Ces actions qui devraient nous faire du bien
Posté : 25.01.16
Hello tout le monde,
Je me suis levé ce matin avec une question que j'ai en tête depuis un bout de temps, et que je n'ai jamais réussi à résoudre.
Je n'ai pas le souvenir d'avoir déjà croisé le sujet, donc je me lance pour l'amener sur le tapis, et puis j'avais envie d'échanger avec des gens sur le sujet.
Je ne pense pas me tromper en disant qu'on est à peu près tous foutu pareil en matière d'émotion face à une situation donnée (tristesse lors d'un décès, joie lors d'une victoire), mais que selon la personne et son degré d'expérience, l'effet que procure cette émotion peut varier du tout au tout.
Il y a des fois où l'on va bien, et où a envie de partager cette émotion avec les gens, où on a envie de faire plaisir (je te dépose ?), pour ainsi dire.
Il y en a d'autres, des fois, où on va mal, et où on cherche à changer son état d'esprit (ou du moins, limiter la casse), en réalisant des actions positives (j'ai déjà croisé quelqu'un qui allait dans les hôpitaux discuter avec les malades lorsqu'il se sentait pas bien).
Cependant, il y a une chose qui m'a toujours interpellé, et voilà le gros de mon questionnement :
Pourquoi, lorsqu'on réalise ce qui globalement est considéré comme une bonne action (du style, distribuer de la nourriture aux sans abris, parvenir enfin à réaliser l'objectif pour lequel on se bat depuis si longtemps), il arrive que ça nous fasse ni chaud, ni froid ?
A titre personnel, lorsque je vois des gens faire du bien autour d'eux, ça me donne envie de faire pareil, et ça me fais du bien, alors même que je suis un simple spectateur.
Je ne vois pas dans quel mesure le fait de passer à l'action pourrait ne pas agir de la même façon sur mes émotions que lorsque je les vois réalisées par quelqu'un d'autre.
Je vous met l'une des vidéos, d'un type que j'aime beaucoup, qui m'a le plus poussé à réfléchir sur le sujet :
(je vous ai mis la vidéos à un moment qui coïncide avec mes propos, pour ceux qui n'ont pas le temps, mais je vous conseille de la regarder entièrement, quand vous avez le temps, car je trouve ça vraiment inspirant).
Serait-il possible que notre subconscient soit amené à considérer l'action comme un acte tellement normal/banal/anodin, qu'il ne nous donnerait même pas le plaisir qui nous encourage habituellement à le perpétuer ?
Qu'en pensez-vous ?
Je me suis levé ce matin avec une question que j'ai en tête depuis un bout de temps, et que je n'ai jamais réussi à résoudre.
Je n'ai pas le souvenir d'avoir déjà croisé le sujet, donc je me lance pour l'amener sur le tapis, et puis j'avais envie d'échanger avec des gens sur le sujet.
Je ne pense pas me tromper en disant qu'on est à peu près tous foutu pareil en matière d'émotion face à une situation donnée (tristesse lors d'un décès, joie lors d'une victoire), mais que selon la personne et son degré d'expérience, l'effet que procure cette émotion peut varier du tout au tout.
Il y a des fois où l'on va bien, et où a envie de partager cette émotion avec les gens, où on a envie de faire plaisir (je te dépose ?), pour ainsi dire.
Il y en a d'autres, des fois, où on va mal, et où on cherche à changer son état d'esprit (ou du moins, limiter la casse), en réalisant des actions positives (j'ai déjà croisé quelqu'un qui allait dans les hôpitaux discuter avec les malades lorsqu'il se sentait pas bien).
Cependant, il y a une chose qui m'a toujours interpellé, et voilà le gros de mon questionnement :
Pourquoi, lorsqu'on réalise ce qui globalement est considéré comme une bonne action (du style, distribuer de la nourriture aux sans abris, parvenir enfin à réaliser l'objectif pour lequel on se bat depuis si longtemps), il arrive que ça nous fasse ni chaud, ni froid ?
A titre personnel, lorsque je vois des gens faire du bien autour d'eux, ça me donne envie de faire pareil, et ça me fais du bien, alors même que je suis un simple spectateur.
Je ne vois pas dans quel mesure le fait de passer à l'action pourrait ne pas agir de la même façon sur mes émotions que lorsque je les vois réalisées par quelqu'un d'autre.
Je vous met l'une des vidéos, d'un type que j'aime beaucoup, qui m'a le plus poussé à réfléchir sur le sujet :
(je vous ai mis la vidéos à un moment qui coïncide avec mes propos, pour ceux qui n'ont pas le temps, mais je vous conseille de la regarder entièrement, quand vous avez le temps, car je trouve ça vraiment inspirant).
Serait-il possible que notre subconscient soit amené à considérer l'action comme un acte tellement normal/banal/anodin, qu'il ne nous donnerait même pas le plaisir qui nous encourage habituellement à le perpétuer ?
Qu'en pensez-vous ?
