Le gentleman, les champignons, et l'escalier.
Posté : 01.01.13
Salut à vous !
"Vos aventures & rencontres", je poste jamais ici, j'sais pas pourquoi. Bref, on va y remédier, en parlant du nouvel an.
Hier, c'était le nouvel an ( Au passage, à tous les connards qui m'ont gonflé avec la fin du monde, suicidez-vous, ça réduira le problème du chômage, de la surpopulation, et vous montrerez que vous avez des couilles. ) et nouvelle année oblige, on se met bien ( bien ) mal.
A 18 heures, j'ai rendez-vous avec un ami de longue date. On va chez une amie à lui que je connais un peu.
On arrive là-bas, tout le monde a une bonne tronche de soiffard et/ou de junky.
Ca fait déjà deux mois que je suis dans cette communauté, que j'essaye de séduire les demoiselles. Du coup, ce soir, j'avais aucune envie de me mettre la pression. Néanmoins, impossible de me résoudre à ne rien faire. C'est vite addictif.
Il est à peine 18h30, on commence doucement à fumer, on ouvre nos premières bouteilles. Je suis trop doué pour faire des cocktails inbuvables, j'sais pas pourquoi. Même un Whisky/Coca j'arrive à la foirer. Du coup, je me fais mon Sky/Coca, et c'est dégueulasse.
Donc j'en profite pour voir l'état d'esprit de la quinzaine de personnes ( dont à peine 6 filles, dont une prise, deux qui ne me plaisent pas, et une qui m'a déjà traité de connard. Deux fois. Et enfin une qui m'intéresse énormément, que je trouve absolument parfaite. Du coup, je préfère ne rien tenter. Je l'ai trop érigé sur un piédestal pour pouvoir la combattre et espérer m'en sortir. ) en leur proposant de goutter mon petit cocktail.
Je commence par proposer à un blond avec une coupe au bol. Il est malin, il me dit d'aller me faire foutre. Pour la peine, je commence à dire qu'il est roux. Un de ses potes arrive, avec une toison frisée sur le crâne, et commence à se foutre de lui avec moi. Le bonhomme frisé goûte ma merde, et me dit que c'est à gerber.
J'ai donc l'excellente idée d'y ajouter du Pastis. Histoire de mettre encore plus mal les insensés qui accepteront de goûter. Pendant ce temps, j'enchaine kick sur kick, et je me rince la gorge à coup de Bière au nom imprononçable, de Champagne de merde, de Smirnoff, de Pastis.
J'arrive devant une petite brune, au sourire malicieux, aux formes généreuses, tout en restant parfaitement dans mes goûts. Après un regard de gentil garçon et un "J'suis gentil, j'vous veux pas de mal.", elle goûte. Si elle vomit pas, promis, je l'embrasse.
Elle en avale un peu, et me le recrache dessus. Elle s'excuse, et me dit que c'est dégueulasse.
Elle me sourit. Et je lui souris.
On continue à fumer des kick, à un moment, elle monte à l'étage, je l'y suis. J'ai envie de pisser, les toilettes sont à l'étage. A peine m'eus-je vidangé, que je me trouve nez-à-nez avec cet escalier.
La demoiselle passe, me demande pourquoi je ne descends pas. Je tourne lentement la tête.
Raven : Cet escalier me fait peur. Je sais pas pourquoi, il m'aime pas.
??? : Ah bon ?
Raven : Je me suis écroulé dedans l'année dernière, depuis, j'ai un peu peur. Tu veux pas me tenir la main ?
Elle accepte. Amusant. Elle a du vernis rouge. J'en profite pour le faire remarquer, je caresse doucement sa main, elle rit. Je la regarde dans les yeux, d'une façon profonde. Un échange de regards qui dire plusieurs dizaines de secondes. A la clef, un baiser. Et un passage éclair de ma main sur son derrière rebondi, suivi d'un sourire. Puis un autre baiser. Puis on s'assoit en bas. Je suis sur un fauteuil inconfortable, elle sur un lit aménagé pour l'occasion. Je décide presque de me coucher sur elle, la tête sur ses genoux.
??? : Tranquille, demande pas la permission !
Raven : C'est pas ma faute, c'est trop confortable …
Elle rit.
Raven : En plus, j'ai une vue très agréable sur ta poitrine scandaleuse.
Les mots perchés d'un ado' sous champotte ( La p'tite infusion aux champignons équatoriens m'avait mis dans un état second. ) ont fait leur effet, elle rit, elle me caresse doucement, et j'ai même le plaisir de caresser ses roploplos un peu plus tard.
En fin de soirée, quand j'ai bu du champagne, du pastis, de la vodka, du Sky, un espèce de vin à la grenadine, que j'ai fumé de la beuh, des clopes mentolées dégueulasses, des Camel ( Aaaaaaah, les Camel … <3 ), elle se met au piano, je lui demande de jouer pour moi Madworld.
Elle accepte.
Plus tard, je pars aux toilettes, pendant que je pisse, la porte ouverte ( saleté de verrou qui marche pas. ), j'entends du bruit. Je me retourne, je rentre mon soldat ( j'aimerais vous dire que je fais pâlir de jalousie des double-décimètres, mais force est de constater que non. ) afin de regarder ce qui se passe. La demoiselle a monté les escaliers, et a fait une chute. Une vilaine.
Elle se relève en riant, telle la demoiselle complètement ivre, qui se rit de son état, et nos regards se croisent. On s'embrasse. Encore. Et encore. On se caresse. Ses courbes sont harmonieuses, comme le sont les montagnes qu'on voit au loin à l'horizon chez moi.
Néanmoins, je sais qu'elle est vierge. Et même si je dois avouer ne pas avoir une grande expérience dans le sexe ( "Azy couzin, la seule chose qu'est plus grande que mon expérience, c'est ma teub' bro' ! Oooooooh !" Oui, il y avait un wesh à la soirée. Echarpe du PSG et tout. Je vous jure. Donc j'ai du m'adapter, et j'ai gardé quelques réflexes. ), je savais qu'elle regretterait le lendemain de baiser avec un bonhomme qu'elle ne connaissait pas. Je le voyais dans ses yeux. On s'est un peu caressé, mais c'est tout. Elle était fatiguée. Trop fatiguée.
Mes mains n'ont fait qu'effleurer ses fesses, simplement parfaites.
Et pourtant, je ne regrette rien. Pourquoi ? Parce que d'une part, j'ai encore une vie pour me rattraper, et d'autre part, parce que je suis un putain de Gentleman, et je ne solde pas ma conscience auprès de ma queue, c'est à peu près ce que je dirais si j'aimais être vulgaire.
La conscience d'un homme peut-elle le forcer à préférer qu'une demoiselle passe sa nuit dans les bras de Morphée plutôt que dans les siens ? Comment fais-je pour écrire avec toujours autant de "Je parle beaucoup pour rien dire" malgré l'influence de stupéfiants et d'alcool que je subis ? L'ornithorynque est-il la preuve que Dieu était sous LSD et/ou Get 27 lorsqu'il a crée le monde ? Katsu s'est-il nommé ainsi afin de montrer à quel point une actrice de film pour adulte l'a inspiré ?
A toutes ces questions, promis, je répondrais. Mais pas maintenant, je crois que je suis crevé.
Edit : Ah merde, y'a plus de motif dans cette section. Bref, toi, lecteur qui lit ceci, dépose un commentaire. Tu as aimé ou détesté ? Ton avis m'intéresse. Balance-ça dans un style aussi gras que la bouffe du Nord, quand je suis bourré, j'adore ça.
"Vos aventures & rencontres", je poste jamais ici, j'sais pas pourquoi. Bref, on va y remédier, en parlant du nouvel an.
Hier, c'était le nouvel an ( Au passage, à tous les connards qui m'ont gonflé avec la fin du monde, suicidez-vous, ça réduira le problème du chômage, de la surpopulation, et vous montrerez que vous avez des couilles. ) et nouvelle année oblige, on se met bien ( bien ) mal.
A 18 heures, j'ai rendez-vous avec un ami de longue date. On va chez une amie à lui que je connais un peu.
On arrive là-bas, tout le monde a une bonne tronche de soiffard et/ou de junky.
Ca fait déjà deux mois que je suis dans cette communauté, que j'essaye de séduire les demoiselles. Du coup, ce soir, j'avais aucune envie de me mettre la pression. Néanmoins, impossible de me résoudre à ne rien faire. C'est vite addictif.
Il est à peine 18h30, on commence doucement à fumer, on ouvre nos premières bouteilles. Je suis trop doué pour faire des cocktails inbuvables, j'sais pas pourquoi. Même un Whisky/Coca j'arrive à la foirer. Du coup, je me fais mon Sky/Coca, et c'est dégueulasse.
Donc j'en profite pour voir l'état d'esprit de la quinzaine de personnes ( dont à peine 6 filles, dont une prise, deux qui ne me plaisent pas, et une qui m'a déjà traité de connard. Deux fois. Et enfin une qui m'intéresse énormément, que je trouve absolument parfaite. Du coup, je préfère ne rien tenter. Je l'ai trop érigé sur un piédestal pour pouvoir la combattre et espérer m'en sortir. ) en leur proposant de goutter mon petit cocktail.
Je commence par proposer à un blond avec une coupe au bol. Il est malin, il me dit d'aller me faire foutre. Pour la peine, je commence à dire qu'il est roux. Un de ses potes arrive, avec une toison frisée sur le crâne, et commence à se foutre de lui avec moi. Le bonhomme frisé goûte ma merde, et me dit que c'est à gerber.
J'ai donc l'excellente idée d'y ajouter du Pastis. Histoire de mettre encore plus mal les insensés qui accepteront de goûter. Pendant ce temps, j'enchaine kick sur kick, et je me rince la gorge à coup de Bière au nom imprononçable, de Champagne de merde, de Smirnoff, de Pastis.
J'arrive devant une petite brune, au sourire malicieux, aux formes généreuses, tout en restant parfaitement dans mes goûts. Après un regard de gentil garçon et un "J'suis gentil, j'vous veux pas de mal.", elle goûte. Si elle vomit pas, promis, je l'embrasse.
Elle en avale un peu, et me le recrache dessus. Elle s'excuse, et me dit que c'est dégueulasse.
Elle me sourit. Et je lui souris.
On continue à fumer des kick, à un moment, elle monte à l'étage, je l'y suis. J'ai envie de pisser, les toilettes sont à l'étage. A peine m'eus-je vidangé, que je me trouve nez-à-nez avec cet escalier.
La demoiselle passe, me demande pourquoi je ne descends pas. Je tourne lentement la tête.
Raven : Cet escalier me fait peur. Je sais pas pourquoi, il m'aime pas.
??? : Ah bon ?
Raven : Je me suis écroulé dedans l'année dernière, depuis, j'ai un peu peur. Tu veux pas me tenir la main ?
Elle accepte. Amusant. Elle a du vernis rouge. J'en profite pour le faire remarquer, je caresse doucement sa main, elle rit. Je la regarde dans les yeux, d'une façon profonde. Un échange de regards qui dire plusieurs dizaines de secondes. A la clef, un baiser. Et un passage éclair de ma main sur son derrière rebondi, suivi d'un sourire. Puis un autre baiser. Puis on s'assoit en bas. Je suis sur un fauteuil inconfortable, elle sur un lit aménagé pour l'occasion. Je décide presque de me coucher sur elle, la tête sur ses genoux.
??? : Tranquille, demande pas la permission !
Raven : C'est pas ma faute, c'est trop confortable …
Elle rit.
Raven : En plus, j'ai une vue très agréable sur ta poitrine scandaleuse.
Les mots perchés d'un ado' sous champotte ( La p'tite infusion aux champignons équatoriens m'avait mis dans un état second. ) ont fait leur effet, elle rit, elle me caresse doucement, et j'ai même le plaisir de caresser ses roploplos un peu plus tard.
En fin de soirée, quand j'ai bu du champagne, du pastis, de la vodka, du Sky, un espèce de vin à la grenadine, que j'ai fumé de la beuh, des clopes mentolées dégueulasses, des Camel ( Aaaaaaah, les Camel … <3 ), elle se met au piano, je lui demande de jouer pour moi Madworld.
Elle accepte.
Plus tard, je pars aux toilettes, pendant que je pisse, la porte ouverte ( saleté de verrou qui marche pas. ), j'entends du bruit. Je me retourne, je rentre mon soldat ( j'aimerais vous dire que je fais pâlir de jalousie des double-décimètres, mais force est de constater que non. ) afin de regarder ce qui se passe. La demoiselle a monté les escaliers, et a fait une chute. Une vilaine.
Elle se relève en riant, telle la demoiselle complètement ivre, qui se rit de son état, et nos regards se croisent. On s'embrasse. Encore. Et encore. On se caresse. Ses courbes sont harmonieuses, comme le sont les montagnes qu'on voit au loin à l'horizon chez moi.
Néanmoins, je sais qu'elle est vierge. Et même si je dois avouer ne pas avoir une grande expérience dans le sexe ( "Azy couzin, la seule chose qu'est plus grande que mon expérience, c'est ma teub' bro' ! Oooooooh !" Oui, il y avait un wesh à la soirée. Echarpe du PSG et tout. Je vous jure. Donc j'ai du m'adapter, et j'ai gardé quelques réflexes. ), je savais qu'elle regretterait le lendemain de baiser avec un bonhomme qu'elle ne connaissait pas. Je le voyais dans ses yeux. On s'est un peu caressé, mais c'est tout. Elle était fatiguée. Trop fatiguée.
Mes mains n'ont fait qu'effleurer ses fesses, simplement parfaites.
Et pourtant, je ne regrette rien. Pourquoi ? Parce que d'une part, j'ai encore une vie pour me rattraper, et d'autre part, parce que je suis un putain de Gentleman, et je ne solde pas ma conscience auprès de ma queue, c'est à peu près ce que je dirais si j'aimais être vulgaire.
La conscience d'un homme peut-elle le forcer à préférer qu'une demoiselle passe sa nuit dans les bras de Morphée plutôt que dans les siens ? Comment fais-je pour écrire avec toujours autant de "Je parle beaucoup pour rien dire" malgré l'influence de stupéfiants et d'alcool que je subis ? L'ornithorynque est-il la preuve que Dieu était sous LSD et/ou Get 27 lorsqu'il a crée le monde ? Katsu s'est-il nommé ainsi afin de montrer à quel point une actrice de film pour adulte l'a inspiré ?
A toutes ces questions, promis, je répondrais. Mais pas maintenant, je crois que je suis crevé.
Edit : Ah merde, y'a plus de motif dans cette section. Bref, toi, lecteur qui lit ceci, dépose un commentaire. Tu as aimé ou détesté ? Ton avis m'intéresse. Balance-ça dans un style aussi gras que la bouffe du Nord, quand je suis bourré, j'adore ça.