Tête à tête prévu, panique en vue.
Posté : 25.05.20
Voilà dix ans que je n'étais pas passé par ici.
Il s'en est passé des choses en dix ans.
La principale étant que, deux longues relations et autant de douloureuses ruptures plus tard, ma confiance en moi, si durement acquise, se retrouve en miettes.
Le problème étant que j'en ai besoin, et, si ce n'est de cette confiance, au moins de conseils et sur un cas précis.
Dans un cadre professionnelle, j'ai rencontré cette fille.
Il se trouve que cette fille rassemble énormément de qualités que je recherche.
Et c'est déjà un premier problème : je ne peux m'empêcher de me projeter et c'est particulièrement pénible.
Cette fille fait partie d'un groupe d'amiEs, très proches, dans ce cadre professionnel.
J'insiste sur le cadre professionnel puisqu'il s'agit de personnes que je suis amené à côtoyer, cette fille et ces amiEs donc, pour un bon bout de temps.
C'est durant ce récent confinement que nous avons vraiment commencé à échanger, très régulièrement, et que j'ai constaté qu'on passait, virtuellement du moins jusqu'alors, de bons moments.
Habituellement, on se voyait surtout avec notre groupe d'amiEs.
Vous constaterez que j'insiste sur le "E" et ce n'est pas pour rien : je suis l'unique personne de ce groupe qui suffit à l'écrire sans ce "E".
J'ai longuement réfléchi, conscient que ça allait/pouvait jaser, et j'ai fini par lui proposer une soirée, chez moi, rien que tous les deux.
C'est la seule personne de ce groupe à qui j'ai proposé un tel moment.
Elle a accepté sans trop rechigner.
Et c'est là que ça se gâte.
Plus la soirée approchait, plus je la préparais, plus je prenais conscience que j'en faisais too much.
Tellement too much que ça m'a totalement bloqué et que j'ai été incapable de la moindre initiative.
Soirée ? Que dit-je, nuit.
Ce petit moment a duré de la fin de l'après-midi au petit matin. Un très bon moment, avec des échanges qui n'ont fait que confirmer mes impressions.
Le problème étant que c'est resté très amical, que j'ai été incapable d'amorcer quoi que ce soit qui aurait pu laisser, ne serait-ce que sous-entendre, que je recherchais plus que son amitié.
Elle avait un langage corporel relativement fermé, qui ne m'a pas motivé à tenter quoi que ce soit.
De toute manière, je n'ai pas su amener les choses pour qu'il en soit autrement, ayant très rapidement calqué ce langage corporel.
Si normalement, avec des "inconnues", je n'ai pas trop de mal avec ce genre de situation, là c'est la panique.
Je ne peux m'empêcher de penser aux conséquences, que j'imagine négatives, d'une tentative déplacée.
Mais je sais surtout que je m'en voudrais énormément de ne rien tenter.
Que faire ?
Ah oui, j'oubliais : si je viens demander des conseils, c'est qu'on a prévu de se refaire une soirée/nuit similaire dans la semaine.
Merci d'avance pour vos précieux conseils.
Il s'en est passé des choses en dix ans.
La principale étant que, deux longues relations et autant de douloureuses ruptures plus tard, ma confiance en moi, si durement acquise, se retrouve en miettes.
Le problème étant que j'en ai besoin, et, si ce n'est de cette confiance, au moins de conseils et sur un cas précis.
Dans un cadre professionnelle, j'ai rencontré cette fille.
Il se trouve que cette fille rassemble énormément de qualités que je recherche.
Et c'est déjà un premier problème : je ne peux m'empêcher de me projeter et c'est particulièrement pénible.
Cette fille fait partie d'un groupe d'amiEs, très proches, dans ce cadre professionnel.
J'insiste sur le cadre professionnel puisqu'il s'agit de personnes que je suis amené à côtoyer, cette fille et ces amiEs donc, pour un bon bout de temps.
C'est durant ce récent confinement que nous avons vraiment commencé à échanger, très régulièrement, et que j'ai constaté qu'on passait, virtuellement du moins jusqu'alors, de bons moments.
Habituellement, on se voyait surtout avec notre groupe d'amiEs.
Vous constaterez que j'insiste sur le "E" et ce n'est pas pour rien : je suis l'unique personne de ce groupe qui suffit à l'écrire sans ce "E".
J'ai longuement réfléchi, conscient que ça allait/pouvait jaser, et j'ai fini par lui proposer une soirée, chez moi, rien que tous les deux.
C'est la seule personne de ce groupe à qui j'ai proposé un tel moment.
Elle a accepté sans trop rechigner.
Et c'est là que ça se gâte.
Plus la soirée approchait, plus je la préparais, plus je prenais conscience que j'en faisais too much.
Tellement too much que ça m'a totalement bloqué et que j'ai été incapable de la moindre initiative.
Soirée ? Que dit-je, nuit.
Ce petit moment a duré de la fin de l'après-midi au petit matin. Un très bon moment, avec des échanges qui n'ont fait que confirmer mes impressions.
Le problème étant que c'est resté très amical, que j'ai été incapable d'amorcer quoi que ce soit qui aurait pu laisser, ne serait-ce que sous-entendre, que je recherchais plus que son amitié.
Elle avait un langage corporel relativement fermé, qui ne m'a pas motivé à tenter quoi que ce soit.
De toute manière, je n'ai pas su amener les choses pour qu'il en soit autrement, ayant très rapidement calqué ce langage corporel.
Si normalement, avec des "inconnues", je n'ai pas trop de mal avec ce genre de situation, là c'est la panique.
Je ne peux m'empêcher de penser aux conséquences, que j'imagine négatives, d'une tentative déplacée.
Mais je sais surtout que je m'en voudrais énormément de ne rien tenter.
Que faire ?
Ah oui, j'oubliais : si je viens demander des conseils, c'est qu'on a prévu de se refaire une soirée/nuit similaire dans la semaine.
Merci d'avance pour vos précieux conseils.