Le PUA

Je disais donc.

Au PUA, il faut

[censuré par Dior. Il faut un amour des femmes et une envie de transmettre son savoir à ceux qui ne l'ont pas]

Donc, la méthode est simple.

[Censuré par Dior]

Secondement, de l'esprit. Il faut bien écrire, bien penser. ÉVIDEMMENT, non pas
- bien écrire comme à l'école; rien à branler d'une écriture "correcte", "léchée", pseudo-littéraire. Les mecs qui font leurs FRs précieux style jô suis môssieur l'écrivain PUA sont la plupart du temps des branleurs. Il faut une écriture forte. Destructurée, ça passe; l'orthographe un peu bâclée, ça passe aussi. Mais DIABLE, SAC À PAPIER... DIANTRE DE FOUTREQUEUE!!! De la FORCE. Une construction, une déconstruction, n'importe quoi.
(ah, et aussi, le français pur, sans anglais, etc..., de la foutaise en bonne et due forme, tout ça. Vive le français bordélique, mixte, évolutif, etc... Mort à l'académisme. Mort au puritanisme)
Je vais lister toutes ces idées qui étaient cooles un temps, qui sont toujours cooles aujourd'hui, mais qui sont PLATES.
- bien penser: signifie, bien sûr, *mal* penser. C'est-à-dire, penser un peu sale, un peu à côté, pas parfait, pas tout bien. Penser lourd mais fort, à la limite. Mais pas penser avec des petits paragraphes tout soignés pour tromper le vide flagrant de la pensée.
Réfléchir, c'est comme sarger, c'est comme la muscu: faut entrainer, il y a des gens plus doués que d'autres. Et la majeur partie n'arrive pas au top.

Petit résumé de fin:

PUA:

[censuré par Dior. PUA: homme qui a de la facilité avec les femmes.]

Pour reprendre Soral.

Pour qu'un PUA vaille la peine, il faut un minimum de [censuré par Dior: travail. Il faut aller faire ses opens]

Dans ce cas-là, peu importe qu'il ait des théories, qu'il pense, qu'il réfléchisse à sa condition.

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Mais à lire, évidemment, un bon vieux Mystery reste cent fois plus délectable.