Rock en Seine
Posté : 27.08.05
Bonsoir à tous!
Ca faisait un certain temps que je trainais sur FTS.
Je lisais avec avidité vos exploits ; m'imaginant closer sans coup férir telle bombasse qui aurait eu le "malheur" de croiser mon chemin...
Mais ce soir, j'ai décidé de mettre fin à cette procrastination permanente et me suis donc inscrit.
Je ne sais pas si cela m'a influencé (les spécialistes de la PNL me diront que oui, sans doute?),
mais pour la première fois de ma vie j'ai abordé une femme sans filet...
La situation
Festival "Rock en Seine" à Saint-Cloud, Day 2
Il est 20h30 environ.
Dopé par les miaulements suggestifs de Feist, j'ai le radar à bonnasses locké au maximum ; tous mes sens sont en alerte rouge.
Le pas lent, je me dirige vers la scène principale où éructe dans un micro un groupe de foo furieux et devant laquelle s'agitent en tous sens des jeunes non moins furieux.
Quelle génération d'autistes!
Plus tard j'apprendrai qu'ils "slamaient"...
Quand je la vois...
La trentaine, elle porte une robe très moulante et assez courte oscillant entre le rose et l'orange.
Ainsi qu'une veste en jeans et surtout, des escarpins!
Elle semble saoûle...
D'ailleurs elle titube ; se dandine au rythme de la musique, allant vers la scène puis retournant en direction du bar...
Elle se penche tout d'un coup pour enlever ses escarpins ; sa robe remonte très haut sur ses cuisses.
Je ne suis pas bien placé et cela vaut mieux ; elle n'a pas trop l'air d'avoir des sous-vêtements et cela me rend particulièrement émotif.
Je la suis du regard...
Tout dans son corps, son attitude, ses mouvements exprime : "Je suis open!".
Soudain, 32 ans de conditionnement pusillanime m'assaillent...
Mais moi ce soir je m'en fous.
Ou plutôt non, je ne m'en fous pas. Je ne veux pas que cette femme aille grossir la cohorte des belles inconnues qui ont nourri ma libido les longues soirées hivernales.
Pas si je peux y faire quelque chose...
L'approche
La chanson s'arrête, enfin.
Elle se dirige vers le bar, et pour ce faire, compte me contourner par ma gauche.
A 5m de moi, je la regarde et lui souris.
Elle me rend ce sourire ; je vais à sa rencontre.
La discussion
S'ensuit un fluff sur les différents artistes présents.
Elle a bien aimé Feist, ça tombe bien ; je suis un grand fan de la Canadienne...
Pendant que j'y suis, j'essaye une pattern sur l'effet extatique, voire orgasmique que peut susciter un artiste qui se produit devant toi.
Elle n'a pas trop l'air d'accrocher car elle change de sujet...
Autour de nous, deux jeunes mecs s'agitent plus violemment que de coutume. Apparemment ils en ont après la même nana...
Ce qui amuse beaucoup ma cible...
A ce moment-là sa bande d'amis est passée ; j'avais à peine esquissé un geste qu'elle est partie les rejoindre.
J'ai compris à sa manière de marcher rapidement vers eux que mon temps était écoulé.
J'ai appelé mes amis et les ai rejoints devant Robert Plant.
Les pauvres, ils n'ont pas trop compris pourquoi je poussais des cris primaux toutes les 30 secondes.
La conclusion
Evidemment je n'ai pas closé. Mais je suis allé au charbon.
C'est le principal pour moi, surtout qu'il s'agissait d'une fille belle à me nouer l'estomac.
En y réfléchissant bien, je crois que mon jeu n'a pas été assez direct, compte tenu de son attitude.
Elle semblait très ouverte et je pense que le KClose était envisageable.
D'autre part je n'ai été ni Cocky, ni très Funny.
Et apparemment j'ai des progrès à faire en pattern!
Voilà!
J'attends vos commentaires et remarques, enfin tout ce qui pourra faire avancer le schmilblick.
Y.
Ca faisait un certain temps que je trainais sur FTS.
Je lisais avec avidité vos exploits ; m'imaginant closer sans coup férir telle bombasse qui aurait eu le "malheur" de croiser mon chemin...
Mais ce soir, j'ai décidé de mettre fin à cette procrastination permanente et me suis donc inscrit.
Je ne sais pas si cela m'a influencé (les spécialistes de la PNL me diront que oui, sans doute?),
mais pour la première fois de ma vie j'ai abordé une femme sans filet...
La situation
Festival "Rock en Seine" à Saint-Cloud, Day 2
Il est 20h30 environ.
Dopé par les miaulements suggestifs de Feist, j'ai le radar à bonnasses locké au maximum ; tous mes sens sont en alerte rouge.
Le pas lent, je me dirige vers la scène principale où éructe dans un micro un groupe de foo furieux et devant laquelle s'agitent en tous sens des jeunes non moins furieux.
Quelle génération d'autistes!
Plus tard j'apprendrai qu'ils "slamaient"...
Quand je la vois...
La trentaine, elle porte une robe très moulante et assez courte oscillant entre le rose et l'orange.
Ainsi qu'une veste en jeans et surtout, des escarpins!
Elle semble saoûle...
D'ailleurs elle titube ; se dandine au rythme de la musique, allant vers la scène puis retournant en direction du bar...
Elle se penche tout d'un coup pour enlever ses escarpins ; sa robe remonte très haut sur ses cuisses.
Je ne suis pas bien placé et cela vaut mieux ; elle n'a pas trop l'air d'avoir des sous-vêtements et cela me rend particulièrement émotif.
Je la suis du regard...
Tout dans son corps, son attitude, ses mouvements exprime : "Je suis open!".
Soudain, 32 ans de conditionnement pusillanime m'assaillent...
- Elle est trop belle pour toi
- Tu ne saurais pas quoi lui dire
- Vu son air ce doit être une conne
- De toute façon elle doit avoir un mec
Mais moi ce soir je m'en fous.
Ou plutôt non, je ne m'en fous pas. Je ne veux pas que cette femme aille grossir la cohorte des belles inconnues qui ont nourri ma libido les longues soirées hivernales.
Pas si je peux y faire quelque chose...
L'approche
La chanson s'arrête, enfin.
Elle se dirige vers le bar, et pour ce faire, compte me contourner par ma gauche.
A 5m de moi, je la regarde et lui souris.
Elle me rend ce sourire ; je vais à sa rencontre.
La discussion
Au bar....M: Bonsoir! (ou une connerie du même genre)
E: Bonsoir! (ouf, elle n'est pas saoûle!)
M: Tu sembles bien t'amuser. Tu vas où comme ça?
E: Au bar!
M: Je t'accompagne alors (je lui prends le coude)
E: (me regarde, sourit) T'as un truc dans les oreilles
M: Ah ouais (je souris, faute de mieux, et enlève ces satanés ear plugs)
M: Comment t'appelles-tu?
E: Sophie, et toi?
M: Enchanté Sophie, moi c'est Y. (je lui fais le baise-main, quel crétin je suis!!!!!!)
S'ensuit un fluff sur les différents artistes présents.
Elle a bien aimé Feist, ça tombe bien ; je suis un grand fan de la Canadienne...
Pendant que j'y suis, j'essaye une pattern sur l'effet extatique, voire orgasmique que peut susciter un artiste qui se produit devant toi.
Elle n'a pas trop l'air d'accrocher car elle change de sujet...
E: J'étais avec des amis mais je les ai perdus de vue...
M: C'est marrant moi aussi je ne sais pas où sont les miens! Ils doivent être quelque part par là...
(je lui montre la foule qui s'agglutine, tandis que mon autre main est dans son dos)
Autour de nous, deux jeunes mecs s'agitent plus violemment que de coutume. Apparemment ils en ont après la même nana...
Ce qui amuse beaucoup ma cible...
E: (Elle me tient le bras et me dis à l'oreille) Regarde les deux jeunes qui se battent pour la blonde.
M: Oui, c'est beau la nature ; on dirait deux coqs
E: Moi j'aime bien ça quand ils "slament".
M: Et bien on ira "slamer" après si tu veux...
A ce moment-là sa bande d'amis est passée ; j'avais à peine esquissé un geste qu'elle est partie les rejoindre.
J'ai compris à sa manière de marcher rapidement vers eux que mon temps était écoulé.
J'ai appelé mes amis et les ai rejoints devant Robert Plant.
Les pauvres, ils n'ont pas trop compris pourquoi je poussais des cris primaux toutes les 30 secondes.
La conclusion
Evidemment je n'ai pas closé. Mais je suis allé au charbon.
C'est le principal pour moi, surtout qu'il s'agissait d'une fille belle à me nouer l'estomac.
En y réfléchissant bien, je crois que mon jeu n'a pas été assez direct, compte tenu de son attitude.
Elle semblait très ouverte et je pense que le KClose était envisageable.
D'autre part je n'ai été ni Cocky, ni très Funny.
Et apparemment j'ai des progrès à faire en pattern!
Voilà!
J'attends vos commentaires et remarques, enfin tout ce qui pourra faire avancer le schmilblick.
Y.