Bonjour,
ce post fait directement suite au post de goofy83 intitulé "Pleurez !!" dans lequel il fait le constat qu'il lui arrive de pleurer est d'assumer (ce qui est une bonne chose).
Ce que j'ai retenu de l'article et des commentaires rédigés : bien que cela puisse soulager de pleurer ce n'est pas une solution miracle, si cela se produit souvent c'est qu'il y a quelque chose qui bloque et qui nous empêche d'avancer.
(Un peu de 3615 mylife)
Suite à différentes situation difficiles à vivre pour moi il m'est arrivé de pleurer aussi sans raison apparente lorsque je pensais à mes enfants, pas fréquemment mais régulièrement.
Comme il a été dit dans le post de goofy je n'ai pas essayé de retenir mes larmes.
Mais j'ai aussi constaté que ce n'était pas un bon état d'esprit, bien que l'on se laisse aller on n'est pas pour autant débarrassé de ce qui peut nous faire pleurer.
On navigue dans un état de tristesse ou pire de mélancolie et ça ce n'est pas bon ni pour le moral ni pour aller de l'avant et faire des projets.
Dans mon cas lorsque je pensais à mes enfants, en fait, je repensais à mon enfance et à l'absence de mon père qui s'est peu occupé de ses deux fils (voir pas du tout).
En état moi même papa j'ai pu constater ce à côté de quoi j'étais passé car je prends un vrai plaisir à m'occuper de mes enfants (quotidien, éducation, jeux, etc..) et ils me le rendent bien.
(C'est là que l'on en vient au sujet du post (oui je sais c'est long))
Donc je pleurais en pensant à "moi enfant", pour sortir de cet état de tristesse (et avec l'aide de mon psy) j'ai décidé de consoler ce petit garçon qui était resté triste de l'absence de son père, et j'ai su le faire d'autant plus facilement que je suis moi même papa et qu'il m'arrive de consoler et rassurer mon propre fils.
On ne peut pas toujours attendre d'avoir quelqu'un à côté de soi pour être consolé de ces malheurs.
Donc en identifiant la cause de sa tristesse, ensuite en état capable de visualiser une fin moins difficile et plus réconfortante à certaines situations difficiles. On peut enfin se représenter ce qui nous aurait fait du bien de recevoir à cet instant là : du réconfort, des encouragements, un geste de tendresse, des remerciements, etc...
Je pense que d'être capable de se consoler peut-être une première étape pour sortir de l'état de tristesse afin de passer à quelque chose de plus constructif.
[A] Consolez vous !
- Notes et commentaires reçus par ce post :
- [+2] Constructif par Aurel
Jouer la "victime" n'a jamais résolu un blocage affectif. Se consoler ne suffit pas, il faut d'abord accepter l'état dans lequel on est, identifier les causes et surtout ne pas voir en "pleurer" une solution. Contrairement à la PNL, il est difficile d'utiliser seul l'analyse transactionnelle pour une introspection. J'ai pas lu "Pleurez!!" de goofy.
/Un topic rabat-joie? non merci, je suis non rabat-joignable./
Tu peux développer stp?
Amicalement
/Un topic rabat-joie? non merci, je suis non rabat-joignable./
Tu peux développer stp?
Amicalement
Merci pour ton commentaire,Vital a écrit :Jouer la "victime" n'a jamais résolu un blocage affectif. Se consoler ne suffit pas, il faut d'abord accepter l'état dans lequel on est, identifier les causes et surtout ne pas voir en "pleurer" une solution. Contrairement à la PNL, il est difficile d'utiliser seul l'analyse transactionnelle pour une introspection. J'ai pas lu "Pleurez!!" de goofy.
/Un topic rabat-joie? non merci, je suis non rabat-joignable./
Tu peux développer stp?
Amicalement
il est nullement ici question de victime, parfois sans être dans un état d'esprit particulier il peut arriver suite à une situation difficile ou une période de fort stress de ne pas pouvoir contrôler ses larmes.
Je pense que nous avons tous connu cela un jour ou l'autre et personne n'est en situation de victime (cf. post de goofy).
En effet pleurer n'est pas une solution et peut plonger la personne dans un état de nostalgie voir de mélancolie (c'est ce que je vivais).
Dans mon cas j'ai mis un peu de temps à identifer la cause, j'avais un manque affectif qui n'avait pas été comblé durant mon enfance.
Soit l'individu une fois identifié la cause est capable d'aller de l'avant parce qu'il a les ressources pour le faire, soit il peut essayer de combler ce manque affectif (ce que j'ai fait).
Quelque soit la méthode (psycho, pnl, ou autre que sais-je ?) il est bon de savoir analyser ses propres comportements quelque chose que je pratiquais avec plus ou moins de bonheur bien avant d'aller voir un psy ou de connaitre la PNL.
Je ne sais pas si mon explication t'éclaire.
Edition : Pour compléter tout cela j'ai récemment découvert l'enfant intérieur tel que décrit par CG.Jung, qui a inventé le terme, et qui prône le dialogue avec cet enfant intérieur à lire sur wikipedia (http://fr.wikipedia.org/wiki/Enfant_int%C3%A9rieur) ou autre .