[J]La lutte pour le pouvoir

Salut à tous bonne gens de FTS

Je veux commencer ce journal par mon histoire, très résumé en quelques lignes pour bien me rappeler de toute l'évolution que j'ai accompli. Ca me permettra de bien voir ce qui m'a aider à devenir un AFC.

Au collège j'étais le gars banal, un peu plus costaud que la moyen et que tout le monde faisait chier à cause de ça, mais pas que, en fait, j'avais déja peur, mais je ne savais pas vraiment de quoi. En fait c'était pas de la réaction de mes parents, mon père a toujours insister pour que je me batte. J'y repense maintenant, mais en fait, si je sais d'où ça viens, ma mère m'a toujours dit de ne pas faire à autrui ce que je ne voudrais pas qu'il me fasse. En fait je pense que tout viens de la. Je suis vite devenu timide, ayant trop peur de provoquer une bagarre, je ne voulais pas faire mal à quelqu'un. A la fin du collège j'étais prêt pour devenir un geek, j'avais eut la bonne formation pour ça, mais quelques chose de bizzare (je trouve pas l'orthographe correcte

) le divorce de mes parents. Mon père a pété son câble, il a décidé de partir vivre au Brésil, puis j'ai pété le mien, j'y suis allez aussi.

Brésil, nouveau pays, nouvelle vie, je me voyais déja roi du monde. Premier soir ou j'arrive, mon père m'amène avec sa nouvelle copine et quatre filles de vingt ans dans un lieu paradisiaque, le tout dans une voiture cinq places. Avant de partir mon père me brief un peu, "fait ce que je te dit, n'ai pas peur, soit confiant". Le problème de la langue c'est immédiatement posé je ne parlais pas un mot de portugais. Mais en fait, ça m'a grandement aidé. Arrivé la-bas, on se retrouve dans une auberge pas très classe mes simpat il n'y a que 2 chambres, une juste pour mon paternelle et sa dulcinée et une autre avec quatres lits. Ma mission est posé, si je ne veux pas dormir dans un hamac sur le palier j'allais devoir sarger. Et la, le maître de ma réussite apparait. Mon père me demande celle qui me plait le plus (j'avais le choix 2 HB7, 1 HB8 et une 5), je décide une HB7, celle avec j'ai timidement EC et qui m'a souri des le début. Je ne me souviens plus exactement de la soirée, c'était en 2003. Je me rappel juste que je n'ai quasiment rien dit, mon père m'a entièrement guidé, en me disant quel geste faire quand je passé prés d'elle, ce genre de chose. Ajoutez au fait que j'étais motivé surtout à ne pas dormir dehors (j'avais 15ans, j'étais innocent

) le miracle c'est produit. Moi, le débile du bahut, chopper une bomba de 6 ans mon ainée, brésilienne de surcroit, vous imaginez comment j'étais ?

Mon séjour dans ce fabuleux pays commencé par meilleurs façon possible, et vous vous demandez peut-être pourquoi je suis un AFC alors que j'avais quelqu'un qui savait draguer un minimum pour m'enseigner les choses que je suis venu chercher ici. Et bien c'est simple, j'ai tout gâché. Mon père m'a dit de la larguer au bout de 15 jours, mais j'en ai fait qu'a ma tête. Je ne voyais pas pourquoi je devais larguer une HB7, sans motif apparent qui était plutôt bien branché sexe, pour couronner le tout. Maintenant je vois ce qui à peut-être était la plus grande erreur de ma vie. Je sais que ça m'a apporter pas mal de chose quand même, mais j'y ai perdu une confiance en moi que je cherche maintenant à retrouver. J'ai fait de cette fille une OI, mais je savais être détaché d'elle et je me fichais de tout, en faite pour moi elle est devenu juste un bout de viande ou me vider les couilles (je la voyais vraiment comme ça à ce moment la). Au final j'ai eu d'autres OI qu'elle, mais je n'allais pas les voir, au fond, je m'en fichais, j'avais de quoi me vider. Puis j'ai perdu toutes confiance en moi. Bien sur, ma copine me trompait, mais pas grave, je me foutais de tout, j'étais une loque.

Puis sur un coup du destin j'ai du rentrer en France. Depuis j'ai eut des OI, et autres, mais j'ai quand même regagné un minimum de confiance en moi. Petit à petit je me suis remis de tout ça. En lisant des livres, je me suis rappelé de sensation que j'avais ressenti à mon premier jours au Brésil. Je me suis souvenu de la saveur de se sentir confiant et libre, plein de joie. Mais un souvenir n'était pas suffisant, il fallait que ça redevienne ma réalité.

Me voici donc pour changer ma réalité.

Dans mon désir de changer j'ai commencé à chercher dans les topics comment aborder une fille, et j'ai vu qu'il y avait des référence au développement personnel alors je me suis vite lancé dans cette direction. Pour l'instant, en plus des divers conseils que l'on trouve sur le forum ainsi que celui de spike, je n'ai lu que le livre "Tremblez mais osez!" du Dr Susan JEFFERS. Je le trouve très bien et il m'aide beaucoup, mais je pense qu'il me faut d'autres livres et plus de temps pour intégrer tout les principes d'un réelle développement personnel. J'en ai tous de même intégrés une petite partit, en me rappelant ce que j'avais déja ressenti par le passé.

Depuis quelques jours, je me sent mieux, comme si j'avais récupéré un peu de mon pouvoir, de mon plein droit d'Homme, de modifier ma vie. Mais j'en suis encore très loin. Je me suis dit que je devait tout de même retenter de draguer, et aujourd'hui j'ai décidé de sortir, tenter un peu, voir de quoi j'étais capable. Et surprise, je m'aperçois que personne ne sourit nul part, et que dès que je souri, les filles me jette un coup d'oeil pour me juger, mieux et plus souvent qu'avant.

Ma première approche d'une fille c'est fait plus facilement que ce que je pensais, en fait, je ne l'ai même senti venir. En entrant dans un magasin pour m'acheter un carnet ainsi qu'un stylo pour noter tout ce que je ressent à chaud, mon regard se fixe inconsciemment sur la vendeuse, qui est déja en train de m'observer. Juste la voir qui regardé dans ma direction ma fait sourire. Je me sentais bien, et j'étais confiant, mais inconscient de ma confiance. J'ai gardé le EC quelques secondes puis elle à détourné la tête pour encaisser un autre client. Après quelques minute passé dans le rayon de sociologie du magazin à la recherche de "la sociologie du dragueur" je ne trouve rien et regarde un peu ce qu'il y a aux alentours. Mon regard est accroché par un livre, "Essai d'exploration de l'inconscient." de C.G. Jung, que je décide d'acheter en plus du carnet pour mes notes. Arrivé en caisse, j'avais complétement oublié le EC de l'entrée et des que je lève les yeux, je me retrouve devant le fait accompli, un charment H6 qui me souri pour me dire bonjours. La, rien à part de me sentir normal, pas de petit nuage, mais pas de peur, juste confiant. Je ne pensé pas à la drague, je ne pensé en fait en rien. Après un "Salut !" souriant avec un EC pour lui répondre à son bonjours assez chaleureux mais normal pour une bonne caissière, je lui tend mon carnet, l'essai de Jung, et un stylo simpat. Elle les prends puis rompt le EC, puis les passent sous la douchette pour les scanner. L'étiquette du stylo et mal coller et elle n'arrive pas la scanner. Je ne sais pas pourquoi, mais je n'ai pas réussi à m'empêcher de lui dire "Si ça passe pas il faut me l'offrir" avec un léger sourire en coin. Je trouver cette pique lamentable, mais c'était plus fort que moi, et elle glousse, me regarde une seconde (1sec) puis arrive à scanner le stylo. Elle me dit la note, puis EC jusqu'à que je lui dise à mon tour au revoir.

En sortant du magasin je me sentais joyeux, j'avais un grand sourire en entrant dans ma voiture garé à quelques dix mètres de là. Je me suis vraiment rendu compte du progrès que j'avais fait. Au lieu d'un placide bonjours habituelle et sans intérêt (à part le sourire chaleureux

) que j'avais d'habitude, j'avais eut un EC. En fait des ce moment mon état de confiance ne moi est grimpé d'un cran. Après tout, ce n'était pas si difficile de rester naturelle. Avant de trop m'emballer je suis vite reparti faire un teste dans un centre commercial tout proche.

La suite arrive, mais faut faire une ptite pause

Dans le centre commercial il n'y à pas grand chose à dire, mais c'était instructif. En marchant je passe devant un stand d'accueil et la je voix une B6+ qui ne fait rien. Je me rend compte de ça trop tard et plutôt que de faire demi tour je décide de continuer de me balader. Le truc que j'ai oublié c'est la règle des 3 secondes. Ce fut un désastre =P. J'ai reussi à parler tellement vite que je ne me suis pas compris moi-même.

Le truc c'est que juste après que je me soit éject je me suis quand même senti bien, en fait je me suis rendu compte que ce qu'elle pensait me passé loin au dessus, et la éclat de rire. En fait c'est marrant de ce prendre un rateau dans ces conditions, je crois que ça va m'aider, ça a franchement diminué ma peur de parler aux autres, mais est-ce que cette sensation va durée ?

Demain je vais tenter une conversation, mais pas me mettre la pressions, je me sentait bien quand j'avais pas était obliger. Comme je sais que je ne vais pas me retrouvé à paniquer parce que quelqu'un va m'accorder de l'attention, ça sera plus simple.