FTS

Bon, après avoir lu quelques journaux, je me suis dit que ce serait peut-être pas mal de commencer le mien. Vous avez vu ma présentation, il y a du chemin à faire... Le contraire serait ennuyant.

Et une fois n'est pas coutume, commençons par un mardi.

Mardi

De mauvaise humeur toute la matinée. Belle journée de merde en vue, et avec la nuit de la veille, je m'endors sur mon pc. Décide d'aller faire une sieste en début d'après midi.

Pas de réveil, je dors jusqu'à 18h. Journée pas très productive, je suis pas fier de moi.

Enfin, le sommeil aidant, j'ai une pêche d'enfer. Je décide d'aller à la salle de gym pour soulever un peu de fonte, et pourquoi pas aborder quelques filles sur le chemin.

Bon finalement ça ne se révèlera pas être une idée fabuleuse, c'est mardi soir, la rue est déserte, il pleut, les gens sont crevés et veulent juste rentrer chez eux.

Super séance de sport en revanche, la salle est pleine de jolies filles, suis en forme. 10mn de running, développé couché, squat... Dans la bonne humeur. Je remarque une très jolie blonde pendant mon running. ~23 ans, elle a l'air de connaître beaucoup de mecs dans la salle. Très honnêtement, je n'aurais jamais eu les couilles de l'aborder. Puis pendant les dips, je vois un mec avec elle, franchement pas super beau, mais avec qui elle flirte et donne son numéro.

Jalousie, dégoût, et une foule de sentiments négatifs. De quoi remplir le stade de France. Me maîtrise péniblement. Ce n'est pas avec la jalousie qu'on avance. Le mec est plus agé que moi de deux ou trois ans, elle aussi, il faut se remettre à sa place, je suis un padawan.

Puis je remarque une jolie brune qui fait des abdos. Elle semble avoir à peu près mon âge, je la soupçonne d'être un peu timide. Je n'ai pas envie de l'emmerder pendant sa séance, et continue la mienne.

Une fois fini, je remarque qu'elle est encore là. Elle à l'air épuisée, est en pleine séance d'étirements. J'attends qu'elle finisse, mais le moment venu, me ravise.

OK, j'étais super mal à l'aise à l'idée de l'aborder, comme tout le monde, mais ce n'est pas ça qui m'a dissuadé de le faire. Je savais ce que je voulais dire, le fait que j'aborde en anglais me facilite généralement les choses (même si ça les complique aussi, plus facile de bafouiller et de dire de la merde).

Elle n'avait pas l'air d'être dans l'état de s'investir dans une conversation. Je la soupçonnais fortement de n'avoir qu'une envie... rentrer chez elle, manger et dormir.

Si il est une chose que je crains et qui me dissuade généralement d'aborder une fille, c'est la peur de l'emmerder. Je comprends qu'à 20h30, après une grosse séance de gym, qu'on aie pas le coeur à se faire aborder par un mec, même si il a une bonne gueule, qu'il est pas mal gaulé ou plein de bonnes intentions.

Et puis finalement, la question se règle toute seule, elle sort.

Je rage comme pas permis et maîtrise péniblement mes émotions. On est pas loin du one-itis.

Je persévère et décide de l'attendre à la sortie. Me douche et attends la demoiselle dans le hall d'entrée. Avant de me raviser. Il fait nuit, elle est fatiguée. La discussion va tourner court dans le hall. Et franchement, j'imagine qu'il serait super chelou et anxiogène pour elle de marcher dans les rues désertes du campus avec un inconnu qui l'a attendu à la sortie de la salle. Et j'étais épuisé, moi aussi.

Ce sera pour une autre fois.

Mais tout de même, il y a matière à analyser. Comment aurais-je dû réagir ? Mauvais moment, mauvais endroit ? Trop de réflexions à la con (INTJ forever) ?

Enfin, l'occasion reviendra et j'ai plutôt bien maîtrisé mes émotions toxiques, c'est déjà pas mal.

J'apprécierai aussi les conseils de rédac ! ;)

La procrastination (le fait de toujours reporter à plus tard... et finalement de ne rien faire) est le lot de beaucoup de débutants. Quel conseil te donner ? Peut-être celui de Blusher: dans une telle situation, débranche ton cerveau.

Si il est une chose que je crains et qui me dissuade généralement d'aborder une fille, c'est la peur de l'emmerder.

C'est une croyance limitante que de penser que tu vas emmerder une fille que tu open. Et puis, que risques-tu ? Si tu l'emmerdes, elle te hurlera:

DÉGAGE GROS CON !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

et, ô surprise, tu constateras que tu es toujours vivant.

Mais en général, les refus que tu te prendras seront polis et civilisés. Ce n'est pas comme en boîte où la fille que tu open a peut-être dû auparavant repousser les assauts d'une demi-douzaine de mecs bourrés comme des coings.

Merci pour le retour, la prochaine fois je débrancherai mon cerveau et on verra ce que ça donne.

Il y a deux semaines...

Un soir de week-end

Mes potes ne sont pas très motivants parfois. C'est dur de les bouger pour aller faire un tour dans les bars, et si ils acceptent, c'est uniquement assez alcoolisés pour être sûr de ne pas s'en souvenir. Bref, pas les meilleurs wings de la terre.

J'ai donc fait cavalier seul ce soir là, dans un bar du centre ville qui fait aussi club le we.

Ce type de sortie est toujours une épreuve pour moi, qui suis d'un naturel très calme... Il est très compliqué de me faire perdre mes moyens ou de simplement faire monter mon niveau d'énergie interne assez haut pour m'éclater sur le dance floor. Dans la vie, c'est parfois un avantage, mais le soir, seul, c'est une jambe de bois. D'autant plus que le trajet en tram, vide, a généralement tendance à m'endormir.

Je suis donc arrivé dans le bar en question assez tard, sur les coups de 1h15 (ne me demandez pas pourquoi, aucune idée ). Pas de soucis avec le videur, je dépose mes vêtements et commence à essayer de me chauffer. Je suis socialement négatif, fatigué et motivé comme quelqu'un qu'on a forcé à sortir. Devant moi dans la queue un set de deux plutôt jolies filles qui parlent entre elles. Elle me remarquent. Je suis mal à l'aise. Je ne leur parle pas. Évidemment, première erreur de la soirée.

D'ailleurs, le reste de la soirée se passera un peu comme ça, le bar est assez petit et on y trouve presque exclusivement des groupes mixtes de plus de quatre personnes ainsi que des filles avec leurs copains. Je tente deux approches. À chaque fois les filles étaient avec leurs copains.

Il est 2h00. Le piège de la fatigue. Je ne sais pas qui aborder, et surtout, je ne m'amuse pas... On arrête le carnage. Je rentre chez moi.

Que tirer de cette expérience ?

Je ne pense pas re-sortir seul sans en avoir vraiment envie dans les prochaines semaines. Je n'y prends pas de plaisir, et cela ne m'a pas apporté grand chose jusqu'à maintenant.

Laissons passer un peu de temps ? Mon niveau évolue rapidement et je ne sens pas l'utilité de brusquer les choses pour le moment.

Un soir, le week-end dernier...

Date Tinder. Pour faire court, tout s'est super bien passé et la fille m'a semblé être très contente de la soirée. On a dansé, il y a eu du contact, de la conversation, etc. Elle m'a également envoyé un sms après être rentrée chez elle pour me dire qu'elle avait passé un super moment et espérait que l'on se revoie bientôt.

Hier je lui ai proposé de se revoir en fin de semaine et elle a répondu positivement.

Cependant j'ai beaucoup du mal à interpréter sa communication sms car elle est très peu investie dans la conversation. Elle réponds toujours, mais sans jamais relancer. Depuis le premier message sur Tinder, et ce pendant une conversation qui a duré une semaine, elle n'a pas posé une seule question. J'ai joué de telle manière que la conversation avance sans avoir l'impression de mener un interrogatoire, ce qui a plutôt bien fonctionné, mais c'était assez pénible pour moi.

D'ailleurs, je lui ai fait remarquer qu'elle était peu curieuse, et à cela elle a répondu que c'était là la première fois qu'elle rencontrait quelqu'un sur internet et qu'elle ne savait pas vraiment ce qu'elle devait dire...

Bref, cela risque d'être pénible de garder un minimum de contact d'ici au prochain rendez-vous.

La fille en question est très énergique dans la vraie vie et, loin d'être timide, pose plein de questions, n'hésite pas à mener la conversation, etc. Elle avait l'air vraiment investie dans le rendez-vous.

Je vois clairement l'intérêt de me donner de la peine avec cette fille. Mais pourquoi si peu de jeu par sms ?

Une idée que me traîne dans un coin de la tête: Peut-être qu'elle n'aime tout simplement pas parler par messages ?

Bon sang, le temps passe vite.

[EDIT] March, c'est la fille dont je parlais la dernière fois, qui a pas beaucoup de conversation par sms ;)

Update sur March

J'ai revu March à la fin de la semaine, comme prévu. Elle avait quelque chose de prévu tôt le lendemain matin, nous sommes donc parti sur un italien avec un petit tour dans un bar cozy du centre-ville pour clore la soirée.

Elle a apprécié, j'ai apprécié. Peu de contact cependant, et ambiance un peu tendue à cause de la contrainte temps.

Et puis la semaine suivante je suis rentré au pays pour trois semaines. Au début, j'étais un peu dégoûté parce que, entre nous, je ne m'attendais pas à la revoir à mon retour. Un mois, c'est drôlement long ! Mais bon, je me suis dit que c'est la vie, qu'il y en aura d'autres et après tout, j'étais content de revoir mes potes en france.

Finalement les choses se sont déroulées pour le mieux, elle ne m'a pas oublié et m'a spontanément parlé deux fois. Je la reverrai donc un soir, ce week-end, pour cuisiner quelque chose de son pays et manger à la maison.

J'imagine que cuisiner un truc ensemble sera une bonne occasion de rattraper le manque de contact de la dernière fois. Même si j'appréhende un peu.

OK, beaucoup.

Comme je vis en coloc', je ne sais pas si c'est une très bonne idée d'inviter une fille à la maison, surtout si mes colocataires filles se ramènent dans un moment pas opportun.

Après, cela pourrait aussi la rassurer et instaurer un peu de complicité.

Enfin bon, j'ai pas tellement le choix, je leur demanderai un peu de discrétion.

Entre-temps en france, une date Tinder pas fameuse mais surtout beaucoup de temps passé avec les potes, et c'est bien ce qui compte en vacances. ;)

See ya !

bye bye March

J'ai donc revu March pour cuisiner quelque chose à la maison. Sans être un fiasco total, la soirée était assez plate et c'était pas super fun. Et comme je rentrais juste de voyage, je n'avais presque rien chez moi ! Enfin, pas trop le choix si je voulais la revoir c'était ce soir là ou deux semaines plus tard.

Et puis quelle distance entre nous ! Pourquoi ? C'était pourtant elle qui voulait qu'on se voie ! Culture shock ? Coincée ? Pas d'alcool, pas de musique, ce dimanche soir était vide de sens.

Elle a finalement pris son train à 21h (habitant à une heure de train). Je ne l'ai pas revue depuis et ne compte pas la revoir. Elle m'a fait subtilement comprendre que c'était trop galère pour elle de me revoir et qu'elle était occupée.

Bref, chat archivé, affaire suivante.

Jeudi dernier

Entre temps, j'ai déménagé. J'habite maintenant au centre ville, et même si ma chambre est plus petite, je me sens chez moi et sortir est diablement plus facile.

Et en plus, je me suis trouvé un wing' dans ma coloc, Ben.

Donc jeudi dernier, petite sortie dans un bar et une boîte du centre ville pour tâter le terrain en prévision du week-end. Idée pas fameuse quand les bars sont vides.

Rien ! Que des plus de 30 ans !

La soirée s'est terminée par un beer-pong avec un groupe de jeunes (groupe allemand typique, 6 gars, une fille en couple) dans un bar semi-ouvert, avant de rentrer dormir un peu plus tôt que prévu.

Dimanche: let's start the game

Hier soir, apéro tardif avec des amis de ma coloc, puis sortie dans un bar latino du centre ville avec Ben. Soirée Kizomba au programme.

La soirée commence bien. Un Whisky, puis deux Gin. Des lasagnes. Des potes. De quoi se chauffer socialement.

Arrivons vers 22h au bar. L'ambiance est très romantique et plutôt chic, la musique est agréable et les couples dansent sur la piste, entre les tables et le bar, les lumières de toutes les couleurs, le bruit ambiant. Ils dansent bien. C'est assez intimidant car Ben et moi ne savons pas danser.

La première demi-heure est assez inactive. Regardons les couples danser et parlons avec un des amis de Ben qui travaille là, Luis. Je commence à me dire que je n'arriverai jamais à faire quoi que ce soit dans ce bar, je ne sais pas danser, je suis une merde, et patati et patata.

Processus de réflexions toxiques classique.

Et puis à un moment nous remarquons une très jolie brune au bar, seule, qui a manifestement envie de danser.

J'ai clairement pas les balls d'y aller.

Et puis, par quelque inspiration divine, Ben me pousse dans le dos, et propulsé je prends mon courage à deux mains, aborde la fille et lui lance de mon plus bel accent français

Moi: Hey, tu veux danser avec moi ?

Et oui, c'est tout ce que j'ai trouvé à dire sur le moment, en allemand en plus.

En fait je devais avoir l'air quarrément parachuté devant elle, ce qu'elle a trouvé assez amusant (la situation, finalement, était assez cocasse ).

Je ne me prenais pas non plus au sérieux. ;)

Elle me réponds en souriant

Elle: Heu, oui pourquoi pas ?



lui prends la main et s'ensuit alors une danse plutôt particulière, puisqu'à la fois sensuelle (Kizomba oblige) et comique, je ne connaissais même pas les pas élémentaires, elle devait m'expliquer en même temps (pas top dans une danse où l'homme mène).

Je lui reparle un peu plus tard dans la soirée. Elle fréquente souvent ce bar et le cours de salsa, une fois par semaine (Cours de salsa ajouté à l'agenda illico presto amigo!).

Je renvoie la balle à Ben en le poussant à mon tour vers une jolie russe.

Les interactions finalement n'étaient pas fabuleuses et j'aurais pu marquer beaucoup plus de points que je ne l'ai fait là. Enfin, on le peut toujours n'est-ce pas ? Mais le fait seul d'être allé la voir et d'avoir dansé avec elle suffisent déjà à faire de cette soirée une soirée hautement satisfaisante.

Et dans la furtivité des évènements, j'ai oublié de lui demander son nom !

Je sens que j'ai passé une étape. On m'a poussé, j'ai porté mes balls et suis allé la voir. Je ne savais pas danser mais c'était fun et j'ai envie de recommencer.

Et j'ai confiance en l'avenir. ;)

À suivre !

¡clases de salsa!

Mardi, comme prévu, cours de salsa avec Ben et un autre pote de ma coloc' qu'on appellera Jules.

Le cours de salsa, c'est vraiment la solution miracle pour les mecs pas tactiles. Personne ne sait danser, on ne se prend pas au sérieux, le contact est obligé, et de ce fait dédramatisé. En ~1h30, obligé de danser avec toutes les filles. Parfait pour se chauffer avant la fête. Et puis après avoir parlé avec tout le monde pendant le cours, aborder les jolies filles est nettement plus simple !

Bon, je ne vais pas m'étaler sur le cours, parce qu'il ressemble à n'importe quel cours de salsa.

La partie réellement intéressante commence après le cours, qui précède toujours une soirée danse-bar.

Le cours terminé j'engage donc rapidement la conversation avec une française croisée pendant le cours. Battre le fer tant qu'il est encore chaud. Brune, pas super canon mais sympathique. Je l'invite à danser.

C'est sensuel, elle a de beaux yeux, mais j'ai du mal à garder le contact visuel, je dois me concentrer pour danser correctement. Surtout, éviter de lui marcher sur les pieds.

Discutons ensuite rapidement avec un ami de la fille. Italien, ils travaillent ensemble. Je décide de ne pas m'éterniser pour les laisser parler tranquillement et éviter de faire le mec qui a pas d'autres personnes à qui parler ici.

Entre temps, Ben est parti. Je discute avec Gary, un ami de Ben qui avait l'air de ne pas trop savoir que faire, planté comme un poteau à côté de la piste de danse. J'essaye de le motiver pour aborder. Rien à faire, c'est pas croyable. Et il danse pourtant mieux que moi !

Enfin, il me désigne une petite allemande un peu dodue mais mignonne. J'y vais sans trop me poser de questions et elle accepte de danser avec un joli sourire.

Très tactile et détendu. Salsa, puis bachata. Puis discutons un peu. Bon feeling, il y a moyen d'aller plus loin. Je lui lance un "à tout à l'heure!" et continue dans ma lancée.



High five avec Gary.

Aborde une brune un peu plus âgée, seule dans un coin. Elle me fait gentillement comprendre qu'elle n'a pas envie de danser. Ni même de me dire son nom ou de parler. Circulez il n'y a rien à voir, on enchaîne.

J'aborde une jolie blonde près de la caisse et lui propose de danser. Me réponds qu'elle doit encore payer (ah, oui c'est pour ça qu'elle était à la caisse ) mais qu'après, avec plaisir. J'attends une minute et décide finalement d'aborder une femme plus agée que j'avais déjà vu dimanche. Éviter l'inactivité.

Pas vraiment ma classe d'âge (~30 ans ?), mais sympa, bon feeling. Une personne à qui parler si je ne sais plus trop quoi faire. Oui, éviter le vide à tout prix.

Puis un mec arrive, pas très sympa. Un prétendant, peut-être. Parlons rapidement, et sans trop de raisons je lui demande si il est bon en danse. Il me réponds que de toute façon il dansera pas avec moi.



Se fout de ma gueule. Je m'éjecte.

Vois la française du début passer et décide de lui reparler. Vient de s'acheter une bière. Le feeling est bon et la conversation facile. C'est toujours plus simple d'aborder des françaises à l'étranger. Elle allait rejoindre un ami dehors. Je m'éjecte pour aller m'acheter une bière.

Au bar, j'entends un groupe de français à côté de moi. Je les open avec une phrase bidon qui ne marche qu'ici, dans le style "hé, mais tout le monde parle français ici !".

Encore une fois la conversation est vraiment facile. Deux fille, O. et M., deux mecs. Les mecs, de toute évidence, sont hors-jeu et les filles parlent entre-elles. L'une des deux, O., me plaît bien, mais M. est pas super enthousiaste. Je sens un peu de tension dans son dialogue, alors que O. relance facilement. J'ai rapidement les mecs dans la poche mais décide de ne pas m'éterniser pour éviter de devenir relou. Quitte à revenir plus tard. M'éjecte pour commander.

Une fois ma bière en mains, je reparle avec Gary, puis Jules et Luis.

Aborde ensuite un mec que j'avais déjà vu dimanche. Assez classe. Un habitué. Je risque de revenir souvent ici, donc autant apprendre à connaître un maximum de gens histoire d'avoir de quoi discuter si jamais je reviens seul.

L'inactivité en soirée me terrorise.

Et puis la pinte fait lentement son effet, et je me sens fatigué. Il y beaucoup de filles à qui je pourrais reparler mais je décide de rentrer. C'est mardi, il ne s'agit pas de rentrer à 3h du mat' et je recherche pas nécessairement de plan pour la nuit.

Enfin, cette soirée est une réussite.

J'ai vaincu ma peur de l'approche et c'est bien la première fois que j'aborde sans hésitation en soirée.

J'ai abordé beaucoup de gens en environ une heure et demi, mais n'ai pris aucun numéro. J'aurais dû rester encore un peu pour cela. Cependant il est probable que je les recroise au même endroit un autre jour et pourrai toujours relancer l'interaction !

Aucunes pensées négatives.

una noche memorable :p

Salut runes.

Sympa ton journal, c'est léger et agréable à lire.

Sacré dynamisme en soirée ! Je vais me lancer dans la salsa sous peu, ton expérience dans le domaine est encourageante pour moi ! Tu as démarré tout seul ?

Au plaisir de te lire.

Merci @Atz !

J'ai dansé pour la première fois dimanche dernier la kizomba avec une jolie brune que j'espère bien revoir dimanche prochain.

Je suis venu au cours avec Ben, mais on ne s'est pas vraiment parlé. Comprendre les instructions du prof était déjà assez prenant. Aucuns soucis pour y aller seul !

Ah, je ne suis pas aussi dynamique que ça d'habitude. Mais là, avec les beaux jours, beaucoup de sport et mon déménagement, j'ai plutôt la forme !

On sent vraiment une belle volonté runes dans ton journal aussi ;) çà me donnera du courage pour samedi.
Au plaisir de continuer à te lire.