutôt franche directe, et qui en général dit les choses et n'invente pas de gros mensonges.
J'ai toujours pris le fait d'être honnête et de dire la vérité si peu plaisante qu'elle soit comme quelque chose de positif.
Seulement voilà, une conversation eue il y a peu est en train petit à petit de faire une révolution dans mon cerveau.
Concrètement voici: je suis en train de me séparer du père de ma fille, plusieurs semaines après la rupture je lui ai dit que j'allais partir une semaine en suisse voir un mec (bien sûr je n'y vais pas pour jouer aux cartes).
Je lui ai pas dit ça pour le faire souffrir, j'ai d’ailleurs bcp tardé à le faire par peur de sa réaction, mais mon postulat à été:
1. il faut que je lui dise (il s'en rendra bien compte de toute façon si je suis pas là une semaine)
2. je vais pas lui monter un bateau du genre je pars chez une amie ou autre... ce serait me foutre de sa gueule.
Et là il y a eut LA conversation où mon interlocuteur m'a dit que de lui avoir servi la vérité n'était pas du tout un cadeau et que justement quand on aime quelqu'un (dans le sens large du mot aimer) on le protège et que j'aurais du donc ne pas lui dire et lui mentir.
Il m'a ensuite finalement demandé de me poser la question de qu’elle fut la véritable raison qui m'a poussé à tout dire.
Il m'a d’ailleurs dit que lui même ayant été cocu il aurait préféré ne pas le savoir, à l'époque sa femme est venu le lui dire peu de temps après et il aurait préféré qu'elle n'en fasse rien.
Donc voilà depuis je m'interroge sur les raisons qui nous poussent à être honnêtes serait par réel respect de l'autre ou alors pour décharger sa conscience et donc dans un but plutôt égoïste.
Dans mon cas je ne me sentais pas mal dans la mesure où la relation était terminée, je ne trompais personne. Par contre oui je me serai sentie mal de lui inventer toute une histoire bidon pour justifier mon absence, mais quelque part ça aurait été prendre sur moi au lieu de lui imposer une vérité qui le fait souffrir.
Justement après l'annonce de mon départ mon ex en a profité pour m'avouer qu'il m'avait trompé, ici, même si il ne l'avoue pas c’était clairement pour me faire souffrir, une sorte de vengeance (de bonne guerre ceci dit) et au point où nous en étions j'aurais préféré ne pas le savoir.
Bref je n'arrive pas à me mettre d'accord sur quelle est la bonne attitude à endosser:
Dire la vérité si peu plaisante qu'elle soit comme une forme de respect de l'autre
ou
Épargner l'autre en lui mentant de manière éhontée?