Meilleure compréhension de soi-même et bien-être
Posté : 03.01.22
Hey tout le monde !
Voilà, je voulais faire un post comme ça - qui relate mon évolution mentale - pour la nouvelle année, et si ça peut aider quelqu'un, c'est pas mal (c'est même le but).
J'ai souvent eu des problèmes relationnels dans ma vie, et j'étais souvent en conflit avec les autres. On m'a souvent dit que j'étais froide, arrogante, insensible ou juste manipulatrice. Ou atypique/bizarre (celui-là revenait beaucoup).
Les relations sociales m'ont souvent fait souffrir (qu'elles soient avec mes parents, ou que ça soit en amitié ou en amour). J'avais jamais vraiment lâché les relations sociales (je ne me suis pas renfermée, au contraire, j'essayais encore plus en corrigeant mon comportement à chaque fois et en m'adaptant aux autres et à la société).
Je me suis souvent sentie nulle, j'imaginais toujours un avenir avec moi qui réussit rien alors que je le méritais sûrement (en quoi je le mérite, en fait ? Bref).
J'ai vécu pas mal de relations toxiques (encore une actuellement, une relation non-identifiée, mais ça devrait aller) avec beaucoup de reproches de la part des autres. Avec un environnement familial tout de même très correct, mais je me suis parfois pas sentie soutenue par eux. Bref.
Depuis 2 ans, j'essaie de me "soigner" mentalement et de me déconditionner de pas mal de comportements que j'ai eu par le passé, et de sérieusement m'améliorer sur tout plein de choses. Et de retrouver certains traits que j'avais (pas forcément bien considérés par la société, mais c'est des traits que j'apprécie - ouais, c'est bizarre, je sais -). Je me suis donc tournée vers la psychologie sociale, vers l'évopsy et tout ce qui a trait aux tests de personnalité. Et c'est justement de ça dont je voulais vous parler.
J'ai appris pas mal de choses (pas forcément en détail) sur les techniques d'influence (merci Quora), sur la preuve sociale (et son utilité en séduction et dans le comportement féminin), sur la théorie de la Red pill. Aussi sur les blessures émotionnelles et l'attachement (attachement sécure, insécure évitant/anxieux et désorganisé).
Je me suis beaucoup intéressée au test MBTI (qui se base d'abord sur les fonctions cognitives, et pas sur les lettres), que j'ai refait plusieurs fois. J'ai eu pas mal de résultats différents : ISTJ, INTJ, INTP, ISTP, INFP. C'est les types qui revenaient à chaque fois.
J'ai étudié les fonctions cognitives et pourquoi tel ou tel type fait ça, les différences, comment pensent certains types, etc. Je suis donc INTJ (j'ai analysé les comportements que j'avais avant mes 18 ans pour dire ça). Bon, après, il se peut que je me trompe, je suis pas forcément la plus objective.
Mais ça explique pourquoi j'avais toujours dans la tête l'idée de l'amélioration personnelle (toujours un peu aujourd'hui - fonction Te -), pourquoi je savais qui était la personne au fond d'elle avant qu'on parle vraiment (Ni-dom), pourquoi je savais ce qui allait se passer dans le futur (et c'est chiant quand vous savez et que personne ne vous croit), pourquoi j'avais aucune conscience de moi-même avant au moins mes 22-23-24 ans et pourquoi je faisais pas gaffe à mon environnement ni à mon apparence (Se en fonction inférieure).
Ca explique mes difficultés à avoir des amis en général ou au moins des relations qui me conviennent vraiment (normal, j'ai pas conscience de l'harmonie sociale, c'est ma 7è fonction... autant vous dire que je la maîtrise pas), pourquoi j'ai toujours été vue comme froide et que quand j'ouvre mon coeur, les autres sont surpris... (axe Te-Fi).
Pour le type d'attachement, j'avais découvert les types d'attachement et lequel j'avais. Pour les blessures émotionnelles, j'ai découvert les miennes, mais aussi celles des autres qui me côtoyent.
Ah oui, et j'oubliais : j'ai aussi lu sur le test de l'énéagramme. Je suis de type 5w6 (ça correspond avec le type INTJ) et j'avais fait le Big Five.
Voilà. Tout ça pour dire quoi ?
Que vous pouvez sérieusement vous améliorer et vous comprendre profondément avec les tests de personnalité et en étudiant la psychologie et mieux vous accepter, vous et vos défauts. Mieux reconnaître vos qualités. Comprendre que les autres n'agissent pas comme vous. Que ça apporte un grand soulagement. Que le jour où vous comprendrez qui vous êtes (si c'est pas déjà fait), il y a une grande partie de la souffrance qui va partir.
Qu'on nous impose d'être sociable, d'être bienveillant, empathique (mais pas trop, faudrait pas exagérer, sinon on est manipulateurs/trices), de ne pas exprimer d'émotions mais à la fois de pas être froid(e) (sinon on est pas normal, tu comprends - puis bon, j'ai jamais compris s'il fallait exprimer les émotions ou pas, et surtout, comment (pour certaines émotions) -), on nous impose d'avoir une apparence physique quasi-parfaite, d'avoir plein d'ami(e)s, de sortir souvent et tout le bordel. Et vu qu'on nous dit que "pour avoir des amis, il faut être gentil" et que quand on est gentil et que ça marche pas avec les femmes (pour les hommes hétéros et femmes homosexuelles, soyons inclusifs) ou pour se faire des ami(e)s, c'est douloureux parce qu'on ressent un sentiment d'injustice. Et c'est ce que je ressentais.
Mais en fait, il faut juste être soi. Avec sa froideur, son introversion, son arrogance, sa sensibilité, son empathie et tout le bordel. Et tant pis si ça plaît pas. Tant pis si vous vous retrouvez seul(e). Faites-en un point fort, pas une source de souffrance. Et c'est vous qui contrôlez votre humeur.
La solitude, ça veut dire que vous êtes libre et que vous pouvez construire les choses qui vous tiennent à coeur. Ca veut aussi dire que vous pouvez apprendre sur ce qu'il vous manque (étudiez la psychologie, bordel, surtout la psychologie sociale) et travailler sur vous. C'est en étant bien avec soi-même qu'on est bien avec les autres.
Pour les personnes qui ont des troubles physiques ou mentaux : bon, je ne suis pas médecin, mais ça s'applique aussi. Vous pouvez lire sur votre trouble, pour pouvoir un peu mieux le gérer (le but de cette phrase étant de vous aider, pas de vous juger) et trouver des solutions.
J'ai plus rien à dire pour l'instant, mais si je trouve d'autres choses sur ce sujet-là, j'éditerai le post. Et je vous souhaite une bonne année !
Avec toute ma bienveillance,
Shadow2
Voilà, je voulais faire un post comme ça - qui relate mon évolution mentale - pour la nouvelle année, et si ça peut aider quelqu'un, c'est pas mal (c'est même le but).
J'ai souvent eu des problèmes relationnels dans ma vie, et j'étais souvent en conflit avec les autres. On m'a souvent dit que j'étais froide, arrogante, insensible ou juste manipulatrice. Ou atypique/bizarre (celui-là revenait beaucoup).
Les relations sociales m'ont souvent fait souffrir (qu'elles soient avec mes parents, ou que ça soit en amitié ou en amour). J'avais jamais vraiment lâché les relations sociales (je ne me suis pas renfermée, au contraire, j'essayais encore plus en corrigeant mon comportement à chaque fois et en m'adaptant aux autres et à la société).
Je me suis souvent sentie nulle, j'imaginais toujours un avenir avec moi qui réussit rien alors que je le méritais sûrement (en quoi je le mérite, en fait ? Bref).
J'ai vécu pas mal de relations toxiques (encore une actuellement, une relation non-identifiée, mais ça devrait aller) avec beaucoup de reproches de la part des autres. Avec un environnement familial tout de même très correct, mais je me suis parfois pas sentie soutenue par eux. Bref.
Depuis 2 ans, j'essaie de me "soigner" mentalement et de me déconditionner de pas mal de comportements que j'ai eu par le passé, et de sérieusement m'améliorer sur tout plein de choses. Et de retrouver certains traits que j'avais (pas forcément bien considérés par la société, mais c'est des traits que j'apprécie - ouais, c'est bizarre, je sais -). Je me suis donc tournée vers la psychologie sociale, vers l'évopsy et tout ce qui a trait aux tests de personnalité. Et c'est justement de ça dont je voulais vous parler.
J'ai appris pas mal de choses (pas forcément en détail) sur les techniques d'influence (merci Quora), sur la preuve sociale (et son utilité en séduction et dans le comportement féminin), sur la théorie de la Red pill. Aussi sur les blessures émotionnelles et l'attachement (attachement sécure, insécure évitant/anxieux et désorganisé).
Je me suis beaucoup intéressée au test MBTI (qui se base d'abord sur les fonctions cognitives, et pas sur les lettres), que j'ai refait plusieurs fois. J'ai eu pas mal de résultats différents : ISTJ, INTJ, INTP, ISTP, INFP. C'est les types qui revenaient à chaque fois.
J'ai étudié les fonctions cognitives et pourquoi tel ou tel type fait ça, les différences, comment pensent certains types, etc. Je suis donc INTJ (j'ai analysé les comportements que j'avais avant mes 18 ans pour dire ça). Bon, après, il se peut que je me trompe, je suis pas forcément la plus objective.
Mais ça explique pourquoi j'avais toujours dans la tête l'idée de l'amélioration personnelle (toujours un peu aujourd'hui - fonction Te -), pourquoi je savais qui était la personne au fond d'elle avant qu'on parle vraiment (Ni-dom), pourquoi je savais ce qui allait se passer dans le futur (et c'est chiant quand vous savez et que personne ne vous croit), pourquoi j'avais aucune conscience de moi-même avant au moins mes 22-23-24 ans et pourquoi je faisais pas gaffe à mon environnement ni à mon apparence (Se en fonction inférieure).
Ca explique mes difficultés à avoir des amis en général ou au moins des relations qui me conviennent vraiment (normal, j'ai pas conscience de l'harmonie sociale, c'est ma 7è fonction... autant vous dire que je la maîtrise pas), pourquoi j'ai toujours été vue comme froide et que quand j'ouvre mon coeur, les autres sont surpris... (axe Te-Fi).
Pour le type d'attachement, j'avais découvert les types d'attachement et lequel j'avais. Pour les blessures émotionnelles, j'ai découvert les miennes, mais aussi celles des autres qui me côtoyent.
Ah oui, et j'oubliais : j'ai aussi lu sur le test de l'énéagramme. Je suis de type 5w6 (ça correspond avec le type INTJ) et j'avais fait le Big Five.
Voilà. Tout ça pour dire quoi ?
Que vous pouvez sérieusement vous améliorer et vous comprendre profondément avec les tests de personnalité et en étudiant la psychologie et mieux vous accepter, vous et vos défauts. Mieux reconnaître vos qualités. Comprendre que les autres n'agissent pas comme vous. Que ça apporte un grand soulagement. Que le jour où vous comprendrez qui vous êtes (si c'est pas déjà fait), il y a une grande partie de la souffrance qui va partir.
Qu'on nous impose d'être sociable, d'être bienveillant, empathique (mais pas trop, faudrait pas exagérer, sinon on est manipulateurs/trices), de ne pas exprimer d'émotions mais à la fois de pas être froid(e) (sinon on est pas normal, tu comprends - puis bon, j'ai jamais compris s'il fallait exprimer les émotions ou pas, et surtout, comment (pour certaines émotions) -), on nous impose d'avoir une apparence physique quasi-parfaite, d'avoir plein d'ami(e)s, de sortir souvent et tout le bordel. Et vu qu'on nous dit que "pour avoir des amis, il faut être gentil" et que quand on est gentil et que ça marche pas avec les femmes (pour les hommes hétéros et femmes homosexuelles, soyons inclusifs) ou pour se faire des ami(e)s, c'est douloureux parce qu'on ressent un sentiment d'injustice. Et c'est ce que je ressentais.
Mais en fait, il faut juste être soi. Avec sa froideur, son introversion, son arrogance, sa sensibilité, son empathie et tout le bordel. Et tant pis si ça plaît pas. Tant pis si vous vous retrouvez seul(e). Faites-en un point fort, pas une source de souffrance. Et c'est vous qui contrôlez votre humeur.
La solitude, ça veut dire que vous êtes libre et que vous pouvez construire les choses qui vous tiennent à coeur. Ca veut aussi dire que vous pouvez apprendre sur ce qu'il vous manque (étudiez la psychologie, bordel, surtout la psychologie sociale) et travailler sur vous. C'est en étant bien avec soi-même qu'on est bien avec les autres.
Pour les personnes qui ont des troubles physiques ou mentaux : bon, je ne suis pas médecin, mais ça s'applique aussi. Vous pouvez lire sur votre trouble, pour pouvoir un peu mieux le gérer (le but de cette phrase étant de vous aider, pas de vous juger) et trouver des solutions.
J'ai plus rien à dire pour l'instant, mais si je trouve d'autres choses sur ce sujet-là, j'éditerai le post. Et je vous souhaite une bonne année !

Avec toute ma bienveillance,
Shadow2