Un vieil FR
Posté : 28.07.06
Hélas, je ne puis publier de nouveau FR. Je vis en couple depuis plusieurs années, et j'en suis ma foi fort content.
J'ai du apprendre tout seul à me démerder...comme la plupard de mes contemporains. Je vous propose donc une petite partie de mon long cheminement vers, non pas la maîtrise, mais au moins un peu de compétence .
Cette histoire se situe il y a une quinzaine d'années.
Ma première expérience de drague effective (c'est à dire volontaire) commença après ma première année en FAC.
On peut dire que je fus un tardif. Très tardif, même...
Tout commença après avoir fait le bilan de ma (courte) vie: j'avais sois séduis malgré moi (et je n'étais pas intéressé) sois je m'étais cassé les dents...
Il faut dire que mon approche était catastrophique: j'étais sois trop timide, sois fou furieux. Vous savez, le genre à vous envoyer des poèmes d'amour écris avec son propre sang
Pourtant, j'avais bien évolueé depuis ma sortie du giron familial.
Je m'étais constitué de solides groupes d'amis, j'avais considérablement augmenté ma capacité à m'exprimer et à attirer l'attentions en société (anecdote, tirage de carte, massages...), je pratiquai assidument des passions qui m'aidaient à me développer (études, art martial, théâtre)...
Cependant, je n'arrivai pas à me trouver de copines. Je réussis à devenir très proche de certaines filles, je suis même entré dans le lit de certaines...mais... rien de concluant.
J'ai décroché la tymbale lors d'une soiré ou je repérai une zolie jeune fille lors d'une fiesta d'anniversaire. Elle y était venu avec son copain
Pour la première fois, j'arrivais à assurer. J'étais drôle, naturel. Je ne m'attachais pas à elle tout en impressionant ses copines.
Je me renseignait dicrètement. Le copain en question était décris par tous comme un 'connard'. Il y avait comme de la rupture dans l'air...
Je me démerdai pour que l'individu en question aille donner un coup de main en cuisine. Lorsque nous eument enfin l'occasion de nous retrouver un peu à l'écart, je 'pris le poul ' et la lançait sur ce qu'elle attendait de la vie.
Une discussion passionée nacquit spontanément. Curieusement, j'abordai uniquement des questions suceptibles de la faire rire, réagir ou de nous accorder...
Une demi heure plus tard, je partai (je travaillai tôt le lendemain), mais j'avais un rencart sur la fac pour le lendemain, dans un petit bar associatif que nous fréquentiosn tous deux...
Arrivé au rendez-vous plutôt angoissé, me demandant ce que j'allais pouvoir bien foutre et bien raconter loins de l'ambiance entrainante de la soirée.
Et ne voilà t'il pas que je la vois attablée avec une femme (la quarantaine bien conservée) lui ressamblant comme deux gouttes d'eau: manifestement sa mère !!!
Et là, je ne sais pas... Je piquai droit sur elles, j'embrassais sa fille (très relax) et je me mis à tchatcher avec sa mère, cherchant comment la mettre dans ma poche (car les deux semblaient très complices).
Je trouvai bientôt la solution: les femmes entre elles aiemnt 'dire du mal de' (les ragots), et sa mère était prof sans un autre établissement. Je me mis à démonter nos profs, la structue de la fac...
La mère riait au larme, sa fille était radieuse. J'assurai. Je les quittai (à leur regret) une demi heure plus tard, avec le numéro de la jeune fille...
Nous étions un samedi. Je l'appelai le lundi suivant. Elle m'invita à manger un morceau chez elle, écouter de la zique... Vous devinez la suite.
Ce n'étais pas plus compliqué que ça.
...
A postériori, j'analyse ma démarche comme encore bien naïve... mais pourtant tout était là.
Le social proof, l'utilisation du réseau et 'l'embuscade dans la friend zone d'autrui', la compétence sociale, l'approche du set, l'éloignement du copain, l'assurance tranquile (BL), le retrait avec mon 'hit', les anecdotes naturelles mais bien préparées (je ne les avais pas développées pour elles mais pour mes potes, à l'origine), le RDV, le fait de mettre ses proches dans ma poche, le rappel pas trop tôt... Et la soirée en tête à tête...
...
C'est vrai, ce n'est pas une drague acrobatique.. Mais pour le puceau et l'AFC que j'étais...
Mais la véritable erreur était sans doute d'avoir choisi cette fille là. Heureusement, cela me permit de rencontrer plus tard... Mais c'est une autre histoire...
J'ai du apprendre tout seul à me démerder...comme la plupard de mes contemporains. Je vous propose donc une petite partie de mon long cheminement vers, non pas la maîtrise, mais au moins un peu de compétence .
Cette histoire se situe il y a une quinzaine d'années.
Ma première expérience de drague effective (c'est à dire volontaire) commença après ma première année en FAC.
On peut dire que je fus un tardif. Très tardif, même...
Tout commença après avoir fait le bilan de ma (courte) vie: j'avais sois séduis malgré moi (et je n'étais pas intéressé) sois je m'étais cassé les dents...
Il faut dire que mon approche était catastrophique: j'étais sois trop timide, sois fou furieux. Vous savez, le genre à vous envoyer des poèmes d'amour écris avec son propre sang


Pourtant, j'avais bien évolueé depuis ma sortie du giron familial.
Je m'étais constitué de solides groupes d'amis, j'avais considérablement augmenté ma capacité à m'exprimer et à attirer l'attentions en société (anecdote, tirage de carte, massages...), je pratiquai assidument des passions qui m'aidaient à me développer (études, art martial, théâtre)...
Cependant, je n'arrivai pas à me trouver de copines. Je réussis à devenir très proche de certaines filles, je suis même entré dans le lit de certaines...mais... rien de concluant.
J'ai décroché la tymbale lors d'une soiré ou je repérai une zolie jeune fille lors d'une fiesta d'anniversaire. Elle y était venu avec son copain
Pour la première fois, j'arrivais à assurer. J'étais drôle, naturel. Je ne m'attachais pas à elle tout en impressionant ses copines.
Je me renseignait dicrètement. Le copain en question était décris par tous comme un 'connard'. Il y avait comme de la rupture dans l'air...
Je me démerdai pour que l'individu en question aille donner un coup de main en cuisine. Lorsque nous eument enfin l'occasion de nous retrouver un peu à l'écart, je 'pris le poul ' et la lançait sur ce qu'elle attendait de la vie.
Une discussion passionée nacquit spontanément. Curieusement, j'abordai uniquement des questions suceptibles de la faire rire, réagir ou de nous accorder...
Une demi heure plus tard, je partai (je travaillai tôt le lendemain), mais j'avais un rencart sur la fac pour le lendemain, dans un petit bar associatif que nous fréquentiosn tous deux...
Arrivé au rendez-vous plutôt angoissé, me demandant ce que j'allais pouvoir bien foutre et bien raconter loins de l'ambiance entrainante de la soirée.
Et ne voilà t'il pas que je la vois attablée avec une femme (la quarantaine bien conservée) lui ressamblant comme deux gouttes d'eau: manifestement sa mère !!!
Et là, je ne sais pas... Je piquai droit sur elles, j'embrassais sa fille (très relax) et je me mis à tchatcher avec sa mère, cherchant comment la mettre dans ma poche (car les deux semblaient très complices).
Je trouvai bientôt la solution: les femmes entre elles aiemnt 'dire du mal de' (les ragots), et sa mère était prof sans un autre établissement. Je me mis à démonter nos profs, la structue de la fac...
La mère riait au larme, sa fille était radieuse. J'assurai. Je les quittai (à leur regret) une demi heure plus tard, avec le numéro de la jeune fille...
Nous étions un samedi. Je l'appelai le lundi suivant. Elle m'invita à manger un morceau chez elle, écouter de la zique... Vous devinez la suite.
Ce n'étais pas plus compliqué que ça.
...
A postériori, j'analyse ma démarche comme encore bien naïve... mais pourtant tout était là.
Le social proof, l'utilisation du réseau et 'l'embuscade dans la friend zone d'autrui', la compétence sociale, l'approche du set, l'éloignement du copain, l'assurance tranquile (BL), le retrait avec mon 'hit', les anecdotes naturelles mais bien préparées (je ne les avais pas développées pour elles mais pour mes potes, à l'origine), le RDV, le fait de mettre ses proches dans ma poche, le rappel pas trop tôt... Et la soirée en tête à tête...
...
C'est vrai, ce n'est pas une drague acrobatique.. Mais pour le puceau et l'AFC que j'étais...
Mais la véritable erreur était sans doute d'avoir choisi cette fille là. Heureusement, cela me permit de rencontrer plus tard... Mais c'est une autre histoire...