Apres le close ?

Aurel a écrit : Une peur de la réussite ? Quoi vous avez peur de réussir ? Vous vous êtes enfermé dans une image de looser ? On reframe ! (en suivant des exercices de développoment personnel si besoin est)

Faut êtes congruent, si l'on séduit c'est parce que l'on dégage de la confiance, et si on dégage de la confiance c'est parce que l'on sait où l'on va, qu'on a transformé sa peur en stress moteur.

Donc, un close dont on sait pas quoi faire risque pas d'aller très loin.

Je ne parlais de "peur de la réussite" que comme avatar de la "peur de l'inconnu" pour justement mettre en avant le paradoxe qu'elle constitue. Il ne s'agit pas de se considérer comme un looser, juste de montrer que la peur de l'inconnu, quand cet "inconnu" se situe après un close, ne fait que révéler un autre problème, à savoir celui de savoir ce que l'on veut (comme ça a été dit plus haut), et qu'en prendre conscience permet d'y remédier.

quinteflush a écrit : Je ne parlais de "peur de la réussite" que comme avatar de la "peur de l'inconnu".

Ok, dans mon esprit, la peur de réussir une chose se développe chez qui n'a jamais réussi cette chose (=inconnu) et qui est persuadé de ne pas pouvoir le faire (=mauvaise frame qui mène à l'échec). Bref, quand je parle de peur de la réussite, c'est une super-peur de l'inconnu que de nombreuses approches et un gameplan ne suffisent pas toujours à vaincre. Je pense aux grands timides qui lorsqu'ils obtiennent pour la première fois un numéro à l'arrache ne savent pas quoi en faire. A force de foirer, on se conforte dans notre échec. On a peur de réussir quand rater intègre la zone de confort. On s'éloigne du cas de S3B là