Relation professionnelle difficile à décoder
Posté : 14.08.17
Bonjour à tous, je vous sollicite pour tenter de comprendre le comportement d’une collègue de travail envers moi. C’est comme un puzzle dont j’ai différentes pièces mais que je n’arrive pas à assembler correctement pour avoir le tableau d’ensemble. Peut-être manque-t-il des pièces ? Plus vraisemblablement, je manque d’acuité…
La jeune femme qui est l’objet de mon questionnement est arrivée dans mon entreprise au début du mois d’avril dernier. J’ai eu l’occasion de la connaître rapidement car j’ai dû la former à l’utilisation d’une application informatique que nous utilisons quotidiennement. A ce stade, nous avons échangé quelques mots mais rien de significatif.
Environ deux ou trois semaines plus tard, elle commence à me solliciter à propos du fonctionnement de cette application car elle est plutôt à l’aise et curieuse avec l’informatique, elle a donc des questions complémentaires sur les fonctionnalités avancées. Comme j’en suis également l’admin, il y a des opérations que je suis le seul à pouvoir réaliser et pour lesquelles il faut me contacter, ce qu’elle fait.
Dans mes échanges en général je cherche à privilégier autant que possible le mode humoristique, et je ne vois pas d’antinomie à faire son travail sérieusement tout en communiquant de manière légère et détendue. Je fais de la gravité une exception. Souvent cela contribue à détendre mes interlocuteurs et le degré de satisfaction est plus élevé pour tout le monde.
Ainsi, en pratiquant ce mode de communication humoristique avec elle, je me suis rendu compte qu’elle avait du répondant et qu’elle appréciait mon ton léger et badin. Rapidement, elle a proposé que nous allions prendre une pause ensemble, café ou repas, pour sortir justement des sujets strictement professionnels. Je donne ma préférence pour la pause déjeuner et ce premier moment partagé se passe très bien. C’était un jeudi et le lundi suivant elle me rappelle en me demandant pourquoi je n’avais pas donné signe de vie depuis et si c’était parce que j’avais été « effrayé » ? Je lui réponds que non, tout va bien, que j’ai beaucoup apprécié sa compagnie et que nous pourrons remettre ça à l’occasion mais que pour l’instant je n’avais pas jugé « utile » de la rappeler.
Par la suite nous continuons de nous voir régulièrement en dehors de toute nécessité directement liée au travail à travers des pauses café ou déjeuner. A chaque fois tout se déroule très bien, ce sont des instants très récréatifs, nos échanges sont faciles et fluides sur des sujets légers mais pas seulement (ma conversation ne se résume pas à un sketch permanent).
Un évènement important à mentionner est lorsqu’elle a appris notre différence d’âge au détour d’un échange. J’ai dix ans de plus qu’elle. Je sais que ça l’a beaucoup affecté même si elle l’a caché derrière quelques plaisanteries. Son étonnement était véritable. Elle me donnait au minimum 5 ans de moins (de l’avis général je fais plus jeune que mon âge réel) et j’ai perçu comme une sorte de déception chez elle. Elle m’a avoué par la suite qu’elle avait mis du temps à intégrer cette information, qu’elle avait dû recomposer l’image qu’elle se faisait de moi et régulièrement elle me charrie avec ça, mais sans lourdeur non plus. D’ailleurs, mon anniversaire étant peu après, elle m’a offert un petit cadeau. Je ne sais pas vraiment comment l’interpréter car le présent était peu chargé émotionnellement et je ne sais pas si j’ai bénéficié d’une faveur ou non. Elle est du genre « généreuse », je ne veux donc pas sur-interpréter le geste. Pour compléter le tableau, je sais que je ne suis pas tout à fait son genre de mec car elle préfère ceux qui ont une allure de patriarche un peu ventripotent alors que moi je suis un grand longiligne incapable de grossir (métabolisme de base élevé). J’ai le ventre un peu trop plat…
En juillet elle est partie deux semaines en congés, coupure salutaire selon moi. Elle me dit qu’elle va à l’étranger avec un « ami ». A son retour je lui demande comment ça s’est passé et elle me répond que ce fut mitigé. J’apprends que l’ami en question est son « compagnon » du moment et que ce voyage « test » (je reprends son terme) n’a pas été très satisfaisant. Elle me fait part de ses doutes sur sa relation. Son compagnon est beaucoup plus attentionné que les précédents, mais d’autres chose la rendent insatisfaite… je n’en saurais pas plus. J’écoute avec attention mais volontairement je ne rentre pas dans le jeu du confident/psy. Dommage toutefois de ne pas avoir eu la présence d’esprit de lui demander depuis combien de temps ils étaient ensemble. En recoupant mes informations, je dirais autour de trois mois. S’ensuit alors des considérations générales sur le couple et de l’impossibilité de tout avoir… Bref, je suis songeur.
La semaine de son retour était aussi celle de son propre anniversaire et je me suis permis de lui offrir pareillement un petit cadeau. L’objet en lui-même était insignifiant, mais très symbolique car en rapport avec une anecdote commune et je l’ai accompagné d’un mot faisant allusion à notre proximité malgré notre écart d’âge. Elle a été touchée et m’a gratifié de deux bises très chaleureuses, chose inhabituelle de sa part.
C’est désormais à mon tour d’être en congés et à l’annonce de mon absence pendant trois semaines elle s’est montrée très affectée et je veux croire à sa sincérité car c’est une fille qui a du mal à cacher ses émotions. Elle m’a également dit que lorsqu’elle est elle-même partie en vacances elle trouvait difficile de se dire qu’on n’allait pas se voir pendant deux semaines, chose qui m’a étonné car lorsque je dois partir en vacances, surtout avec des perspectives de découverte et de détente, je ne me préoccupe pas de ne plus voir mes collègues de travail pendant plusieurs semaines, si bien sûr on considère ses collègues de travail seulement comme des collègues…
D’autres détails de son comportement avec moi sont ambigus. Par exemple, elle est facilement tactile avec moi et ne refuse pas mes contacts, mais parfois elle est un peu trop relâchée et montre aussi peu de gêne dans ses attitudes devant moi que devant un pote (peut-être que cela dit tout ?). Quant à exprimer son attachement à moi, elle reste prudente dans ses mots comme si elle ne voulait pas me donner trop de prise, et dans le même temps elle trouve des prétextes quotidiens pour entrer en contact avec moi. Elle recherche clairement ma présence.
Elle voit les relations humaines à travers un schéma de dominant-dominé et entre nous elle se définit comme la « dominée », celle qui est la plus « en demande » et la plus dépendante (il est vrai que 90 % des sollicitations viennent d’elle) alors que je reste toujours assez détaché. De plus, je lui lance régulièrement des « negs hit » et elle réplique avec de « gentilles insultes » devant être explicitement comprises comme au second degré, bien sûr. Au final ça la fait rire et ça ne la décourage pas (ni moi).
Ce que je ne sais pas très bien interpréter également c’est qu’elle m’a livré des choses sur son passé, ses anciennes relations et ses ennuis de santé (vraiment sérieux). Que penser de cet accès à ce haut niveau d’intimité, à ces informations très personnelles qu’elle me confie ?
Elle m’a dit que d’autres collègues de son service ont remarqué notre proximité et lui ont posé ouvertement des questions sur la nature de notre relation. Elle leur répond invariablement que nous sommes collègues, voire amis, rien de plus. Je précise d’ailleurs que nous ne nous voyons que sur notre lieu de travail et que nous n’avons aucun moyen de nous joindre en dehors (pas de téléphone ni email). Ses dénégations ne sont donc que des vérités sur le strict plan factuel.
Cette relation est pleine de contradictions (en apparence) pour moi de dilemmes. Nous sommes très proches, nous communiquons avec une facilité déconcertante, elle recherche clairement ma présence au quotidien, elle rit à n’importe laquelle de mes blagues ou traits d’esprit, mais d’un autre côté je n’ai pas tous les atouts dans ma manche pour devenir davantage qu’un collègue/pote comme notre différence d’âge ou le fait que je ne sois pas exactement son genre physiquement. De plus, nous partageons le même lieu de travail, complication supplémentaire pour faire évoluer une relation sans conséquence en cas d’échec.
Je ne suis pas en OI avec cette fille, même si elle me plaît et que j’adore les moments que je passe avec elle, j’ai surtout beaucoup de difficulté à y voir clair sur ses intentions et comment je dois agir. Si je suis dans la case « pote », tant pis, j’irai voir ailleurs.
Mais me voit-elle uniquement comme un pote et sans possibilité d’autre statut ou bien me tend-elle des perches que je ne sais pas saisir ? J’ai une vraie hésitation à tenter davantage car le risque de « tout casser » et de devoir assumer l’échec face à elle quotidiennement est grand (on ne sort pas de son existence à sa guise une collègue de travail). Qui veut endosser le rôle du prétendant éconduit cantonné au rôle d’amuseur de second plan ? En dernier ressort, ce qui me donnerait envie de me tenir éloigné d’elle se sont ses tendances LSE. Même si elle n’est pas un archétype du genre, elle en a quelques traits et pour connaître personnellement la toxicité de ce genre de personne, je préfère les éviter. Elle a fait allusion à un psy qu’elle voyait régulièrement, mais doit-on repousser systématiquement toutes les personnes qui ont des problèmes, surtout quand elles en ont conscience et qu’elles essaient de les résoudre ?
Il est toujours difficile d’être lucide quand on est émotionnellement impliqué dans une situation, d’où mon recours à des regards extérieurs. Je suis clairement troublé par le type de relation que nous avons, ne l’ayant jamais vécue jusque-là.
L’expérience est une lanterne qui n’éclaire que celui qui la porte, mais je veux bien quand même essayer d’y voir plus clair avec vos lumières.
Mon texte est sans doute un peu long mais il était nécessaire de donner la meilleure représentation du contexte. Merci de m’avoir lu jusqu’au bout.
La jeune femme qui est l’objet de mon questionnement est arrivée dans mon entreprise au début du mois d’avril dernier. J’ai eu l’occasion de la connaître rapidement car j’ai dû la former à l’utilisation d’une application informatique que nous utilisons quotidiennement. A ce stade, nous avons échangé quelques mots mais rien de significatif.
Environ deux ou trois semaines plus tard, elle commence à me solliciter à propos du fonctionnement de cette application car elle est plutôt à l’aise et curieuse avec l’informatique, elle a donc des questions complémentaires sur les fonctionnalités avancées. Comme j’en suis également l’admin, il y a des opérations que je suis le seul à pouvoir réaliser et pour lesquelles il faut me contacter, ce qu’elle fait.
Dans mes échanges en général je cherche à privilégier autant que possible le mode humoristique, et je ne vois pas d’antinomie à faire son travail sérieusement tout en communiquant de manière légère et détendue. Je fais de la gravité une exception. Souvent cela contribue à détendre mes interlocuteurs et le degré de satisfaction est plus élevé pour tout le monde.
Ainsi, en pratiquant ce mode de communication humoristique avec elle, je me suis rendu compte qu’elle avait du répondant et qu’elle appréciait mon ton léger et badin. Rapidement, elle a proposé que nous allions prendre une pause ensemble, café ou repas, pour sortir justement des sujets strictement professionnels. Je donne ma préférence pour la pause déjeuner et ce premier moment partagé se passe très bien. C’était un jeudi et le lundi suivant elle me rappelle en me demandant pourquoi je n’avais pas donné signe de vie depuis et si c’était parce que j’avais été « effrayé » ? Je lui réponds que non, tout va bien, que j’ai beaucoup apprécié sa compagnie et que nous pourrons remettre ça à l’occasion mais que pour l’instant je n’avais pas jugé « utile » de la rappeler.
Par la suite nous continuons de nous voir régulièrement en dehors de toute nécessité directement liée au travail à travers des pauses café ou déjeuner. A chaque fois tout se déroule très bien, ce sont des instants très récréatifs, nos échanges sont faciles et fluides sur des sujets légers mais pas seulement (ma conversation ne se résume pas à un sketch permanent).
Un évènement important à mentionner est lorsqu’elle a appris notre différence d’âge au détour d’un échange. J’ai dix ans de plus qu’elle. Je sais que ça l’a beaucoup affecté même si elle l’a caché derrière quelques plaisanteries. Son étonnement était véritable. Elle me donnait au minimum 5 ans de moins (de l’avis général je fais plus jeune que mon âge réel) et j’ai perçu comme une sorte de déception chez elle. Elle m’a avoué par la suite qu’elle avait mis du temps à intégrer cette information, qu’elle avait dû recomposer l’image qu’elle se faisait de moi et régulièrement elle me charrie avec ça, mais sans lourdeur non plus. D’ailleurs, mon anniversaire étant peu après, elle m’a offert un petit cadeau. Je ne sais pas vraiment comment l’interpréter car le présent était peu chargé émotionnellement et je ne sais pas si j’ai bénéficié d’une faveur ou non. Elle est du genre « généreuse », je ne veux donc pas sur-interpréter le geste. Pour compléter le tableau, je sais que je ne suis pas tout à fait son genre de mec car elle préfère ceux qui ont une allure de patriarche un peu ventripotent alors que moi je suis un grand longiligne incapable de grossir (métabolisme de base élevé). J’ai le ventre un peu trop plat…
En juillet elle est partie deux semaines en congés, coupure salutaire selon moi. Elle me dit qu’elle va à l’étranger avec un « ami ». A son retour je lui demande comment ça s’est passé et elle me répond que ce fut mitigé. J’apprends que l’ami en question est son « compagnon » du moment et que ce voyage « test » (je reprends son terme) n’a pas été très satisfaisant. Elle me fait part de ses doutes sur sa relation. Son compagnon est beaucoup plus attentionné que les précédents, mais d’autres chose la rendent insatisfaite… je n’en saurais pas plus. J’écoute avec attention mais volontairement je ne rentre pas dans le jeu du confident/psy. Dommage toutefois de ne pas avoir eu la présence d’esprit de lui demander depuis combien de temps ils étaient ensemble. En recoupant mes informations, je dirais autour de trois mois. S’ensuit alors des considérations générales sur le couple et de l’impossibilité de tout avoir… Bref, je suis songeur.
La semaine de son retour était aussi celle de son propre anniversaire et je me suis permis de lui offrir pareillement un petit cadeau. L’objet en lui-même était insignifiant, mais très symbolique car en rapport avec une anecdote commune et je l’ai accompagné d’un mot faisant allusion à notre proximité malgré notre écart d’âge. Elle a été touchée et m’a gratifié de deux bises très chaleureuses, chose inhabituelle de sa part.
C’est désormais à mon tour d’être en congés et à l’annonce de mon absence pendant trois semaines elle s’est montrée très affectée et je veux croire à sa sincérité car c’est une fille qui a du mal à cacher ses émotions. Elle m’a également dit que lorsqu’elle est elle-même partie en vacances elle trouvait difficile de se dire qu’on n’allait pas se voir pendant deux semaines, chose qui m’a étonné car lorsque je dois partir en vacances, surtout avec des perspectives de découverte et de détente, je ne me préoccupe pas de ne plus voir mes collègues de travail pendant plusieurs semaines, si bien sûr on considère ses collègues de travail seulement comme des collègues…
D’autres détails de son comportement avec moi sont ambigus. Par exemple, elle est facilement tactile avec moi et ne refuse pas mes contacts, mais parfois elle est un peu trop relâchée et montre aussi peu de gêne dans ses attitudes devant moi que devant un pote (peut-être que cela dit tout ?). Quant à exprimer son attachement à moi, elle reste prudente dans ses mots comme si elle ne voulait pas me donner trop de prise, et dans le même temps elle trouve des prétextes quotidiens pour entrer en contact avec moi. Elle recherche clairement ma présence.
Elle voit les relations humaines à travers un schéma de dominant-dominé et entre nous elle se définit comme la « dominée », celle qui est la plus « en demande » et la plus dépendante (il est vrai que 90 % des sollicitations viennent d’elle) alors que je reste toujours assez détaché. De plus, je lui lance régulièrement des « negs hit » et elle réplique avec de « gentilles insultes » devant être explicitement comprises comme au second degré, bien sûr. Au final ça la fait rire et ça ne la décourage pas (ni moi).
Ce que je ne sais pas très bien interpréter également c’est qu’elle m’a livré des choses sur son passé, ses anciennes relations et ses ennuis de santé (vraiment sérieux). Que penser de cet accès à ce haut niveau d’intimité, à ces informations très personnelles qu’elle me confie ?
Elle m’a dit que d’autres collègues de son service ont remarqué notre proximité et lui ont posé ouvertement des questions sur la nature de notre relation. Elle leur répond invariablement que nous sommes collègues, voire amis, rien de plus. Je précise d’ailleurs que nous ne nous voyons que sur notre lieu de travail et que nous n’avons aucun moyen de nous joindre en dehors (pas de téléphone ni email). Ses dénégations ne sont donc que des vérités sur le strict plan factuel.
Cette relation est pleine de contradictions (en apparence) pour moi de dilemmes. Nous sommes très proches, nous communiquons avec une facilité déconcertante, elle recherche clairement ma présence au quotidien, elle rit à n’importe laquelle de mes blagues ou traits d’esprit, mais d’un autre côté je n’ai pas tous les atouts dans ma manche pour devenir davantage qu’un collègue/pote comme notre différence d’âge ou le fait que je ne sois pas exactement son genre physiquement. De plus, nous partageons le même lieu de travail, complication supplémentaire pour faire évoluer une relation sans conséquence en cas d’échec.
Je ne suis pas en OI avec cette fille, même si elle me plaît et que j’adore les moments que je passe avec elle, j’ai surtout beaucoup de difficulté à y voir clair sur ses intentions et comment je dois agir. Si je suis dans la case « pote », tant pis, j’irai voir ailleurs.
Mais me voit-elle uniquement comme un pote et sans possibilité d’autre statut ou bien me tend-elle des perches que je ne sais pas saisir ? J’ai une vraie hésitation à tenter davantage car le risque de « tout casser » et de devoir assumer l’échec face à elle quotidiennement est grand (on ne sort pas de son existence à sa guise une collègue de travail). Qui veut endosser le rôle du prétendant éconduit cantonné au rôle d’amuseur de second plan ? En dernier ressort, ce qui me donnerait envie de me tenir éloigné d’elle se sont ses tendances LSE. Même si elle n’est pas un archétype du genre, elle en a quelques traits et pour connaître personnellement la toxicité de ce genre de personne, je préfère les éviter. Elle a fait allusion à un psy qu’elle voyait régulièrement, mais doit-on repousser systématiquement toutes les personnes qui ont des problèmes, surtout quand elles en ont conscience et qu’elles essaient de les résoudre ?
Il est toujours difficile d’être lucide quand on est émotionnellement impliqué dans une situation, d’où mon recours à des regards extérieurs. Je suis clairement troublé par le type de relation que nous avons, ne l’ayant jamais vécue jusque-là.
L’expérience est une lanterne qui n’éclaire que celui qui la porte, mais je veux bien quand même essayer d’y voir plus clair avec vos lumières.
Mon texte est sans doute un peu long mais il était nécessaire de donner la meilleure représentation du contexte. Merci de m’avoir lu jusqu’au bout.