Blessures psychosomatiques - info ou intox?
Posté : 18.01.17
Je me suis blessée durant un match hier. J'ai une immense frustration parce que je ne comprends pas comment ça a pu arriver. Je me suis reposée avant le match, me suis échauffée comme d'habitude...
Ma cheville a tout simplement lâché quand je suis retombée d'un bloc, comme ça, à la fin du premier set. Sans qu'il n'y ait eu de contact, sans fatigue...
Je ne comprends pas, et c'est cela qui me hante, plus que la blessure qui va se remettre.
Et c'est pour ça que je viens vers vous, qui vous connaissez peut-être plus que moi en blessures sportives.
Parce que oui, les blessures ça arrive. Mais 3 fois les ligaments de la cheville en 2 ans, ça commence à faire beaucoup.
Il y a eu des fois où j'ai mal évalué mon état, j'étais fatiguée, mon corps a lâché. Il y a aussi eu les débuts dans un sport, les mauvais mouvements sont risqués etc.
Bon.
Mais cette fois, geste de routine. Je suis incapable de comprendre ce qu'il s'est passé ou de me remémorer un détail qui expliquerait la blessure. Je suis mieux entraînée et j'ai une meilleure forme physique que la plupart de mes coéquipières.
Du coup, je me suis penchée sur mes prédispositions psychologiques et le contexte de ce match. Je suis en période d'examens, et à côté de ça j'ai diverses obligations, donc pas une minute pour moi. Cela dit j'ai organisé ma semaine à l'heure près, et une partie de moi est excitée/heureuse de cette hyperactivité. Je n'ai jamais douté que j'arriverais à tout faire. Se pourrait-il que mon subconscient, lui, ne soit pas si serein ? En plus j'ai joué à une position qui n'est pas la mienne normalement, et si j'étais un peu stressée je pense que ça n'excédait pas un stress normal de compétition.
D'où ma question: que pensez-vous des blessure psychosomatiques? Du blabla ou pas? Ça m'obsède vraiment la raison de cette blessure. Du coup si à l'avenir je dois faire plus attention à mon environnement et à mon état psychologique général avant de faire du sport, je le ferai.
En temps normal, je suis du genre à ignorer la fatigue parce que l'activité physique m'excite trop, et je suis du genre résistante et à bien encaisser sur la durée. Est-ce une façon pour mon corps de me dire stop?
Désolée pour la question con, je la poserais pas en temps normal. C'est juste que... j'arrive pas à passer au-dessus il n'y avait aucun danger dans ce que j'ai fait, aucune raison apparente et malgré moi j'en veux à mon corps.
Merci d'avance pour vos pistes!
Ma cheville a tout simplement lâché quand je suis retombée d'un bloc, comme ça, à la fin du premier set. Sans qu'il n'y ait eu de contact, sans fatigue...
Je ne comprends pas, et c'est cela qui me hante, plus que la blessure qui va se remettre.
Et c'est pour ça que je viens vers vous, qui vous connaissez peut-être plus que moi en blessures sportives.
Parce que oui, les blessures ça arrive. Mais 3 fois les ligaments de la cheville en 2 ans, ça commence à faire beaucoup.
Il y a eu des fois où j'ai mal évalué mon état, j'étais fatiguée, mon corps a lâché. Il y a aussi eu les débuts dans un sport, les mauvais mouvements sont risqués etc.
Bon.
Mais cette fois, geste de routine. Je suis incapable de comprendre ce qu'il s'est passé ou de me remémorer un détail qui expliquerait la blessure. Je suis mieux entraînée et j'ai une meilleure forme physique que la plupart de mes coéquipières.
Du coup, je me suis penchée sur mes prédispositions psychologiques et le contexte de ce match. Je suis en période d'examens, et à côté de ça j'ai diverses obligations, donc pas une minute pour moi. Cela dit j'ai organisé ma semaine à l'heure près, et une partie de moi est excitée/heureuse de cette hyperactivité. Je n'ai jamais douté que j'arriverais à tout faire. Se pourrait-il que mon subconscient, lui, ne soit pas si serein ? En plus j'ai joué à une position qui n'est pas la mienne normalement, et si j'étais un peu stressée je pense que ça n'excédait pas un stress normal de compétition.
D'où ma question: que pensez-vous des blessure psychosomatiques? Du blabla ou pas? Ça m'obsède vraiment la raison de cette blessure. Du coup si à l'avenir je dois faire plus attention à mon environnement et à mon état psychologique général avant de faire du sport, je le ferai.
En temps normal, je suis du genre à ignorer la fatigue parce que l'activité physique m'excite trop, et je suis du genre résistante et à bien encaisser sur la durée. Est-ce une façon pour mon corps de me dire stop?
Désolée pour la question con, je la poserais pas en temps normal. C'est juste que... j'arrive pas à passer au-dessus il n'y avait aucun danger dans ce que j'ai fait, aucune raison apparente et malgré moi j'en veux à mon corps.
Merci d'avance pour vos pistes!