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Some Nice Guy Reports

Posté : 29.01.13
par Arawyn
Yop !

Je me décide à commencer un journal, parce que ça peut que m'aider à progresser, et en plus j'pourrai profiter de vos conseils avisés chers FTSiens. Bon et aussi un peu parce que je viens d'apprendre que j'ai pas cours cette aprem, et en tant que maître de la procrastination, c'est pas encore cette aprem que je me déciderai à faire du SPU en solo. (ça commence bien, hein ?)

Bon alors... Si je commençais par me présenter un peu ?




CHAPITRE 1 : Vaincre sa timidité excessive.


Il était une fois... Je déconne. En fait, dés ma naissance, mon côté nice guy était annoncé : mes parents divorcent, et j'allai être élevé jusqu'à maintenant par ma mère. Pas de présence paternel, une petite soeur, et trois chats. On m'a donc toujours inculqué qu'il fallait traiter les filles comme des princesses, leur offrir des roses, leur déclarer sa flamme sous leur balcon sur un air romantique de guitare... :pokerface: (BITCH PLEASE !) Mais faut dire que j'y ai cru un bon bout de temps, à toutes ces conneries. Et ma timidité excessive n'a pas amélioré les choses. Enfin, j'ai toujours trouvé con le coup des roses, du chocolat, whatever.


En fait, ça a pas trop mal commencé. Premier KC à 5 ans, dans une cours estivale de maternelle. :fuckyeah: Mais après, je me suis retrouvé à sauter une classe, puis une deuxième au collège. Ce qui m'a mené au rang de mec carrément coincé. Le petit de 13 ans, au lycée, dans le fond de la classe, qui fait une tête de moins que les autres et pour qui parler à une fille est déjà un effort surdimensionné. Bon je l'avoue, j'ai pas très bien vécu cette période, le lycée, la première année surtout. Mais après, j'ai commencé à réfléchir. Ma conclusion : pour vaincre ma timidité, fallait que je me sorte les doigts du cul et que je me sorte vite fait de ma zone de confort. Alors c'est ce que j'ai fait. Et ça m'a pas trop mal réussi. Quoique... Être un alcoolique chronique pour qui faire la fête est une véritable passion, j'sais pas si c'est mieux. Moi j'préfère, et j'assume l'idylle entre les bouteilles et moi. Une vraie histoire d'amour.


Bref, je m'égare un peu là. Donc jusqu'à la fin du lycée (jusqu'à mes 16 ans donc, pour ressituer), j'ai fait que passer à côté d'occasions. Je m'arrangeais toujours pour rester dans ma zone de confort. Allez savoir pourquoi, y'avait des filles qui s'intéressaient à moi. Mais je les remballais. Par peur, sans doute.


En fait, j'idéalisais tellement le couple, les histoires d'amour, etc. que, pour moi, c'était un gros engagement rien que d'embrasser une fille. (Si seulement je savais à quel point j'avais tord ! Ahahah...) Donc j'esquivais tous les baisers, tous les contacts. Un vrai serial-feinteur.
:yuno:


Et à un moment, j'me suis dit : "Oh et puis merde ! Cette fois, j'essaye, et arrivera ce qui arrivera. Fock !". Et donc premier vrai KC une semaine après mes 17 ans. C'était horrible, j'm'attendais à un truc génial, et j'ai eu le droit à un lavomatic de la part de sa langue. Pour vous dire à quel point j'étais timide, je tremblais de stress. Elle était sur mes genoux et me demandait pourquoi je tremblais comme ça. "J'ai froid...".
:fuuuu:


(M'en voulez pas si j'abuse des smileys, je les aime bien...)
Donc c'est là que j'ai commencé à comprendre que tout ce que je pensais sur les relations hommes-femmes, c'était périmé, à bannir. L'été qui a suivi, deux-trois autres KC, cette fois j'accordais de moins en moins d'importance à tout ça, je commençais (attention, j'commençais à peine hein) à m'amuser un peu. Mais toujours ce stress et cette timidité qui me pourrissaient la vie. Mais plus je sortais de ma comfort zone, moins j'étais timide.


Ensuite, un an de prépa, donc aucune vie sociale. Et premier One-Itis. J'suis donc passé de timide à AFC.




CHAPITRE 2 : De l'AFC au Nice Guy.


Petite parenthèse : c'est grâce à tout ça, à force de faire des erreurs tout le temps, que j'ai finit par comprendre à quel point les erreurs sont bénéfiques. Sérieux, j'regrette rien.


Ca nous ramène donc à l'été suivant. 18 ans.
Va falloir se bouger un peu mon gars !
Et c'est ce que j'ai fait. J'me lançais plein de petits défis, et j'me suis bien éclaté. Des défis du genre :
-Aborder 2 inconnues sur la plage ce soir.
-Embrasser dix filles dans l'été.
-Sortir avec au moins une.
-Foutre un râteau (Ouais ouais, c'est pas cool, je sais. Mah bon...).
-Pécho en boîte.
-Kcloser le plus d'inconnues en un soir sur la plage. (Résultat : 4)
:challengeaccepted:


Bon enfin ce genre de truc. Mais le défi principal restait quand même : Quoiqu'il arrive, s'amuser le plus possible ! Et je les ai remplis. Ma zone de confort m'observait de loin en me suppliant d'y retourner. Mais j'ai pas cédé, non mais !


Et après, fin de l'été, fin de la prépa, début de vie sociale, rencontre avec l'alcool et autres substance plus ou moins licites. :D Et... Gros One-Itis !




CHAPITRE 3 : Let's shot the Nice Guy inside.


C'était dans l'école où je rentrais cette année-là. Du gros n'importe quoi. J'loupais la moitié de mes cours, je fumais des gros spliffs le soir avec des potes, j'ai fait une grosse fixette aigüe sur une fille...
Le contexte : c'était l'occasion de repartir à zéro, dans un bled lointain (en Bretagne ! J'habite dans le sud.), alors j'ai joué un rôle, à l'inverse de tout ce qui précède : le mec qui se fout royalement de tout, qui pense qu'à s'éclater (un peu trop parfois), qui assure avec les filles, mais en même temps un peu inaccessible. Sauf que j'avais pas prévu un truc : une fille. C'est grâce à elle que ma vision de tout ça a complètement changé. Grâce au one-itis où ça m'a mené.


Au début, j'jouais bien mon rôle, à fond dans l'personnage ! J'm'en battais les ouïc', et elle a commencé à s'intéresser à moi alors qu'elle en avait plein à ses pieds, et un copain depuis un an et quelques. Elle me faisait des avances, mais je voyais rien encore. Et quand j'ai enfin vu :arrow: j'ai repris tous mes vieux réflexes d'AFC. L'alcool aidant pas. Allez quoi, on a tous déjà eu une période comme ça. Une période de vieilles déclarations d'amour les soirs de dépravation, devant une porte close (qui forcément, n'a pas beaucoup de conversation). C'était pathétique, quand j'y repense. Mais ça m'a grave aidé à devenir ce que je suis maintenant, alors bon...


Et puis, un soir, alors que la meuf venait de se remettre avec son copain de longue date, une semaine plus tôt, allez savoir comment, j'me retrouve dans sa chambre, verrou enclenché. Et elle qui me fait :
J'ai envie de t'embrasser, voir comment ça fait
Et KC devant le pauvre regard d'une bouteille de Gin Fizz (Cette pauvre bouteille a dû être traumatisée). Et elle commence à me déshabiller assez sauvagement (un peu de finesse dans ce monde de fous, bordel !). J'étais bien entamé. Et Dieu sait à quel point j'avais envie d'elle. Mais, allez savoir pourquoi, pendant qu'elle me dévore la bouche, j'commence à réfléchir, en bon Nice Guy que j'étais. J'pense à son copain, que si j'étais à sa place j'aimerais pas trop ça, tout ça. Et j'finis par lui sortir :
Attends ! Arrête. T'as un copain, c'est pas cool. J'me casse.
Et j'suis parti de sa chambre, en la laissant en plan...

:yuno:

Pour le coup, j'regrette encore. C'est la seul fille dont j'ai vraiment eu le coup de coeur. Quel con quand même...


Bon mais, c'est de là que j'ai commencé à réfléchir. Les filles, les relations sociales... Et j'ai décidé d'abandonner toutes mes idées de Nice Guy. Allez quoi ! La fille, elle avait qu'une envie ce soir-là, et j'ai même pas été capable de la combler. Foutue société qui nous met tout un tas d'idées reçues dans la tête !


Bon au final, j'ai abandonné mon école, j'aimais pas les cours, réorientation :arrow: fac. J'ai eu droit à 6 mois sabbatiques, du coup, où j'ai eu pas mal de temps pour avoir plein de réflexions qui allaient à l'encontre de ce que je pensais jusque là. Tout ça grâce à cette fille, quand même :D
Et puis j'ai pu voyager un peu, comme ça. Amsterdam par exemple... J'adore cette ville !


Entre temps, j'ai encore un peu amélioré mon game. Mais rien de bien folichon. C'est d'ailleurs à ce moment que j'ai lu The Game de Neil Strauss, et que j'ai découvert ce super forum ! (Merci d'ailleurs pour tous ces super sujets, y'a vraiment des trucs intéressants niveau développement personnel, drague etc.)


Et ça nous amène à l'été dernier. Fini le Nice Guy. Ce qui compte, c'est s'amuser, avoir un bon niveau d'énergie et en faire profiter les autres. Et surtout, vivre uniquement dans le présent. Peu importe ce qui se passe après, j'y pense plus. Finies les questions. On agit, on écoute son coeur, et après on consulte son petit cerveau qui aime tant réfléchir. Si c'était une erreur, tant mieux. Ca fait progresser. Si c'était un succès, cool. Ca flatte un peu l'égo et ça améliore la confiance en soi. Au final, les échecs, ça existe pas. On peut pas perdre ce qu'on n'a pas encore, pas vrai ?

:fuckyeah:




CHAPITRE 4 : Sea, girls, sun and alcohol.


Après avoir eu assez de temps pour réfléchir, j'dois avouer que j'étais au top. J'pensais plus à l'autre, mon fameux OI, je me faisais draguer, je tentais dés que j'en avais envie, et j'me prenais même pas de râteau.
:awesome:


D'abord y'a cette meuf qui m'écrivait tous les jours depuis 2 mois. Elle était canon, et bisexuelle. (ça a son importance pour la suite !)
Première soirée de l'été, chez une pote lesbienne qui était "tombée amoureuse", selon elle, de la bi. Tout ça a donc donné une soirée très bizarre, mais j'avais enfin vaincu pas mal de peurs. Genre ma timidité, la peur de l'approche, peur du râteau, etc. En fait, j'voulais juste m'amuser. Donc quand j'ai vu ma pote qui embrassait Bi (on va l'appeler comme ça, hein), j'me suis dit que bon, tant pis, c'est pas grave. Jusque 10 minutes plus tard, quand c'était à mon tour de l'embrasser.


Et bin, sachez qu'avoir la même target qu'une amie lesbienne, c'est limite suicidaire. J'ai failli me faire virer de sa maison tellement elle était jalouse.
Putain ! Je t'avais dit que j'en étais amoureuse !! T'es un connard !! La touche plus !
Alors je me suis écarté un peu des deux, et entre temps, NC d'une fille de la soirée.


Et puis ça s'est enchainé. J'étais au top là. Mojo au max. Trois jours plus tard, date avec la fille, et KC. J'ai du rompre trois jours après, car elle était déjà accro. Elle me parlait de mariage, d'enfants, de voyages un an plus tard, etc...
:pokerface:

Donc j'ai eu le droit à ma première rupture. J'savais même pas comment rompre. Je l'ai appelée, elle a fondu en larme, m'a supplié, m'a même dit que si c'était pour d'autres filles, ça la dérangeait pas, elle l'accepterait... Bref. C'est bien plus chaud de rompre avec une meuf que de se mettre avec, en fait !

La semaine d'après, j'sortais avec Bi, qui était tiraillée entre moi et ma pote. (c'est quand même moi qui l'emportait) Donc on a préféré en rester là. Trop d'emmerdes.
Le lendemain, soirée. KC d'une autre meuf. Puis encore une autre quand la première est partie de la soirée.
Le surlendemain, j'ai une copine (la première meuf de la soirée de la veille), et j'me retrouvé à doigter ma pote lesbienne. (WTF ? J'ai toujours pas compris comment c'est arrivé...)
Une semaine plus tard, toujours avec ma copine, mais je m'en fous, j'ai décidé de profité du moment présent bla bla bla... Donc j'ai eu droit à une des soirées où j'ai le plus assuré.


Je connaissais personne à cette soirée, à part le mec qui organisait. Et j'avais même pas prévu de draguer. Ma copine avait pas pu venir. Pourtant, au bout de 2h, je me retrouve dans un bois à faire des trucs avec une fille. C'est le mec qui était en OI dessus qui est venu nous chercher, parce que ça faisait longtemps qu'il l'avait pas vu. Il s'inquiétait. Alors une autre vient me parler, elle venait de débarquer à la soirée. Quelques heures plus tard, quand je vais me coucher (à côté de celle du bois), j'sens quelqu'un qui me monte dessus. C'était la deuxième fille. Elle se penche, et me KC, toute seule, comme une grande. Elle arrêtait pas de me répéter qu'elle avait ses règles et qu'elle était deg. Mais j'm'en foutais. D'autant que j'avais la sécurité d'être en couple cette fois.


Au final, cette soirée c'était un peu le résultat de toute ma réflexion. Je connaissais personne en arrivant, et à la fin j'étais pote avec tout le monde, je me faisais draguer par des filles, j'étais saoul, je m'éclatais comme un fou.


Et pendant un mois, comme ça. Les deux dernières semaines du premier mois d'été, j'me suis dit que j'allais plus faire de conneries vis-à-vis de ma copine. Et mon côté Nice Guy est ressorti. Du coup, à la fin du mois, elle me quitte. J'étais son rebound guy. Elle est retournée avec son ex le mois suivant. Mais en étant sorti un mois avec elle, j'ai nexté direct quand elle m'a quitté. D'autant que je partais en Thaïlande le lendemain pendant un mois.

:fuckyeah:





Voilà voilà, merci à ceux qui ont lu tout ce pavé d'une traite ! Ceux-là ont beaucoup de courage ! Respect. Surtout, n'hésitez pas à critiquer ! Je voulais poser les bases. Histoire de le faire bien, ce journal ! Y'avait pas grand chose de concret, là-dedans. Vous imaginez même pas encore les conneries que je suis capable de sortir 8)

J'attends vos réactions et j'écrirai la suite :)



Arawyn, alcooliquement votre.

Re: Some Nice Guy Reports

Posté : 29.01.13
par Arawyn
Bon, bon, bon. J'vais pouvoir écrire des trucs plus concrets !

Après l'été, j'changeais donc de ville, de nouveau dans l'sud (putain c'est fou ce que le soleil peut manquer... Pour nos amis nordistes, je compatis. Vous le connaissez sans doute moins bien que moi. Et ouais, il préfère venir dans l'sud que passez vous faire des petites visites ! Vous vous avez la neige quoi.).


La fac... Autant dire que j'en fous pas une aussi. J'vais à la moitié des cours... Bref, j'continue sur ma lancée d'école d'ingé. Mais bon ça se passe pas trop mal pour l'instant ! Là, j'vais vous raconter la première avec qui j'suis sorti depuis cette rentrée. J'vais essayer de bien me rappeler de tout ça. C'est mieux si y'a des détails, nan ? :wink:




Texto inconnu.



Note : Putain ! J'viens seulement de voir qu'on pouvait modifier la taille d'une partie du texte. Pas doué le mec !



Donc en fait, à ce moment j'étais dans une période où j'avais découvert un truc marrant. C'était en octobre j'crois ou fin septembre. Bref, vu que je connaissais pas grand monde sur Nice, des fois j'demandais à des potes de me passer un numéro au pif de leur phone (d'une meuf, de préférence), et j'm'amusais à dire n'importe quoi. Ca donnait ce genre de chose : (une que j'ai appelé une fois. Elle avait un copain.)
E : Allo ?
M : Salut Emilie (nom au pif, me rappelle plus son prénom toute façon) !
E : C'est qui ?
M : C'est Robert ! Tu me reconnais pas ?! Tu te rappelle pas dans le bar la semaine dernière ? Tu m'avais renversé un verre dessus !
E : Mais... Mais... Non, désolé, je crois que vous vous trompez de numéro...
M : Bin non ! Tu t'appelle bien Emilie ***** (mon pote m'avait dit son nom et son prénom, oubliés aussi de toute façon, et puis on est pas là pour étaler la vie privée des gens ! Enfin si, mais sans savoir de qui on parle :D)
E : Heu... Oui... (complètement déboussolée) Mais ça fait deux ans que j'ai pas été dans un bar ! Ca pouvait pas être moi...
M : Hum ok, désolé ! Bonne soirée ;)
E : Attends !
M : Oui ?
E : ...Tu t'appelles comment ?
M : Désolé, je ne m'appelles pas.


Oui, c'était bâtard, j'avoue. Mais bon, j'avais envie de tester plein de truc, après avoir lu certaines choses sur FTS et tout ! J'voulais mettre certaines choses en pratique ! La fille m'a envoyé un SMS deux heures après. J'ai pas répondu et ai effacé son numéro. C'était seulement pour m'amuser.


Si je vous ai dit tout ça, c'était pour ressituer le contexte. Parce qu'à un moment, j'étais à une soirée. En petit comité : moi, deux-trois potes et quelques bouteilles d'alcool. Et avec un pote, on faisait un jeu à boire (of course, pas un jeu de société...). Et le perdant devait filer un numéro d'une meuf de son répertoire au pif au gagnant. Bien entendu, j'ai gagné.

:fuckyeah:


Donc, en fait, tout à commencé par un "Salut" tout innocent à une inconnue, que je n'avais jamais vue, et à qui j'avais jamais parlé.
Et tout ça à mené, deux semaines plus tard, à une date. Assez improbable comme date... Enfin, j'vous raconte ça.



On a rendez-vous le soir, sur une place. Elle est en retard d'une dizaine de minutes. Je n'oublies évidemment pas de lui faire remarquer, pour la faire un peu chier. Puis on va s'installer dans un bar. Jusque là, rien d'anormal, si on passe à côté du fait que ce soir-là, le chanteur avait décidé de chanter les chansons les plus baddantes que j'avais jamais entendues.
En fait, j'en avais marre de m'investir à chaque fois. Donc je me suis dit que, cette fois, je laisserais la fille s'investir, trouver des sujets de conversation, et tout, et tout. Et c'est assez marrant, en fait.

De temps en temps, j'm'arrêtais de parler, tout en continuant de la regarder dans les yeux, avec un petit sourire. Et elle trouvait à chaque fois un sujet de conversation, toute seule, sans que je l'aide. Je pratiquais le zéro-effort, ce soir-là, en fait. Et ça marchait plutôt bien. En plus, j'ai une capacité à trouver des conneries à dire suivant ce que la personne en face de moi sort. Par chance, ça la faisait rire.


Et puis on décide de bouger. J'sais pas trop pourquoi, j'voulais un parc. J'voulais absolument aller dans un parc. Mon côté romantique, ça... Donc j'l'ai traînée avec moi pour chercher... un parc. Sauf qu'à cette heure-ci, ils étaient tous fermés.

:yuno:

Maudits parcs. J'me suis donc résolu à l'emmener sur la plage. (Bon, c'est bien aussi, mais là ça a donné un truc super bizarre...)
On se pose sur la plage, sur les galets (et ouais, même pas de sable ! Rah...), et s'en suit une discussion d'une demi-heure sur... des cailloux. J'savais même pas qu'on pouvait faire des allusions sexuelles avec des cailloux... Enfin bref. C'est là que c'est devenu bizarre !


Devant nous, une bande de mamies débarquent. Bon, ok. Des mamies russes. Why not. Elles commencent à se déshabiller, vingt mètres devant nous. (Awé...) Et elle se mettent à poil. Elles avaient décidé de prendre un bain de minuit juste devant nous... Cette vision me traumatise encore, dans mes plus sombres cauchemars...

Alors on se couche sur les galets, parce que, qu'on se le dise, le ciel était quand même plus agréable à regarder. Donc je sors mes conneries habituelles sur les constellations, tout ça... Et pis, derrière nous, trois africains commencent à rapper sur une vieille musique, dans une langue inconnue au bataillon. C'était pas très joli joli.


Et, franchement, pour un premier rencard, j'ai déjà vu mieux qu'un bain de minuit de mamies russes sur fond de rap africain. Y'a vraiment des gens bizarres, le soir, sur les plages...


Au final, on bouge. Et... j'me rend compte qu'y a un truc que j'ai toujours pas fait : le kiss close ! Et qu'il faudrait que je me bouge un peu. D'habitude j'avais pas de problème à KC, mais là, bah... j'le sentais pas. J'saurais pas dire pourquoi. Et elle me dit qu'elle rentre chez elle à pied, parce qu'à minuit passé (putain, il était déjà minuit ! C'était vite passé !), y'a plus de bus. Mais en tant que gentleman (surtout pour le bien de ma conscience, en fait), j'allais pas laisser une jeune et jolie fille rentrer toute seule à pied en pleine nuit. Donc j'la raccompagne. Sur le chemin, je la taquine sur son sens de l'orientation pourri. (Enfin, y'en a pas beaucoup des filles qui ont le sens de l'orientation, faut le dire. Et j'peux parler, je suis une grosse quiche en orientation, moi aussi.)


Pis on arrive chez elle. Et je l'ai toujours pas KC. Et là, un moment magique...
J'sais pas si vous avez vu cette scène, dans Hitch, où le mec explique que, lors d'un rencard, à la fin, quand le mec raccompagne la fille à sa porte, y'a un truc qu'elle fait pour retarder un peu le temps et lui donner l'occasion de l'embrasser :
[youtube][/youtube] (cette scène-là)
Elle titille ses clefs. Elle met trois plombe à trouver la bonne clefs dans son trousseau, après avoir mis trois autres plombes à trouver le trousseau de clefs dans son sac... Alors que, en principe, c'est un truc qu'elle fait tous les jours d'ouvrir sa porte. Qu'elle sache toujours pas quelle est la bonne clef au bout de plusieurs mois, faut pas abuser ! Bref. J'crois qu'elle avait vu ce film.

Parce qu'elle m'a fait le coup des clefs ! Du coup, j'pensais plus au KC, parce que je revisualisais la scène du film dans ma tête, en me marrant intérieurement...

:awesome:


Quand j'suis revenu à la réalité, elle venait de trouver enfin la bonne clef. Ah non, toujours pas celle-là, ça rentre pas dans la porte... Ah ! Voilà, c'est celle-ci...
Du coup, j'ai fait le truc que j'fais jamais d'habitude... Et que je ne ferai jamais plus ! Demander son approbation.
Attends... J'ai envie de t'embrasser.
Elle m'a regardé, sans répondre, pendant genre dix secondes, puis j'ai dit "Bon !" et je l'ai embrassée. A la fin, elle m'a dit : "T'as bien fait". Ah bon...



Voilà voilà, après je suis sorti avec pendant deux semaines. J'ai fait n'importe quoi, quand j'y pense. J'me suis très vite attaché à elle, l'ai considérée comme acquise, suis redevenu un Nice Guy (il est dur à éliminer, celui-là), et me suis fait larguer au bout du compte. Mais après j'ai pu analyser toutes les erreurs que j'avais faites. Maintenant, je sais repérer quand je gagne des points ou, au contraire, que j'en perds. Grâce à ces erreurs, toujours. Donc c'est cool. 8)


Petite parenthèse : J'ai compris un truc y'a pas longtemps. Bon, d'abord, une fille n'est jamais acquise. Peu importe depuis combien de temps on est avec. Et ce qui la fait fuir, c'est l'erreur de congruence. Faut que notre comportement qui l'a séduite ne change pas d'un coup au moment où on sort avec, ou au moment où on franchit n'importe quelle étape en fait. La congruence, super important... Sinon, on est rien de plus qu'un menteur. On a joué un rôle pour la séduire, on était pas soi-même. Il FAUT être soi-même ! Enfin, pour moi, c'est le but de tout ça, de la drague, du développement personnel : devenir moi-même. Et, tant qu'à faire, le rester. (J'dis pas non plus qu'il faut pas changer, évoluer, hein... au contraire.)
[/Fin de la Petite parenthèse]




Voilà, j'attends vos réponses ! N'hésitez pas à critiquer :D

Arawyn, alcooliquement votre.

Re: Some Nice Guy Reports

Posté : 03.02.13
par Arawyn
Je suis couché sur cette fille de puis 20 minutes, sur ce canapé, j'sais pas trop ce que je fous là... J'contrôle plus trop ce que j'fais, mon taux de sang dans l'alcool est de plus en plus bas. Je vois bien qu'elle est pas open. Elle parle avec son copain par textos depuis le début de la soirée, et c'est sûrement une fille fidèle, qui risquerait pas de tout foirer pour une aventure d'un soir. Mais ce soir, l'objectif était le suivant : faire de la merde. N'importe quoi. Alors je me penche péniblement et en titubant pour l'embrasser. Elle tourne la tête. Pourtant, je recommence deux fois. Une heure après, je suis encore là en train d'essayer d'avoir ce que j'pourrai pas avoir ce soir. Mais au fond, qu'on se le dise : tout ça me fait bien marrer. Je prends mon pied. J'aime faire de la merde. J'aime faire des erreurs. Même si, là, c'était pas une erreur. Je me réveille le lendemain avec une bonne gueule de bois, sans aucun souvenir de la veille (mes souvenirs actuels, je les dois à mes amusés témoins, mes potes), et un sourire aux lèvres. J'ai progressé. Intérieurement. Je me rapproche de qui je suis.


Ce post est plus une pensée, une réflexion personnelle, qu'un FR. Vous attendez pas à lire mes exploits, y'en a pas. C'est pas non plus un foirage, un échec. Hier soir, j'ai fait exprès de faire de la merde.

Vous avez lu le post juste au-dessus ? L'histoire du texto inconnu. Voilà comment l'histoire finit.
J'sais pas ce que cette fille m'a fait à l'époque (y'a quelques mois maintenant quand même), mais j'ai flashé dessus. J'ai fait une fixette. J'm'attendais à ce qu'elle me quitte et elle m'a quitté. J'y pensais plus, j'ai rencontré d'autres filles dans les semaines qui ont suivies, testé plusieurs trucs de PNL et travaillé ma spontanéité dessus, et ça marchait plutôt bien. Sauf que pas une ne paraissait assez importante pour moi. Alors j'me suis remis à penser celle qui m'avait quitté deux-trois semaines auparavant. Et je suis tombé en pseudo one-itis dessus. Ca me faisait clairement chier, parce que j'aime pas revenir sur ce qui est passé. Et elle, j'avais nexté, j'allais pas y revenir... Normalement. Mais j'ai fait une exception, fallait que je la vois, que je comprenne ce que je pouvais bien trouver de si intéressant chez elle. (Au final, elle est intéressante, mais je pense que c'est surtout le fait de m'être fait rembarrer qui joue pour l'OI) Donc je l'appelle et je fixe un rencard.

Un rencard parfait, en tout point. J'fais aucune erreur. J'dis n'importe quoi, elle rit à tout. Elle m'envoie pas mal d'IOI et comprend que j'ai déjà changé depuis la dernière fois. Que je jouais un rôle quand on était ensemble, que j'étais pas moi-même. Elle ne mentionne pas son nouveau copain jusqu'à la fin de la soirée qui se termine chez elle. Mais je décide de partir. Et je fais le con. Un des pires trucs que j'ai fait sûrement pour essayer d'embrasser une fille.

J'arrive devant sa porte, après lui avoir fait la bise. Je m'arrête. Je me retourne. Je reste là, à bien 2 mètres d'elle, pour sortir de manière hésitante ma phrase bidon : "Heu... est-ce que je peux tenter un truc ?...."
Elle hésite, rien qui sort de sa bouche. 20 secondes de torture où je m'engueule en même temps dans ma tête d'avoir sortie une connerie comme ça au lieu de l'avoir embrassée directement plus tôt dans la soirée. Je m'en veux à mort. Pendant ces vingts secondes, ses yeux se baladent entre mes yeux et ma bouche, elle hésite, sait pas quoi répondre... Puis vint la réponse : "Désolée... j'ai quelqu'un..."

Et j'me barre. Ironiquement, sur le chemin vers chez moi, une meuf, thaïlandaise sans doute, peut-être même ladyboy, j'en sais rien, m'aborde.

-Ca va ?
-Ouep
-Tu fais l'amour ?
-Pas ce soir, désolé !


Vous voulez ma technique pour nexter dans les règles de l'art, lors d'un one-itis ? C'est pas très dur. Je lui envoie un long message pitoyable au possible, histoire de briser le peu de chances qu'il me reste avec, et je ne lui reparle plus. Pour elle, j'ai effacé numéro et facebook juste après le long message, en lui expliquant que j'arriverais pas à être ami avec elle. Depuis, je l'ai pas revue et ne lui ai pas reparlé. Je l'ai oubliée, et ma fixette aiguë est passée comme un souffle dans le vent. Pas revue jusqu'à la semaine dernière.

J'vous explique. Soirée chez moi, petit apéro avec quelques amis. Et mon pote qui est aussi son pote me demande si elle peut venir avec son copain. L'occasion parfaite pour voir si j'ai encore des sentiments ou non. La réponse : non. J'me suis bien éclaté à cette soirée. Un peu plus tard je num-closais une fille dans les chiottes d'un bar. La technique de drague de l'homme bourré, ça... L'alcool parle et toi t'écoute ce qui sort de ta bouche, en gros. Si l'alcool est doué, à la fin la fille te passe son numéro. Enfin bref.

Et après ça, j'ai appris qu'elle fêtais son anniversaire hier soir. Bien sûr, j'étais pas invité. On se parlait plus depuis deux ou trois mois et la seule fois où on s'est revue, j'arrêtais pas de la vanner. Des fois, elle me parlait et j'écoutais pas. Mais justement, c'était l'occasion de me fixer un petit défi perso : m'incruster à son anniversaire, et faire de la merde. C'est surtout pour le regard des autres. Parce que j'ai des objectifs personnels, comme vaincre certaines peurs, et j'ai décidé d'y aller à la manière un peu moins douce. En gros, t'as peur d'être ridicule ? Balade toi pendant 3 semaines en tutu dans la rue, sans prendre de douche, en mode gros crade. Et tu peux même danser, surtout quand les gens regardent. A la fin, tu t'aperçois que t'es toujours là, t'es toujours toi. Le ridicule ne tue pas, en somme. T'en a plus peur, et tu peux maintenant faire un tas de trucs que t'osais pas avant. Comme aborder des meufs dans la rue, par exemple. Bon, ça c'est la manière pas douce du tout du tout. J'ai pas encore assez de couilles pour faire ce genre de trucs...

Alors j'voulais voir certaines limites, aller un peu plus loin, par rapport au regard des autres. Surtout à cette soirée. J'voulais faire de la grosse merde, du grand n'importe quoi. Bon c'était pas si grave que ça en fait, c'était gentillet ce que j'ai fait. Et ça donne ce que vous avez lu au tout début de ce post.

Je débarque, après avoir prévenu une heure avant que j'm'incrustais, et avoir eu l'autorisation de le faire (quand même). Au début, j'me sens un peu mal à l'aise, rapport au contexte. Et puis je connais pas grand monde. Des têtes que j'avais déjà vues une fois ou deux, d'autres jamais. Alors je sors fumer une clope en solo, et j'réfléchis en me disant que y'a pas à stresser, des trucs comme ça. J'demande même à mon wingman par texto de me donner le mojo, ce qu'il fait très bien d'ailleurs. (merci à lui !) Donc je relativise, et je retourne à l'intérieur, sourire aux lèvres.

Un jeu d'alcool se lance. Parfait ! J'adore les jeux d'alcool, et j'suis assez bon à ça... Sauf que dés le départ j'sympathise avec les autres joueurs, qui se sont donc mis en tête de faire boire leur nouveau pote. J'me prenais toutes les gorgées. Et on n'avait même pas encore mangé.
Ce qui fait que, pour moi, la soirée se finit juste après manger. Après, j'ai juste des flashs.

J'me rappelle avoir fumé un joint ou deux, avoir bien parlé avec le copain de la fille en question. Il est super sympa d'ailleurs (j'suis absolument pas jaloux en plus, alors on a bien déliré. Et puis je m'en fous réellement d'elle, maintenant. Donc c'est cool, tout va bien !). J'me souviens de quelques pas de danses avec elle, avec sa meilleure amie (qui elle ne savait pas bien danser, presque aussi mal que moi... Je n'ai pas omis de lui faire remarquer.), de quelques discussions assez sympa avec des filles de la soirée (dommage qu'aucune d'entre elle ne restait tard, elles sont parties avant minuit). J'me souviens de la galette que j'ai posé dans les chiottes.

Après, c'est parti en couilles. J'avais l'alcool grave relou apparemment. Bon, ça j'm'en souviens pas. Mais y'avait cette fille, sa meilleure pote. Dés le début de la soirée elle me lançait des EC assez fréquent. Elle faisait des petites remarques sympa, que j'ignorais. Un peu plus tard, on a un peu parlé, ça accrochait. Jusqu'à encore un peu plus tard, quelques verres en plus pour moi :

J'aurais parlé de Mickey Mouse et de Dark Vador. J'aurais fait des vannes bidons à propos de Luke et de son père. J'aurais espionné sa conversation SMS avec son copain. J'me serais endormi sur elle. La tête entre les seins. J'aurais tenté de l'embrasser en me réveillant. (Note : ça, c'était APRES avoir vomi. Ca aurait pas été super cool pour sa bouche si elle m'avait pas repoussé...) Trois fois. Je me serais pris trois râteaux. Elle aurait dit que je suis bizarre. Elle aurait demandé à mon pote de m'empêcher d'aller la voir encore. J'aurais atterri dans son lit par erreur. On m'en aurait viré.

Après, je me suis réveillé. Sans rien de tout ça en tête. Juste une sensation d'avoir un peu fait n'importe quoi, de m'être prouvé que je m'en fou de mon ex, et surtout que, ouais ! Le ridicule ne tue pas. On peut même s'en amuser. J'aime bien me foutre de ma gueule. L'auto-dérision, c'est franchement mieux que l'apitoiement. Et vu les situations où je me retrouve parfois, y'a moyen de bien rire...



...Bref, j'ai fait une soirée chez mon ex.

Arawyn, alcooliquement votre.

PS : Tout commentaire, constructif ou non, toute remarque, critique, avis, attaque, déclaration d'amour, HB10, autre, sont les bienvenus ! :)

Re: Some Nice Guy Reports

Posté : 04.02.13
par Raven
Yo' man.

"Je me rapproche de qui je suis", j'pense que foncièrement, c'est faux.

Tu es. Mais tu évolues.

Mais tu n'atteindras jamais celui que tu penses être.

J'sais pas si j'suis clair.

Mais en gros, il n'y aura pas une limite, un point fixe à partir duquel tu es celui que tu souhaiterais être. Tu évolues, lentement, et tu te rapproches uniquement d'un idéal, d'une incarnation.

Enfin, je crois.

Sinon, cool mon coco, continue !

Re: Some Nice Guy Reports

Posté : 04.02.13
par Arawyn
Raven a écrit :Yo' man.

"Je me rapproche de qui je suis", j'pense que foncièrement, c'est faux.

Tu es. Mais tu évolues.

Mais tu n'atteindras jamais celui que tu penses être.

J'sais pas si j'suis clair.

Mais en gros, il n'y aura pas une limite, un point fixe à partir duquel tu es celui que tu souhaiterais être. Tu évolues, lentement, et tu te rapproches uniquement d'un idéal, d'une incarnation.

Enfin, je crois.

Sinon, cool mon coco, continue !

Oui, c'est pas c'que je voulais dire. J'pense que le mec qui finit par "être qui il est" et qu'évolue plus, c'est un con, ou un imbécile heureux. Enfin un pov' mec.

Ce que je voulais dire, c'est que par exemple, prends un player qui sort avec en tête déjà tout ce qu'il a prévu de sortir, plein d'openers et de je n'sais quoi déjà écrits, répétés et rerépétés dans sa p'tite caboche, VS un natural, qui prévoit rien et y va à l'instinct.

Le natural est lui-même, l'autre joue un rôle, c'est sa bouche qui parle des convictions d'autres.

En fait, t'as les moutons, qui suivent, par manque de confiance en soi surtout, et les leaders, qui sont comme ils sont (leur pensée, leur conviction, tout évolue, mais ils se laissent pas influencer. Ils assument leur façon d'être).

Ce que je voulais dire, donc, c'est que j'perds petit à petit ma laine de mouton. Et en dessous, y'a un natural qui est lui-même en toute circonstance.

Me suis mal exprimé donc. Quand je dis être soi-même, j'veux dire "continuer de devenir soi-même, perpétuellement"

Note : J'sais pas si j'suis très clair non plus. Et ça n'a rien a voir, mais dans ta note, "LFG", quéqueçasignifie ? ^^

Re: Some Nice Guy Reports

Posté : 05.02.13
par Raven
Yo' !

LFG : Life is Fuckin'Good.

Enfin, j'crois.

Du coup, j'suis même plus sur.

Re: Some Nice Guy Reports

Posté : 05.02.13
par shadonkey
Salut,

En fait LFG veut dire: "Love this fucking game".

Re: Some Nice Guy Reports

Posté : 05.02.13
par Gloutard
J'aime bien ton style il est cool.

En lisant ton journal, je me suis rendue compte (surtout sur les derniers postes), que M.Poliakov enlève quelque chose à notre façon d’interagir avec les gens.

Je penses que quand t'arrives en soirée avec l'envie de "faire de la merde", c'est que tu sais que tu vas faire parler ton instinct de russe. Pourquoi ? Parce que t'en as rien a foutre de l'image que tu renvoies aux autres ce soir là. Du coup, t'es toi même, tu joues pas un rôle.


Après il faut bien doser. Quand tu poses un galette dans les chiottes c'est que t'es allé un poil trop loin. :wink:


Je peux peut être me planter. Moi c'est en ça que l'alcool me sert en soirée.

Bye, Glou'

Re: Some Nice Guy Reports

Posté : 05.02.13
par Raven
Yo' !

Arawyn, c'est un peu comme la fusion d'Aragorn et de win (avec un y, parce que c'est cool les y).

Avec un pseudo comme ça, tu peux pas perdre.

C'était un message très utile, je sais.

On te soutient !

Et t'es pas le seul à faire de la merde en soirée.

Re: Some Nice Guy Reports

Posté : 05.02.13
par Arawyn
Merci pour vos commentaires, ça fait plaisir :) et du coup j'me dis qu'il faudrait que j'me bouge un peu pour vous pondre de belles histoires avec des trucs fun à raconter !
Gloutard a écrit :En lisant ton journal, je me suis rendue compte (surtout sur les derniers postes), que M.Poliakov enlève quelque chose à notre façon d’interagir avec les gens.

Je penses que quand t'arrives en soirée avec l'envie de "faire de la merde", c'est que tu sais que tu vas faire parler ton instinct de russe. Pourquoi ? Parce que t'en as rien a foutre de l'image que tu renvoies aux autres ce soir là. Du coup, t'es toi même, tu joues pas un rôle.


Après il faut bien doser. Quand tu poses un galette dans les chiottes c'est que t'es allé un poil trop loin. :wink:
Madame* Poliakov, s'il te plait :wink:
Et oui, c'est la seule qui ne m'ai jamais déçu. Et avec elle je m'éclate toujours autant ! Le truc important que ça enlève, c'est le soucis du regard des autres. T'arrive à un stade ou tu peux faire les pires conneries, te rendre ridicule au possible (combien de fois j'ai fini à danser la danse des canards à poil en soirée, moi ?!) et te foutre royalement de ce que peuvent bien penser les gens !
L'alcool, ça aide pas mal, mais faut pas en abuser t'as raison. Pour mon dernier post, la galette faisait partie du grand n'importe quoi. Ca faisait un bail que miss Poliakov s'était arrangée avec mon estomac. Au début, elle était jalouse, elle voulait être la seule dedans. Du coup, elle faisait repartir tout le reste de là où c'était arrivé (ma bouche, entre autre). Mais elle est devenue beaucoup moins possessive, à part une ou deux exceptions :wink:

@Raven : Merci man, et ton message a son utilité t'en fait pas ! Ouais, un i grec j'trouve ça mieux qu'un i pas grec quand même...

Bon, trêve de conneries ! (en fait nan, j'promets rien) Faudrait que j'vous ponde une suite. J'aurais bien quelques trucs à vous raconter, si j'm'en souvenais...