FTS

Fast/Speed seduction, Venusian Art, Real Social Dynamic/Real World seduction...

Les écoles de pensée américaines ont envahi la scène, inventant un jargon, mettant en mot une pratique millénaire que nos 'spécialistes' n'étaient pas parvenus à décrire...

Dans sa Sociologie du drageur' Alain Soral disait tout de la dragueur...sauf sa technique (ou plutôt qu'il réduisait à ses composantes sociétales)

Pourtant, quand on lit les 'pros' Américains dans le texte, on est surpris par le réel manque de capacité à la réflecion personelle de la plupard de leurs élèves, d'où la nécessité de produire une structure simple et compréhensible. (Lines, Opener, reframing...)

Cela est très bien. Mais nous ne devons pas oublier la société qui a produit ces méthodes, avec ses spécificités issues de l'héritage du puritanisme (guerre des sexes), son consumérisme particulier, son faible niveau culturel...

Nous ne devons pas non plus oublier que les choses qui fonctionnent ne le font pas obligatoirement en fonction des théories que nousavons pour les expliquer.

Nous pouvons croire par exemple que les capteurs solaires fonctionnent grace au Dieu Ra. Ce ne serait pas vrai, mais ça fonctionnerait parfaitement.

Mais si nous avions ce genre de croyances, nous ferions sans doute des séminaires pour apprendre à mieu prier le Dieu Ra, pour que nos panneaux solaires fonctionnet mieux, de façon à gagner plus d'argent...

Il y a une expression que j'aime bien dans l'apport psychologique moderne: 'Il faut tuer le Père'.

Non, il ne s'agit pas d'assassiner Papa. Il s'agit de ne pas passer sa vie à suivre les enseignements de personnes qui pensent pour vous.

C'est très bien d'arriver à rentrer son pénis dans le vagin d'une jolie jeune femme.

Mais il faut résister au succès de la même façon qu'on doit apprendre à sortir de son échec personnel.

Non non non, pas en ayant peur que ça s'arrète, ou en éprouvant de la culpabilité, ou en devant maintenir une réput'... Autre bonne façon de rester un petit garçon effrayé toute sa vie.

La question est, et ne doit jamais être mise de côté: quand les femmes ne seront plus un problème, que vous n'aurez rien à vous prouver à ce niveau, quel sera enfin votre objectif dans la vie ?

Qu'allez vous faire de pationnant, qui vous fera vibrer jour après jour quand vous ne serez plus frutrés ?

Qu'est-ce qu'au fond de vous même, vous aimeriez CREER ?

Les nanas, ce n'est qu'un début. Vous allez apprendre à vous dépasser à leur contact. Vous allez peut être conserver la drague comme un hobby agréable par la suite.

Réfléchissez: comment allez vous employer ce que vous aurez appris pour accomplir vos rêves ?

Allez vous appliquer l'art de la persuasion à la vente ?
Allez-vous utilisez votre talent à raconter des histores pour écrire ?
Allez vous utiliser votre capacité d'organisation stratégique à d'autre sujets ?
Allez-vous vous mettre à recadrer vos propres perceptions et souvenirs pour enfin guérir de vos blessures d'enfance ?
Allez-vous contribuer à créer une nouvelle branche des sciences humaines ?


Loin d'être un délire mystique, la question est mortellement sérieuse.

Olivier a écrit :Pourtant, quand on lit les 'pros' Américains dans le texte, on est surpris par le réel manque de capacité à la réflecion personelle de la plupard de leurs élèves, d'où la nécessité de produire une structure simple et compréhensible. (Lines, Opener, reframing...)

Oui, une structure simple, compréhensible par le Joe-six-pack de base, correspondant au schéma américain de la réussite, basé sur deux fantasmes : celui du Maître du monde (décliné sous le mode : avec la méthode X, je vais me taper TOUTES les nana) et celui du Gourou (Un homme, une méthode).

Olivier a écrit :Cela est très bien. Mais nous ne devons pas oublier la société qui a produit ces méthodes, avec ses spécificités issues de l'héritage du puritanisme (guerre des sexes), son consumérisme particulier, son faible niveau culturel...

Intéressant sur un plan sociologique, mais affligeant sur un plan culturel. Le modèle américain conduit, en ce domaine, à des robots sociaux qui appliquent leur procédures.

Olivier a écrit :La question est, et ne doit jamais être mise de côté: quand les femmes ne seront plus un problème, que vous n'aurez rien à vous prouver à ce niveau, quel sera enfin votre objectif dans la vie ?

D'une part, rien n'est jamais acquis. Et d'autre part les femmes, ou la séduction, ne sont qu'une facette de la vie, dont l'importance varie selon la phase de vie que l'on traverse.

Olivier a écrit :Loin d'être un délire mystique, la question est mortellement sérieuse.

C'est surtout une question existentielle. A laquelle chacun a sa propre réponse en fonction de son vécu et de sa maturité affective. Mais tout le monde se pose-t-il des questions ?

H.

quoi faire quand on es blasé plus rien a prouvé ?
faites des bébés...
rien de tout nos discours n'arrivent à la cheville de cette creation là....
bonus.. pour y arriver une femme sera necessaire... quelle chance

ya rien d'autre les gars... tout le reste n'es que vanité...
(j'adore les vanités blondes aux yeux bleu cependant...)

La question est, et ne doit jamais être mise de côté: quand les femmes ne seront plus un problème, que vous n'aurez rien à vous prouver à ce niveau, quel sera enfin votre objectif dans la vie ?

Qu'allez vous faire de pationnant, qui vous fera vibrer jour après jour quand vous ne serez plus frutrés ?

Qu'est-ce qu'au fond de vous même, vous aimeriez CREER ?

J'ai bientôt 34 ans. Les femmes commencent à ne plus être un problème, mais j'ai néanmoins encore pas mal à me prouver à ce niveau. Alors que j'estime n'avoir plus grand-chose à me prouver dans les autres domaines de la vie.
J'ai déjà une vie passionnante et des activités qui me font vibrer.
J'imagine que dans cette situation, la dernière chose à réaliser, comme dit Rackir, est de faire des enfants (encore que ce ne soit pas une obsession dans mon cas)
Après le dilemme qui peut se poser, c'est : est-ce que j'essaie de rattraper le temps perdu en étant un seducteur jusqu'à un âge avancé, ou est-ce que je me pose avec la première fille de valeur pour fonder une famille (car comme dit Rackir, un homme ne peut faire des enfants tout seul...)
Au moment où j'écris ces lignes, j'avoue que le choix n'est pas fait dans mon esprit...