Drogué à la réflexion
Posté : 19.06.14
Salut les gens,
Dans ma quête de développement perso j'avance, et je viens de me rendre compte, que j'avais touché un point crucial. Je vous avais dit dans mon topic précédent (sur l'hypersensibilité), que la moindre petite stimulation pouvait m'entraîner dans des états assez délirants.
Il me semble que c'est connecté à un autre phénomène. Je pense avoir compris pourquoi je n'agissais pas plus que ça, pourquoi je ne me bougeais pas plus que ça l'arrière-train pour finir mes projets ou mes devoirs.
Je m'explique. FK disait dans son article que pour commencer à prendre le dessus sur la procrastination, il était important d'identifier la chose qui nous apporte le plus de bien (ou le moins de mal), que le fait d'agir.
Eh bien il me semble que cette chose, c'est la réflexion. Mais du genre agréable. Je passe mes journées libres, à écouter de la musique tout en lisant des articles sur l'actualité, la psychologie, la politique, etc... et le fait de connecter des idées entre elles me fait un bien fou. Si bien que j'ai le sentiment que je pense tout le temps, je n'ai pas ces moments où le cerveau ne fait rien et se repose. Il me semble qu'en moyenne je connecte 10 idées, émotions, couleurs... bref des stimuli, entre eux, en une minute. Et souvent ça peut être des choses totalement différentes.
C'est pour moi vital : si je le fais pas j'ai l'impression qu'on va me débrancher le cerveau et que je vais me mettre à pleurer, ou que je vais avoir peur du vide (j'ai eu un moment comme ça pendant 2-3 secondes où je ne pensais pas et des larmes me montaient). Attention c'est une image, ça fait peut-être schyzo dit comme ça mais ce que je veux dire c'est que si je ne "mousse" pas des stimuli, que je m'arrête, je vais mourir (comme une image de grand noir qui apparaîtrait dans mon cerveau).
Et donc par conséquent si j'agis, je vais avoir le sentiment au bout d'un certain temps de m'essouffler, de m'étouffer, et je vais donc abandonner mon effort. Car il faudra que je mette moins d'intensité à réfléchir, et plus à être dans l'action.
Ca peut s'améliorer, se contrecarrer ça ?
Dans ma quête de développement perso j'avance, et je viens de me rendre compte, que j'avais touché un point crucial. Je vous avais dit dans mon topic précédent (sur l'hypersensibilité), que la moindre petite stimulation pouvait m'entraîner dans des états assez délirants.
Il me semble que c'est connecté à un autre phénomène. Je pense avoir compris pourquoi je n'agissais pas plus que ça, pourquoi je ne me bougeais pas plus que ça l'arrière-train pour finir mes projets ou mes devoirs.
Je m'explique. FK disait dans son article que pour commencer à prendre le dessus sur la procrastination, il était important d'identifier la chose qui nous apporte le plus de bien (ou le moins de mal), que le fait d'agir.
Eh bien il me semble que cette chose, c'est la réflexion. Mais du genre agréable. Je passe mes journées libres, à écouter de la musique tout en lisant des articles sur l'actualité, la psychologie, la politique, etc... et le fait de connecter des idées entre elles me fait un bien fou. Si bien que j'ai le sentiment que je pense tout le temps, je n'ai pas ces moments où le cerveau ne fait rien et se repose. Il me semble qu'en moyenne je connecte 10 idées, émotions, couleurs... bref des stimuli, entre eux, en une minute. Et souvent ça peut être des choses totalement différentes.
C'est pour moi vital : si je le fais pas j'ai l'impression qu'on va me débrancher le cerveau et que je vais me mettre à pleurer, ou que je vais avoir peur du vide (j'ai eu un moment comme ça pendant 2-3 secondes où je ne pensais pas et des larmes me montaient). Attention c'est une image, ça fait peut-être schyzo dit comme ça mais ce que je veux dire c'est que si je ne "mousse" pas des stimuli, que je m'arrête, je vais mourir (comme une image de grand noir qui apparaîtrait dans mon cerveau).
Et donc par conséquent si j'agis, je vais avoir le sentiment au bout d'un certain temps de m'essouffler, de m'étouffer, et je vais donc abandonner mon effort. Car il faudra que je mette moins d'intensité à réfléchir, et plus à être dans l'action.
Ca peut s'améliorer, se contrecarrer ça ?
