Laniakeo a écrit : ↑23.02.25
Merci @Onmyoji
Je vais essayer de compléter...
Gérer l'après, c'est pas forcément gérer l'après-relation avec ces femmes: il n'y en a plus...
L'après, c'est surtout l'impact sur moi, ma confiance en moi, ma valeur sociale... Car, faut pas se leurrer, ça sortira tôt ou tard, le "il a essayé de me draguer"...
Si tu pars de ce principe, dans ton milieu tout le monde est logé à la même enseigne, la seule différence c'est que tu en fais cas, ou que tu trouves ça normal alors tu laisses la place aux gens pour s'exprimer sur le sujet. Tu ne devrais pas. S'ils savaient que s'ils l'évoquent face à toi ils vont se faire envoyer chier, ça les calmerait. Aussi, tu pourrais effectivement faire les frais de rumeurs, si tu es dans un village de cons, mais il ne faut pas se leurrer, tu n'es certainement pas le seul à draguer. Si toi, tu subis ce genre d'attitude, c'est soit parce que tu fais ça d'une manière très bourrine et irrespectueuse mais je n'y crois pas, soit parce que tu laisses la place aux commentaires, car la nature a horreur du vide et par nature l'être humain (du moins, la majorité, quel que soit leur niveau intellectuel) vire vers le négatif quand il n'est pas encadré.
Si vraiment c'est insoluble, change de lieu de vie, parce que vivre au milieu de tels cons n'est pas sain pour toi, même sans rien faire on te pourrira la vie.
Et tu n'as sérieusement pas besoin de ça
Je constate que les rares petites tentatives au boulot, vis a vis de personnes extérieures, tout mon bureau le sait...
J'ai effectivement l'impression que pour mes collègues immédiats, soit ils s'en foutent, soit c'est de la compassion (donc pas grande conséquences).
Quand il s'agit de groupes plus intimes, c'est plus impactant... Avoir une réputation de looser qui te devance, c'est pas top...
S'il y a une règle à respecter, c'est "don't shit where you eat".
Le boulot, c'est le boulot, tu devrais éviter les tentatives. Après, je doute que ce soit tes clientes qui répandent la rumeur donc tu dois faire ça d'une manière non discrète. Tu devrais sans doute quand on t'intéresse avoir une attitude légèrement ambiguë qui permet de lancer le jeu. L'homme propose, la femme dispose: si elle rentre dans la danse, tu peux progresser d'un pas, tester un peu plus la température, puis si ça se confirme, proposer un truc moins ambigu. Comme cela, il n'y a pas moyen qu'elle soit surprise, cela suppose sa participation, et elle ne peut pas être mal à l'aise. Si c'est ambigu mais qu'elle ne joue pas le jeu, next. Si elle y rentre, tu agis toujours subtilement pour avoir confirmation, et comme ça tu ne crées pas de malaise.
Après, dans certains cas, avec des connes, on est d'accord que si tu ne leur plais finalement pas, il va y avoir une réécriture ("il m'a draguée"...). Mais on y peut rien. Tu ne peux pas agir uniquement en fonction des cons.
Je crois que je n'arrive pas à comprendre quel est mon "public cible", parmi les rares personnes qui s'offrent à moi. [...]
Ça peut effectivement jouer.
Où crois tu qu'est le problème?
En dehors de la lecture des signes, il faut aussi avoir assez d'assurance pour se dire qu'elles peuvent être intéressées. Si tu es vacillant, tes tentatives ne doivent pas être pertinentes. En plus tu te mets la pression de préserver ton image au boulot et de "la rumeur". Tu traînes 3 tonnes de bagages réels ou virtuels.
Je pense que tu devrais essayer de te tracer une image de la femme à laquelle tu vas pouvoir te permettre de réagir, celle qui aura une attitude suffisamment claire ou sans être proactive, du moins intéressée, pour te tracer une ligne. Parce que même si elle est jolie, si elle est mariée par exemple et pas du tout ouverte, même si elle te plaît beaucoup, c'est effectivement demander les emmerdes. Après oui, parfois l'offre crée la demande, mais dans ton contexte il vaut mieux éviter de jouer avec le feu.
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Les femmes que je vois au boulot, elles ont souvent beaucoup d'assurance. Elles ne sont pas forcément masculines ou self-made women.[/quote]
Ou alors, relativement à toi, elles ont beaucoup d'assurance?
Sinon oui, on peut être un été humain décidé, avec une colonne vertébrale, sans rentrer dans des clichés. Mais tu confonds peut- être leur attitude liée à leur nécessité ("j'ai un besoin, je l'exprime clairement, pour obtenir ce que je veux") et leur confiance en soi en général, et le fait que fasse à toi cette confiance pourrait casser tes avancées.
Si elles ont confiance en elles-mêmes, c'est bien, c'est un signe de stabilité, ça ne veut pas dire que ça en fait des murs.
Ce n'est pas un bouclier et seules celles qui auraient peu confiance seraient ouvertes.
Mais je les vois souvent dans une optique où quand leur check-list de questions-réponses est complétée: bye.
Mais c'est comme un rendez-vous : tu n'attends pas la dernière minute pour tenter de rentrer un baiser sorti de nulle part après avoir parlé de ton goût pour la pêche et de ses cours de yoga. Il faut élaborer un peu plus que ça. Donner une tonalité.
Ça fait partie de la relation clientèle d'en savoir un peu plus sur elles, et les clients attendent aussi que tu personnalises souvent. Même si c'est illusoire, ça permet de croire que nos spécificités sont prises en compte. Même si tu vends qu'un seul produit, toujours le même, à 99.99 euros, qu'il pleuve, neige ou vente.
Tu peux donc lâcher des questions en contexte qui te permettent de sonder. Tu peux faire un compliment ambigu. Tu peux lâcher des questions sans réponses, ou les teaser un peu. Je ne sais pas exactement comment ça se passe et combien dure tes interactions, après tu peux avoir besoin d'être aussi efficace toi-même, mais ça ne me semble pas impossible, hormis la barrière psychologique.
Il y a 50% d'alliances mais pas 50% de célibataires. Elles ont cette assurance de femmes comblées, donc j'ai du mal à me dire "attaque, on ne sait jamais qu'elle soit célibataire". En tous cas, je ne perçois pas de signe d'ouverture de leur part. (Si, d'une Allemande et d'une Lituanienne. La 2e est mariée et s'affiche heureuse comme ça sur Facebook). En pratique, ça resterait compliqué.
Dans les "en couple" mariées ou non, il y en a certainement beaucoup qui sont loin d'être comblées si j'en crois mon expérience (où certes c'était dans des cercles plus concentriques, mais beaucoup venaient "me chercher" - alors que j'ai rien de particulièrement attirant qui le justifie, à part mon attitude et l'assurance pour elles de ne pas être jugées).
Dans celles qui sont seules, elles pourraient l'être de manière heureuse. Je pense surtout que tu confonds leur attitude liée à leur check-list et le fait qu'elles puissent être intéressées si tu peux offrir quelque chose d'intéressant.
Tu sais, j'ai une voiture, j'ai une relation heureuse avec, elle est bien entretenue, je suis satisfait de son agrément de conduite, mais quand je vois une belle voiture, ça ne m'empêche pas de jeter un oeil, d'être curieux. Ça serait pareil si ma voiture était totalement décevante mais que j'allais à la banque pour un conseil. Je serais certainement concerné et concentré par ma situation financière. Mais si je croise une Ferrari ça ne va pas m'empêcher de regarder.
Et je dis Ferrari parce que c'est le cliché, mais même si c'est une voiture qui n'a rien d'exceptionnel dans l'imaginaire collectif, si à moi elle me parle, on verra.
Après elles sont dans un contexte où ce n'est pas à elles de donner des signes d'ouverture. C'est à toi de créer la réponse. Donc subtilement de tater le terrain. Elles ne vont pas te balancer des signaux d'emblée sauf à avoir effectivement très envie de toi et une vraie assurance.
Les femmes que j'ai draguées (hors milieu pro pour l'immense majorité) me plaisaient, j'avais l'impression qu'elles me correspondaient. Avec le recul je me dis que j'ai mis la barre un peu haut, mais c'est quoi ce genre de reflexion? Elles avaient toutes *un* truc en plus (différent chez chacune), oui, mais pourquoi devrais-je m'inférioriser?
Je n'ai pas compris le moment où leur intérêt s'est évaporé.
Sur quoi tu bases cette impression de correspondance, ou d'intérêt réciproque?
C'est la première fois que je te lis avoir une réflexion correcte sur toi-même, tu ne dois en effet pas t'inférioriser pour les approcher.
Penses-tu que l'intérêt s'est évanoui réellement en un instant? Ce n'est pas une question piège, ça peut arriver. Mais souvent c'est que l'intérêt n'est en fait pas là, ou qu'il s'évanouit graduellement.
L'une d'elle m'a accusé d'avoir été collant. Je ne sais pas si je l'ai effectivement été. C'est vrai que je n'ai pas -avec elle- joué de carte style silence radio. Par contre, par déduction, je l'ai été quand elle a eu quelqu'un d'autre en vue (mais ça, je ne le savais pas). Elle est assez jolie, je suppose que des sollicitations ne manquaient pas. J'ai beaucoup mordu sur ma chique en me disant: "pourquoi n'aurais-je pas ma chance autant qu'un autre?"
En effet, pourquoi? Déjà, il faut savoir que personne n'a autant de chances que les autres avec tout le monde. Et que ça dépend beaucoup d'être rangé dans la bonne case dès le départ. Pas "ami qui progresse vers mieux" (même si ça existe, c'est que le gars n'était pas éliminé d'emblée), et j'ai l'impression que c'est une grande part de ta stratégie.
D'où le collant quand elle s'aperçoit que ce n'est pas ce qu'elle veut? Après c'est bien d'avoir de l'enthousiasme, mais il faut créer le manque un peu, et puis aussi d'avoir laisser à l'autre la place de répondre. Sans jouer des sketchs genre "je réponds dans 1h30" tu peux largement vivre ta vie et laisser passer parfois du temps. Revenir après un "j'étais en train de [faire ma vie]". C'est plus séduisant que "je réponds à la seconde même quand ton message ne le demande pas, j'interromps tout pour être suspendu à tes lèvres quand toi, tu fais ta vie et tu me balances un message en parallèle".
Ça peut aussi n'être qu'une excuse comme une autre hein. Mais vérifie ton attitude. Prends du recul sur ta manière de faire.
Mon ex a dit de moi qu'on a été 2 dépendants affectifs et c'est ce qui a fait qu'on s'est rencontrés (Il vaut mieux pour elle qu'elle se persuade de ça). C'est son cas (monkey branching), mais j'aurais plutôt décrit de moi que j'étais un carencé affectif. Ce qui est encore plus le cas actuellement.
Hormis le fait que tu ne devrais pas baser ta vie sur de la psychologie de comptoir d'une ex revancharde et prête par ailleurs à te nuire, ce constat ne fait que te tirer vers le bas. Et te montrer aussi une chose: tu dépens des autres. Tu parles de l'assurance de la femme comblée. Les gens qui sont bien avec eux-mêmes, en couple ou pas, peuvent choisir. Les autres sont en demande. Ça te montre encore une fois que la priorité serait de s'occuper de soi. Là au contraire, tu constates que ce que tu as à offrir, ton image et ton être, se dégrade parce que tu laisses trop de priorité au reste. Je te blame pas, tu as la tête dans le guidon et des problèmes bien réels. Mais il y en a une dose de supposés sur tu dois simplement négliger ou avec lesquels tu dois composer plus simplement. Ce qui serait possible en changeant de perspective. Tu ne serais plus face à une montée galère, mais en pente douce?
Je n'ai plus la moindre idée de ce que serait un profil de femme qui m'attire, quoi mettre en avant pour être séduisant. Je n'affiche pas ce côté "gars en manque" car non, c'est pas le cas. Si on me demande si je veux accueillir une femme chez moi, maintenant, c'est NON. Je sais que j'ai écrit une contradiction, mais au fond de moi, je pense que c'est un mécanisme d'auto-protection, par manque de confiance en elle... Et en moi...
Retour à un point précédent:
Tu as suffisamment d'expérience pour savoir ce que tu veux et ne veux pas. Ce que tu attends d'une relation, ce que tu aimes faire.
Ensuite se protéger et ne pas être en manque c'est différent. Peut-être que tu l'es mais que si elles venaient sonner à ta porte tu la leur claquerait au visage par pure fuite. Tu dis être en carence affective, ce n'est pas une bonne situation pour ne pas être en manque, au moins inconsciemment, et peut-être surréagir ou avoir trop de temps à consacrer à quelqu'un qui ne s'investit pas autant.
J'ai mal vécu cette semaine, me sentant vraiment très seul et sans valeur.
Je suis comme bloqué sur la pensée "je suis seul", je j'entreprends rien. Par peur, dégoût, défaitisme? Je n'en sais rien.
Même des choses ultra basiques comme vider le lave-vaisselle, ça me semble vain, difficile... (Oui, ça prend 2 minutes).
Et là j'ai une maison entière à ranger, organiser, retaper...
On en revient toujours à "qu'est-ce que tu fais pour ta dépression?" Parce que les signes sont clairs. Quand on en vient à perdre l'énergie pour des choses de base, ça craint. Et c'est plus ta priorité que de décortiquer les envies de certaines indécises si tu veux mon avis.
Quand je dis que c'est difficile avec les gens de 50 ans, c'est pas un jugement, c'est un fait.
Non mais on est d'accord, c'est la même à la quarantaine.
Je pensais à une chose que tu disais par rapport aux gens plus jeunes avec qui tu avais du mal
On m'invite d'ailleurs assez peu, je pense aussi à cause de cette "valeur sociale" en chute libre... (Sans référence à ce film qui m'a été conseillé ici...)
Cf. Dépression, mauvaise image de soi aggravée par le fait que ça se dégrade physiquement, cercle vicieux, le fait que tu subis de manière plus ou moins avérée des rumeurs parce que tu n'as pas assez d'assurance pour ne pas laisser faire ou créer le vide qui les génère...
Si tu penses aussi qu'on t'invite pour te faire la charité, ou que ça va être une occasion manquée parce que pas l'occasion de faire des rencontres, que tu n'es pas là pour l'occasion mais comme un vecteur pour autre chose, et que tu emmènes tes bagages, tu dois certainement détruire ta valeur bien plus qu'une prise de poids ou le fait de ne pas être un dragueur à succès hein. Le noeud du problème me semble toujours être que depuis le début, tu cherches ton salut à l'extérieur pour te sentir bien.
Tu te dis que quand tu auras le permis de construire pour refaire la façade, ça ira mieux, alors que la baraque est juste en train de brûler.
Les seuls qui ne sont pas dans le cas, c'est un célibataire dans ma situation (sans enfants, toutefois, ce qui change beaucoup de choses) et un autre dont la vie de couple bat de l'aile... Mais physiquement, on se voit au mieux 3x/an.
Est-il possible de créer plus d'occasions? Après ce n'est pas forcément le meilleur groupe que tu puisses créer...
Pour les activités, oui, une semaine sur 2, je le fais sans problème. Mais je n'ai pas trouvé qqch qui me corresponde (pratiquement parlant, ou simplement au niveau de mes envies). J'ai pris du poids, ce devrait naturellement être du sport... Je n'ai rien vu de mixte jusqu'à présent, et j'avoue avoir du mal avec mon image désormais...
ce doit être prioritaire alors. Le sport te ferait du bien au mental. Si ce n'est pas pour ton envie, fais le par besoin, tu te donneras le temps de trouver un truc qui te correspond plus plus tard. Mais là tu dois agir. Prends quelque chose qui s'adapte à tes contraintes pour qu'il n'y ait pas de friction et pas d'excuse, et tu fais avec. L'appétit vient en mangeant. Et puis ça te fera du bien de voir que ton corps redevient en forme.
J'ai une amie de longue date, qui a mon âge. Je ne sais pas si c'est Friend zone. J'ai déjà été très très explicite, elle a compris le message, et elle se contente d'esquiver. Je précise que nous avons sinon de longues conversations amicales sur tous sujets. Une fois (parmi d'autres) j'ai fait une autre allusion, elle m'a répondu "ne rêve pas". J'y ai refait allusion par la suite, elle s'en souvenait. Je sais qu'elle est très très prudente, je sais qu'elle a vécu un mariage horrible, des violences, ... Je ne sais pas si ce "ne rêve pas" est un non définitif ou une mise au défi. Elle est aussi comme ça, et attend beaucoup qu'un homme lui fasse la cour (old school?). Elle me considère toutefois comme un égal, psychologiquement et intellectuellement parlant.
Une femme intéressée ne casse pas tes élans et t'ouvre des portes. Elle peut jouer la résistance mais tu auras quand même quelques signes, ne serait-ce que dans l'absence de rejet clair.
Là elle t'a rejeté. En tous cas si "ne rêve pas" n'est pas sur un ton taquin. Ça plus les esquives, le fait qu'il n'y ait rien eu avant ce qui te range dans son paysage d'où elle n'aura pas forcément envie que tu sortes, ça me paraît mal engagé.
Tu lui cherches beaucoup d'excuses pour ne pas te vouloir ou progresser de manière très louvoyante.
Avant d'avoir été clair, as-tu créé de l'attraction? Ou es-tu tombé du ciel en disant "tu es là et tu me plais"? Parce que si elle se sent ta seule option et que tu jettes ton dévolu sur elle sans qu'elle ait une attirance minimale et un peu à constater que c'est elle et pas une autre juste parce qu'elle est ouverte, mais parce qu'elle te plaît vraiment ça change des choses. Je pense que ton "je pense qu'elles me correspondent" se base surtout sur le fait que tu cherches les concordances, les goûts, les attentes. Mais tu ne sais pas si c'est drôle d'être avec elle. Si elle te donne envie de rire. Si vos points communs sont parce que vous pensez réellement pareil et non par un arrangement hasardeux d'expériences. Est-ce que sa valeur pour toi dépasse son intérêt réciproque supposé? Qu'est-ce tu peux me citer qui fait sa valeur pour toi, à part le fait d'être potentiellement disponible et belle pour son âge?
Du point de vue social c'est plus compliqué, elle est d'un milieu largement plus aisé. Je ne sais pas si cette barrière vient de ce milieu social, mais si c'est le cas, je présuppose que je ne serai jamais à ma place... Dans tous les cas, elle est parfaitement satisfaite d'une relation platonique par WhatsApp, et moi ça ne me suffit pas...
Et tu te demandes si c'est de la friendzone? Ce n'est pas un signe?
Tout ça pour dire que la séduction, c'est une étape, que manifestement j'ai déjà du mal à accomplir... Mais la vraie vie, autour, celle de la valeur sociale, des relations affectives (et non superficielles), du quotidien à partager, ... C'est le néant côté littérature en tous cas (ou partage d'expérience en général).
Je pense que tu prends une base pour un "à côté". Encore une fois tu n'as pas fait le travail fondamental de t'occuper de toi. Avec ce que tu traînes comme dépression, et blessures, tu ne peux pas engager une relation saine où tu vas attendre désespérément après l'autre. Tu vas toujours être en situation de "moi ça ne me suffit pas". Ne sois pas dans la situation où tu continues à forcer par manque d'options jusqu'à ce que ça la saoule. Si ça ne te convient pas, barre toi, simplement en étant correct mais clair. Ou simplement n'accorde pas plus d'énergie aux femmes de ce genre qu'elles ne t'en accordent. Une "relation platonique sur whatsapp", ça veut dire qu'elle meuble son temps quand elle va aux toilettes hein. Je grossis le trait mais c'est pas loin. Tu devrais avoir autant de distance. Si elle est aussi disponible que ça pour toi, c'est comme si elle n'était pas célibataire hein. Tu aurais plus de place avec tes femmes mariées qui cherchent l'aventure.
Avant de t'interroger sur ce que tu merdes, il faudrait déjà corriger le tir pour éliminer tous les paramètres parasites. Et puis aussi, parce que la séduction ce doit pas être ton but ultime mais un outil pour agrémenter une vie que tu trouves déjà cool. Pas un truc que tu utilises pour combler un vide.