De plus, nous cherchons tous ce chemin vers un homme parfait pour une seule chose : les femmes... donc elles nous controlent malheuresement (mais chuuut faux pas qu'elles le sachent )
Si c’est ce que tu penses, il va falloir changer de cap sous peine deconnaitre bien des désillusions.
Tout ce que j’entreprends, tout ce que tu entreprends. Chaque coup de pinceau que tu portes sur la toile de ta vie, ne s’inscrit que dans une quête, singulière et universelle. Celle du bonheur. Et là, tout prend un sens.
Tu veux être heureux ? Alors chaque minute, chaque seconde, en tout lieu, envers et contre toutes circonstances, œuvre, œuvre pour tendre vers le meilleur de toi-même. Parce que c’est le seul moyen de se sentir vivre et par la même, de trouver le bien-être.
Tu ne comprends pas ? C’est pourtant simple. Il y a toi et il y a ce que tu pourrais être. Ton max. Un toi qui exploite tout son potentiel. Un toi optimisé jusqu’à la limite. Dans un seul but, vivre la vie et ne plus la subir. Ce mec, il est heureux. Parce qu’il a le contrôle, autant que nous puissions l’avoir. Il a la technique et l’experience. Il a entrevu la vie sous des jours que tu ne peux imaginer, aujourd’hui. C’est un maître.
Dans la perspective de cet épanouissement, la femme n’est qu’un pied de la table qui porte le repas du bonheur. D’ailleurs cette table. Elle peut tenir sans ce quatrième pied, même si elle est alors branlante (sans mauvais jeu de mot, quoique…

). Pour te dire, à quel point l’esprit de l’homme abouti, d’autres l’appeleront alpha mâle, ne doit s’empreindre de la femme que comme d’un moyen, juste un moyen. (il ne s’agit pas de la déshumaniser, je fais référence à sa place dans le cheminement de l’homme en quête du meilleur de lui-même, pour ne pas dire juste de lui-même). Dans son periple vers lui-même, il devra s’appliquer à éguiser bien d’autres lames que celle de la séduction.
Oui, bien sûr, tout ça est trop idéal. Tu n’exprimeras probablement jamais tout ton potentiel, j’en conviens. Le temps aura fait son œuvre bien avant. Cela vaut pour chacun d’entre nous. Peu importe. La destination n’a que peu d’importance, c’est le voyage qui prime. Si aujourd’hui tu es meilleur qu’hier et pire que demain, tu auras atteint ton but (pour la journée du moins. Et oui, rien n’est jamais aquis

)
La morale de l’histoire : Travailles sur toi. Avant tout pour toi. Et peut-être alors, tu toucheras du doigt, ce à quoi nous aspirons tous. L’accomplissement (les femmes aiment dire l’épanouissement) et le bonheur (ou la paix intérieur)