femme histrionique, manipulatrice
Posté : 06.05.19
Bonjour à tous.
Après 13 ans d'une relation sérieuse qui a donné 2 enfants formidables,
après une rupture douce, sans heurts, avec la mère de mes enfants avec qui je conserve une trés bonne relation (nous considérons que nous restons une famille),
je me suis retrouvé sur le marché, un marché trés trés tendu. On m'avait prévenu que ce serait compliqué... je l'ai appris à mes dépends. 4 ans de galères. Quand on a la quarantaine bien conservée, sur la côté d'azur, sortir avec des filles ce n'est pas trés difficile. trouver une femme (je n'emploie pas le terme fille) c'est déjà plus compliqué. Quant à une femme équilibrée, capable d'entretenir une relation stable, là... no comment.
J'en viens donc à ma dernière relation qui a duré presqu'un an... pour un gros flop nul.
Au départ, c'est la grande révélation. Une fille trés jolie de 35 ans (moi 39), au visage doux, regard d'agneau dans des grands yeux clairs... C'est tellement fluide, il y a tant de complicité. Comme si le ciel m'avait envoyé mon âme soeur. Au bout d'un mois, wkd de rêve à Londres. Présentation à son père trés rapide après 2 mois de relations à peine. Voyage en corse superbe. Tout est beau, les choses sont simples. On est trés indépendants tous les deux. Il arrive parfois qu'on ne se voit pas pendant 10 jours, même si on vit à 20km de distance, mais ça ne fait rien. Quand je lui propose une activité ( j'ai un côté un peu hyper actif) elle est heureuse de me retrouver et de partager des choses avec moi. Bref on s'aime sans se le dire.
Et puis trés vite... le vent tourne.
Dès le retour de vacances fin aout, alors que madame semblait emballée, ravie de son séjour, j'entends les mots suivants lors d'un repas: "j'ai besoin de moments pour moi" (on se voyait 1 à 2 fois par semaine avant le séjour), on est pas obligé d'être scotchés, Nice c'est loin (elle habite à 20 minutes). Tout cela dit sous le ton de l'humour... Mais dit quand même: la couleur est annoncée...
à partir de là, je n'ai plus eu de répit. Chaque semaine m'apporte son lot de surprises. La relation devient tout simplement kafkaïenne...
exemple:
sms d'elle le vendredi: on ne s'est vu qu'une fois cette semaine c'est pas bcp
moi: j'ai les enfants ce soir, mais vient
elle: non ma soeur arrive demain (samedi) pour le wkd. Elle va vouloir aller en boite il faut que je sois en forme.
(donc on se voit pas parce qu'elle va en boite demain soir...ok)
exemple:
En septembre, on découvre une maladie des nerfs périphériques (jambes) à mon fils. Vraisemblablement une maladie génétique (à ce jour elle ne parait pas évolutive, mais en septembre c'est la décharge électrique). Madame est en déplacement pro. Comme je passe la journée à l'hopital elle s'inquiète par message. Je lui réponds que les news sont pas trés bonnes. Elle me dit qu'elle m'appellera dans la soirée... J'attends toujours son appel. Le wkd, soirées copine le vendredi, et le samedi. On ne se voit que 4h le samedi. Et le dimanche elle ose me balancer: "je suis fatiguée de ma semaine"...
Et pourtant elle veut rencontrer mes enfants, s'investir. On organise un wkd avec les petits fin septembre. Et là c'est le rêve. Escalade avec ma grande. Photo de famille. Tout se passe pour le mieux dans le meilleur des mondes. Et puis c'est la grande déclaration d'amour : elle n'a vécu qu'une passion dans sa vie, c'était avant moi, et ne pensait jamais retrouver mieux si vite avec moi... Je finis par commettre l'irréparable, je lui balance un "je t'aime".
La semaine suivante, voyage de 10 jours à NY pour le taf. Pas un appel. Bon j'ai quand même mon message du matin et du soir. Mais pour le coup de fil, pas le temps, entre les rdv la journée et les sorties jusqu'à 4h du mat...
Bref la grande démonstration du grand amour. C'est moi, je dois être trop exigeant, comme elle me le dira plus tard...
Et de déplacements en déplacements en octobre on ne se voit que 3 fois. Et pas un appel en un mois. Quand je lui fait la remarque: "c'est une perte de temps de s'appeler", "je n'appelle jamais personne"' (je suis donc personne" ). Et là la phrase qui tue: "il faut que tu te demandes si une femme indépendante comme moi peut te rendre heureux, c'est la seule question à laquelle tu dois répondre". (Je me réponds à moi-même que mon ex compagne était trés indépendante. Elle est avocate à son compte, investie dans plusieurs associations. Bref sa vision de l'indépendance, c'est juste de la M...)
Sans oublier la phase victimisation: "je suis une mauvaise petite amie"...
Après quoi elle me dit: "j'ai besoin de savoir si tu es capable d'avoir d'autres enfants sinon je ne peux pas m'investir à fond dans la relation" (ah bon? moi je croyais que tu étais dedans, wkd avec mes enfants, déclarations d'amour... tout ça n'avait donc pas d'importance...)
A partir de là, c'est devenu délirant.
Novembre , décembre, pas un week end entier ensemble. Madame sort le jeudi, le vendredi elle est trop fatiguée pour passer la soirée avec moi. Pourquoi pas, mais j'appelle cela une relation plan cul dans ce cas.
Que nenni, elle veut officialiser avec mes gosses. Elle fait des annonces, à son père notamment: "quand on aura un enfant avec alex et qu'on sera tous ensemble avec les siens..." (semaine suivante, lors d'une discussion: "mais c'était pour rire"...).
Elle continue ses annonces avec sa famille à noel, et mes amis lors du repas du jour de l'an : "avec alex on va s'installer, on va avoir des enfants".
Je me décompose car je sais qu'elle délire: 9 mois qu'on est ensemble, elle n'a mis qu'une brosse à dent chez moi, on fonctionne au planning, elle a toujours une bonne excuse quand je lui parle de vacances et surtout... elle me rejette. (on s'embrasse plus, on se prend plus dans les bras. Niveau sexe c'est une à deux fois pas semaine, après le brossage des dents comme un vieux couple...et surtout, on peut facilement passer 2 semaines sans rien c'est pas un pb...). Pas une photo de moi sur fb "ça va faire fuir mes prétendants" "c'est sensé être drôle?"
Le lendemain des annonces, c'est "ah mais non c'est un projet mais pas tout de suite"...
finalement en janvier je finis par péter à deux reprises:
- elle ne reste pas dormir chez moi alors qu'on ne s'est pas vus depuis 9 jours (et que 9 jours auparavant elle faisait des annonces d'installation). Je lui demande ce qu'elle me veut à la fin, que ça me gonfle toutes ces incohérences.
- un soir où elle me rejette une fois de plus (un samedi soir après une semaine d'abstinence et une semaine sans se voir en prévision), je lui fais une scène déshonorante pour moi (source de ma culpabilité aujourd'hui) "t'as pas envie de moi, je le vois bien, t'as besoin de boire à chaque fois, maintenant tu m'expliques, etc etc...). Je ne crie pas, mais je suis ferme et insistant, chiant et nul. Il ne se passe rien bien sûr ce soir là. Rien de tel pour bloquer la donzelle. Mais quand on est à bout on est à bout...
2 semaines plus tard, je la mets au pied du mur. Je dis que je marche plus. Elle me répond que ma scène de 30 min (10 min grand grand max en réalité) a cassé quelque chose, que le lendemain elle s'est forcée (c'est elle qui est venue vers moi et je l'ai même repoussée au départ), qu'elle a été trés choquée, etc... qu'elle veut faire une pause pour voir si "on se manque". Qu'effectivement elle traine des pieds pour partir en vacances avec moi ( deux semaines avant, elle parlait de bébé). Et qu'en plus elle a prévu un séjour aux seychelles dans deux mois avec tonton et tata...
Bref, Je refuse catégoriquement la pause et lui dis que nos chemins se séparent ici. (fin de 10 mois de relation)
Quand je reviens vers elle une semaine après je reçois un beau sms, le dernier : "on a essayé, ça n'a pas marché, c'est dommage. Je garde en mémoire les beaux moments"
Pour le tableau j'ai oublié: toutes les techniques à la con du fuis moi je te suis et inversement fonctionnaient à merveille. Et justement, de constater cela, me renforçait l'idée que je faisais fausse route. Et puis au bout de 6/8 mois de relation, j'avais envie d'une partenaire, pas d'un adversaire dans un "game". N'est-on pas systématiquement perdant lorsqu'on force sa nature? Et puis n'est ce pas s'adapter à SON mode de fonctionnement malsain?
Alors voilà ma question est simple. J'étais amoureux et j'arrive encore (après 3 mois) à culpabiliser de l'avoir perdue à cause de ma scène et de mes mises aux points (reproches). Pour autant ma lucidité me dit qu'elle m'aurait fait vivre l'enfer, que les choses auraient été de mal en pire, même si au "game" elle cédait assez vite. Donc:
Est-ce que certains ont vécues des histoires similaires? ça a donné quoi au long terme?
Mon psy me dit qu'une hystéro pareil, elle fuit dès qu'il y a un début d'engagement quelconque. Elle fait tout pour construire une vraie relation mais prend la fuite dès qu'il y a un début de concrétisation. Exemple typique: l'homme marié qui finit par quitter sa famille pour elle après plusieurs années de flirt et qui se fait planter (alors qu'elle a tout fait pour le convaincre de faire le pas) ... Et c'est vrai que toutes ses précédentes relations n'ont été que des pétards mouillés (fuite d'un cote ou de l'autre au bout de 2 / 3 ans) En gros, tot ou tard je me serai retrouvé chez mon psy. Et plus tard, lancé dans des projets, l'addition aurait été encore plus lourde...
Après 13 ans d'une relation sérieuse qui a donné 2 enfants formidables,
après une rupture douce, sans heurts, avec la mère de mes enfants avec qui je conserve une trés bonne relation (nous considérons que nous restons une famille),
je me suis retrouvé sur le marché, un marché trés trés tendu. On m'avait prévenu que ce serait compliqué... je l'ai appris à mes dépends. 4 ans de galères. Quand on a la quarantaine bien conservée, sur la côté d'azur, sortir avec des filles ce n'est pas trés difficile. trouver une femme (je n'emploie pas le terme fille) c'est déjà plus compliqué. Quant à une femme équilibrée, capable d'entretenir une relation stable, là... no comment.
J'en viens donc à ma dernière relation qui a duré presqu'un an... pour un gros flop nul.
Au départ, c'est la grande révélation. Une fille trés jolie de 35 ans (moi 39), au visage doux, regard d'agneau dans des grands yeux clairs... C'est tellement fluide, il y a tant de complicité. Comme si le ciel m'avait envoyé mon âme soeur. Au bout d'un mois, wkd de rêve à Londres. Présentation à son père trés rapide après 2 mois de relations à peine. Voyage en corse superbe. Tout est beau, les choses sont simples. On est trés indépendants tous les deux. Il arrive parfois qu'on ne se voit pas pendant 10 jours, même si on vit à 20km de distance, mais ça ne fait rien. Quand je lui propose une activité ( j'ai un côté un peu hyper actif) elle est heureuse de me retrouver et de partager des choses avec moi. Bref on s'aime sans se le dire.
Et puis trés vite... le vent tourne.
Dès le retour de vacances fin aout, alors que madame semblait emballée, ravie de son séjour, j'entends les mots suivants lors d'un repas: "j'ai besoin de moments pour moi" (on se voyait 1 à 2 fois par semaine avant le séjour), on est pas obligé d'être scotchés, Nice c'est loin (elle habite à 20 minutes). Tout cela dit sous le ton de l'humour... Mais dit quand même: la couleur est annoncée...
à partir de là, je n'ai plus eu de répit. Chaque semaine m'apporte son lot de surprises. La relation devient tout simplement kafkaïenne...
exemple:
sms d'elle le vendredi: on ne s'est vu qu'une fois cette semaine c'est pas bcp
moi: j'ai les enfants ce soir, mais vient
elle: non ma soeur arrive demain (samedi) pour le wkd. Elle va vouloir aller en boite il faut que je sois en forme.
(donc on se voit pas parce qu'elle va en boite demain soir...ok)
exemple:
En septembre, on découvre une maladie des nerfs périphériques (jambes) à mon fils. Vraisemblablement une maladie génétique (à ce jour elle ne parait pas évolutive, mais en septembre c'est la décharge électrique). Madame est en déplacement pro. Comme je passe la journée à l'hopital elle s'inquiète par message. Je lui réponds que les news sont pas trés bonnes. Elle me dit qu'elle m'appellera dans la soirée... J'attends toujours son appel. Le wkd, soirées copine le vendredi, et le samedi. On ne se voit que 4h le samedi. Et le dimanche elle ose me balancer: "je suis fatiguée de ma semaine"...
Et pourtant elle veut rencontrer mes enfants, s'investir. On organise un wkd avec les petits fin septembre. Et là c'est le rêve. Escalade avec ma grande. Photo de famille. Tout se passe pour le mieux dans le meilleur des mondes. Et puis c'est la grande déclaration d'amour : elle n'a vécu qu'une passion dans sa vie, c'était avant moi, et ne pensait jamais retrouver mieux si vite avec moi... Je finis par commettre l'irréparable, je lui balance un "je t'aime".
La semaine suivante, voyage de 10 jours à NY pour le taf. Pas un appel. Bon j'ai quand même mon message du matin et du soir. Mais pour le coup de fil, pas le temps, entre les rdv la journée et les sorties jusqu'à 4h du mat...
Bref la grande démonstration du grand amour. C'est moi, je dois être trop exigeant, comme elle me le dira plus tard...
Et de déplacements en déplacements en octobre on ne se voit que 3 fois. Et pas un appel en un mois. Quand je lui fait la remarque: "c'est une perte de temps de s'appeler", "je n'appelle jamais personne"' (je suis donc personne" ). Et là la phrase qui tue: "il faut que tu te demandes si une femme indépendante comme moi peut te rendre heureux, c'est la seule question à laquelle tu dois répondre". (Je me réponds à moi-même que mon ex compagne était trés indépendante. Elle est avocate à son compte, investie dans plusieurs associations. Bref sa vision de l'indépendance, c'est juste de la M...)
Sans oublier la phase victimisation: "je suis une mauvaise petite amie"...
Après quoi elle me dit: "j'ai besoin de savoir si tu es capable d'avoir d'autres enfants sinon je ne peux pas m'investir à fond dans la relation" (ah bon? moi je croyais que tu étais dedans, wkd avec mes enfants, déclarations d'amour... tout ça n'avait donc pas d'importance...)
A partir de là, c'est devenu délirant.
Novembre , décembre, pas un week end entier ensemble. Madame sort le jeudi, le vendredi elle est trop fatiguée pour passer la soirée avec moi. Pourquoi pas, mais j'appelle cela une relation plan cul dans ce cas.
Que nenni, elle veut officialiser avec mes gosses. Elle fait des annonces, à son père notamment: "quand on aura un enfant avec alex et qu'on sera tous ensemble avec les siens..." (semaine suivante, lors d'une discussion: "mais c'était pour rire"...).
Elle continue ses annonces avec sa famille à noel, et mes amis lors du repas du jour de l'an : "avec alex on va s'installer, on va avoir des enfants".
Je me décompose car je sais qu'elle délire: 9 mois qu'on est ensemble, elle n'a mis qu'une brosse à dent chez moi, on fonctionne au planning, elle a toujours une bonne excuse quand je lui parle de vacances et surtout... elle me rejette. (on s'embrasse plus, on se prend plus dans les bras. Niveau sexe c'est une à deux fois pas semaine, après le brossage des dents comme un vieux couple...et surtout, on peut facilement passer 2 semaines sans rien c'est pas un pb...). Pas une photo de moi sur fb "ça va faire fuir mes prétendants" "c'est sensé être drôle?"
Le lendemain des annonces, c'est "ah mais non c'est un projet mais pas tout de suite"...
finalement en janvier je finis par péter à deux reprises:
- elle ne reste pas dormir chez moi alors qu'on ne s'est pas vus depuis 9 jours (et que 9 jours auparavant elle faisait des annonces d'installation). Je lui demande ce qu'elle me veut à la fin, que ça me gonfle toutes ces incohérences.
- un soir où elle me rejette une fois de plus (un samedi soir après une semaine d'abstinence et une semaine sans se voir en prévision), je lui fais une scène déshonorante pour moi (source de ma culpabilité aujourd'hui) "t'as pas envie de moi, je le vois bien, t'as besoin de boire à chaque fois, maintenant tu m'expliques, etc etc...). Je ne crie pas, mais je suis ferme et insistant, chiant et nul. Il ne se passe rien bien sûr ce soir là. Rien de tel pour bloquer la donzelle. Mais quand on est à bout on est à bout...
2 semaines plus tard, je la mets au pied du mur. Je dis que je marche plus. Elle me répond que ma scène de 30 min (10 min grand grand max en réalité) a cassé quelque chose, que le lendemain elle s'est forcée (c'est elle qui est venue vers moi et je l'ai même repoussée au départ), qu'elle a été trés choquée, etc... qu'elle veut faire une pause pour voir si "on se manque". Qu'effectivement elle traine des pieds pour partir en vacances avec moi ( deux semaines avant, elle parlait de bébé). Et qu'en plus elle a prévu un séjour aux seychelles dans deux mois avec tonton et tata...
Bref, Je refuse catégoriquement la pause et lui dis que nos chemins se séparent ici. (fin de 10 mois de relation)
Quand je reviens vers elle une semaine après je reçois un beau sms, le dernier : "on a essayé, ça n'a pas marché, c'est dommage. Je garde en mémoire les beaux moments"
Pour le tableau j'ai oublié: toutes les techniques à la con du fuis moi je te suis et inversement fonctionnaient à merveille. Et justement, de constater cela, me renforçait l'idée que je faisais fausse route. Et puis au bout de 6/8 mois de relation, j'avais envie d'une partenaire, pas d'un adversaire dans un "game". N'est-on pas systématiquement perdant lorsqu'on force sa nature? Et puis n'est ce pas s'adapter à SON mode de fonctionnement malsain?
Alors voilà ma question est simple. J'étais amoureux et j'arrive encore (après 3 mois) à culpabiliser de l'avoir perdue à cause de ma scène et de mes mises aux points (reproches). Pour autant ma lucidité me dit qu'elle m'aurait fait vivre l'enfer, que les choses auraient été de mal en pire, même si au "game" elle cédait assez vite. Donc:
Est-ce que certains ont vécues des histoires similaires? ça a donné quoi au long terme?
Mon psy me dit qu'une hystéro pareil, elle fuit dès qu'il y a un début d'engagement quelconque. Elle fait tout pour construire une vraie relation mais prend la fuite dès qu'il y a un début de concrétisation. Exemple typique: l'homme marié qui finit par quitter sa famille pour elle après plusieurs années de flirt et qui se fait planter (alors qu'elle a tout fait pour le convaincre de faire le pas) ... Et c'est vrai que toutes ses précédentes relations n'ont été que des pétards mouillés (fuite d'un cote ou de l'autre au bout de 2 / 3 ans) En gros, tot ou tard je me serai retrouvé chez mon psy. Et plus tard, lancé dans des projets, l'addition aurait été encore plus lourde...