Maeglin a écrit :Il est ou le fluff dans l'histoire ?Sytrus a écrit :Je plussoie. Personnellement je m'amuse à raconter tout et n'importe quoi d'un air sérieux avec une voix grave, tout seul ou avec mon frère ou mon miroir, sans éclater de rire, mais des choses qui n'ont pas forcément de liens logiques (exemple: 'J'adore manger du poil beurre car l'incontinence provoque une inflation du poil pubien partant en voyage sur son fidèle destrier').Ulth a écrit :Pas besoin d'un labrador. Il existe des exercices simples. Tu te mets devant un miroir, tu demandes à quelqu'un un mot clé, par exemple : "poule" et tu dissertes le plus longtemps possible dessus.
" La poule est la femme du Coq. J'adore les poules, elles pondent des oeufs. Quand j'étais petit, je pensais que ..."
Pour maximiser l'exercice, essaie de t'enregistrer, pour miieux moduler ta voix, le ton, etc.
Ca ve devenir une habitude avec le temps. Et n'hésite pas à faire cet exercice avec tes amis (sans forcément leur dire).
Ou alors pour bosser le timbre de ma voix, je lis mes textes à bosser pour l'Oral de Français, ce qui a donc un double-intérêt ^^ .
Enfin, si tu as un micro, essaye de t'enregistrer, c'est très étrange et agréable d'entendre le son de sa propre voix, et de pouvoir entendre ce qu'on aime ou ce qu'on veut améliorer, pour aimer sa voix
Ici tu parles plus de timbre et de projection vocale que de fluff .
Et c'est le plus important. Un natural niçois, un jour, m'a dit qu'il était capable de dire n'importe quoi et d'emmener ses cibles là ou il voulait en se calibrant. C'est utopiste/carricatural, néanmoins, c'était vrai d'une certaine manière.
Si tu contrôles ta voix et la projection, tu emmènes plus facilement les gens dans ton monde. Exemple : Mystery qui dit qu'il faut parler lentement et d'une voix grave. Et en effet, c'est bien plus captivant comme cela.
Si déjà, il arrive à parler de tout et n'importe quoi, avec ses amis ou tout seul, il saura Staller. C'est à dire qu'il aura pas peur des blancs.
Une cible m'a dit il ya quelque jours : "je sais que ça colle avec quelqu'un si je suis à l'aise, même quand ya des blancs dans la conversations".
Or le blanc permet de toutes façons de rythmer la conversation.
Donc, pour ne pas avoir peur du "vide", il faut savoir le combler quand on en a envi, pour ainsi être plus à l'aise, et mener l'intéraction.