Problèmes de méthodes:
- la confrontation entre théorie et pratique
- le momentum pratique et le cercle vertueux (Mystery, Matador)
- formation d'un corpus?
- volontaire oubli des discours ambiant après une période d'assimilation? Le saut hors de la communauté (saut érémitique): cesser d'apprendre toujours (frame étudiante) pour choisir la solitude, fixation du corpus de connaissance, et retour à la créativité (art/technique). Solitude sur le field/dans l'esprit.
- nécessité d'une force intellectuelle, discursive -> comment associer ça aux résultats sur le field?
De la Solitude
Hello,G a écrit :
- volontaire oubli des discours ambiant après une période d'assimilation? Le saut hors de la communauté (saut érémitique): cesser d'apprendre toujours (frame étudiante) pour choisir la solitude, fixation du corpus de connaissance, et retour à la créativité (art/technique). Solitude sur le field/dans l'esprit.
Point intéressant. C'est ce que tu préconises ?
Ou c'est un constat que tu as fait chez des players de la communauté ?
Salut!
. Non je ne dirais pas. Pour être précis: pas dans tous les cas, pas à n'importe qui.
Disons que c'est une chose qui est très peu soulignée, je trouve, dans la communauté, qu'il faudrait revaloriser (contre le discours tout puissant "trouve-toi des wings, apprends, écoute, etc...")
- le fait que le succès avec les filles est aussi largement lié au succès avec les mecs. Il est possible, mais plus dur, d'être un dieu avec les filles et d'être le petit newbie/nerd pour ses cercles sociaux, et a fortiori sur les forums. Paradoxalement, entrer sur un forum actuellement n'est plus, comme il y a quatre ans, entrer dans une société secrète qui promettait tout. C'est entrer dans une société plus si secrète que ça qui impose des hiérarchies, etc.. En gros, on en revient à ce qui existe déjà "en dehors", "dans le monde": pour se faire la bonasse, il faut être au top de la hiérarchie (de la boite = de la société/du cercle social .. = du forum).
Du coup, ce qui était à l'origine un espace horizontal préservé, où littéralement tout loser se retrouvait boosté par des connaissances plus élevées par rapport au monde extérieur (hiérarchie game/monde), maintenant on se retrouve plutôt dans une hiérarchie interne du game, où pour avoir les bonasses, il faut deux étapes et non plus une: trouver le game, et gravir la hiérarchie de ce système [je laisse volontairement de côté l'idée qu'on puisse se faire des filles sans le game, ça ne rentre pas dans l'idéologie - cf. un certain paumé qui avait écrit, je ne sait plus où, " ah c'est fou de voir tous ces AFCs avec leurs copines, etc..." c'est le monde à l'envers où le game n'est même plus associé au succès avec les filles, mais n'est plus qu'un discours vide qui permet à certaines personnes plutôt fragiles socialement de former des liens autour de certains thèmes de discussion, croyances, etc... ]
- le problème de la théorie et de la pratique: on voit que chez un certain nombre de gourous, l'analyse de l'autre passe après celle de soi (la célèbre rengaine "be in your own reality"). Le dilemme est le suivant: la plupart des gens n'ont pas leur capacités discursives, intellectuelles suffisamment entrainées pour construire une réalité riche et indépendante. Ils peuvent alors quand même choisir d'être uniquement dans la leur propre, mais n'intéresseront pas grand monde (le concept du beauf égocentré - qui se fait des fois des LSE pour la force que dégage leur choix d'être indépendant). C'est ce qu'on ne veut pas être, évidemment. De l'autre côté, le cliché du mec sensible, intéressant, etc.., mais peu sûr de lui... Il faut trouver le milieu. Il est effectivement difficile de concilier une conscience de l'autre, - le fait d'admirer un tel, ou d'intégrer des trouvailles lues ailleurs, p.ex -, avec la delusional confidence, l'idée qu'on est un dieu, qu'il n'y a plus de doute, etc.. (flow/out of one's head, etc..), la chose qui apporte le close. C'était pour ça que j'avais proposé l'idée du corpus, qui provient un peu du game, mais essentiellement d'autres domaines d'intérêt. L'idée du corpus serait de consciemment faire un choix d'approfondissement plutôt que de continuer à engranger de nouvelles choses avec toujours le même niveau d'analyse. Lire la MM pendant 8 mois et rien d'autres plutôt que de suivre les nouveautés sur un forum ou plusieurs, et s'informer d'un peu tous les produits qui sortent durant les mêmes 8 mois... En même temps, il est nécessaire, si on approfondit une chose, de ne pas tomber dans le paradigme du groupie (chose que des gars comme TD ou Mys ont très bien su éviter, car ils se sont concentré et ont approfondi leurs propres concepts...Ils sont devenus leurs propres adeptes...)
- Cela nous mène à la frame étudiante (on tourne toujours de l'épineux problème de "comment parvenir à être à ce "top" que j'ai cru voir chez certains...ça commence à bien faire ;)): comment échapper à la frame "étudiante", chose vicieuse qui apparaît souvent couplée au désir d'approfondissement. C'est une chose étonnante. Comme si chez un grand nombre de personnes (raise your hands... I did that), l'idée qu'on se fixe sa propre limite: le gourou permet d'avancer, mais ne peut pas être dépassé (du moins pas avant un moment).. Sans doute est-ce une chose nécessaire, un passage obligé??? (D'ailleurs, ces mêmes gourous en parlent aussi, même si, leur phase d'idéalisation étant derrière, et en plus effacée par l'attention que tous leurs fans leur portent, la marque sur eux en est fortement atténuée) Le pas du "ce n'est pas ailleurs, dans une méthode, dans un mec, que je trouverai la solution" est une chose extrêmement angoissante...
- l'idée de l'approfondissement, du choix d'un corpus, c'est aussi la réponse à une situation qui est assez peu souvent évoquée, je trouve: celle d'un écart puissant entre des capacités discursives, théoriques, et des résultats pratiques. Il est clair que sur les forums, il y a un déni du théorique, une dévalorisation (truc de geeks, c'est pas ça qui nous fait chopper, c'est ce qui fait qu'on reste dans notre chambre au lieu de sortir). Alors que, il faut avouer, aucun "gourou" actuel est un idiot... Tous les posts des mecs vraiment célèbres dépassent la moyenne intellectuellement. Il y a plutôt une histoire de "comment utiliser son intellect". Je vois typiquement l'intellectuel se faire aspirer par l'écrit: lire et relire les posts cools, intéressants. Suivre l'actualité encore et encore; voir tous les sujets et gens qu'il faudrait étudier, approfondir pour avoir une connaissance parfaite. Il cherche la solution ailleurs, à l'extérieur, et devient un spécialiste du game plutôt qu'un gamer. Du coup, l'idée du corpus serait de limiter volontairement les choses à savoir, pour 1 permettre d'arriver à une limite, où l'intellect, fatigué de tourner en rond (p.ex dans la MM, relue 50 fois, par coeur, imaginons), s'oriente de lui-même vers des questions plus pratiques 2 se délivrer du "je n'en sais pas assez pour y aller", mais d'une manière positive, et non pas privative: ça n'est pas le "je sors parce que je dois", mais le "je sors parce que la théorie, j'en ai marre" (renversement qui serait, je dois l'avouer, une victoire pour qqn comme moi:).
- On est donc dans un mouvement de recentrement: c'est l'acte d'écrire plutôt que de lire, de se faire un gameplan plutôt que de s'informer sur les gameplans, de sarger plutôt que d'étudier le game. Car il est clair que, pour bon nombre de players débutants, le niveau premier de la "vie" étant angoissant, le refuge dans le "méta" est une tentation forte...
N.B: une dernière chose, qu'il ne faut pas oublier. Comme Homère le disait d'Achille. Pour qu'il y ait légende, il faut deux personnes: le héros, et le poète. Ce qui fait des grands PUAs ce qu'ils sont, ce sont leurs textes (que les forumeux boivent d'ailleurs la plupart sans aucun recul sur les processus de mythologie, d'autoglorification qu'ils contiennent). Je suis persuadé que ce n'est pas pour rien qu'il y a une corrélation entre le bien communiquer, le bien parler, et la grandeur PUesque: non seulement cela permet de répandre la bonne nouvelle parmi les autres mâles (gagner en statut alpha), mais en plus, vu que souvent les mots viennent avant les exploits, et que la folie du début de game fait s'enflammer la plume du futur gourou à un stade où personne ne l'a vu encore sur le field, c'est souvent le FORUM lui-même, c'est-à-dire l'engouement et la fierté que le jeune PUA montant acquiert de par sa plume QUI LUI DÉCUPLE SES CLOSES. En gros, d'une moitié d'illusion et d'une faculté alpha avec les HOMMES, le mec (qui ne partait PAS de rien, ces deux choses étant déjà beaucoup) arrive à construire une spirale positive qui le mène au succès pénétral (hum de bonheur, d'épanouissement, bien sûr) voulu.
Exemples, pour mon paragraphe précédent:
Mystery, pas mal en ermite, il semble: tout fait tout seul, lorsqu'il arrive, il impose directement une frame gouroutique (il semble être un des rares qui ait une dynamique de game entièrement à lui: même sans communauté il sarge, et continue à développer ses concepts...)
Tyler Durden: est le cas précisément mentionné plus haut: tout le début de sa carrière est surfait au niveau game. C'est un mec qui a une capacité à générer des concepts, qui se la pète pas mal -> réactions de fou, drama -> grosse énergie autour de lui, il monte sa boite. En gros, il est plus leader of men que sargeur, et c'est seulement maintenant, avec l'argent et les fans (caractéristiques alpha, si si, c'est du game ;)) qu'il commence vraiment à pouvoir bien gamer des 10.
Diable. Voilà une question problématiquePoint intéressant. C'est ce que tu préconises ?
. Non je ne dirais pas. Pour être précis: pas dans tous les cas, pas à n'importe qui. Disons que c'est une chose qui est très peu soulignée, je trouve, dans la communauté, qu'il faudrait revaloriser (contre le discours tout puissant "trouve-toi des wings, apprends, écoute, etc...")
Il y a toujours chez moi des liens entre ma propre trajectoire et d'autres que j'observe autour de moi. Pour revenir un peu plus à mon truc:Ou c'est un constat que tu as fait chez des players de la communauté ?
Il y a plusieurs directions, problèmes:- volontaire oubli des discours ambiant après une période d'assimilation? Le saut hors de la communauté (saut érémitique): cesser d'apprendre toujours (frame étudiante) pour choisir la solitude, fixation du corpus de connaissance, et retour à la créativité (art/technique). Solitude sur le field/dans l'esprit.
- le fait que le succès avec les filles est aussi largement lié au succès avec les mecs. Il est possible, mais plus dur, d'être un dieu avec les filles et d'être le petit newbie/nerd pour ses cercles sociaux, et a fortiori sur les forums. Paradoxalement, entrer sur un forum actuellement n'est plus, comme il y a quatre ans, entrer dans une société secrète qui promettait tout. C'est entrer dans une société plus si secrète que ça qui impose des hiérarchies, etc.. En gros, on en revient à ce qui existe déjà "en dehors", "dans le monde": pour se faire la bonasse, il faut être au top de la hiérarchie (de la boite = de la société/du cercle social .. = du forum).
Du coup, ce qui était à l'origine un espace horizontal préservé, où littéralement tout loser se retrouvait boosté par des connaissances plus élevées par rapport au monde extérieur (hiérarchie game/monde), maintenant on se retrouve plutôt dans une hiérarchie interne du game, où pour avoir les bonasses, il faut deux étapes et non plus une: trouver le game, et gravir la hiérarchie de ce système [je laisse volontairement de côté l'idée qu'on puisse se faire des filles sans le game, ça ne rentre pas dans l'idéologie
- cf. un certain paumé qui avait écrit, je ne sait plus où, " ah c'est fou de voir tous ces AFCs avec leurs copines, etc..." c'est le monde à l'envers où le game n'est même plus associé au succès avec les filles, mais n'est plus qu'un discours vide qui permet à certaines personnes plutôt fragiles socialement de former des liens autour de certains thèmes de discussion, croyances, etc... ]- le problème de la théorie et de la pratique: on voit que chez un certain nombre de gourous, l'analyse de l'autre passe après celle de soi (la célèbre rengaine "be in your own reality"). Le dilemme est le suivant: la plupart des gens n'ont pas leur capacités discursives, intellectuelles suffisamment entrainées pour construire une réalité riche et indépendante. Ils peuvent alors quand même choisir d'être uniquement dans la leur propre, mais n'intéresseront pas grand monde (le concept du beauf égocentré - qui se fait des fois des LSE pour la force que dégage leur choix d'être indépendant). C'est ce qu'on ne veut pas être, évidemment. De l'autre côté, le cliché du mec sensible, intéressant, etc.., mais peu sûr de lui... Il faut trouver le milieu. Il est effectivement difficile de concilier une conscience de l'autre, - le fait d'admirer un tel, ou d'intégrer des trouvailles lues ailleurs, p.ex -, avec la delusional confidence, l'idée qu'on est un dieu, qu'il n'y a plus de doute, etc.. (flow/out of one's head, etc..), la chose qui apporte le close. C'était pour ça que j'avais proposé l'idée du corpus, qui provient un peu du game, mais essentiellement d'autres domaines d'intérêt. L'idée du corpus serait de consciemment faire un choix d'approfondissement plutôt que de continuer à engranger de nouvelles choses avec toujours le même niveau d'analyse. Lire la MM pendant 8 mois et rien d'autres plutôt que de suivre les nouveautés sur un forum ou plusieurs, et s'informer d'un peu tous les produits qui sortent durant les mêmes 8 mois... En même temps, il est nécessaire, si on approfondit une chose, de ne pas tomber dans le paradigme du groupie (chose que des gars comme TD ou Mys ont très bien su éviter, car ils se sont concentré et ont approfondi leurs propres concepts...Ils sont devenus leurs propres adeptes...)
- Cela nous mène à la frame étudiante (on tourne toujours de l'épineux problème de "comment parvenir à être à ce "top" que j'ai cru voir chez certains...ça commence à bien faire ;)): comment échapper à la frame "étudiante", chose vicieuse qui apparaît souvent couplée au désir d'approfondissement. C'est une chose étonnante. Comme si chez un grand nombre de personnes (raise your hands... I did that
), l'idée qu'on se fixe sa propre limite: le gourou permet d'avancer, mais ne peut pas être dépassé (du moins pas avant un moment).. Sans doute est-ce une chose nécessaire, un passage obligé??? (D'ailleurs, ces mêmes gourous en parlent aussi, même si, leur phase d'idéalisation étant derrière, et en plus effacée par l'attention que tous leurs fans leur portent, la marque sur eux en est fortement atténuée) Le pas du "ce n'est pas ailleurs, dans une méthode, dans un mec, que je trouverai la solution" est une chose extrêmement angoissante... - l'idée de l'approfondissement, du choix d'un corpus, c'est aussi la réponse à une situation qui est assez peu souvent évoquée, je trouve: celle d'un écart puissant entre des capacités discursives, théoriques, et des résultats pratiques. Il est clair que sur les forums, il y a un déni du théorique, une dévalorisation (truc de geeks, c'est pas ça qui nous fait chopper, c'est ce qui fait qu'on reste dans notre chambre au lieu de sortir). Alors que, il faut avouer, aucun "gourou" actuel est un idiot... Tous les posts des mecs vraiment célèbres dépassent la moyenne intellectuellement. Il y a plutôt une histoire de "comment utiliser son intellect". Je vois typiquement l'intellectuel se faire aspirer par l'écrit: lire et relire les posts cools, intéressants. Suivre l'actualité encore et encore; voir tous les sujets et gens qu'il faudrait étudier, approfondir pour avoir une connaissance parfaite. Il cherche la solution ailleurs, à l'extérieur, et devient un spécialiste du game plutôt qu'un gamer. Du coup, l'idée du corpus serait de limiter volontairement les choses à savoir, pour 1 permettre d'arriver à une limite, où l'intellect, fatigué de tourner en rond (p.ex dans la MM, relue 50 fois, par coeur, imaginons), s'oriente de lui-même vers des questions plus pratiques 2 se délivrer du "je n'en sais pas assez pour y aller", mais d'une manière positive, et non pas privative: ça n'est pas le "je sors parce que je dois", mais le "je sors parce que la théorie, j'en ai marre" (renversement qui serait, je dois l'avouer, une victoire pour qqn comme moi:).
- On est donc dans un mouvement de recentrement: c'est l'acte d'écrire plutôt que de lire, de se faire un gameplan plutôt que de s'informer sur les gameplans, de sarger plutôt que d'étudier le game. Car il est clair que, pour bon nombre de players débutants, le niveau premier de la "vie" étant angoissant, le refuge dans le "méta" est une tentation forte...
N.B: une dernière chose, qu'il ne faut pas oublier. Comme Homère le disait d'Achille. Pour qu'il y ait légende, il faut deux personnes: le héros, et le poète. Ce qui fait des grands PUAs ce qu'ils sont, ce sont leurs textes (que les forumeux boivent d'ailleurs la plupart sans aucun recul sur les processus de mythologie, d'autoglorification qu'ils contiennent
). Je suis persuadé que ce n'est pas pour rien qu'il y a une corrélation entre le bien communiquer, le bien parler, et la grandeur PUesque: non seulement cela permet de répandre la bonne nouvelle parmi les autres mâles (gagner en statut alpha), mais en plus, vu que souvent les mots viennent avant les exploits, et que la folie du début de game fait s'enflammer la plume du futur gourou à un stade où personne ne l'a vu encore sur le field, c'est souvent le FORUM lui-même, c'est-à-dire l'engouement et la fierté que le jeune PUA montant acquiert de par sa plume QUI LUI DÉCUPLE SES CLOSES. En gros, d'une moitié d'illusion et d'une faculté alpha avec les HOMMES, le mec (qui ne partait PAS de rien, ces deux choses étant déjà beaucoup) arrive à construire une spirale positive qui le mène au succès pénétral (hum de bonheur, d'épanouissement, bien sûr) voulu.Exemples, pour mon paragraphe précédent:
Mystery, pas mal en ermite, il semble: tout fait tout seul, lorsqu'il arrive, il impose directement une frame gouroutique (il semble être un des rares qui ait une dynamique de game entièrement à lui: même sans communauté il sarge, et continue à développer ses concepts...)
Tyler Durden: est le cas précisément mentionné plus haut: tout le début de sa carrière est surfait au niveau game. C'est un mec qui a une capacité à générer des concepts, qui se la pète pas mal -> réactions de fou, drama -> grosse énergie autour de lui, il monte sa boite. En gros, il est plus leader of men que sargeur, et c'est seulement maintenant, avec l'argent et les fans (caractéristiques alpha, si si, c'est du game ;)) qu'il commence vraiment à pouvoir bien gamer des 10.
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