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honte quant à la sexualisation

Posté : 20.10.25
par Cyrano
Bonjour bonjour,

Voilà j'ai besoin de sortir ce qui va suivre. Je crois que je suis une personne assez intéressante et charismatique. Le problème, c'est dans la sexualisation de la relations.

En effet : j'ai une honte TOTALE de ma sexualité : j'ai peur que ça soit un outrage envers la fille. Le fait de la convoiter sexuellement m'apparaît être comme une insulte faite à elle. Dès qu'on s'en approche j'ai des nausées et des montées d'angoisse et je ne fais rien pendant le rdv.

ça m'attriste énormément, comme l'a dit la dernière fille avec qui j'ai été en date "j'ai pas eu les papillons dans le ventre" : je casse TOUT avec mes appréhensions et ce qui devrait être une joie et un plaisir et un moment gênant et froid.

Pourtant j'ai eu des copines et je sais que je fais bien l'amour et que PENDANT la relations c'est vraiment satisfaisant pour tout le monde : j'arrive à envisager la fille comme un être sexuel.


Mais c'est quand on est à l'orée de ça : typiquement au café et je m'effondre totalement et je fais passer un mauvais moment. Là où il devrait y avoir des rires et de la joie et du plaisir il n'y a que gêne.

En plus, la première fois, je n'ai jamais d'érection. Je crois que j'ai la trouille. Pourtant je voudrais tellement faire vivre un bon moment aux filles !!!


Est-ce que ça arrive à d'autres ?

Re: honte quant à la sexualisation

Posté : 21.10.25
par FK
Salut,
honnêtement, au-delà des réponses que tu pourras obtenir ici ou autres forums, c'est typiquement le genre de choses à discuter avec un(e) bon(ne) psy. C'est fait pour ça.

En attendant : je pense que tu as besoin d'internaliser que 1. c'est pas "mal" ou dégradant que toi tu aies envie de leur faire des trucs et que 2. elles aiment ça tout autant voire plus que toi.

La solution est simple. Son internalisation demande du travail. D'où le/la psy.

Re: honte quant à la sexualisation

Posté : 25.10.25
par The_PoP
Pas mieux.

Je rajouterais que ça arrive à pas mal d’autres.
Et que ça se résous. Souvent avec l’aide d’un psy.

Et que les changements sont souvent spectaculaires après. Pour le mieux.