Se bâtir un cercle social via le SPU/NPU ?
Posté : 05.01.14
Hey guys,
Tout d'abord une bonne année à tous, et pleins de bonnes choses pour 2014.
Je poste ici suite à quelques interrogations que j'ai depuis quelques jours.
Pour situer un peu les choses dans leur contexte, j'ai 21 ans et je suis actuellement en ecole d'ingé. J'ai mon groupe de potes, on sort plutôt pas mal, que ce soit dans les bars/boîtes ou les soirées étudiantes (ingés & cie). En bref, on ne s'ennuie pas, et ce n'est pas là où je voulais en venir.
Mais qui dit Ingénieurs, dit nécessairement mecs, et comme nombre d'entre vous s'en seront doutés, mon groupe de potes est essentiellement (voire presque exclusivement) constitué d'amIS.
En soi, pour ce qui est de la choppe, ce n'est pas réellement un problème. Je côtoie pas mal de filles du fait de nos sorties, que je revois pour la plupart, à ce niveau là je ne m'en plains pas.
Mais là où le bât blesse, c'est pour ce qui est de se faire des amIES.
Je me suis donc dit : Comment faire ?
Au début j'ai pensé à aborder les filles que j'aborde en soirée dans le but d"'en faire des potes". En clair, de me retenir de les chopper. Mais je sais pas, j'ai l'impression que lorsque ce n'est pas moi qui franchit la limite que je me suis auto-fixée (je vous avoue c'est dur de parfois résister contre ces bas instincts), c'est la fille qui en veut plus. De par son comportement, voire les avances pas franchement dissimulées.
Du coup, quand je sais que j'ai moyen, ou j'essaie de friendzoner et la fille se désintéresse, ou on passe à l'acte (KC, ou FC) et après la relation prend une tournure ambigue/foireuse où il m'est impossible (ou plutôt mal avisé) de m'afficher avec d'autres filles en présence de la première. Donc chaud d'aller en soirée avec si elle ne se sent pas "la cible principale". Parfois, il y en a qui disent ne pas vouloir quelque chose de sérieux, mais une fois que le sexe s'en est mêlé, le discours change. Donc bon.
Exit la solution baise donc, je me suis dit que je vais y aller en position de mec clairement désintéressé. Et le constat est le même. Ou ca accroche juste pas, ou la fille est désintéressée au début mais après on s'entend bien et il y a un petit flirt dans l'air. A titre d'exemple J'avais rencontré une fille hyper sympa en fin de soirée, et on s'était pris nos numéros Je l'avais invite chez moi à une soirée en cercle un peu réduit, c'était la première à insister sur les termes "en tout bien tout honneur" car elle était casée, mais ce fut également la première à être jalouse quand je parlais à d'autres filles..
Puis par la suite, j'avoue que j'en ai eu marre de réfléchir dessus et j'y suis un peu allé au feeling et résultat...bah je suis ici.
Et puis j'ai failli omettre le facteur ô combien déterminant qui est que certaines filles ont du mal à se retrouver dans un environnement exclusivement mec. Ce que je comprends.
Tout ça pour en arriver à la "triste" et intime conviction que j'ai qu'il est peut être plus difficile de se faire des amies que de chopper. Dans le cas général, et à fortiori en NPU/SPU.
Peut être parce que , l'abordage est en lui même, déjà connoté ? Je sais pas, mais j'ai l'impression que quand je vais aborder une fille, pour que son intérêt soit suffisant,il faut nécessairement qu'il soit plus qu'amical. Pour que j'arrive à la revoir en tout cas. Je sais pas si vous me comprenez. Ou je suis juste sympa et au moment de se revoir et bah elle est toujours indisposée, ou alors je suis plus que sympa et on se voit...mais quelque part elle attend d'en découdre.
Mais je me dis que c'est peut être une croyance limitante tout ça, et si ça se trouve je m'y prends juste foutrement mal. Grands sages, faites moi mentir.
J'avoue être souvent alcoolisé lors de ces rencontres, je réfléchis pas trop, et j'ai tendance à peut être plus facilement (et volontairement) me mettre dans des situations ambigües.
Vous pensez qu'il est possible de se faire des potes, de friendzoner une fille rencontrée hors de son cercle social ?
Le débat est ouvert !
Merci à tous.
Tout d'abord une bonne année à tous, et pleins de bonnes choses pour 2014.
Je poste ici suite à quelques interrogations que j'ai depuis quelques jours.
Pour situer un peu les choses dans leur contexte, j'ai 21 ans et je suis actuellement en ecole d'ingé. J'ai mon groupe de potes, on sort plutôt pas mal, que ce soit dans les bars/boîtes ou les soirées étudiantes (ingés & cie). En bref, on ne s'ennuie pas, et ce n'est pas là où je voulais en venir.
Mais qui dit Ingénieurs, dit nécessairement mecs, et comme nombre d'entre vous s'en seront doutés, mon groupe de potes est essentiellement (voire presque exclusivement) constitué d'amIS.
En soi, pour ce qui est de la choppe, ce n'est pas réellement un problème. Je côtoie pas mal de filles du fait de nos sorties, que je revois pour la plupart, à ce niveau là je ne m'en plains pas.
Mais là où le bât blesse, c'est pour ce qui est de se faire des amIES.
Je me suis donc dit : Comment faire ?
Au début j'ai pensé à aborder les filles que j'aborde en soirée dans le but d"'en faire des potes". En clair, de me retenir de les chopper. Mais je sais pas, j'ai l'impression que lorsque ce n'est pas moi qui franchit la limite que je me suis auto-fixée (je vous avoue c'est dur de parfois résister contre ces bas instincts), c'est la fille qui en veut plus. De par son comportement, voire les avances pas franchement dissimulées.
Du coup, quand je sais que j'ai moyen, ou j'essaie de friendzoner et la fille se désintéresse, ou on passe à l'acte (KC, ou FC) et après la relation prend une tournure ambigue/foireuse où il m'est impossible (ou plutôt mal avisé) de m'afficher avec d'autres filles en présence de la première. Donc chaud d'aller en soirée avec si elle ne se sent pas "la cible principale". Parfois, il y en a qui disent ne pas vouloir quelque chose de sérieux, mais une fois que le sexe s'en est mêlé, le discours change. Donc bon.
Exit la solution baise donc, je me suis dit que je vais y aller en position de mec clairement désintéressé. Et le constat est le même. Ou ca accroche juste pas, ou la fille est désintéressée au début mais après on s'entend bien et il y a un petit flirt dans l'air. A titre d'exemple J'avais rencontré une fille hyper sympa en fin de soirée, et on s'était pris nos numéros Je l'avais invite chez moi à une soirée en cercle un peu réduit, c'était la première à insister sur les termes "en tout bien tout honneur" car elle était casée, mais ce fut également la première à être jalouse quand je parlais à d'autres filles..
Puis par la suite, j'avoue que j'en ai eu marre de réfléchir dessus et j'y suis un peu allé au feeling et résultat...bah je suis ici.
Et puis j'ai failli omettre le facteur ô combien déterminant qui est que certaines filles ont du mal à se retrouver dans un environnement exclusivement mec. Ce que je comprends.
Tout ça pour en arriver à la "triste" et intime conviction que j'ai qu'il est peut être plus difficile de se faire des amies que de chopper. Dans le cas général, et à fortiori en NPU/SPU.
Peut être parce que , l'abordage est en lui même, déjà connoté ? Je sais pas, mais j'ai l'impression que quand je vais aborder une fille, pour que son intérêt soit suffisant,il faut nécessairement qu'il soit plus qu'amical. Pour que j'arrive à la revoir en tout cas. Je sais pas si vous me comprenez. Ou je suis juste sympa et au moment de se revoir et bah elle est toujours indisposée, ou alors je suis plus que sympa et on se voit...mais quelque part elle attend d'en découdre.
Mais je me dis que c'est peut être une croyance limitante tout ça, et si ça se trouve je m'y prends juste foutrement mal. Grands sages, faites moi mentir.
J'avoue être souvent alcoolisé lors de ces rencontres, je réfléchis pas trop, et j'ai tendance à peut être plus facilement (et volontairement) me mettre dans des situations ambigües.
Vous pensez qu'il est possible de se faire des potes, de friendzoner une fille rencontrée hors de son cercle social ?
Le débat est ouvert !
Merci à tous.