Salut. Certains connaissent déjà mes péripéties des derniers mois.
En effet j'avais ouvert un post lié à mes soucis de couple.
Je décide d'ouvrir un journal ici pour plusieurs raisons :
- La perspective d'un journal intime version papier me rebute.
- Le besoin d'écrire est pourtant bien présent
- La nécessité de prendre du recul par rapport à la situation
- Réfléchir en me posant les BONNES questions, et partager avec vous le cheminement qui m'a amené jusqu'à ma vie d'aujourd'hui.
Je vais commencer par vous faire un topo de ma relation terminée :
Une belle LTR de presque 5 ans. Une rencontre via Adopte. Une histoire qui devait n'être qu'une passade d'été, elle, devant poursuivre ses études à l'étranger pendant deux années encore. Finalement je me suis attaché, elle aussi. Et nous avons tenu la distance, nous voyant 15 jours tous les 2 mois à peu près, hors vacances scolaires.
Tout commença lorsqu'elle vint s'installer chez moi. Je me suis mis à remarquer des défauts physiques qui ne m'avaient pas marqué jusqu'alors. Des choses qui ne me plaisaient pas.
Je pensais que ça passerait alors j'en ai pas tenu compte. Mais mon attention se portait dessus de plus en plus sur ceux-ci, ainsi que sur d'autres femmes qui me plaisaient d'avantage.
Pourtant, j'en suis persuadé, rien à voir avec mes sentiments. Je pense simplement qu'il me manquait " de la matière ". Il m'en fallait un peu plus que ce qu'elle pouvait me donner pour maintenir mon désir physique. Et j'ai fini par me lasser certainement. Et aller chercher ailleurs ce qu'il me manquait.
S'en est alors suivie une valse d'infidélités. Sues ou non. Pardonnées, mais non oubliées.
C'est ce que j'aimais le plus chez toi, ton amour inconditionnel, sans limite. Dieu sait à quel point ton regard bienfaisant et apaisant peur me manquer aujourd'hui ...
J'apprends à vivre sans toi. Cette semaine où nous ne nous étions plus envoyés de messages, se croisant en coup de vent à la maison. Je ne te regardais plus, je pensais même ne plus t'aimer. Et pourtant je sais que je t'aimerai toujours, quoiqu'il arrive.
Nous avons essayé plusieurs fois, je crois que la vie nous a emmenés avec elle dans des directions opposées. Te rapprochant de moi d'avantage, m'éloignant encore plus.
Plus rien n'était clair dans ma tête. Pourquoi ne plus voir que tes défauts et buter dessus ?
Je n'ai toujours pas la réponse à cette question. Pourtant je cherche. Je sais que certains détails physiques ne m'allaient pas. De là à dire que tout vient de là, je n'en suis pas si sûr.
J'ai toujours pensé qu'avec des sentiments, tout est surmontable.
Et pourtant je n'y arrivais plus. Le quotidien devenait pesant, l'impression de me mentir, de TE mentir ont été plus fortes. Comme la situation n'était plus claire dans ma tête, je ne te prenais plus dans mes bras, je ne te faisais plus de compliments ...
J'avais besoin d'espace, d'ailleurs. Je ne me sentais plus vivre.
Malgré tout, tu me manques énormément même si j'essaie de ne pas te le dire. Car je sais en plus que tu n'étais pas heureuse depuis des mois. Je t'ai fait des choses sont je ne suis pas fier. Des choses que j'espère, aucun autre ne te fera. Comment te rendre heureuse si je ne le suis plus ?
Je te voyais te fâner à mes côtés. Il fallait prendre cette décision si difficile. La plus difficile de toute ma vie, j'en suis persuadé à présent.
C'est dingue ... On sait pertinemment que c'est fini, que la décision va tomber d'un jour à l'autre. On s'y prépare, on pense s'y préparer plutôt. Mais quand les larmes coulent, la lame s'enfonce si profond qu'on croirait notre coeur s'extraire de notre poitrine ...
Nous ne sommes même pas fâchés, nous nous aimons, et c'est ça le plus dur je pense.
Comment s'aimer et se dire que ça ne fonctionne pas ?
Je pense avec quelques jours de recul, que j'ai peur. Tu m'as apporté ce qu'aucune avant ne m'avait apporté. J'avais tout pour être bien, tu m'as comblé.
Hélas je manquais de quelque chose, même si je ne parviens pas encore à te dire quoi.
J'ai l'impression de me tromper, peur de m'engager dans quelque chose sans être sûr de moi. Peur de manquer de quelque chose, c'est déjà le cas actuellement, et ça ne s'arrange pas avec le temps qui passe. J'ai l'impression qu'on va dans le mur. Et que ça vient en partie de moi.
C'est une histoire banale, deux gens se séparant après avoir partagé une partie de vie ensemble. Et pourtant ça fait tellement mal.
La première page de ce journal t'était dédiée. Mes mains t'ont racontée d'elles-mêmes telle que tu étais : Aimante, douce, exceptionnelle.
Je t'aime.
La crise de la trentaine ?
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Courage le 25.04.15, 12h31 par splifstarz
- [0] Courage le 30.04.15, 18h34 par The_PoP
- [0] Courage le 01.05.15, 20h47 par Chips89
Chapitre 1 : M. Ou comment se faire retrouver par une fille
Il y a de ça 3 semaines, sentant ma LTR clairement battre de l'aile, j'ai fait la connaissance d'une fille de 21 ans. Nous l'appellerons M.
C'était lors d'une intervention.
Je lui avais simplement dit que je la trouvais mignonne, elle m'avait donné son prénom puis s'était un peu effacée, gênée.
Environ une semaine après elle m'a retrouvé et a réussi à obtenir mon numéro de téléphone.
De SMS en SMS, on s'est rapidement vu.
KC au premier rdv.
preeeeeeesque FC au second. Partie remise pour le 3ème.
Elle a un bon 85C, une jolie paire de fesses, brune mate de peau avec un joli grain et des cheveux assez sympas. Elle est pétillante, elle se prend pas la tête. Assez douce et tactile. J'aime bien.
Au lit ça passe plutôt bien. Même si je pense qu'elle a besoin de temps pour se lâcher.
Hasard ? Elle sort également d'une LTR de 5 ans. Autant dire qu'on est dans la légèreté tous les deux. Un peu plus moi qu'elle, qui semble être le genre de fille à bombarder de textos tout au long de la journée.
Je me sers de cette fille pour transformer ce qu'il y a de négatif dans ma tête en positif avec elle. En gros, j'avais " prévu le coup " et je savais que si je me retrouvais seul, j'allais faire de la merde, bader, et retourner inexorablement vers mon ex.
Je suis un adepte de " pour être bien avec quelqu'un il faut être bien avec soi-même ". Mais là clairement, je sais que je ne suis pas bien avec moi-même.
J'ai le spectre de mon ex qui me hante. Je suis toujours très amoureux d'elle. On s'envoie encore des messages. Au fond, je ne sais pas ce qui fait le plus mal. Le fait de ne garder que nos souvenirs, et se dire qu'il n'y aura pas d'autre moment comme ceux-là avec elle, ou bien les habitudes qui manquent, et la moindre petite chose insignifiante qui fait systématiquement penser à elle - et au fait qu'elle n'est plus là.
Je crois tout simplement qu'elle me manque, dans sa globalité.
Je ne cherche même pas à la remplacer avec une autre, c'est trop tôt, et elle ne lui arriverait pas même à la cheville ...
Avant qu'on se sépare, elle ne me manquait pas. Je ne la voyais pas de 3 jours et pourtant rien n'y faisait. Là, je SENS que c'est fini, et la seule personne que j'aimerais à mes côtés c'est elle.
Pourquoi est-ce que j'ai besoin à chaque fois de m'infliger ça ? Comme si je devais me faire du mal pour prendre conscience des choses.
Ou bien est-ce mon cerveau qui réagit comme ça face à l'inconnu et à la peur du changement ? Est-ce NORMAL de " regretter " ?
Plusieurs choses me laissent doûter :
- Je vois souvent le négatif très rapidement chez une fille. J'ai une faculté déconcertante à trouver les choses qui ne me plaisent pas. Les défauts. Certains suffisent à me rebuter. Je passe d'ailleurs pour quelqu'un d'exigent. Et je me demande vraiment si c'est pas ça le problème ...
- Ce qui entraine une autre question : Peut-on vraiment changer ? J'ai essayé de toutes mes forces de comprendre pourquoi subitement, chez mon ex, je me suis mis à voir les défauts avec une loupe, et d'où ça pourrait venir par rapport à mon passé. Je crois que j'ai de grosses pistes.
J'ai encore besoin de temps. Mon coeur saigne et mes yeux n'en finissent pas de gonfler. Peu de personnes s avent ce qu'il se passe actuellement et ce que je traverse, hormis mes parents. Je ne parviens pas à en parler à mes amis proches ... Je sais que j'ai fait une bêtise, je sais que je vais m'en mordre les doigts.
Je ne suis pas négatif quand je dis ça. Objectivement je sais que c'est une fille comme on en croise peu dans une vie. Tous mes amis m'ont largement souligné que j'étais avec une perle. Et forcément il y a des choses qu'on regrette quand on quitte une personne exceptionnelle ...
J'aimerais beaucoup avoir vos avis sur mes questionnements. Je me sens seul ...
Il y a de ça 3 semaines, sentant ma LTR clairement battre de l'aile, j'ai fait la connaissance d'une fille de 21 ans. Nous l'appellerons M.
C'était lors d'une intervention.
Je lui avais simplement dit que je la trouvais mignonne, elle m'avait donné son prénom puis s'était un peu effacée, gênée.
Environ une semaine après elle m'a retrouvé et a réussi à obtenir mon numéro de téléphone.
De SMS en SMS, on s'est rapidement vu.
KC au premier rdv.
preeeeeeesque FC au second. Partie remise pour le 3ème.
Elle a un bon 85C, une jolie paire de fesses, brune mate de peau avec un joli grain et des cheveux assez sympas. Elle est pétillante, elle se prend pas la tête. Assez douce et tactile. J'aime bien.
Au lit ça passe plutôt bien. Même si je pense qu'elle a besoin de temps pour se lâcher.
Hasard ? Elle sort également d'une LTR de 5 ans. Autant dire qu'on est dans la légèreté tous les deux. Un peu plus moi qu'elle, qui semble être le genre de fille à bombarder de textos tout au long de la journée.
Je me sers de cette fille pour transformer ce qu'il y a de négatif dans ma tête en positif avec elle. En gros, j'avais " prévu le coup " et je savais que si je me retrouvais seul, j'allais faire de la merde, bader, et retourner inexorablement vers mon ex.
Je suis un adepte de " pour être bien avec quelqu'un il faut être bien avec soi-même ". Mais là clairement, je sais que je ne suis pas bien avec moi-même.
J'ai le spectre de mon ex qui me hante. Je suis toujours très amoureux d'elle. On s'envoie encore des messages. Au fond, je ne sais pas ce qui fait le plus mal. Le fait de ne garder que nos souvenirs, et se dire qu'il n'y aura pas d'autre moment comme ceux-là avec elle, ou bien les habitudes qui manquent, et la moindre petite chose insignifiante qui fait systématiquement penser à elle - et au fait qu'elle n'est plus là.
Je crois tout simplement qu'elle me manque, dans sa globalité.
Je ne cherche même pas à la remplacer avec une autre, c'est trop tôt, et elle ne lui arriverait pas même à la cheville ...
Avant qu'on se sépare, elle ne me manquait pas. Je ne la voyais pas de 3 jours et pourtant rien n'y faisait. Là, je SENS que c'est fini, et la seule personne que j'aimerais à mes côtés c'est elle.
Pourquoi est-ce que j'ai besoin à chaque fois de m'infliger ça ? Comme si je devais me faire du mal pour prendre conscience des choses.
Ou bien est-ce mon cerveau qui réagit comme ça face à l'inconnu et à la peur du changement ? Est-ce NORMAL de " regretter " ?
Plusieurs choses me laissent doûter :
- Je vois souvent le négatif très rapidement chez une fille. J'ai une faculté déconcertante à trouver les choses qui ne me plaisent pas. Les défauts. Certains suffisent à me rebuter. Je passe d'ailleurs pour quelqu'un d'exigent. Et je me demande vraiment si c'est pas ça le problème ...
- Ce qui entraine une autre question : Peut-on vraiment changer ? J'ai essayé de toutes mes forces de comprendre pourquoi subitement, chez mon ex, je me suis mis à voir les défauts avec une loupe, et d'où ça pourrait venir par rapport à mon passé. Je crois que j'ai de grosses pistes.
J'ai encore besoin de temps. Mon coeur saigne et mes yeux n'en finissent pas de gonfler. Peu de personnes s avent ce qu'il se passe actuellement et ce que je traverse, hormis mes parents. Je ne parviens pas à en parler à mes amis proches ... Je sais que j'ai fait une bêtise, je sais que je vais m'en mordre les doigts.
Je ne suis pas négatif quand je dis ça. Objectivement je sais que c'est une fille comme on en croise peu dans une vie. Tous mes amis m'ont largement souligné que j'étais avec une perle. Et forcément il y a des choses qu'on regrette quand on quitte une personne exceptionnelle ...
J'aimerais beaucoup avoir vos avis sur mes questionnements. Je me sens seul ...
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Courage le 30.04.15, 17h33 par Sathinelilly
Oui, je crois que c'est normal de regretter.
Quand j'ai quitté mon ex, j'ai failli revenir plusieurs fois. J'ai hésité souvent. Je suis passée par ce questionnement. Beaucoup de mes amis me disaient que j'étais dingue.(d'être partie)
La situation était différente. On s'était tous les deux éloignés physiquement et c'était devenu trop pesant pour moi.
Il y a eu un moment où je ne pouvais plus, un point de non retour. Ce moment où tu as du mal à rentrer chez toi, où tu ne vas bien que quand tu es ailleurs. Ce moment où tu es systématiquement obligé de prendre sur toi pour supporter des défauts et des comportements que tu gérais très bien avant. Et je crois sincèrement que quand tu en arrives à ce point, il n'y a plus d'avenir possible pour le couple.
Mais je l'aimais et surtout je culpabilisais. Comment rationaliser dans ces cas là? Je n'ai pas de réponse toute faite. Ca m'a pris du temps, plusieurs mois.
J'ai essayé de ne rien faire dans la précipitation, d'éviter autant que possible de le croiser, de l'appeler (sauf que nous avions la logistique garde alternée en plus, ce qui nous obligeait quand même à communiquer un minimum).
J'ai changé mon mode de vie aussi : alimentation, sport, partir en week end… je me suis lancée dans de nouveaux projets pro, je me suis renseignée sur le développement personnel, j'ai consulté un psy. Je me suis centrée un peu plus sur moi.
Je suis sortie aussi, beaucoup au début, j'ai rencontré plein de gens…Tout ce qui me permettait de focaliser mon attention sur autre chose était bon.
Après je ne sais pas pour toi, ce qui t'a poussé à rompre, ce sont vraiment juste des défauts physiques que tu ne supportais plus?
Si ça ne te semblait pas solvable quand tu l'as quittée, est ce qu'aujourd'hui, tu as changé d'avis?
Quand j'ai quitté mon ex, j'ai failli revenir plusieurs fois. J'ai hésité souvent. Je suis passée par ce questionnement. Beaucoup de mes amis me disaient que j'étais dingue.(d'être partie)
La situation était différente. On s'était tous les deux éloignés physiquement et c'était devenu trop pesant pour moi.
Il y a eu un moment où je ne pouvais plus, un point de non retour. Ce moment où tu as du mal à rentrer chez toi, où tu ne vas bien que quand tu es ailleurs. Ce moment où tu es systématiquement obligé de prendre sur toi pour supporter des défauts et des comportements que tu gérais très bien avant. Et je crois sincèrement que quand tu en arrives à ce point, il n'y a plus d'avenir possible pour le couple.
Mais je l'aimais et surtout je culpabilisais. Comment rationaliser dans ces cas là? Je n'ai pas de réponse toute faite. Ca m'a pris du temps, plusieurs mois.
J'ai essayé de ne rien faire dans la précipitation, d'éviter autant que possible de le croiser, de l'appeler (sauf que nous avions la logistique garde alternée en plus, ce qui nous obligeait quand même à communiquer un minimum).
J'ai changé mon mode de vie aussi : alimentation, sport, partir en week end… je me suis lancée dans de nouveaux projets pro, je me suis renseignée sur le développement personnel, j'ai consulté un psy. Je me suis centrée un peu plus sur moi.
Je suis sortie aussi, beaucoup au début, j'ai rencontré plein de gens…Tout ce qui me permettait de focaliser mon attention sur autre chose était bon.
Après je ne sais pas pour toi, ce qui t'a poussé à rompre, ce sont vraiment juste des défauts physiques que tu ne supportais plus?
Si ça ne te semblait pas solvable quand tu l'as quittée, est ce qu'aujourd'hui, tu as changé d'avis?
Merci pour ta réponse. Je me reconnais dans le passage ou tu dis que pour être bien il faut être ailleurs, qu'on évite le plus possible la maison. L'éloignement physique ...
C'est parti de moi. Je ne voyais que ses défauts. Et POURTANT je l'aime. Profondément.
Je cherche d'où ça peut venir. Objectivement oui y a des choses que je préfèrerais différentes chez elle. Mais sa personnalité je la trouve top par contre.
Quand je prends du recul et regarde les copines des potes, très très peu attirent mon attention.
Je trouve systématiquement des défauts qui ne me vont pas.
Est ce que je sais réellement aimer ?? Je commence a en douter.
J'ai lu beaucoup de témoignages sur la peur de l'engagement. Et quand je recoupe les infos avec mon enfance et les relations parentales, tout semble concorder.
La peur de m'engager et me dire que je me suis trompé. Que je le savais depuis le début. La peur de tomber sur quelque chose qui me plait d'avantage sur le moment et d'aller explorer, comme ça a été le cas par le passe. Donc peur de la tromper, de me tromper, de lui faire du mal.
Je songe sérieusement a consulter quelqu'un car je souffre de cette situation.
C'est parti de moi. Je ne voyais que ses défauts. Et POURTANT je l'aime. Profondément.
Je cherche d'où ça peut venir. Objectivement oui y a des choses que je préfèrerais différentes chez elle. Mais sa personnalité je la trouve top par contre.
Quand je prends du recul et regarde les copines des potes, très très peu attirent mon attention.
Je trouve systématiquement des défauts qui ne me vont pas.
Est ce que je sais réellement aimer ?? Je commence a en douter.
J'ai lu beaucoup de témoignages sur la peur de l'engagement. Et quand je recoupe les infos avec mon enfance et les relations parentales, tout semble concorder.
La peur de m'engager et me dire que je me suis trompé. Que je le savais depuis le début. La peur de tomber sur quelque chose qui me plait d'avantage sur le moment et d'aller explorer, comme ça a été le cas par le passe. Donc peur de la tromper, de me tromper, de lui faire du mal.
Je songe sérieusement a consulter quelqu'un car je souffre de cette situation.
La quête de la beauté, c'est quelque chose de commun chez nous les mecs. Non pas que les femmes soient insensibles aux critères physiques, mais chez nous ça prend un sens beaucoup plus puissant, en bien comme en mal, avec les dérives que ça implique. J'ai pu constater qu'il y avait beaucoup plus de belle femmes avec des mecs moyens, que de beaux mecs avec des filles moyennes. Pas forcément une vérité sociologique, simplement un constat que j'ai pu faire. Après il y a d'autres considérations en jeu mais je rentrerais pas dans ces détails ici parce qu'on déborderait du sujet.
Personnellement j'ai commencé à faire descendre la beauté physique de son piédestal, quand j'ai commencé à me rendre compte que :
- Une fille peut être magnifique et chiante, mauvaise au lit, morne, etc... (la liste est longue)
- Une fille peut être banale, mais super intéressante, joueuse, bonne au lit, etc... (liste longue)
Alors je ne dis pas que je suis insensible à la plus belle des nanas, je ne dis pas que mon QI ne connaît pas quelques baisses drastiques à leur contact... Mais j'arrive un peu mieux à remettre la beauté à sa place : un critère parmi d'autres. Sur le coup ça peut perturber, mais quand tu as du temps pour y mettre du recul (comme en couple, comme sur une démarche de séduction suivie pendant quelques temps), ça doit rester un critère, à prendre en compte tout autant que d'autres (et pas un critère dominant).
Tu as peut-être seulement besoin de découvrir ça par toi-même, et ça passe par des expériences aussi. On peut en parler des heures, mais on comprend les choses beaucoup plus profondément quand on les vit. Ceci dit, tu as quelques années de plus que moi, et sans doute les expériences supplémentaires que ça implique.
Donc l'expérience en tant que telle ne suffit pas. Tes progrès, tu peux espérer les obtenir en construisant ta conception du beau. Ça implique les expériences, et une démarche active pour tirer profit de tes expériences. Des jolies filles, tu en as plein les rues. Tu pourrais toutes les aborder. Tu ne le fais pas forcément. C'est déjà un élément inconscient de réponse : sur 100 jolies filles, tu en aborde 5, elles avaient quelque chose de différent. C'est l'instinct qui parle, c'est l'instinct qui t'a amené à les choisir elles et pas d'autres. Le contexte, l'attitude, la mouvance. Là, on est dans la beauté vivante, celle qui te parle. Et qui ne parlerait pas forcément à un autre.
Quelque chose me dit que tu es beaucoup dans la recherche d'une beauté plastique et figée. Le genre de beauté qu'on vend en couverture de magazine, froide et immobile. C'est une beauté morte, on s'approche du morbide dans notre conception actuelle du beau d'ailleurs.
Tu peux pas réduire les choses à ça (et tu en es conscient puisque tu veux changer).
Quel sens tu donne à la beauté ? Quelles expériences et quels éléments de ton éducation lui donnent cette place ? Sois prêt à remettre les choses en cause. La thérapie pourquoi pas, dans tous les cas c'est des questions à se poser en séduction et en relationnel, tu peux commencer à y travailler, même seul. La thérapie serait une aide sans aucun doute, mais pas la seule et unique solution. Si tu souffre, et que tu ne t'en sors pas, n'hésite pas.
Il faut que tu réunisse les deux plans sur un seul. Actuellement tu recherche la beauté d'une part, et la satisfaction émotionnelle d'autre part. Ça te met dans la position où tu n'arrive pas à avoir l'un avec l'autre, parce que tu ne relie pas "le corps et l'esprit" pour utiliser des termes qui font bien pensant. Alors que les deux sont liés. Apprends à reconnaître l'esprit dans ses manifestations corporelles. Rends-toi compte que ce qui t'attire chez les filles que tu rencontre, c'est déjà autre chose que du physique pur et brut. Tu le sais déjà, au fond. Simplement, à posteriori, tu y rajoute des éléments, tirés de ton expérience et de ton interprétation, qui changent la façon que tu avais de le percevoir d'instinct, dès le début.
C'est faire preuve de maturité que d'être capable d'établir des relations avec des personnes qui ne remplissent pas exactement nos critères, et dépasser ça pour se surprendre à passer des moments avec une fille qui ne nous attirait pas tant que ça au départ (sur des critères figés). Je ne dis pas forcément de fréquenter des filles qui ne te plaisent pas, mais ici on parle des détails, on est clairement pas dans le cas où la nana ne t'attire pas du tout.
Prends le contre pied de ta conception négative des femmes, change cette voix intérieure qui te siffle tous les détails négatifs, amuse toi à trouver ce qui peut rendre une personne belle. Ça marche avec les copines de tes potes, avec tes potes, avec toi (mais avec soi c'est plus difficile parce que très subjectif), avec le facteur ou la boulangère.
C'est pas un travail facile, mais c'est un travail qu'on doit faire en tant que mec. C'est presque de l'éthique, en fait.
Personnellement j'ai commencé à faire descendre la beauté physique de son piédestal, quand j'ai commencé à me rendre compte que :
- Une fille peut être magnifique et chiante, mauvaise au lit, morne, etc... (la liste est longue)
- Une fille peut être banale, mais super intéressante, joueuse, bonne au lit, etc... (liste longue)
Alors je ne dis pas que je suis insensible à la plus belle des nanas, je ne dis pas que mon QI ne connaît pas quelques baisses drastiques à leur contact... Mais j'arrive un peu mieux à remettre la beauté à sa place : un critère parmi d'autres. Sur le coup ça peut perturber, mais quand tu as du temps pour y mettre du recul (comme en couple, comme sur une démarche de séduction suivie pendant quelques temps), ça doit rester un critère, à prendre en compte tout autant que d'autres (et pas un critère dominant).
Tu as peut-être seulement besoin de découvrir ça par toi-même, et ça passe par des expériences aussi. On peut en parler des heures, mais on comprend les choses beaucoup plus profondément quand on les vit. Ceci dit, tu as quelques années de plus que moi, et sans doute les expériences supplémentaires que ça implique.
Donc l'expérience en tant que telle ne suffit pas. Tes progrès, tu peux espérer les obtenir en construisant ta conception du beau. Ça implique les expériences, et une démarche active pour tirer profit de tes expériences. Des jolies filles, tu en as plein les rues. Tu pourrais toutes les aborder. Tu ne le fais pas forcément. C'est déjà un élément inconscient de réponse : sur 100 jolies filles, tu en aborde 5, elles avaient quelque chose de différent. C'est l'instinct qui parle, c'est l'instinct qui t'a amené à les choisir elles et pas d'autres. Le contexte, l'attitude, la mouvance. Là, on est dans la beauté vivante, celle qui te parle. Et qui ne parlerait pas forcément à un autre.
Quelque chose me dit que tu es beaucoup dans la recherche d'une beauté plastique et figée. Le genre de beauté qu'on vend en couverture de magazine, froide et immobile. C'est une beauté morte, on s'approche du morbide dans notre conception actuelle du beau d'ailleurs.
Tu peux pas réduire les choses à ça (et tu en es conscient puisque tu veux changer).
Quel sens tu donne à la beauté ? Quelles expériences et quels éléments de ton éducation lui donnent cette place ? Sois prêt à remettre les choses en cause. La thérapie pourquoi pas, dans tous les cas c'est des questions à se poser en séduction et en relationnel, tu peux commencer à y travailler, même seul. La thérapie serait une aide sans aucun doute, mais pas la seule et unique solution. Si tu souffre, et que tu ne t'en sors pas, n'hésite pas.
Il faut que tu réunisse les deux plans sur un seul. Actuellement tu recherche la beauté d'une part, et la satisfaction émotionnelle d'autre part. Ça te met dans la position où tu n'arrive pas à avoir l'un avec l'autre, parce que tu ne relie pas "le corps et l'esprit" pour utiliser des termes qui font bien pensant. Alors que les deux sont liés. Apprends à reconnaître l'esprit dans ses manifestations corporelles. Rends-toi compte que ce qui t'attire chez les filles que tu rencontre, c'est déjà autre chose que du physique pur et brut. Tu le sais déjà, au fond. Simplement, à posteriori, tu y rajoute des éléments, tirés de ton expérience et de ton interprétation, qui changent la façon que tu avais de le percevoir d'instinct, dès le début.
C'est faire preuve de maturité que d'être capable d'établir des relations avec des personnes qui ne remplissent pas exactement nos critères, et dépasser ça pour se surprendre à passer des moments avec une fille qui ne nous attirait pas tant que ça au départ (sur des critères figés). Je ne dis pas forcément de fréquenter des filles qui ne te plaisent pas, mais ici on parle des détails, on est clairement pas dans le cas où la nana ne t'attire pas du tout.
Prends le contre pied de ta conception négative des femmes, change cette voix intérieure qui te siffle tous les détails négatifs, amuse toi à trouver ce qui peut rendre une personne belle. Ça marche avec les copines de tes potes, avec tes potes, avec toi (mais avec soi c'est plus difficile parce que très subjectif), avec le facteur ou la boulangère.
C'est pas un travail facile, mais c'est un travail qu'on doit faire en tant que mec. C'est presque de l'éthique, en fait.
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [0] Absolument le 01.05.15, 14h51 par fuoco
- [0] Intéressant le 01.05.15, 15h02 par The_PoP
- [0] Post de qualité le 02.05.15, 13h15 par splifstarz
- [0] Absolument le 23.05.15, 09h59 par Lulla
- [0] Absolument le 18.06.15, 14h06 par SweetyKID
J'ai pris quelques heures de réflexion pour être sûr de ne pas répondre à côté du coche.
Il y a du vrai dans ce que tu dis. J'ai tendance à chercher la plus bonnasse. Et pourtant, par le passé j'ai donné avec des filles très jolies. Du genre à faire des photos de sous-vêtements par exemple. Et la plupart du temps c'étaient des chieuses, capricieuses, et j'en passe.
Tout ça pour dire que le physique, oui, mais pas que...
Avec elle j'ai l'impression que ç'a été le contraire presque. Je l'ai trouvée mignonne bien sûr mais c'est pas FORCEMENT son physique qui m'a attiré. Le fait de la connaître, d'autant plus qu'une forte complicité est très vite née entre nous, a d'avantage joué en sa faveur.
Au jour d'aujourd'hui, si je regarde une photo d'elle en maillot, voici ce qui me vient instinctivement ( je viens de faire le test, c'est donc une réaction à chaud ) :
- Hanches trop larges
- Seins trop petits
Au lieu de dire ( et ça, c'est APRES réflexion, réaction à froid ) :
- Jolies jambes longues et fines
- Ventre plat
- Jolie frimousse
Pourquoi je me focalise autant sur le négatif ?
Et c'est pas uniquement avec elle que ça fait ça. J'ai donc tendance à penser que :
a / Soit je n'ai pas trouvé la bonne ( au bout de 5 ans, possible, mais peu probable )
b / Le souci vient de moi. Et là, c'est beaucoup plus vague comme thème.
Et c'est aussi vrai que j'ai tendance à dissocier le physique du mental. Je ne sais pas pourquoi, je ne comprends pas d 'où ça vient. Si j'avais été, plus jeune, victime de moqueries au collège ou la risée des camarades d'école, je le comprendrais plus facilement. Or, hormis des relations vraiment pourries avec ma mère, rien de tout ça.
Je suis, en revanche, quelqu'un d'assez insatisfait, un peu râleur et perfectionniste.
Peut-être le syndrome de celui qui veut toujours ce qu'il n'a pas ?
D'où une question pour toi sathinelilly :
Tu dis qu'avec ton ex tu ne supportais plus certains trucs physiques. Etaient-ils là dès le début de la relation ?
Car moi pour la plupart, oui. Ce n'est qu'au bout d'un moment - Et quand la relation a commencé à devenir vraiment sérieuse = emménagement chez moi - qu'ils me sont apparus pour de bon. Avant, je n'y avais pas prêté d'attention. Et tout était rose.
J'envie cette période, j'étais bien, apaisé et amoureux inconditionnel. Tellement insoucieux ...
Puis au fil des mois, mon désir a foutu le camp, comme plus attiré. En venant même à me demander si mes sentiments eux aussi ne s'étaient pas barrés.
Pourquoi ???
Il y a du vrai dans ce que tu dis. J'ai tendance à chercher la plus bonnasse. Et pourtant, par le passé j'ai donné avec des filles très jolies. Du genre à faire des photos de sous-vêtements par exemple. Et la plupart du temps c'étaient des chieuses, capricieuses, et j'en passe.
Tout ça pour dire que le physique, oui, mais pas que...
Avec elle j'ai l'impression que ç'a été le contraire presque. Je l'ai trouvée mignonne bien sûr mais c'est pas FORCEMENT son physique qui m'a attiré. Le fait de la connaître, d'autant plus qu'une forte complicité est très vite née entre nous, a d'avantage joué en sa faveur.
Au jour d'aujourd'hui, si je regarde une photo d'elle en maillot, voici ce qui me vient instinctivement ( je viens de faire le test, c'est donc une réaction à chaud ) :
- Hanches trop larges
- Seins trop petits
Au lieu de dire ( et ça, c'est APRES réflexion, réaction à froid ) :
- Jolies jambes longues et fines
- Ventre plat
- Jolie frimousse
Pourquoi je me focalise autant sur le négatif ?
Et c'est pas uniquement avec elle que ça fait ça. J'ai donc tendance à penser que :
a / Soit je n'ai pas trouvé la bonne ( au bout de 5 ans, possible, mais peu probable )
b / Le souci vient de moi. Et là, c'est beaucoup plus vague comme thème.
Et c'est aussi vrai que j'ai tendance à dissocier le physique du mental. Je ne sais pas pourquoi, je ne comprends pas d 'où ça vient. Si j'avais été, plus jeune, victime de moqueries au collège ou la risée des camarades d'école, je le comprendrais plus facilement. Or, hormis des relations vraiment pourries avec ma mère, rien de tout ça.
Je suis, en revanche, quelqu'un d'assez insatisfait, un peu râleur et perfectionniste.
Peut-être le syndrome de celui qui veut toujours ce qu'il n'a pas ?
D'où une question pour toi sathinelilly :
Tu dis qu'avec ton ex tu ne supportais plus certains trucs physiques. Etaient-ils là dès le début de la relation ?
Car moi pour la plupart, oui. Ce n'est qu'au bout d'un moment - Et quand la relation a commencé à devenir vraiment sérieuse = emménagement chez moi - qu'ils me sont apparus pour de bon. Avant, je n'y avais pas prêté d'attention. Et tout était rose.
J'envie cette période, j'étais bien, apaisé et amoureux inconditionnel. Tellement insoucieux ...
Puis au fil des mois, mon désir a foutu le camp, comme plus attiré. En venant même à me demander si mes sentiments eux aussi ne s'étaient pas barrés.
Pourquoi ???
Je vais te répondre mais je crois pas que cela pourra t'éclairer beaucoup.fuoco a écrit : D'où une question pour toi sathinelilly :
Tu dis qu'avec ton ex tu ne supportais plus certains trucs physiques. Etaient-ils là dès le début de la relation ?
Car moi pour la plupart, oui. Ce n'est qu'au bout d'un moment - Et quand la relation a commencé à devenir vraiment sérieuse = emménagement chez moi - qu'ils me sont apparus pour de bon. Avant, je n'y avais pas prêté d'attention. Et tout était rose.
J'envie cette période, j'étais bien, apaisé et amoureux inconditionnel. Tellement insoucieux ...
Puis au fil des mois, mon désir a foutu le camp, comme plus attiré. En venant même à me demander si mes sentiments eux aussi ne s'étaient pas barrés.
Pourquoi ???
Je constate, comme mistermint, me concernant et concernant mes amies, que les critères purement physiques ont bien moins d'importance pour nous que pour vous. Je ne l'ai pas quitté QUE pour ça. Nous avions beaucoup d'amour et de tendresse l'un pour l'autre, 18 ans de vie commune, des enfants, des projets, une vie super cool.
En revanche, il y a une similitude, c'est que les défauts physiques ou pas et les comportements que je ne supportais plus à la fin n'étaient pas nouveaux. Il n'a pas changé, c'est notre relation qui a changé, le regard que nous portions l'un sur l'autre.
Physiquement et intellectuellement, cet homme satisfaisait tous mes "critères" ou presque. Certains trucs qui ont toujours été là sont devenus des défauts à mes yeux avec le temps.
Mais je pense que c'est une conséquence pas une cause.
La cause dans mon cas, c'est que je n'ai pas su me satisfaire de l'amour "compagnon" et de la routine. Tu mélanges tout ça avec une baisse de désir pour lui, une sensation de rejet et l'approche de la quarantaine pour moi et ça explose
effectivement il y a des ressemblances.
Personnellement je vois ça comme un gâchis. Elle me manque énormément. J'arrive pas à me dire qu'elle ne " fait plus partie " de ma vie, au sens où nous l'avons connu autrefois.
J'ai envie de ses bras, tout me la rappelle ...
c'est juste une torture. Et tu le sais mieux que moi, au vu du temps que vous avez passé ensemble.
Moi je suis du genre à étouffer assez vite. Elle est très caline et a besoin de beaucoup d'attention(s). Evidemment, les travaux n'ont pas aidé. Enfin si, ça aide la routine ... Et avec elle rien de bon hélas.
Je sais que de son côté, les sentiments sont infinis. Ca se sent ces choses-là. On a du mal tous les deux à se faire à l'idée. Je ne suis même pas sûr qu'on en ait réellement l'envie.
On ne s'est pas quitté par manque d'amour, juste parce que la situation nous faisait souffrir mutuellement.
Je crois qu'au fond, c'est ça le plus dur.
Je suis à mi-chemin, d'un côté, je poursuis ma route, avec l'inconnu et la tristesse qui va avec le fait de ne plus l'avoir à mes côtés, de l'autre, je fais marche arrière, sans certitude que ça s'arrangera.
Une chose est sûre, pour le moment il est trop tôt pour prendre une décision quelle qu'elle soit.
Je me contente de lécher ma plaie comme un chien blessé. Et espérer que le temps me permette d'y voir plus clair. Sans quoi je lutte pour ne pas tomber dans la facilité et retourner vers elle.
Personnellement je vois ça comme un gâchis. Elle me manque énormément. J'arrive pas à me dire qu'elle ne " fait plus partie " de ma vie, au sens où nous l'avons connu autrefois.
J'ai envie de ses bras, tout me la rappelle ...
c'est juste une torture. Et tu le sais mieux que moi, au vu du temps que vous avez passé ensemble.
Moi je suis du genre à étouffer assez vite. Elle est très caline et a besoin de beaucoup d'attention(s). Evidemment, les travaux n'ont pas aidé. Enfin si, ça aide la routine ... Et avec elle rien de bon hélas.
Je sais que de son côté, les sentiments sont infinis. Ca se sent ces choses-là. On a du mal tous les deux à se faire à l'idée. Je ne suis même pas sûr qu'on en ait réellement l'envie.
On ne s'est pas quitté par manque d'amour, juste parce que la situation nous faisait souffrir mutuellement.
Je crois qu'au fond, c'est ça le plus dur.
Je suis à mi-chemin, d'un côté, je poursuis ma route, avec l'inconnu et la tristesse qui va avec le fait de ne plus l'avoir à mes côtés, de l'autre, je fais marche arrière, sans certitude que ça s'arrangera.
Une chose est sûre, pour le moment il est trop tôt pour prendre une décision quelle qu'elle soit.
Je me contente de lécher ma plaie comme un chien blessé. Et espérer que le temps me permette d'y voir plus clair. Sans quoi je lutte pour ne pas tomber dans la facilité et retourner vers elle.
Ce n'est peut être pas un gâchis, c'est peut être une chance d'être heureux avec quelqu'un d'autre ou au contraire de te rendre compte que c'est une erreur et que c'est vraiment elle que tu veux.
Pas facile d'avoir le recul nécessaire pour toi là maintenant. Tu fais bien de prendre ton temps.
N'hésite pas à raconter ton cheminement ici, si tu sens que ça t'aide.
Bon courage
Pas facile d'avoir le recul nécessaire pour toi là maintenant. Tu fais bien de prendre ton temps.
N'hésite pas à raconter ton cheminement ici, si tu sens que ça t'aide.
Bon courage
J'ai une question pour toi: conçois-tu l'amour sans passion?