Récit d'un mec brisé qui lutte pour s'en sortir
Posté : 31.10.15
Bien le bonjour à tous!
Avant toute chose je tiens à m'excuser d'avance si mon post n'est pas dans la bonne section (après avoir écumé le forum cela me parait être la meilleurs place mais je me trompe peut-être), pour la longueur du message et éventuellement pour certains propos tenus mais j'ai besoin de vider mon sac alors merci à ceux qui auront la patience de tout lire et la compassion de répondre.
Bon, pour commencer clairement, j'ai 25 ans et suis puceau (autant qu'on puisse l'être et à tous les niveaux).
Cela peut peut-être s'expliquer par le fait que mes quelques (peu nombreuses) expériences, ou plutôt tentative d'expériences, avec la gent féminine se sont systématiquement soldées par de violents et traumatisants échecs.
Je suis pourtant conscient d'être le seul responsable de cette situation et je m'en veux énormément pour cette douloureuse solitude que je m'inflige depuis des années malgré le fait d'avoir périodiquement fait des efforts pour changer.
Il y a 3 ans, après avoir passé ma jeunesse à glander, jouer aux jeux-vidéos et fumer des joints (et accessoirement essuyé quelques râteaux), j'ai reçu une friendzone de catégorie Hiroshima en pleine face. Alors j'ai pris une décision (désastreuse en y repensant avec un peu de recul): changer de lifestyle (stopper les pétards et la ps3) et cesser toute activité se rapprochant de la drague pour me "forger" mentalement. Etant adepte de spiritualité (taoïsme, méditation...), cela a plutôt bien marché dans un sens puisque durant cette époque j'ai commencé à prendre confiance en moi et j'ai pu déterminer ce que je voulais faire de ma vie (je travaille en intérim depuis cette époque dans le but, d'ici 2 ans de mettre de l'argent de côté pour réaliser un projet dans la musique, ma passion). Bref, je considérais cette période comme la mise en place ou la préparation (appelons ça comme on veut) de quelque chose de plus grand et je me disais que si une occasion vraiment valable (niveau meufs) se présentait je serais prêt à la saisir...Putain l'erreur, quelle monumentale erreur,je pensais pas qu'on pouvait se fourvoyer à ce point.
Parce que sans déconner quand on s'entraîne pas on risque pas d'obtenir quoique ce soit le moment venu.
Bon passons maintenant aux événements plus récents qui m'ont conduit à cet état de désespoir mentale et à venir chialer sur ce forum.
Depuis un an, je bosse dans une boite et tout se passais bien dans ma putain de vie de moine chaolin en carton quand soudain,il y a 6 mois, une fille sortie de nulle part débarque (l'intérim c'est comme une boîte de chocolat, on sait jamais sur qui on va tomber) et me foudroie sur place, la fille parfaite. Alors je sais ce que vous allez dire mais quand je dis parfaite je veux dire parfaite selon moi, mes critères (la perfection existe pas, hein), jamais rencontré une fille comme ça en 25 ans.
A cette époque, j'avais réussi à arrêter de fumer et je passais mes pauses vers la machine à café pour pas être tenté.
Pendant un mois j'ai rien fait, j'ai continué de rester dans mon coin et les quelques fois où je la croisais évidement j'arrivais même pas à lui dire bonjour (sans rire).
Et puis au bout d'un mois je me suis dis que ça pouvait plus durer et j'ai décider d'aller au charbon, comme on dit (malgré une petite voix dans ma tête qui me disait "tiens-toi tranquille sinon tu va t'en mordre les doigts").
A partir de là, les 4 mois qui ont suivit ont été ultra intenses, pour ne pas dire épiques:
Déjà, tout, absolument tout jouait contre moi; jamais en pause en même temps,pas moyen d'avoir son nom (et quand j'ai fini par le connaître, impossible de la trouver sur facebook), et bien évidemment une quantité considérable de collègues à fond sur elle.
J'ai commencé par me mettre au sport vraiment à fond pour garder une motivation général en même temps que j'ai repris la clope (uniquement au boulot) vu que le coin fumeur était le seul endroit où je pouvait l'approcher. Ensuite je me suis démené pour tomber, le plus souvent possible, en pause en même temps qu'elle, bravant les chefs, les sous-chefs et me foutant parfois un peu dans la merde. Et pour terminer, le coeur de la bataille: affronter des hordes d'abrutis affamés (et en couples pour certains, putain les enfoirés) à la pause.
Je m'en sortait pas si mal, je la faisais marrer un peu, je monopolisait la parole (le genre détendu mais intéressant) devant tout le monde sans trop en faire non plus. Tout se présentait sous les meilleurs hospices et certains signes (language corporel) me laissait penser qu'il y avait une ouverture.
Finalement, au bout d'un moment (il y a 2 mois donc), j'ai voulu porter l'estocade: je l'ai attendu sur le parking pour lui proposer d'aller boire un verre un de ces quatre. Autant vous dire qu'à ce moment-là j'était super confiant et sûr de moi.
Elle se pointe , sourit en me voyant et je me lance et... l'appareil se crash en plein vol, erreur 404, les fonction cérébral refusent de coopérer capitaine. Bordel j'ai bafouillé comme jamais, galéré pour la regarder dans les yeux et fini par réussir à lui proposer le verre. Réponse (un peu génée évidemment): "Bhinn...c'est pas que je veux pas mais j'ai déjà un copain que j'aime et avec qui je vais me marier mais je veux bien qu'on soit amis parce que t'es sympa et que ça se voit que t'es quelqu'un de cultivé et c'est rare"
Je crois que j'ai jamais eu aussi mal de ma vie, plus encore qu'après avoir perdu un proche il y a quelques années (ce genre de pensée me révolte contre moi-même mais c'est la triste vérité). Après ça je lui ai pathétiquement dit que ça me ferait bizarre qu'on soit pote puis je suis remonté dans ma voiture, l'air penaud, et j'ai déguerpi. Ensuite j'ai erré une bonne parti de la nuit, complètement dévasté, en réalisant que la claque (au sens figuré) que je venais de me prendre était l'aboutissement de mes 25 années de loose en pleine gueule: ma jeunesse gâchée à rien foutre, la période "d'endurcissement" tout à fait inutile et pour finir ces derniers mois de combats acharnés pour échouer une fois de plus en beauté. Cette nuit-là, à 3h du matin, j'ai failli me foutre en l'air tellement la douleur était insupportable et je vous parle pas d'une petite tentative à l'Aspegic façon collégien qui a raté un examen, j'ai presque franchi le pas. Enfin, au dernier moment, une pensée pour ma petite soeur à qui j'avais pas le droit de faire ça, m'a retenue.
Après quoi j'ai passé une semaine dans mon lit à déprimer et endurer cette putain de douleur dans le plexus.
En y repensant, tout ça me parait avoir été inévitable. Il est possible que tout ce que je prenait pour des signes favorables n'en étaient pas; que ce que je croyait être de la confiance en moi était juste moi tentant de convaincre moi-même; en bref, j'ai foiré de A à Z.
Et c'est pas tout, l'addition est salée puisque après cette magnifique tarte dans la face, la vie a décidé de me faire payer encore un peu mes erreurs de calculs: Déjà par un heureux hasard, il se trouve que cette meuf est désormais affectée à la même équipe que moi et, attention les yeux, désormais ses pauses sont plus ou moins calquées sur les miennes ce qui signifie que je la croise plusieurs fois par jours. J'ai beau essayer de faire comme si de rien était, que ça ne m'affecte pas tant que ça, je sens bien qu'elle est un peu gênée et que ma présence la fait chiée (et moi aussi du coup). Et pour couronner le tout, depuis une semaine, je devient parano (ou peut-être pas) mais j'ai l'impression qu'elle est intéressé par un gros con qui se vante régulièrement, quand elle est pas présente, qu'il va "la coincer" (le mec est en couple à la base, putain).
Ça fait vraiment, vraiment mal sérieux.
Alors, depuis "l'incident", j'ai pris une autre décision, je vous le donne en mille: faut que je change.
J'ai attaqué la muscu intensément (je dirais pas que j'ai un corps de lâche mais presque)
et puis faut que je règle ce problème de virginité, sans rire. Tout ça histoire de réellement prendre réellement confiance en moi (pour de vrai).
Seulement je crois que le chemin va être très long et très difficile pour plusieurs raisons:
_Déjà ces temps-ci j'alterne entre des moments de motivation extrême pour y parvenir et de profond désespoir vu que le boulot me rappelle à l'ordre pour les raisons citées plus haut.
_Ensuite je part vraiment de zéro: j'ai pas un cercle social très développé (deux potes qui sont des "vrais amis" c'est tout), j'utilise très peu facebook...
Je me dis que la meilleurs solution serai peut-être de tout mettre de côté pendant un certains temps et aller dans la rue pour "m'entraîner" à draguer même si je me prends des râteaux par dizaines et m'inscrire sur des sites de rencontres. Le problème c'est, encore une fois, que je galère vraiment à m'enlever cette fille de la tête surtout depuis une semaine si vous voyez ce que je veux dire. C'est vraiment horrible comme situation, à tel point que quand je me dis que je me donne un an pour atteindre l'objectif, la première chose à laquelle je pense, c'est de me repointer devant la meuf (vu que d'ici-là je serais plus dans cette entreprise mais elle si) à ce moment-là pour tenter un freeze-out (c'est comme ça qu'on dit?) vu que son histoire de mariage j'y croit moyen (en même temps je la comprends, elle à fait ce qu'elle à pu pour pas trop me déboîter).
Je sais que je devrais pas penser à ça mais pour l'instant j'suis encore trop déglingué pour garder l'esprit tranquille bien que je soit ultra motivé pour y arriver.
J'ai pas le choix: je peux pas crever alors je vais transcender tout ce bordel.
Voilà, encore désolé pour le pavé. Je me présente humblement devant vous en tant qu'homme détruit qui à pas l'intention de rester dans cet état, c'est pas une vie.
Tout ce que vous avez à dire à propos de tout ça,des conseils, des avis (positif ou négatif), qui pourrait aider, je suis preneur et je compte régulièrement donner des nouvelles de mon évolution.
Bien à vous
Avant toute chose je tiens à m'excuser d'avance si mon post n'est pas dans la bonne section (après avoir écumé le forum cela me parait être la meilleurs place mais je me trompe peut-être), pour la longueur du message et éventuellement pour certains propos tenus mais j'ai besoin de vider mon sac alors merci à ceux qui auront la patience de tout lire et la compassion de répondre.
Bon, pour commencer clairement, j'ai 25 ans et suis puceau (autant qu'on puisse l'être et à tous les niveaux).
Cela peut peut-être s'expliquer par le fait que mes quelques (peu nombreuses) expériences, ou plutôt tentative d'expériences, avec la gent féminine se sont systématiquement soldées par de violents et traumatisants échecs.
Je suis pourtant conscient d'être le seul responsable de cette situation et je m'en veux énormément pour cette douloureuse solitude que je m'inflige depuis des années malgré le fait d'avoir périodiquement fait des efforts pour changer.
Il y a 3 ans, après avoir passé ma jeunesse à glander, jouer aux jeux-vidéos et fumer des joints (et accessoirement essuyé quelques râteaux), j'ai reçu une friendzone de catégorie Hiroshima en pleine face. Alors j'ai pris une décision (désastreuse en y repensant avec un peu de recul): changer de lifestyle (stopper les pétards et la ps3) et cesser toute activité se rapprochant de la drague pour me "forger" mentalement. Etant adepte de spiritualité (taoïsme, méditation...), cela a plutôt bien marché dans un sens puisque durant cette époque j'ai commencé à prendre confiance en moi et j'ai pu déterminer ce que je voulais faire de ma vie (je travaille en intérim depuis cette époque dans le but, d'ici 2 ans de mettre de l'argent de côté pour réaliser un projet dans la musique, ma passion). Bref, je considérais cette période comme la mise en place ou la préparation (appelons ça comme on veut) de quelque chose de plus grand et je me disais que si une occasion vraiment valable (niveau meufs) se présentait je serais prêt à la saisir...Putain l'erreur, quelle monumentale erreur,je pensais pas qu'on pouvait se fourvoyer à ce point.
Parce que sans déconner quand on s'entraîne pas on risque pas d'obtenir quoique ce soit le moment venu.
Bon passons maintenant aux événements plus récents qui m'ont conduit à cet état de désespoir mentale et à venir chialer sur ce forum.
Depuis un an, je bosse dans une boite et tout se passais bien dans ma putain de vie de moine chaolin en carton quand soudain,il y a 6 mois, une fille sortie de nulle part débarque (l'intérim c'est comme une boîte de chocolat, on sait jamais sur qui on va tomber) et me foudroie sur place, la fille parfaite. Alors je sais ce que vous allez dire mais quand je dis parfaite je veux dire parfaite selon moi, mes critères (la perfection existe pas, hein), jamais rencontré une fille comme ça en 25 ans.
A cette époque, j'avais réussi à arrêter de fumer et je passais mes pauses vers la machine à café pour pas être tenté.
Pendant un mois j'ai rien fait, j'ai continué de rester dans mon coin et les quelques fois où je la croisais évidement j'arrivais même pas à lui dire bonjour (sans rire).
Et puis au bout d'un mois je me suis dis que ça pouvait plus durer et j'ai décider d'aller au charbon, comme on dit (malgré une petite voix dans ma tête qui me disait "tiens-toi tranquille sinon tu va t'en mordre les doigts").
A partir de là, les 4 mois qui ont suivit ont été ultra intenses, pour ne pas dire épiques:
Déjà, tout, absolument tout jouait contre moi; jamais en pause en même temps,pas moyen d'avoir son nom (et quand j'ai fini par le connaître, impossible de la trouver sur facebook), et bien évidemment une quantité considérable de collègues à fond sur elle.
J'ai commencé par me mettre au sport vraiment à fond pour garder une motivation général en même temps que j'ai repris la clope (uniquement au boulot) vu que le coin fumeur était le seul endroit où je pouvait l'approcher. Ensuite je me suis démené pour tomber, le plus souvent possible, en pause en même temps qu'elle, bravant les chefs, les sous-chefs et me foutant parfois un peu dans la merde. Et pour terminer, le coeur de la bataille: affronter des hordes d'abrutis affamés (et en couples pour certains, putain les enfoirés) à la pause.
Je m'en sortait pas si mal, je la faisais marrer un peu, je monopolisait la parole (le genre détendu mais intéressant) devant tout le monde sans trop en faire non plus. Tout se présentait sous les meilleurs hospices et certains signes (language corporel) me laissait penser qu'il y avait une ouverture.
Finalement, au bout d'un moment (il y a 2 mois donc), j'ai voulu porter l'estocade: je l'ai attendu sur le parking pour lui proposer d'aller boire un verre un de ces quatre. Autant vous dire qu'à ce moment-là j'était super confiant et sûr de moi.
Elle se pointe , sourit en me voyant et je me lance et... l'appareil se crash en plein vol, erreur 404, les fonction cérébral refusent de coopérer capitaine. Bordel j'ai bafouillé comme jamais, galéré pour la regarder dans les yeux et fini par réussir à lui proposer le verre. Réponse (un peu génée évidemment): "Bhinn...c'est pas que je veux pas mais j'ai déjà un copain que j'aime et avec qui je vais me marier mais je veux bien qu'on soit amis parce que t'es sympa et que ça se voit que t'es quelqu'un de cultivé et c'est rare"
Je crois que j'ai jamais eu aussi mal de ma vie, plus encore qu'après avoir perdu un proche il y a quelques années (ce genre de pensée me révolte contre moi-même mais c'est la triste vérité). Après ça je lui ai pathétiquement dit que ça me ferait bizarre qu'on soit pote puis je suis remonté dans ma voiture, l'air penaud, et j'ai déguerpi. Ensuite j'ai erré une bonne parti de la nuit, complètement dévasté, en réalisant que la claque (au sens figuré) que je venais de me prendre était l'aboutissement de mes 25 années de loose en pleine gueule: ma jeunesse gâchée à rien foutre, la période "d'endurcissement" tout à fait inutile et pour finir ces derniers mois de combats acharnés pour échouer une fois de plus en beauté. Cette nuit-là, à 3h du matin, j'ai failli me foutre en l'air tellement la douleur était insupportable et je vous parle pas d'une petite tentative à l'Aspegic façon collégien qui a raté un examen, j'ai presque franchi le pas. Enfin, au dernier moment, une pensée pour ma petite soeur à qui j'avais pas le droit de faire ça, m'a retenue.
Après quoi j'ai passé une semaine dans mon lit à déprimer et endurer cette putain de douleur dans le plexus.
En y repensant, tout ça me parait avoir été inévitable. Il est possible que tout ce que je prenait pour des signes favorables n'en étaient pas; que ce que je croyait être de la confiance en moi était juste moi tentant de convaincre moi-même; en bref, j'ai foiré de A à Z.
Et c'est pas tout, l'addition est salée puisque après cette magnifique tarte dans la face, la vie a décidé de me faire payer encore un peu mes erreurs de calculs: Déjà par un heureux hasard, il se trouve que cette meuf est désormais affectée à la même équipe que moi et, attention les yeux, désormais ses pauses sont plus ou moins calquées sur les miennes ce qui signifie que je la croise plusieurs fois par jours. J'ai beau essayer de faire comme si de rien était, que ça ne m'affecte pas tant que ça, je sens bien qu'elle est un peu gênée et que ma présence la fait chiée (et moi aussi du coup). Et pour couronner le tout, depuis une semaine, je devient parano (ou peut-être pas) mais j'ai l'impression qu'elle est intéressé par un gros con qui se vante régulièrement, quand elle est pas présente, qu'il va "la coincer" (le mec est en couple à la base, putain).
Ça fait vraiment, vraiment mal sérieux.
Alors, depuis "l'incident", j'ai pris une autre décision, je vous le donne en mille: faut que je change.
J'ai attaqué la muscu intensément (je dirais pas que j'ai un corps de lâche mais presque)
et puis faut que je règle ce problème de virginité, sans rire. Tout ça histoire de réellement prendre réellement confiance en moi (pour de vrai).
Seulement je crois que le chemin va être très long et très difficile pour plusieurs raisons:
_Déjà ces temps-ci j'alterne entre des moments de motivation extrême pour y parvenir et de profond désespoir vu que le boulot me rappelle à l'ordre pour les raisons citées plus haut.
_Ensuite je part vraiment de zéro: j'ai pas un cercle social très développé (deux potes qui sont des "vrais amis" c'est tout), j'utilise très peu facebook...
Je me dis que la meilleurs solution serai peut-être de tout mettre de côté pendant un certains temps et aller dans la rue pour "m'entraîner" à draguer même si je me prends des râteaux par dizaines et m'inscrire sur des sites de rencontres. Le problème c'est, encore une fois, que je galère vraiment à m'enlever cette fille de la tête surtout depuis une semaine si vous voyez ce que je veux dire. C'est vraiment horrible comme situation, à tel point que quand je me dis que je me donne un an pour atteindre l'objectif, la première chose à laquelle je pense, c'est de me repointer devant la meuf (vu que d'ici-là je serais plus dans cette entreprise mais elle si) à ce moment-là pour tenter un freeze-out (c'est comme ça qu'on dit?) vu que son histoire de mariage j'y croit moyen (en même temps je la comprends, elle à fait ce qu'elle à pu pour pas trop me déboîter).
Je sais que je devrais pas penser à ça mais pour l'instant j'suis encore trop déglingué pour garder l'esprit tranquille bien que je soit ultra motivé pour y arriver.
J'ai pas le choix: je peux pas crever alors je vais transcender tout ce bordel.
Voilà, encore désolé pour le pavé. Je me présente humblement devant vous en tant qu'homme détruit qui à pas l'intention de rester dans cet état, c'est pas une vie.
Tout ce que vous avez à dire à propos de tout ça,des conseils, des avis (positif ou négatif), qui pourrait aider, je suis preneur et je compte régulièrement donner des nouvelles de mon évolution.
Bien à vous