[Report] oh_damned DG/NG bootcamp (Phase persistence)
Posté : 09.04.06
MISSION 1 – Dépasser la peur d’approcher
Voilà après une semaine de field ou je devais faire 25 approches, j'en ai fait... 10
=> Bouuuh ! Viré ! Dehors !
J'ai triché un peu en sachant que j'ai déjà fait des DG auparavant, mais pas à un rythme si soutenu ; donc voilà je pars pas de zéro...
Je vous raconte après mes difficultés.
En termes de stats pures, même si cette mission 1 du bootcamp n'a pas d'objectif autre qu'affronter sa propre peur (Luke Skywalker m'en parlait l'autre jour), je les donne à titre indicatif :
- 8 rateaux plus ou moins immédiats (excuses variées : j'ai pas le temps / je suis fiancée / mariée)
- 1 conversation d'env une minute mais j'ai pas su trop bien enchainer (en anglais avec une étrangère)
- 1 instant date d'env 30 minutes avec numclose (non flake)
Pour les diffcultés :
- J'aborde de visu que les filles de + de 25 ans donc le nombre de filles en couple est plus important
- J'ai croisé largement les 25 filles nécéssaires à l'achèvement de la mission, mais plein de fois je me suis auto-éjecté, fait des faux départs par manque d'habitude. Donc il est très important d'approcher massivement pour évacuer toutes les pseudo-excuses qu'on se trouve.
- le DG demande beaucoup d'énergie donc l'épuisement consécutif à de nombreuses approches apparait assez vite.
- A chaque nouvelle session, on repart un peu de zéro, il faut savoir se remettre en danger (le concept du momentum ; il faut moins d'énergie pour déplacer un objet déjà en mouvement plutôt qu'un objet arrêté). La solution est donc simple : il ne faut pas arrêter ! C'est pour cela que le total des 25 me parait important dans cette étape. Et oui notre égo a des reflexes d'inertie puissants qui nous évite les situations inhabituelles/non contrôlées
- On fait des sessions à plusieurs (l'auteur du bootcamp étant sur mes talons notamment
), ce qui aide pas mal à relativier les échecs. Je bloque vraiment quand je suis tout seul.
- Il faut encore trop de temps (à mon goût) entre 2 approches, il faudrait enchainer plus vite. Je pense que cela va venir avec l'habitude.
Pour les points positifs :
- En effet au fur et à mesure qu'on approche, on a moins de réticences. Dans les premières, je ne sentais que mon coeur battre à 3000 à l'heure, et j'essayais de controler mon rythme cardiaque et mon élocution. Ensuite le stress commence à s'évacuer peu à peu, et la démarche mentale commence à changer ; au lieu de se dire 'boah je vais encore me prendre un rateau, autant pas y aller', on se dit 'elle, elle me plait, il faut absolument que je l'aborde !'
- Les quelques bons résultats (= énergie positive) sont super réconfortants. On se dit tout simplement que c'est possible !
- Je crois qu'on devient accro à la décharge d'adrénaline que l'on reçoit, donc quand on arrête on ne pense plus... qu'à recommencer. Sentiment particulier de cette excitation qui s'oppose à la crainte citée plus haut.
- Chaque fille est une expérience et une personnalité nouvelle, donc on s'enrichit de quelque chose à chaque fois (je confirme ici les dires évoqués par CoolPUA à une époque)
- Je ne suis pas trop bloqué par le déplacement éventuel de la cible (d'ailleurs jaborde principalement dans la rue)
- Une sensation de 'bulle' qui se créé quand on aborde ; on est concentré sur l'action, et on ignore totalement les gens qui se trouvent autour (et si éventuellement ils entendent)
Conclusion : La seule limite est dans ta tête ! Journal de bootcamp à suivre...
Voilà après une semaine de field ou je devais faire 25 approches, j'en ai fait... 10

=> Bouuuh ! Viré ! Dehors !
J'ai triché un peu en sachant que j'ai déjà fait des DG auparavant, mais pas à un rythme si soutenu ; donc voilà je pars pas de zéro...
Je vous raconte après mes difficultés.
En termes de stats pures, même si cette mission 1 du bootcamp n'a pas d'objectif autre qu'affronter sa propre peur (Luke Skywalker m'en parlait l'autre jour), je les donne à titre indicatif :
- 8 rateaux plus ou moins immédiats (excuses variées : j'ai pas le temps / je suis fiancée / mariée)
- 1 conversation d'env une minute mais j'ai pas su trop bien enchainer (en anglais avec une étrangère)
- 1 instant date d'env 30 minutes avec numclose (non flake)
Pour les diffcultés :
- J'aborde de visu que les filles de + de 25 ans donc le nombre de filles en couple est plus important
- J'ai croisé largement les 25 filles nécéssaires à l'achèvement de la mission, mais plein de fois je me suis auto-éjecté, fait des faux départs par manque d'habitude. Donc il est très important d'approcher massivement pour évacuer toutes les pseudo-excuses qu'on se trouve.
- le DG demande beaucoup d'énergie donc l'épuisement consécutif à de nombreuses approches apparait assez vite.
- A chaque nouvelle session, on repart un peu de zéro, il faut savoir se remettre en danger (le concept du momentum ; il faut moins d'énergie pour déplacer un objet déjà en mouvement plutôt qu'un objet arrêté). La solution est donc simple : il ne faut pas arrêter ! C'est pour cela que le total des 25 me parait important dans cette étape. Et oui notre égo a des reflexes d'inertie puissants qui nous évite les situations inhabituelles/non contrôlées
- On fait des sessions à plusieurs (l'auteur du bootcamp étant sur mes talons notamment

- Il faut encore trop de temps (à mon goût) entre 2 approches, il faudrait enchainer plus vite. Je pense que cela va venir avec l'habitude.
Pour les points positifs :
- En effet au fur et à mesure qu'on approche, on a moins de réticences. Dans les premières, je ne sentais que mon coeur battre à 3000 à l'heure, et j'essayais de controler mon rythme cardiaque et mon élocution. Ensuite le stress commence à s'évacuer peu à peu, et la démarche mentale commence à changer ; au lieu de se dire 'boah je vais encore me prendre un rateau, autant pas y aller', on se dit 'elle, elle me plait, il faut absolument que je l'aborde !'
- Les quelques bons résultats (= énergie positive) sont super réconfortants. On se dit tout simplement que c'est possible !
- Je crois qu'on devient accro à la décharge d'adrénaline que l'on reçoit, donc quand on arrête on ne pense plus... qu'à recommencer. Sentiment particulier de cette excitation qui s'oppose à la crainte citée plus haut.
- Chaque fille est une expérience et une personnalité nouvelle, donc on s'enrichit de quelque chose à chaque fois (je confirme ici les dires évoqués par CoolPUA à une époque)
- Je ne suis pas trop bloqué par le déplacement éventuel de la cible (d'ailleurs jaborde principalement dans la rue)
- Une sensation de 'bulle' qui se créé quand on aborde ; on est concentré sur l'action, et on ignore totalement les gens qui se trouvent autour (et si éventuellement ils entendent)
Conclusion : La seule limite est dans ta tête ! Journal de bootcamp à suivre...