[FR] Numclose à La Suite
Posté : 13.03.06
Friday’s night fever. Voilà une phrase culte légèrement modifiée qui ne s’est pas appliquée à ma soirée de vendredi soir. Si vous haïssez les soirées friquées, le monde de l’apparence, et les putes de luxe, passez votre chemin.
Préparatif de la soirée :
Vendredi soir, je ne sais pas quoi faire. Un ami m’appelle, ce soir nous sommes invités par un riche Anglo-Franco-Marocco-Yéménite à sortir en boîte. Le ton est donné, « habillez-vous bien ».
Ni une, ni deux, j’ouvre le petit placard dans mon pauvre studio étudiant de 16m2.
Tenue :
T-shirt noir avec brodure dans les marrons d’une Fender Stratocaster by Calvin Klein. « We will astonish you ».
Jeans Diesel taille très basse.
Ceinture D&G.
Veste D&G bleue nuit.
Lunettes old school ainsi qu’un bracelet noir H&M.
Prix de l’ensemble : 890€
Fin prêt, nous arrivons à Montparnasse vers 11h30. Notre ami nous rejoint avec des connaissances. Que des garçons, ça commence mal. Nous décidons d’aller faire un before au Rival sur Georges V. Des gens nous rejoignent, dont deux filles. Six garçons pour deux filles, ça va faire juste pour rentrer au Man Ray.
Comme une personne du groupe connaissait les videurs de La Suite et que la boîte est juste à côté, le choix fut vite prit.
Dans mon groupe, il n’y a pas d’AFCs. Que des alpha ou des jerk habitués au Fuckclose. L’argent facilite parfois les choses. J’ai souvent parlé et rigolé avec eux, ça m’a permis d’augmenter mon mojo et mon social proof.
La soirée :
L’astuce à connaître : collée à La Suite se trouve la deuxième boîte du club, le Mini Club. La bouteille y est à 100€, soit deux fois moins qu’à La Suite. Nous entrons par la petite porte, on commande deux bouteilles pour avoir une entrée VIP.
Premier aperçu : le mini-club est vraiment mini. 70% de garçons pour 30% de filles moches. Désespérant. Mais mon mojo est plutôt élevé, je me sens bien, donc je décide de m’entraîner sur un set de 2 filles, dont une B+ et une B.
Un stripteaseuse monte sur le canapé central et commence à danser. Un troupeau de garçons afflue en sifflant. Pour DHV, je m’écarte d’eux, je ne regarde que d’un œil la bimbo agiter ses fesses et open un set de 4 HB orientales.
Une heure après je reçois un sms de sa part :
J’ai bien aimé cet échange. Se prendre des shit-tests, ça forge la jeunesse. Cela fera la troisième fois qu’une fille plus âgée que moi me dit que je sais y faire avec les femmes.
Tout commentaire est le bienvenu. N’hésitez pas à me tailler.
Préparatif de la soirée :
Vendredi soir, je ne sais pas quoi faire. Un ami m’appelle, ce soir nous sommes invités par un riche Anglo-Franco-Marocco-Yéménite à sortir en boîte. Le ton est donné, « habillez-vous bien ».
Ni une, ni deux, j’ouvre le petit placard dans mon pauvre studio étudiant de 16m2.
Tenue :
T-shirt noir avec brodure dans les marrons d’une Fender Stratocaster by Calvin Klein. « We will astonish you ».
Jeans Diesel taille très basse.
Ceinture D&G.
Veste D&G bleue nuit.
Lunettes old school ainsi qu’un bracelet noir H&M.
Prix de l’ensemble : 890€
Fin prêt, nous arrivons à Montparnasse vers 11h30. Notre ami nous rejoint avec des connaissances. Que des garçons, ça commence mal. Nous décidons d’aller faire un before au Rival sur Georges V. Des gens nous rejoignent, dont deux filles. Six garçons pour deux filles, ça va faire juste pour rentrer au Man Ray.
Comme une personne du groupe connaissait les videurs de La Suite et que la boîte est juste à côté, le choix fut vite prit.
Dans mon groupe, il n’y a pas d’AFCs. Que des alpha ou des jerk habitués au Fuckclose. L’argent facilite parfois les choses. J’ai souvent parlé et rigolé avec eux, ça m’a permis d’augmenter mon mojo et mon social proof.
La soirée :
L’astuce à connaître : collée à La Suite se trouve la deuxième boîte du club, le Mini Club. La bouteille y est à 100€, soit deux fois moins qu’à La Suite. Nous entrons par la petite porte, on commande deux bouteilles pour avoir une entrée VIP.
Premier aperçu : le mini-club est vraiment mini. 70% de garçons pour 30% de filles moches. Désespérant. Mais mon mojo est plutôt élevé, je me sens bien, donc je décide de m’entraîner sur un set de 2 filles, dont une B+ et une B.
Une fois les bouteilles consommées, nous passons, accompagnés des deux filles, du côté friqué de la force. La Suite est une boîte plutôt bizarre. Pas de dancefloor à proprement dit. Juste une salle circulaire avec des tables et un canapé géant au milieu. Il n’y a pas beaucoup de place pour danser. Le ton est donné, ce soir c’est pour du close.M, à la B : Dis-moi, qu’est-ce que deux jeunes filles font au mini-club à danser seules ?
B, avec un petit air crétin du style on ne m’a jamais abordé avant : Ben je ne sais pas.
M, qui commence à avoir l’habitude des filles idiotes : C’est bizarre. Les filles sont, de nature, curieuses. Pourquoi ne pas avoir voulu voir ce qu’il y avait derrière ces portes ?
B : On a pas le droit.
M : C’est que tu ne me connais pas. Ta copine et toi, on vous fait passer quand on veut. Venez, je vais vous montrer.
Un stripteaseuse monte sur le canapé central et commence à danser. Un troupeau de garçons afflue en sifflant. Pour DHV, je m’écarte d’eux, je ne regarde que d’un œil la bimbo agiter ses fesses et open un set de 4 HB orientales.
Recyclage opener sur un autre set de 2 filles :M : C’est toujours pareil.
HB1 : De quoi ?
M : Lorsqu’une stripteaseuse danse, toutes les filles sont jalouses. Lorsqu’un gogo danseur arrive, tous les garçons sont jaloux.
HB1, rire : Et oui c’est la sélection naturelle. (je n’ai pas très bien saisi le rapport)
Le groupe de HB se regroupe, discute discrètement en me regardant et se met à sourire. Je ne vous ai pas vu venir les filles.
Fluff talkM : Tu sais, il y a plein de garçons ce soir, tu n’es pas obligée de danser toute seule dans ton coin avec ta copine.
Fille1 : (sourire niais couplet à un air surpris)
M, à sa copine : Est-ce que ta copine est muette ?
Fille2 : Non pourquoi ?
M : Non parce que je lui ai posé une question et elle n’y a pas répondu.
Fille2 : Ah ouais mais c’est normal. On en a marre des garçons ce soir. On se fait aborder tout le temps.
M : Ah bon tant que ça ? (sourire du style « tu rêves un peu toi »)
Fille2 : Mais oui tu sais, il y a des soirées où niveau garçon, ça passe très bien mais là ce soir la mayonnaise ne prend pas. (d’un air très impliqué par le sujet de conversation)
M : Ah je vois. Alors on en est réduit à une métaphore culinaire. On est que de la nourriture c’est ça ?
Fille2, qui sourit : Mais non ce n’est pas ce que je voulais dire.
Pendant notre conversation qui durera 20 minutes, j’ai essuyé environ un shit-test par minute. Cette fille avait apparemment de l’expérience au niveau de la sélection des mecs. En effet, elle avait 10 ans de plus que moi. Une mini MILF.M : Tu t’appelles comment ?
Fille2 : Julie.
M : Tu vois, première coïncidence, je m’appelle Julien.
Julie : Il y a plein de Julien, c’est un nom très commun ?
M : Oui, mais quelle est la probabilité qu’un Julien et un Julie se rencontrent un vendredi soir à La Suite ?
Julie : Mais tu sais, tu pourrais être mon petit frère.
M : Et il a quel âge ton petit frère ?
Julie : 24 ans. D’ailleurs, tu as quel âge ?
M : Officiellement ou officieusement ?
Julie : Non mais tu sais, tu peux me dire la vérité. Les femmes aiment lorsqu’on est sincère avec elles. (j’étouffe un rire)
M : Quel âge me donnerais-tu ?
Julie : Hmm à vue d’œil, 24.
M : Hmm tu n’es pas loin, 22 (alors que j’en ai 18, mais essayons de réduire l’écart).
Julie : Tu vois, je suis beaucoup trop vieille pour toi.
M : Quel âge as-tu ?
Julie : 28 ans !
M : Ah bon, je t’en aurais donné 43.
Julie : (tape sur mon épaule).
M : Mais tu sais, lorsque tu seras vieille, tu regretteras le temps où des garçons plus jeunes que toi viennent t’aborder.
Julie : Tu es né en quelle année ?
M : Mais dis-moi, c’est un interrogatoire de la police ? (elle est entrain de me sélectionner pour un Fclose)
Julie : Excuse-moi. Mais réponds-moi quand même !
M : 1985 (grossière erreur de calcul de ma part, trop d’alcool …).
Julie, qui ne sait apparemment rendue compte de rien : Quel jour, quel mois ?
M : 30 Octobre.
M : Finalement tu vois, la mayonnaise a fini par prendre. Heureusement que je suis là ce soir.
Julie : Oui mais j’essaye de faire attention. J’étais une allumeuse avant alors j’essaye de me calmer.
M : Mince. Tu me fais peur là. Je suis quelqu’un de très timide tu sais. Ça ne se voit pas ?
Après une dizaine de shit-tests :Julie : Mais en fait si ma copine t’avait parlé, tu ne serais jamais venu me voir.
M : Mais qui te dit que ce n’est pas une technique d’approche. Passer par ta copine dont j’étais certain qu’elle me servirait de tremplin pour t’approcher toi.
Au fur et à mesure de la conversation, je décide de me faire plaisir.Julie : Mais arrête de contourner les questions ! Tu m’ennuies là.
M : Ah bon je t’ennuie ?
Julie : Signe d’approbation de la tête.
M : Bon ben alors je pars. (je fins un exit)
Julie : Non mais c’est bon !
Le numclose :Julie : Ce soir c’est vraiment pas ça niveau mec.
M : Ah bon, pourtant je suis là. En me regardant comme ça, est-ce que j’ai l’air d’un bon coup ?
Julie : (elle me jauge de haut en bas) Honnêtement, oui. … il faut que je me calme ! Tu vois je suis une allumeuse. (elle m’enlace et se frotte à moi)
Bien sûr 5 minutes après, le shit-test qui va de soi.M : Et tu sors souvent ici ?
Julie : Non c’est la première fois à La Suite. J’ai plein d’invitations mais j’y vais jamais.
M : Ah oui alors tu es une VIP.
Julie : On peut dire ça.
M : Tu sais quoi, moi je viens à peine d’arriver d’Espagne (oui, parce qu’en France je suis espagnol et en Espagne, français), alors je vais te prendre ton numéro de téléphone et tu m’inviteras un soir, vu que tu as plein d’entrées.
Julie : (elle se numclose)
M : (je la bip pour voir si ce n’est pas un fake)
Le fin mot de l'histoire ...Julie : Ouais mais tu sais, tu n’as pris que mon numéro de téléphone parce que j’avais des invitations…
M : Tout à l’heure tu me disais qu’il ne fallait jamais être trop direct. Peut-être alors que c’était simplement un prétexte pour avoir ton numéro. Moi, je te dis ça comme ça. Après tu penses ce que tu veux.
... ou pas tout à fait.M : Bon, je n’ai plus rien à te dire.
Julie : Qu’est-ce qu’on fait ?(= baises-moi)
M : Tu veux que je parte ou pas ?
Julie : C’est toi qui vois …
M : Bon ben, je pars (grand sourire).
Une heure après je reçois un sms de sa part :
Julie lasuite : Mais qu’est-ce que tu mets donc comme parfum. Je sens de partout. A bientôt, biz.
J’ai bien aimé cet échange. Se prendre des shit-tests, ça forge la jeunesse. Cela fera la troisième fois qu’une fille plus âgée que moi me dit que je sais y faire avec les femmes.
Tout commentaire est le bienvenu. N’hésitez pas à me tailler.