[DIRECT GAME] Ce qu'il faut garder... et jeter

Note : 49

le 16.07.2008 par Blusher

25 réponses / Dernière par BinBee le 30.11.2009, 10h52

Pour celles et ceux qui veulent discuter et demander des conseils rencontres et séduction; comment faire avec cette fille ou ce mec; et plus généralement, comment pécho / trouver l'amour à l'ère du swipe left, notamment quand on est ni mannequin, ni un ninja de la drague.
J'ai récemment été le témoin attentif de quelques approches directes hasardeuses qui ont nourri ma réflexion sur le sujet. Et s'il suffisait d'approcher une fille lui proposant d'aller boire un verre? Et si je m'étais compliqué la vie pendant toutes ces années?

CAS D’ECOLE : DG foireux au vidéo-club

Je suis au video-club derrière un gars d'une vingtaine d'années, pas vilain mais pas Brad Pitt non plus, quand je ressens un de ces silences qu'un vieux brisquard de la drague reconnaît en une fraction de seconde.

Le gars prend son courage à deux mains et demande à la jolie employée :
Lui: Ca te dirait d'aller boire un verre après le boulot? Tu finis à quelle heure?
Ce même instinct qui m'avait fait ^pressentir le calme avant la tempête m'indique qu'il va recevoir un magnifique rateau sur le coin de la tronche.
Elle: Ah désolé mais j'ai un copain, ca ne va pas être possible.
Lui: Une autre fois alors?
Elle: Je travaille ici le vendredi, on se verra peut-être.
Game Over?

Pas exactement.

Non content de s'être mangé un double rateau dès la premiére approche, le gars est revenu la semaine suivante avec... un cadeau, un tableau peint par ses soins. L'histoire m'a été rapportée par l'infortunée target de ce dragueur téméraire et persistant.

Autant le coup du tableau est assez pathétique, autant ses efforts pour créer du confort lors de sa seconde visite au vidéo club semblent avoir fait leur effet.
Elle: Il n'était pas inintéressant. Il est peintre et il a habité dans plusieurs pays, il a l'air cultivé et sensible.
Bien. Et alors pourquoi moi j'ai eu son numéro de téléphone et pas lui ?
Elle : Quand il m’a abordée, je venais d’avoir deux dates avec un mec que j’aimais bien mais pas encore suffisamment pour refuser une invitation à boire un verre. Non, ce qui m’a bloquée, c’est qu’il m’invite avant même de connaître quoi que ce soit sur moi.
Débriefing

Le courage, ou plutôt la témérité de notre direct gamer l’a desservi.

Pourquoi ?

Parce qu’en commençant par la fin, le date-close, il laisse penser :

1- qu’entretenir une conversation le rebute ou lui fait peur.
Quand il aborde une fille, il joue à pile ou face. Il est tellement anxieux du résultat qu’il se jette à l’eau en fermant les yeux.
2- Il se prive de créer du confort. C’est un game à quitte-ou-double qui ne lui laisse aucune marge de manœuvre.
3- Son opener est super générique, il pourrait débiter ca à 50 filles par jour. Aucune calibration.
4- Il se bouffe une résistance en béton armé, surtout quand il y a du monde autour. (ASD)
5- En insistant pour prendre le numéro d’une fille qui est peut-être conne comme une fontaine, il se DLV. Un mec qui a vraiment le choix aime bien savoir dans quoi il s’embarque avant d’aller perdre deux heures en tête à tête avec une plante verte.

S’il avait commencé par une de ces petites conversations sur tel ou tel film dont la belle est friande, agrémenté l’échange d’un rapide story-telling propice au DHV subtil, il serait reparti avec son numéro. Je le sais, je l’ai fait.

C’est pourquoi je sursaute toujours quand je vois un DG Pick-Up. Les mecs qui pratiquent ça « à l’ancienne » croient pouvoir se dispenser d’étapes pourtant cruciales de l’interaction et font l’économie d’une micro-calibration intelligente. Résultat : à moins que la fille crève d’envie de boire un café, ils vont bouffer du rateau au kilomètre.


Ce que j’en garde néanmoins, c’est le côté surprenant et percutant qui peut faire mouche.
Ainsi, je me dispense généralement de dire bonjour quand j’aborde une fille.

Voir par exemple le FR suivant :

une-drague-en-bibliotheque-qui-finit-su ... t1820.html

J’aurais pu dire « Bonjour, tu veux boire un café ? » mais ça anéantit l’effet de surprise. A quoi bon ? Quand on fait direct, on fait direct.

En revanche, aussi directe que fut l’approche, je ne me suis pas dispensé de passer par les autres étapes une fois l’interaction embrayée.

Un autre aspect du DG que j’utilise volontiers est de balancer un SOI bien sexué assez tot dans la conversation. Paradoxalement, ca la rassure en confirmant qu’elle est bien en train de se faire draguer. Les gens dont les intentions ne sont pas clairement affichées inspirent la crainte.

Enfin, malgré tous ses défauts, le mec du vidéo club avait de l’énergie à revendre et j’ai même pensé un instant que cela suffirait à renverser le cours des choses.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] Intéressant par San.A
  • [+2] A lire par IceCold
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Article intéressant, je te fais rentrer dans le groupe de travail "Direct Game".

Je recommande comme toi un SOI, puis une mise en confiance en expliquant ce que je fais ici et maintenant (courses, etc.) pour démarrer une conversation à bâtons rompus.

Ce qui permet de récupérer des informations sur la fille et de mener la conversation de façon vivante et rapidement personnalisée.

Je propose l'instant-date. Si c'est OK, je numclose à l'issue de celle-ci.
Si ce n'est pas possible, je numclose et je bavarde encore quelques minutes après.
Le score de cet utilisateur est négatif ce qui veut dire que ses messages sont globalement jugés problématiques par les autres utilisateurs.
Blusher a écrit :J'ai récemment été le témoin attentif de quelques approches directes hasardeuses qui ont nourri ma réflexion sur le sujet. Et s'il suffisait d'approcher une fille lui proposant d'aller boire un verre? Et si je m'étais compliqué la vie pendant toutes ces années?

CAS D’ECOLE : DG foireux au vidéo-club

Je suis au video-club derrière un gars d'une vingtaine d'années, pas vilain mais pas Brad Pitt non plus, quand je ressens un de ces silences qu'un vieux brisquard de la drague reconnaît en une fraction de seconde.

Le gars prend son courage à deux mains et demande à la jolie employée :
Lui: Ca te dirait d'aller boire un verre après le boulot? Tu finis à quelle heure?
Ce même instinct qui m'avait fait ^pressentir le calme avant la tempête m'indique qu'il va recevoir un magnifique rateau sur le coin de la tronche.
Elle: Ah désolé mais j'ai un copain, ca ne va pas être possible.
Lui: Une autre fois alors?
Elle: Je travaille ici le vendredi, on se verra peut-être.
Game Over?

Pas exactement.

Non content de s'être mangé un double rateau dès la premiére approche, le gars est revenu la semaine suivante avec... un cadeau, un tableau peint par ses soins. L'histoire m'a été rapportée par l'infortunée target de ce dragueur téméraire et persistant.

Autant le coup du tableau est assez pathétique, autant ses efforts pour créer du confort lors de sa seconde visite au vidéo club semblent avoir fait leur effet.
Elle: Il n'était pas inintéressant. Il est peintre et il a habité dans plusieurs pays, il a l'air cultivé et sensible.
Bien. Et alors pourquoi moi j'ai eu son numéro de téléphone et pas lui ?
Elle : Quand il m’a abordée, je venais d’avoir deux dates avec un mec que j’aimais bien mais pas encore suffisamment pour refuser une invitation à boire un verre. Non, ce qui m’a bloquée, c’est qu’il m’invite avant même de connaître quoi que ce soit sur moi.
Débriefing

Le courage, ou plutôt la témérité de notre direct gamer l’a desservi.

Pourquoi ?

Parce qu’en commençant par la fin, le date-close, il laisse penser :

1- qu’entretenir une conversation le rebute ou lui fait peur.
Quand il aborde une fille, il joue à pile ou face. Il est tellement anxieux du résultat qu’il se jette à l’eau en fermant les yeux.
2- Il se prive de créer du confort. C’est un game à quitte-ou-double qui ne lui laisse aucune marge de manœuvre.
3- Son opener est super générique, il pourrait débiter ca à 50 filles par jour. Aucune calibration.
4- Il se bouffe une résistance en béton armé, surtout quand il y a du monde autour. (ASD)
5- En insistant pour prendre le numéro d’une fille qui est peut-être conne comme une fontaine, il se DLV. Un mec qui a vraiment le choix aime bien savoir dans quoi il s’embarque avant d’aller perdre deux heures en tête à tête avec une plante verte.

S’il avait commencé par une de ces petites conversations sur tel ou tel film dont la belle est friande, agrémenté l’échange d’un rapide story-telling propice au DHV subtil, il serait reparti avec son numéro. Je le sais, je l’ai fait.

C’est pourquoi je sursaute toujours quand je vois un DG Pick-Up. Les mecs qui pratiquent ça « à l’ancienne » croient pouvoir se dispenser d’étapes pourtant cruciales de l’interaction et font l’économie d’une micro-calibration intelligente. Résultat : à moins que la fille crève d’envie de boire un café, ils vont bouffer du rateau au kilomètre.


Ce que j’en garde néanmoins, c’est le côté surprenant et percutant qui peut faire mouche.
Ainsi, je me dispense généralement de dire bonjour quand j’aborde une fille.

Voir par exemple le FR suivant :

une-drague-en-bibliotheque-qui-finit-su ... t1820.html

J’aurais pu dire « Bonjour, tu veux boire un café ? » mais ça anéantit l’effet de surprise. A quoi bon ? Quand on fait direct, on fait direct.

En revanche, aussi directe que fut l’approche, je ne me suis pas dispensé de passer par les autres étapes une fois l’interaction embrayée.

Un autre aspect du DG que j’utilise volontiers est de balancer un SOI bien sexué assez tot dans la conversation. Paradoxalement, ca la rassure en confirmant qu’elle est bien en train de se faire draguer. Les gens dont les intentions ne sont pas clairement affichées inspirent la crainte.

Enfin, malgré tous ses défauts, le mec du vidéo club avait de l’énergie à revendre et j’ai même pensé un instant que cela suffirait à renverser le cours des choses.
D'un autre côté c'est çà aussi l'inconvénient du direct game......Quoique dès fois çà marche
Arsène Lupin a écrit :Article intéressant, je te fais rentrer dans le groupe de travail "Direct Game".

Je recommande comme toi un SOI, puis une mise en confiance en expliquant ce que je fais ici et maintenant (courses, etc.) pour démarrer une conversation à bâtons rompus.

Ce qui permet de récupérer des informations sur la fille et de mener la conversation de façon vivante et rapidement personnalisée.

Je propose l'instant-date. Si c'est OK, je numclose à l'issue de celle-ci.
Si ce n'est pas possible, je numclose et je bavarde encore quelques minutes après.
L'instant-date c'est vraiment un truc que je ne sens pas. Je penseque ca marche mais je n'en ai juste pas envie. J'aime garder la main et éviter d'en faire trop, trop vite. Alors qu'avec le numéro dans la poche, je rappelle quand je veux et je fixe la date quand et où je veux. Pourquoi se priver de ce luxe pour aller bâcler ça au bistrot du coin.

Mais là j'insiste, c'est juste une préférence personnelle.
Je me sers des instant-dates pour au minimum solidifier le numclose (j'ai commencé quand j'avais des numéros flakys à la pelle :lol: ), et pour tenter le kclose.

Je l'obtiens assez facilement des femmes qui prennent leur temps en ville.

Comme tu dis, pour "éviter d'en faire trop", je l'amène presque invariablement avec un :
Dis j'ai une petite soif là, tu m'accompagnes prendre un schweppes ?
Pfiouuu, me suis couché à point d'heure hier, j'ai besoin d'un café en vitesse là, tu viens avec moi ?
Blusher a écrit ::
Ce même instinct qui m'avait fait ^pressentir le calme avant la tempête m'indique qu'il va recevoir un magnifique rateau sur le coin de la tronche.
[/quote]

Des fois tu les vois pas arriver et la c’est encore plus magique.
Blusher a écrit ::
ce dragueur téméraire et persistant.
A mon sens un des defauts les plus presents dans cette communaute, le try hard, pas assez smooth.
Blusher a écrit ::
Bien. Et alors pourquoi moi j'ai eu son numéro de téléphone et pas lui ?
Tu m’avais promis fidelite ... tu continues a prendre des numeros, tu feras la vaisselle pendant deux semaines. Et t’as interet a ce que ce soit propre.



Blusher a écrit ::
qu’entretenir une conversation le rebute ou lui fait peur.
Ou qu’il n’a simplement rien a dire ... La fille peut se dire, « tiens je vais aller passer deux heures avec lui, il va peut etre etre super ennuyant, qu’il est un peu psycho, bref pas de confort. Faire du DG ne veut pas dire se precipiter, il faut juste etre clair.

Blusher a écrit : Quand il aborde une fille, il joue à pile ou face. Il est tellement anxieux du résultat qu’il se jette à l’eau en fermant les yeux.
[...]
En insistant pour prendre le numéro d’une fille qui est peut-être conne comme une fontaine, il se DLV. Un mec qui a vraiment le choix aime bien savoir dans quoi il s’embarque avant d’aller perdre deux heures en tête à tête avec une plante verte.
Oui tout a fait d'accord. Cependant, il se DLV des le depart en accordant du credit a une fille qu'il ne connait pas et selectionne comme un creve la faim. Apres insister ne fait que confirmer son statut d'ultranaze
Blusher a écrit : Si il ...[..] story-telling propice au DHV subtil, il serait reparti avec son numéro. Je le sais, je l’ai fait.
Toi tu aimes VRAIMENT faire la vaisselle.


Blusher a écrit : Un autre aspect du DG que j’utilise volontiers est de balancer un SOI bien sexué assez tot dans la conversation. Paradoxalement, ca la rassure en confirmant qu’elle est bien en train de se faire draguer. Les gens dont les intentions ne sont pas clairement affichées inspirent la crainte.
Ca c’est vrai mais avant faut paraitre normal. Certains PU de mecs flippants que tu vois, s’ils font du DG (ou essayent), ils sont morts. Bon apres que la fille aime savoir qu’elle se fait draguer c’est tres vrai. L’autre jour, j’etais a une soiree organisee par une grande banque financiere. Au menu que des gars, peu de filles. J’ai reussi a en tirer une de son groupe et tres vite, elle a checke que je la draguais bien. En assumant, tout a ete OK, elle m’a juste laisse continuer car elle jugeait que je n’avais pas encore assez bosse. Elle balancait aussi quelques SOI de temps a autres puis nous sommes rentres ensemble.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [+1] Intéressant par San.A
  • [+1] Ca va mieux en le disant par Blusher
A mon sens un des defauts les plus presents dans cette communaute, le try hard, pas assez smooth.
Ca va mieux le disant. Récemment un wing avide de lectures mal digérées qui débite du canned-stuff à l'AK47 m'a sorti:
Ce qui est impressionnant quand tu closes.... C'est que ça n'est pas impressionnant.
Là il m'a fait plaisir.
Less is more.

Idem pour l'Instant date, Arsene, tu peux faire un numclose solide en moins de dix minutes du moment que tu calibres bien.
SoCal a écrit :
Blusher a écrit ::
ce dragueur téméraire et persistant.
A mon sens un des defauts les plus presents dans cette communaute, le try hard, pas assez smooth.
En Europe de l'est, ca marche. Parfois. :oops: J'y ai fait des pick-ups absolument lourdingues avec plein de blancs (et une vision alcoolisee de la vie) qui sont alles au fclose. Mais j'ai galere.
SoCal a écrit :Tu m’avais promis fidelite ... tu continues a prendre des numeros, tu feras la vaisselle pendant deux semaines. Et t’as interet a ce que ce soit propre.
Salope! Et moi qui nous preparais un weekend en amoureux. Tu joue vraiment sur tous les tableaux.
Blusher a écrit : Quand il aborde une fille, il joue à pile ou face. Il est tellement anxieux du résultat qu’il se jette à l’eau en fermant les yeux.
Manque de patience, de retenue, de confort... Ca fait beaucoup pour esperer que le PU marche, sur une inconnue qui doit se faire accoster 150 fois par jour dans son magasin.

Imaginons qu'une nana aborde un mec. Elle lui dit d'emblee: "Tu veux aller boire un cafe maintenant? Non? Tu me files ton numero de tel alors?"
Le mec se demandera si c'est une folle. Il aura peur.

Faut se mettre un peu a la place de la fille.
SoCal a écrit :
Blusher a écrit : Si il ...[..] story-telling propice au DHV subtil, il serait reparti avec son numéro. Je le sais, je l’ai fait.
Toi tu aimes VRAIMENT faire la vaisselle.
Pfff. En attendant que ton nouvel amoureux fasse la vaisselle, SoCal, ton week-end a Venise tu te le met ou je pense. Bitch.
Blusher a écrit : [/b]. Paradoxalement, ca la rassure en confirmant qu’elle est bien en train de se faire draguer.


J'essayais d'expliquer ca a un expat anglais qui la joue "prudent" et "smooth" avec les gonzesses. 6 mois en Russie, il n'a jamais chope. C'est un exploit, c'est plus fort que le tour du monde a la nage.

Blusher, c'est l'ete et tout ca, t'aurais pas un petit FR "plage" a partager la, sous la main?
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [0] Lol par S.T.A.R.S
Ce qui me fait marrer, c'est que 99% des mecs croient qu'ils doivent aller boire un verre pour dater une fille.
Le gars dont tu parles Blusher est parti à l'abordage avec un sac de 50 kgs sur le dos. Mauvais contexte, opener bateau, ASD, son visage devait sûrement laisser transparaître son malaise.

J'ai déjà fait des instant date sans même que la fille s'en rende compte.
Style, j'écris un bouquin et je suis dans un parc, je demande à une fille son avis sur l'héroïne, elle s'intéresse me pose des questions, on déroule la discussion de manière basique et elle ne se rend même pas compte qu'elle s'est faite draguée. Tout profit pour moi. Pour elle, c'est une "belle rencontre".
Dans mon exemple, tu peux même aller jusqu'à simuler la date, style la fille du roman est dans un café à boire un verre avec un mec (ça en devient de la perversion :mrgreen: ), comment ça se passe, fluff, fous-rires et ça passe facilement. Tu DHV pcq elle s'intéresse et tu passes sous tous les radars.

Bordel, un peu d'imagination et démarquez-vous de la masse!
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [0] Pas convaincu par Blusher
oui, ca fait bien longtemps que je ne bois plus de verre, que ce soit en date ou en instant date; car tout le monde boit des verres ou des cafes, alors autant se demarquer des autres mecs en faisant quelque chose de plus original, ou plus cool.
Ou alors, j'emmene la fille boire un verre quand l'endroit est particulier (genre un lounge super classe, mais la encore, ca depend de la cible, il faut calibrer), et permet surtout un kino efficace.

J'emmene parfois la cible dans ma vie "personnelle"; par exemple "je dois poser une affiche pour vendre mes meubles, tu viens?", ou alors même "je dois aller a tel ou tel magasin". Elle rentre ainsi dans votre vie, et cela crée un e sorte d'engagement; aussi, en vous ouvrant a elle, vous lui donnez aussi l'occasion de s'ouvrir a vous. Vous n'etes plus ce mec sorti de nul part, vous avez une vie; ca la rassure, plus que ca ne casse le mystere.
    Notes et commentaires reçus par ce post :
  • [0] Pas convaincu par Blusher
  • [0] Il y'a du vrai... par Extre
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