FTS

Bonjour,

Je vous écris pour avoir quelques conseils très précis.

Je n’ai pas trop de difficultés à finir dans le lit d’une fille, j’ai eu récemment 2 occasions où elles m’ont carrément invité chez elles, mais voilà une fois dans le lit, gros blocage.

Malgré ce que je considère être des avances (massages, tête sur l’épaule, quelques caresses ou alors visionnage de séries/musique ou mêmes les photos de la fille quand elle était petite..) je reste bloqué et ne sais pas comment passer à la vitesse supérieure.

Le truc c’est que j’interprète aussi le moindre signal négatif comme un refus catégorique.
Du style je propose de l’embrasser dans le cou, elle me dit « pas maintenant », ou alors elle me dit « tu prends toute la place dans le lit ».
Alors que quelques minutes plus tôt elle me demande de lui faire un massage…

Que faire dans ce genre de situations ? Comment réagir et franchir l’obstacle ?

Bref je suis un peu perdu, donc vos conseils sont les bienvenus !!

Ca se peut, non pas que tu bloques, mais que la fille ne soit pas vraiment prête à passer à l'acte à ce moment là. Peut être qu'aussi ton stress a été palpable, et du coup ça ne la rassure pas et elle préfère garder ses distances. Elle reste polie, car elle n'a peut être pas envie de que tu te vexes et que tu la perdes de vue.

En tout cas, je te conseille de ne pas lui demander "je peux t'embrasser dans le cou", mais de tenter , et de voir sa réaction. Si elle ne dit rien ou qu'elle semble apprécier, continue doucement. Sinon, tant pis, respecte ce qu'elle dit. Tout ce que je veux dire, c'est qu'il vaut mieux se passer de paroles. Le fait de parler, de demander la permission, ne fait que renvoyer l'image de ton insécurité. Crée d'abord une complicité, par les sourires, les délires, qu'elle se sente à l'aise et toi aussi.

Une chose aussi, si tu es stressé, c'est le fait que tu t'es fixé comme objectif de coucher avec elle, alors que ce n'est pas forcément ce qu'elle veut au moment où elle t'invite chez elle. Elle veut tester votre feeling peut être, faire petit à petit, créer une complicité. C'est vrai que c'est une attitude très masculine, de vouloir du résultat immédiat, mais si ce n'est pas l’objectif de la fille et que tu ne l'as pas compris, ça ne fera que foirer et aggraver ta frustration. Mon conseil, prends toi moins la tête sur le résultat, et tentes de petits gestes qui lui plaisent (caresses...), même juste rigoler ensemble. Si vous êtes à l'aise tout les deux, ça peut marcher assez vite je pense.

MonsieurN a écrit : En tout cas, je te conseille de ne pas lui demander "je peux t'embrasser dans le cou", mais de tenter , et de voir sa réaction.

Ce n'est pourtant pas une mauvaise idée surtout quand on est mal à l'aise ou inexpérimenté que de s'assurer du consentement de sa partenaire.

Le consentement c'est sexy.

J'ai très envie de t'embrasser 'là'. Et si tu en as envie aussi, c'est exactement ce qui va se passer.

Sur un ton léger et joueur, ça passe crème.

Malgré ce que je considère être des avances (massages, tête sur l’épaule, quelques caresses ou alors visionnage de séries/musique ou mêmes les photos de la fille quand elle était petite..) je reste bloqué et ne sais pas comment passer à la vitesse supérieure.

C'est vraiment la "vitesse supérieure" ou juste la suite des événements qui se déroulent?

Le truc c’est que j’interprète aussi le moindre signal négatif comme un refus catégorique.
Du style je propose de l’embrasser dans le cou, elle me dit « pas maintenant », ou alors elle me dit « tu prends toute la place dans le lit ».

Le premier exemple est un refus, il n'y a pas à tergiverser ou à essayer de l'outrepasser.

Que faire dans ce genre de situations ? Comment réagir et franchir l’obstacle ?

Si tu proposes et qu'elle refuse, ce n'est pas un obstacle à franchir c'est une fin de non-recevoir.

visionnage de séries/musique ou mêmes les photos de la fille quand elle était petite..

lol Peut-être pas le meilleur moment pour lui sauter dessus.

Une chose aussi, si tu es stressé, c'est le fait que tu t'es fixé comme objectif de coucher avec elle, alors que ce n'est pas forcément ce qu'elle veut au moment où elle t'invite chez elle. Elle veut tester votre feeling peut être, faire petit à petit, créer une complicité. C'est vrai que c'est une attitude très masculine, de vouloir du résultat immédiat, mais si ce n'est pas l’objectif de la fille et que tu ne l'as pas compris, ça ne fera que foirer et aggraver ta frustration. Mon conseil, prends toi moins la tête sur le résultat, et tentes de petits gestes qui lui plaisent (caresses...), même juste rigoler ensemble. Si vous êtes à l'aise tout les deux, ça peut marcher assez vite je pense.

Je me suis pas spécialement fixé comme objectif de coucher avec elle dès le départ. Je ne sais même pas si elle en avait envie. Mais on a fait beaucoup d'efforts l'un et l'autre pour se retrouver (on s'est rencontré y'a 2 mois à l'autre bout du monde, on s'est pas vus entre temps, et on habite à 700km l'un l'autre en France), donc je me suis quand même dit qu'elle attendait quelque chose en m'invitant.

Mais le problème surtout, c'est que j'ai beaucoup de mal à créer cette complicité, car je ne sais pas du tout comment m'y prendre.

C'est vraiment la "vitesse supérieure" ou juste la suite des événements qui se déroulent?

Non Quand je parle de vitesse supérieure, c'est la suite des évènements, et pourquoi pas pour qu'il se passe quelque chose au final. J'ai pas non plus envie de me comporter comme un buffle.
Et j'ai l'impression qu'en étant trop prudent, on est finalement davantage grillé qu'en essayant d'aller plus vite.

Le premier exemple est un refus, il n'y a pas à tergiverser ou à essayer de l'outrepasser.

Mais faut-il vraiment interpréter ce refus comme une fin de non recevoir ferme et définitive ?
Ce n'est pas parce qu'une fille refuse de se faire embrasser dans le cou qu'elle est définitivement "fermée", non ?

En tout cas c'est toujours pareil, elles m'invitent chez elle, il ne se passe rien et au final elles ne me parlent plus ou me font la gueule. Donc je me dis que y'a un moment où je ne fais pas ce qu'il faut, autrement elles n'auraient pas ce comportement après...