Drague sur internet (reports) .
Posté : 23.01.15
Je suis un prolo de banlieue à la famille éclatée pleinement ancré dans la routine salarial et dans l'attente de la fin de mon contrat de travail pour m'acheter une liberté dans le style Casanova chez les étrangères... comme un vent de fraîcheur à Tchernobyl.
En attendant, je m'amuse comme je peux sur internet tout en me créant un cyber-harem me permettant d'avoir un minimum de capital-séduction, rembourrant de ce fait un minimum mon égo, me permettant ainsi de survivre émotionnellement dans une sphère grise et crasseuse non propice à l'affect', un affectif dont je n'ai visiblement pas le droit...
J'arrive à provoquer quelques escales de passion aux 4 coins du monde malheureusement biaisées par mon indisponibilité. Je fantasme sur la vie du bobo parisien habitant son "quelques-mètres-carrés" possédant un pécule lui permettant de jouir du temps qui passe, le mettant au profit du bon nombre de passagères étrangères toutes de jupes virevoltantes vêtues... le harcelant, par leurs simples allers et venus, ici et là, au plus proche de sa fenêtre, puis enfin... au plus profond de son âme.
Je remplace l'héroïne par la méthadone. J'ai abandonné la drague de rue au profit de celle que l'on pratique sur internet... je m'en veux de passer par cette médiocrité qui censure l'essence de l'homme véritable censé baigner dans la pratique. Je n'ai ni le temps, ni l'argent, ni la logistique. Aussi... les Françaises ne me font plus rêver.
En attendant, je m'amuse comme je peux sur internet tout en me créant un cyber-harem me permettant d'avoir un minimum de capital-séduction, rembourrant de ce fait un minimum mon égo, me permettant ainsi de survivre émotionnellement dans une sphère grise et crasseuse non propice à l'affect', un affectif dont je n'ai visiblement pas le droit...
J'arrive à provoquer quelques escales de passion aux 4 coins du monde malheureusement biaisées par mon indisponibilité. Je fantasme sur la vie du bobo parisien habitant son "quelques-mètres-carrés" possédant un pécule lui permettant de jouir du temps qui passe, le mettant au profit du bon nombre de passagères étrangères toutes de jupes virevoltantes vêtues... le harcelant, par leurs simples allers et venus, ici et là, au plus proche de sa fenêtre, puis enfin... au plus profond de son âme.
Je remplace l'héroïne par la méthadone. J'ai abandonné la drague de rue au profit de celle que l'on pratique sur internet... je m'en veux de passer par cette médiocrité qui censure l'essence de l'homme véritable censé baigner dans la pratique. Je n'ai ni le temps, ni l'argent, ni la logistique. Aussi... les Françaises ne me font plus rêver.